Valenciennes – Montpellier (1-1) : La Paillade Académie ivre ses notes
Alexandre Castro est une salope
Dans ton cul l’arbitre, la conspiration des juifs et des francs-maçons.
Les notes :
Jourdren (3/5) : tellement con qu’il y croit jusqu’au bout et continue d’arrêter les ballons. Et finalement on égalise. Bénis soient les simples d’esprit.
Deplagne (0/5) : rien à foutre du deltaplane, c’est pour les pédés. Et puis ça prend des courants d’air, c’est léger comme une plume et c’est pas capable de faire une passe. En revanche je ne le blâme pas pour le carton rouge, sachant qu’il y avait jaune tout au plus.
Congré (2/5) : le naturel fait tout pour revenir au galop et il faut des efforts surhumains à Daniel pour le tenir par la bride. Exemple : quand il perd le ballon en position de dernier défenseur, à trente mètres des buts, alors la bride a glissé des mains de Daniel.
El Kaoutari (3/5) : il se coiffe comme Callejon mais ça ne fait pas de lui un homosexuel; ce serait pas franchement haram remarquez.
Jebbour (0/5) : y a progrès au niveau des cartons mais c’est tout. Va donc, je te hais grosse merde.
Saihi (2/5) : aussi utile que Valérie Fourneyron en première période, il a mis un peu plus d’agressivité en deuxième, tant mieux.
Stambouli (4/5) : pas mal le pin’s sur la cravate.
Sanson (4/5) : il est précieux dans la récupération comme dans la construction du jeu, il se dépense sans compter et n’hésite pas à prendre ses responsabilités quitte à faire de la merde. Et cela est d’autant plus appréciable qu’il a 14 ans et fait des graffitis au blanco sur son sac Eastpak.
Cabella (3/5) : beaucoup d’envie mais trop bourré pour fourrer sa quéquette molle. Je sais je suis un poète.
Camara (2/5) : le triptyque « guitare – couscous – djembé » ne serait rien sans le djembé. Non je déconne.
Montaño (0/5) : zéro plus zéro, la tête à Totor Hugo. Complètement gauche, il n’a pas renié ses origines d’esclave empoté qui fracassait les bibelots de missa.
Les remplaçants :
Mounier : eh la choucroute, si tu veux une saucisse…
Bakar : eh la guenon, si tu veux une banane…
La bise méridionale, Loulou