METZ – REIMS (3-0) : LA METZ QUE UN CLUB ACADEMIE CRIE VICTOIRE TROP VITE
Reims a fait forte impression.
Salut les pines d’esclaves,
Rigobert vous informe qu’à compter de ce jour, il ne sera plus toléré aucun débordement non-raciste aux alentours de cette Académie. Les chigneurs et les petits kikis de chrétiens herbivores sont priés de cliquer sur ce lien. Les autres, y compris les Juifs, vous pouvez rester.
Contexte :
Metz roule sur la Liguain cousin. Après avoir douloureusement saccagé la carrière d’entraineur de Claude Ukulélé la semaine passée, les Grenat se rendaient en Petite-Bretagne pour voir en vrai ce petit village gaulois qui résiste encore et toujours à l’envahisseur. L’En Avant Guingamp ma bite sur ton épaule, le club qui pue le foin mais que tout le monde aime bien. Un club qui sent bon les années 1880 avec un grand noir malhabile dans les buts. Une volée tibia péroné de l’homme-bus plus tard, l’En arrière Guingamp s’enlisait dans les profondeurs anales du classement. Tandis que pendant ce temps là, à l’autre bout de la France, Rigobert enculait une cigogne et le FC Metz passait la sixième sans les mains ; et devenait logiquement un candidat crédible pour le titre. A l’instar de Hérvé Matheux, un candidat crédible au titre de plus grosse fiente de l’histoire de l’humanité ex æquo avec son gros porc de compagnie et leur petite coquine privée : la jolie Daniel Bravo.
Des nouvelles de Thibault Bourgeois :
Match :
-8 : A chaque match, le FC Metz augmente le prix des billets. 80 euros pour voir Metz Reims avec des lunettes 2D debout sur une jambe. Si tu veux poser ta deuxième jambe c’est 90. Et surtout, tu fermes bien ta gueule de chômeur moustachu et contestataire. Merci.
-6 : Mais bon, en prenant un peu de recul, on se rend vite compte que payer 80 euros pour voir Guirane N’Daw, même avec des lunettes 2D ça vaut le coup.
-4 : Et comme un bonheur n’arrive jamais seul (dicton le plus pédé du monde), Ahmed Voldemort Kashi est titulaire toutes dents dehors.
-2 : Tout comme Jecépakoi Bastien, le 17ème gardien rémois. Les 16 premiers s’étant tous blessés à l’échauffement.
0 : Début du match.
2 : Romain Métanire en est déjà à son huitième kilomètre. Difficile de savoir s’il a déjà son second souffle.
4 : Guido Milan entame sa première course.
6 : Olivier Thual et son maillot violet saillant de petit arbitre prétentieux commence déjà à montrer qui c’est le plus gros fils de pute en crampons ce soir.
7 : Et il désigne directement du doigt son assistant, qui se voit remettre le trophée de « Roi des Fils de Pute ». Et hop une nouvelle corde à son arc !
10 : Par contre pour voir du football, faudra changer d’hémisphère. Merci de votre compréhension.
15 : Métanire trouve facilement son cinquième souffle. Il a déjà 74 débordements à son actifs, 1 centre, 3 touches, et 841 courses inutiles.
18 : Juan Manuel Fernando Pedro Falcon tente le fameux appel « tourbillon » très populaire au Vénézuéla et tombe logiquement une fois de plus.
22 : Claquage du 17ème gardien rémois. Corinne Vasseur demande donc au 18ème gardien de mettre ses gants.
27 : Guirane N’Daw envoie une passe de l’amour de Dieu envers Serguey Krivets et contre tout, lequel ne se fait pas prier pour rétorquer d’une superbe volée pied-gauche. Le jeune portier rémois est à la parade.
34 : Reims se montre parfois dangereux. Et non.
37 : Mavinga se montre parfois dangereux pour la santé mentale de Corinne Vasseur.
39 : Monsieur Thual vit dans un monde parallèle où il passe une bonne soirée.
41 : La mi-temps approche à grand pas et Reims n’a toujours pas encaissé de but. Le club champenois tente le tout pour le tout histoire de ne pas revenir avec un point au vestiaire.
Mi-temps : C’est raté pour le Stade Anal de Reims qui préserve son anus inviolé malgré Roberge et Mavinga qui y mettent pourtant beaucoup de coeur.
45 : Interrogé à la pause, Mavinga s’explique : « On a à cœur de prendre les buts les uns après les autres. Voilà. Le groupe vit bien. Voilà. Et faut pas juste parler de ma prestation personnelle à moi, il faut aussi parler de toute l’équipe. On est un collectif et quand ça tourne bien comme ça, et ben voilà, c’est à tout le monde qu’on doit les féliciter. »
46 : N’Daw le félicite d’un gros tampon. Pectoral gauche en miettes.
50 : Le même N’Daw lance l’homme-bus dans son couloir. L’homme bus prend un dos d’âne comme un chef, et claque un centre d’orfèvre sa mère, en plein sur le visage vénézuélien de Juan Pinto Manuel Pedro Falcon pour le 1-0 qui va bien.
51 : Et comme désormais chacun sait, quand Metz mène à domicile, Sinsinf’ crie fort. Et quand Sinsinf’ crie fort, il en est fini de toute possibilité de survie de l’adversaire en question.
54 : Guido Milan gagne son duel en se grattant le dos.
55 : Jérémy Choplin gagne le sien en grattant le dos de Guido Milan.
56 : Gaëtan Courtet devient officiellement la petite salope de la charnière Milan-Choplin.
61 : Reims a encore une chance, Corine Vasseur décide donc de faire entrer Tacalfred.
66 : Mavinga est euphorique et tacle les trois pieds décollés, se blesse gravement si possible et prend son rouge. Un geste technique à montrer dans toutes les écoles de foot ouzbeks.
70 : Nouveau déboulé de l’homme-bus, nouveau centre centimétré et c’est cette fois Ahmed Kashi qui propulse une grosse tête de chauve en plein dans les filets. 2-0. Gaëtan Courtet demande à passer en levrette.
75 : Rigobert est fier de vous présenter Guirane N’Daw :
80 : Rigobert a une petite pensée pour Raymond Koprack, son homologue rémois actuellement dans le kop messin en train de sauter et de crier qu’il n’est pas non plus un Nancéien.
84 : Malouda apparaît, et choisit d’enflammer encore un peu plus le dancefloor.
88 : Rigobert a également une pensée pour Adolph Hitler, qui aurait sûrement aimé être là ce soir dans le kop messin avec Raymond Koprack, en train de sauter et de crier qu’il n’est pas non plus un Nancéien.
90 : Albaek en a plein le dos d’être nul et rentre aux vestiaires à son tour. Le Stade Anal finira donc la rencontre à 9, et avec un u11 dans les buts.
90 : Tout ce qui faut pour que Falcon, parfaitement servi par Malouda, puisse finir ce qu’il avait commencé et plante son premier doublé vénézuélien. 3-0
94 : Autant dire que là, Thierry Rolland peur re-mourir tranquille.
95 : Par contre, si vous cherchez Reims, c’est par là :
Fin. Monsieur Thual renvoie les blagues de Rigobert au vestiaire.
Notes :
Anthony M’Fastoche Mezui, 3/5 : Nouvelle sortie convaincante pour M’Fa, qui s’impose comme le véritable numéro 10 du FC Metz.
Romain Métanire, 3/5 : A l’aise Blaise le Métanire. L’homme qui court aussi vite que son ombre et qui peut faire des tours de ses adversaires juste pour s’amuser. Lui manque plus qu’un petit but pour que Rigobert se tatoue « Métanire » dans le dos.
GAËTAN BUSSMANNNNNNN, 5/5 : KESKIA ???!!!! LE BUS IL EST LA ! Deux passes décisives, quatre passes clés, une tête de caillou et un putain de match référence pour marquer de ses grosses empruntes Michelin son arrivée en Liguain. Et la liste de Didier tombe mercredi communsymbole.
Jérémy Choplin, 3/5 : Oui.
Guido Milan, 4/5 : Guido Milan a été sans merci face au petit cul d’un Gaëtan Courtet fort dépourvu quand la bifle fut venue. Et tout ça sans son Khalasar.
Ahmed Kashi, 5/5 : Kashi II, le Retour. Plus chauve et plus méchant que jamais, le seigneur des ténèbres du FC Metz pour est revenu en son antre de Saint Symphorien. Qui se leva, d’un seul homme musclé, lorsque d’une tête rageuse, il propulsa le ballon au fond pour son premier but en trois ans avec le maillot grenat. La belle histoire chauve du week end.
Guirane N’Daw, 4/5 : Encore une fois déterminant. N’Daw c’est 30 minutes pour mettre le match à son rythme ; 30 minutes pour montrer à tout le monde, arbitres y compris, qui c’est le patron sur le terrain, et 30 minutes sénatoriales pour distiller avec sa technique d’esthète noir des passes pas millimétrées, mais avec toujours dans un coin de sa tête rigolote, l’idée de verticaliser le jeu et de casser le peu de couilles qu’il reste à la défense adverse. Le grand patron du début de saison messin, c’est Guirane N’Daw. Point final.
Florent Malouda, 3/5 : Nouvelle montée en puissance du Guyanais qui démarre une nouvelle fois à pas de louveteau un peu gay pour finir en trombe, avec une technique et une justesse tactique à couper au couteau. Et le tout avec le sourire.
Kévin57@laposte.net, 2/5 : Comme d’habitude : quelques éclaircies de génie incompris pour trouer sporadiquement ce nuage crasseux d’emmêlements autour de lui-même.
Serguey Krivets, 3/5 : Le tueur à gage du FC Metz a encore époustouflé en première période. Une telle qualité technique n’avait plus été vue à Sinsinf’ depuis Russlan Pimenov. Très pro, le Sovièt’ éponge.
Diafra Sakho, 5/5 : Après Liverpool, Manchester. Bienvenue chez les Chtis anglais, plus cons et plus roux que les nôtres.
Juan Falcon, 4/5 : Falcon a plus couru contre Reims que Maïga depuis le début de la saison, entrainements y compris. Ça, multiplié par ses 2 buts de granttatakan vénézuélien = il est là le nouveau fleuron bronzé de l’attaque pimentée du FC Metz !
Des remplaçants :
Roi Bouna Sarr, Andrada, Doukoure : Dans le ton de la partie, soit 80 kilomètres à vol d’oiseau au dessus du niveau de Reims.
Le bonus :
Chris Mavinga, 5/5 : Rigobert en a vu des joueurs nuls à vomir, mais des comme toi !
A l’heure où l’on vous parle, l’Académie Rémoise est en préparation anale dans une cellule de dégrisement dans les locaux d’Horsjeu. N’hésitez pas à y jeter un œil quand ce sera l’heure. N’y allez pas trop fort non plus, ça pourrait faire but.
Rigobert Pirès.
Putain, elle est encore magique cette académie. L’image de Tacalfred est superbe.
On sent quand même que Biff t’as mis le frein : je t’ai presque trouvé gentil avec Nancy.
Putain, même avec Tony Kurbos vous auriez gagné ce match
Mon salaud, ça donnerait presque envie de voir Metz continuer à gagner