Cagliari-Napoli (0-1) : L’Accademia Piemontese livre ses notes
Ne te retourne pas Juve, ils sont juste derrières
En ce jour du 27 novembre 2012, Mangiacaca et Fistoculo font l’hélicoptère avec leurs phallus tout frippés : Naples est deuxième du championnat ! Pour résumer le match des Napolitains cette citation de Seth Gueko : « Haut les mains peau d’catin ça fait zblix zblax zblex, j’suis pas venu faire un câlin ou de qui quoi qu’est-ce ? Pour les espèces et les histoires d’sexe, j’ai la bouche qui s’ouvre comme un tiroir caisse ».
Titolari :
De Sanctis (3/5) : Beaucoup de présence sur les nombreux centres réalisés par les joueurs de Cagliari, et des prises de balles très sûres. Une frayeur tout de même en première période, quand Morgan glisse après avoir dégagé le ballon, et manque de se faire lober.
Gamberini (3/5) : Titulaire axe droit cette fois, Alessandro fait un match dans la continuité de ces dernières semaines : beaucoup d’application, peu d’erreurs et de prises de risques. Exceptée cette intervention plus que limite en première période, qui aurait pu coûter un penalty.
Cannavaro (4/5) : Très sollicité lui aussi, alors que Cagliari a dominé l’ensemble de la partie, le capitano a été impeccable dans ses interventions. Ce n’est pas seulement à cause de leur maladresse que les Sardes ont été inefficaces dans leurs tentatives de centres.
Britos (4/5) : Lui aussi a été assez intraitable, dans les duels à la tête notamment. Peut-être encore plus sollicité que les autres puisque l’équipe de Cagliari penchait sensiblement à droite, comme un symbole du sexe de Mangiacaca, fatigué par les ébats sexuels à outrance.
Maggio (2/5) : Maggio, c’est fini, chante Hervé Villard l’homosexuel notoire. L’endurance n’y est plus, la capacité d’accélérer non plus, et Christian paraît de plus en plus nerveux à se frictionner toujours avec Tartempion et Boulepinette.
Behrami (4/5) : Le milieu de terrain dans son ensemble a souffert de l’impact insufflé par Conti – le Pirlo de Cagliari – et Nainggolan, mais encore une fois Valon est sorti du lot, avec une omniprésence intacte dans la récupération comme dans la relance.
Inler (2/5) : Avec des gardes suisses comme celui-là, Benoît XVI pourrait commencer de se chier dessus. Comment ça trop tard ? Décidément, il y aurait des choses à dire sur l’incontinence et le Vatican ; pas besoin d’aller chercher les Illuminati pour trouver un sujet passionnant.
Zuniga (3/5) : Tu connais le point Godwin quand Zuniga fait un match moyen ? Évoquer l’éventualité de son remplacement par Dossena. Ça marche à tous les coups, 100% garanti !
Dzemaili (2/5) : En l’absence de Cavani et Pandev, Mazzarri a fait du bricolage tant et si bien que Dzemaili se trouvait – a priori – au poste de trequartista. Or Dzemaili est un joueur correct à la récupération mais souvent très moyen dans la transmission, exception faite de cette passe en profondeur pour Cavani contre Dnipro (le match au San Paolo, qui s’était soldé sur le score de 4-2).
Hamsik (4/5) : Une partie délicate pour Marek, mais cette fois il fut clutch, tueur, assassin d’enfants à mains nues. On a tellement râlé après ses ratés contre le Torino et le Milan, qu’on serait bien ingrats de pas lui mettre 4/5 maintenant.
Insigne (4/5) : Principal danger pour la défense sarde sur l’ensemble de la partie, Lorenzo a toujours cette capacité d’être dangereux dans les plus petits périmètres. En témoignent son excellent travail sur le but de Hamsik, mais aussi cet enchaînement dribble et frappe enveloppée sur le poteau, en première période.
Sostituzioni :
Mesto : Finalement, pourquoi pas lui confier le couloir droit d’entrée de jeu, en lieu et place de Maggio ? Au moins l’utiliser pour faire tourner.
Vargas : On est toujours pas emballés…
Dossena : Il est barbu comme une chatte, mais il joue comme une quéquette.
Baci a tutti,
Mangiacaca et Fistoculo
Maggio je le reconnais plus !
Par contre la saison va etre trèèèèèèès longue si Mazzri fait pas plus tourner. Bon il a pas trop le choix mais bon