Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes en avant, nous créons pour vous,  un face à face unique en son genre, le onze contre onze.

C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences d’avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent),  les gros membres choisissent chaque semaine les meilleures et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.

Le Onze Anal est un bon cru cette semaine. Afin de parfaire une équipe déjà rodée aux pires traumatismes, c’est Javier Clemente que nous saluons sur le banc, mettant en exergue un fabuleux 4-3-1-2 avec beaucoup de puissance et de monstruosité physique au service de rien. Si Javier parvient à former un Onze Anal correct, il les pousse à un attentisme incertain, et surtout, se retrouve à nouveau avec Maicon déprimé face à Bale.

Mandanda, OM (3/5): a joué gardien de but. « Le gardien de but est un poste occupé par un joueur spécifique dans différents sports collectifs, chargé de garder son but inviolé, c’est-à-dire de faire en sorte que le ballon, la balle ou le palet (selon le sport) ne franchisse pas la ligne de but. » Parfois, une barre peut sauver le joueur sur la seule vraie occasion slovaque.

Anita, Ajax (1) : Se faire déborder par Roy Contout, c’est dur à digérer en plus d’être incompréhensible – Et dire qu’il n’arrête pas de se toucher sur lui, bien pour ça qu’on ne met pas 0 à son Anita vu ce qu’il a montré ce soir. Remplacé par Sulejmani avant l’heure de jeu qui n’a guère plus apporté.

Pavon, Arles-Avignon (1/5) : doit travailler sa vitesse pour mieux trouver un club en deuxième division espagnole l’année prochaine

Lucio, Inter: 1/5 Complètement mangé dans les duels aériens par Crouch, en vitesse par Bale, et dans les duels au sol par Van Der Vaart.

Maicon, Inter : 1/5 (flot d’insultes indéchiffrable)… Ridiculisé touuuuuuuuuuuuuut le match par Bale, et incapable de faire quoique ce soit de bon dans les transmissions. On parle d’un échange avec Azpilicueta, qui lui, au moins, réussi ses touches.

Ndiaye, Arles-Avignon (0/5) : Oh… Mon… Dieu…

Traoré 0/5, Monaco: Djimi avait peur de devoir jouer sur un terrain détrempé, il a donc gardé ses palmes. Pas très pratique pour courir. Il est un des plus vieux du groupe et montre l’exemple en étant solidaire avec ses coéquipiers, manque de bol c’est tombé sur Adriano et ses 2 csc…

Marveaux, Montepellier (1)
: Le maillon faible, sans contestation possible. Le 17 novembre sort au cinéma « le village des ombres » : Joris bientôt à Hollywood?

Pjanic, Lyon : 1/5. Quand le brouillon ne sert à rien, entre coup franc raté, distribution foireuse, impact défensif nul quand il n’y a pas de fautes stupides. Non, il n’est pas responsable de tous les malheurs lyonnais, il a aussi le désavantage de disparaître quand les Portugais laissent filer le match qu’ils ont gagné. Il a aussi récolté une biscotte plus que débile, préférant tirer un maillot que courir se replacer…

Diawara, Arles-Avignon (1/5) :  a quelque chose d’Inzaghi. Sa facilité à se retrouver hors jeu. Comme un symbole.

Hoarau, PSG : (1/5) c’est le test de Rorschach humanisé: une espèce de grande tâche ! On ne sait même plus si c’est juste un manque de confiance, ou un manque de talent. Une fois de plus, il a gâché énormément, notamment cette tête sur le bois. La vérité, ça fait de la peine de le voir comme ça, à se prendre la tête sur le banc. Les Bleus s’éloignent définitivement…

Les remplaçants de luxe :

Konchesky, Liverpool : 1/5 On pourra vraiment jamais avoir deux latéraux potables alignés en même temps cette année! Quand c’est pas Johnson, Konchy nous gratifie d’une pitoyable performance (un hommage peut-être). Lent sur le porteur du ballon, lent sur le marquage, lent pour se replacer sur le hors-jeu, même lorsqu’il a voulu faire un attentat sur son ailier, il a découpé dans le vide, celui-ci étant bien loin déjà…

Biabiany, Inter : 1/5 Comment peut-on ne pas passer une seule fois Assou-Ekoto ? Comment peut-on ne pas aider Maicon à genou face à Gareth Bale tout le match ? Remplacé à la 64ème par Coutinho, qui a apporté de la qualité technique et de la conservation du ballon quand il fallait.

Brandao, OM (non noté): a réalisé un exploit : ne pas marquer contre Zilina. Chapeau l’autiste !

Retrouvez ici leurs adversaires du onze mondial qui les pulvériseront comme un spray sur un prout.

Pour les plaintes, voyez directement avec nos académiciens, ici.

6 thoughts on “Le Onze Anal

  1. Le gars qui à fait, non, qui à inventé ces commentaires tellement originaux, à ommit une chose, de se mettre dans l’épique byte anal.

  2. Bizarre, un gardien qui prend zéro but pour le 11 anal…
    Sinon le 11 mix de Arles Avignon + Inter, ça fait classe.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.