Notre Footballologue analyse PSG-OL (1-3)
In another land. Where the breeze and the trees and the flowers were blue.
En présence de Lévêque et du Graveleux, devant 44 000 représentants des 12 tribus d’Israël ou pas, l’Ordre de la Rosette livre bataille dans la guerre contre l’hérésie cathare. Récit.
Métempsychose…
Ame pure dans un suidé, Ancelotti plante son arbre de la nativité et célèbre Christ métempsychosé en Bodmer. A la lueur des Princes, 4231 se lit 4321 quand l’ex-lyonnais s’installe entre Jallet et Thiago Motta et laisse N²-Ménez tracer des droites jusqu’à Gameiro. Le Paris Saint Qatar repose donc sur un socle de 5 décoré de prothèses de gonades (Armand-Bisevac) et contre à domicile par deux « impacts players » (N²-Ménez) sous leur vigneron. Si les accélérations de K², les 430 points de QI tactique de Seedorf et la demi pointure décisive de Inzaghi firent la gloire de l’édifice, force est de constater que le deux voire troisième choix à disposition de l’entraîneur italien n’offre pas le même rendement. A la 18ème, Ménez place un pas de gigue et, d’une fausse-queue, fait valser les valseuses de Reveillère : corner, reprise de Thiago Motta, pseudo main de Umtiti, vrai penalty de N², 1-0. Ménez-N² dans l’axe, les couloirs sont dégagés pour Bisevac ou Armand mais les Parisiens n’exploitent la largeur qu’à de rares exceptions (43ème; 44ème) et s’en remettent à leur duo d’impacteurs. Las ! Aux crochets de l’un succèdent les chevauchées aveugles de l’autre et le mystère demeure lorsqu’il s’agit de savoir comment tant de qualités peuvent contenir si peu de football. Ni grand, ni costaud, pas même noir, seule une radio du poignet complice a pu inciter la formation française à « miser » sur Jérémy Ménez. Là où la macrocéphalie oblige les Catalans à lever la tête sous peine de tomber, l’impact player français n’utilise son petit poids qu’au démarrage et, de couleur, Blanc eut été plus inspiré de traiter « phrénologie » pour circoncire le mâle bleu.
Rosette et Taenia…
Humilié en terre orthodoxe, l’Ordre de la Rosette inquiète et le patriarche Aulas excommunie verts et hommes en noir. Courageux mais peu téméraire, Garde aligne son 442 mais en modifie les composants. Au profit de Grenier, Källström sort du socle et passe à gauche, Briand-Reveillère à droite, Gomis-Lisandro à l’avant, Gonalons-Cissokho-Umtiti-Lovren sur le terrain et Lloris au brassard défendent le dogme. En place et uniquement en place, tant seuls Briand et Lisandro font montre de mouvement, et Lyon n’a inquiété que ses supporters lorsque Källström trompe Douchez sur coup-franc: 1-1, 24ème. Adroit du gauche mais sans coup de reins, le Suédois excelle dans la dernière passe mais, incapable d’occuper le camp adverse, les Lyonnais n’en tirent que peu de profit. La médiane franchie, Briand en profite alors pour transverser jusqu’à l’ex-rennais qui sert Lisandro au second poteau: 1-2, 38ème. Bien serrés dans l’axe, les Lyonnais placent deux coups de Teeth pour un remake gay à base de Taenia. Jean Fernandez likes it.
Métensomatose…
Annonciateur d’un futur calendrier des Princes du Parcs et d’un maillot third « rose » by Audigier, l’hymne du Paris Saint Cathare défile sur fond de Go West et bientôt, venue d’Orient, une puissance arabo-gay s’invite au banquet des Nations et choque les civilisations. En attendant, Ancelotti place son troupeau sous la conduite de Pastore (pour Bisevac, 45ème) et les parisiens en profitent pour – enfin- utiliser la largeur. Jallet (50ème) puis Ménez (52ème) écartèlent la rosette gone qui ne dilate et suidé consent à plus de puissance (sortie de Bodmer pour Mautidi, 53ème.) Centre de Armand (59ème), échec de Pastore face à Lloris (61ème), débordement de Ménez (63ème), entrée de Hoarau (pour Gameiro, 69ème) n’y font rien tandis qu’au tréfonds la bête sommeille. 66ème, Reveillère intercepte, ouvre pour Gomis qui centre pour Lisandro… hors cadre. Le taenia manque la cible mais consolide sa demeure avec les entrées de Dabo, Bastos et Koné (pour Lisando, Grenier, Briand) et pointe à nouveau le bout de sa queue pour un penalty: 1-3, Gomis, 90ème. Dans la croisade contre les hérétiques, l’ordre de la Rosette remporte une première bataille tandis que la chute des maisons héraultaise et phocéenne ouvre la voie vers la sainte coupelle.
Notre Footballologue.
ça serait bien pour Lyon une petite coupette :-D
Moi qui croyais que c’était de la faute à Turpin. On m’aurait menti ?
l’OL a pas vu le jour en deuxieme mi temps.
Alex coute la qualif à Paris par son placement dégueulasse.
Du rêve.