Salut les tapettes, aujourd’hui c’est un déplacement périlleux chez ces ordures d’ukrainiens dont il est question. Si à l’aller ils avaient été maîtres dans l’art des coups bas, des putasseries et également dans la violence (Benjamin Angoua était remplaçant, ndlr) ils comptent bien affirmer leur réputation de peuple sans âme qui a toujours obtenu ce qu’il a par la guerre, le vol et l’empoisonnement.
Ce sous-club de merde parle depuis une semaine de punir les guingampais, de vengeance après le match aller. Mais se venger de quoi têtes de noeuds? C’est qui qui a aligné onze mecs plus chargés qu’Amy Winehouse un soir de réveillon ? Oui on est pas crédules.
Gast, ça me fout en l’air ces provocations gratuites. Je vous souhaite une élimination douloureuse. Mécréants.
De leur côté, les paisibles guingampais continuent leur route vers les sommets, malgré leur déroute de ce week-end qui a permis de voir les limites collectives et que Geoffrey Jourdren est une salope de petite vertue. Profitons de ce voyage pour récupérer le Mont-Saint-Michel de Kiev étant donné que les Normands ne veulent pas nous rendre celui de Bretagne.

Le Mont-Saint-Michel vu d’Ukraine.

Pour cela Gourvennec a concocté le onze suivant :

Lössl dans les bois,
Lévêque-Sorbon-Angoua-Jacobsen cueillir des cerises,
Giresse-Sankharé-Mathis-Pied dans mon panier neuf,
Mandanne-Beauvue elles seront toutes rouges.

la bataille

La bonne ambiance est annoncée dès la première minute avec Rybalka qui souhaite montrer ses nouvelles chaussures à Christophe Mandanne.

DIS TOTO, ELLES SONT JOLIES ????????????

Le football est d’ores et déjà accessoire, l’heure est à l’intimidation. Bien joué mongole, tu prendras quand même un jaune pour la forme. D’autres s’indignent et réclament le rouge, pour ma part je réclame le goulag et je t’invite à prendre de mes nouvelles par cette académie Rybalka, je te ferai découvrir ma cave. Tu vas y découvrir la promiscuité ambiante qui y réside entre un anus et ma verge, ramasse-merdes.

Petit à petit, l’ambiance et l’alcool aidant, je commence à comprendre que nous avons à faire à cheval à un peuple de sous-hommes pas très regardant sur l’hygiène qu’il faudrait éradiquer pour vivre dans un monde de paix.

10 minutes plus tard Le fair-play est à nouveau mis en avant lorsque Germaine Lens remarque qu’une mine antipersonelle de l’union soviétique est nichée dans la pelouse. Il intervient à temps pour sauver Sorbon qui s’apprêtait à marcher dessus.

Noooooooooooooooooooooooooooooo.

Seulement s’il est vrai que l’engagement est excessif de la part des communistes, il n’est pas moins vrai que la domination des locaux est totale et que les Guingampais peinent à exister. La sanction arrive à la demi-heure de jeu quand Teodorczyck prend le meilleur sur Beauvue et reprend victorieusement un corner de Gusev. Kiev 1-0 EAG.
Pour voir une réaction Guingampaise qui vaut vraiment son pesant de cacahuètes, il faut attendre la 40 ème minute avec Jacobsen qui conduit son ballon sur sa droite et qui lance Pied. Le Guingampais adresse un centre au second que Giresse reprend de la tête mais Shovkovski est bien placé.

Mi-temps : les Guingampais sont menés logiquement mais il reste encore 45 minutes pour marquer et arracher une qualification.

Sauf qu’à la reprise les Guingampais vont se faire envahir plus rapidement que la Pologne.
En moins d’une minute, Kiev double la marque sur une belle reprise de Buialsky, qui n’est pas un joueur que je viens d’inventer. Kiev 2-0 EAG.

Nouvelle alerte à l’heure de jeu avec Lens qui part en slalom suite à une perte de balle de Mathis. Il élimine Sorbon avant de prendre sa chance du gauche, heureusement ce n’est pas cadré.

Mais l’espoir renaît à la 66ème puisque Toto reprend une frappe de Giresse et la fout au fond. Il reprend alors qu’il est hors-jeu, pour mieux leur faire la nique profonde. Je saute, cours partout dans mon salon, je suis léger, je fais des bulles tellement mon bonheur est immense. Kiev 2-1 EAG.

La Paysan Breton Académie faisant des bulles de joie, instant rare.

Espoir de courte durée, puisqu’à peine 10 minutes plus tard, Angoua déséquilibre l’aut’ grande tige de Teodorczyck dans la surface. Peno transformé par l’immonde Gusev. Kiev 3-1 EAG.

Dans la foulée du but, une partie des ultras ukrainiens parvient à s’extirper de la tribune malgré la grosse vigilence de la sécurité pour… ? Bah pour quoi ? On ne sait pas, s’ils se sont approchés du parcage Guingampais il ne s’en sont pris qu’aux stadiers pendant que la sécurité retirait les bâches et que le parcage était évacué par l’armée. Les 9 minutes de la bonne ambiance sont visible ici et ici. Les Ukrainiens parlent d’un drapeau provoquant de la part des Guingampais, ce qui a été démenti par les intéressés. Ils avaient bien justifié le tabassage de dizaines de stéphanois pour un soi-disant drapeau ukrainien brûlé. Les cons ça ose tout. Je me demande bien ce qu’il se serait passé en cas de second but guingampais. Allez rasez-moi ce pays et faites-en un parking.

Lors de la reprise du match, Le miracle n’aura pas lieu malgré une dernière tête de Mandanne maitrisée par Shovkovski dans les derniers instants.

Dans les dernières secondes du match on voit Angoua s’énerver contre Teodorczyck sans que je comprenne les raisons dans un premier temps.
Et puis en cherchant, en scrutant on aperçoit ce vil suceur de gros routiers provoquer Angoua au coup de sifflet final en venant coller sa grosse gueule de kéké tuning de l’est devant lui. À la gauche du gif c’est ce petit être qui écarte les bras et qui invective Benjamin avec de grands gestes.

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Je vais te retrouver Éléonoreczyck, et je vais te sodomiser sans sommation et sans préliminaire. Je vais tellement t’enculer que tu auras des diarrhées sanglantes pendant 15 jours, sale pute. Et là on verra si tu ouvriras toujours autant ta grande gamelle.

Angoua viendra lui glisser un :

 – Hey! hey! Écoute-moi, Tagrenmer va te refaire le fion, ok ?

Branleur, reprends ton numéro 91 de joueur moyen de futsal et retourne peindre avec les débiles mentaux.

Ma déception est grande, dans l’euphorie de la défaite je traque et assomme une prostipute ukrainienne, pour l’emmener dans ma cave lui susurrer à grands coups de gourdin à quel point j’admire son pays de grosses salopes finies à la pisse.


Alors, ils ont des chapeaux ronds les bretons grosse chienne borgne ?

Putain désolé c’est pas comme ça que ça devait se passer, l’histoire aurait dû être parfaite avec un coup de casque de Moustapha Diallo à la dernière minute.
Cette défaite n’est pas dramatique il n’y a pas de quoi écouter du Phil Collins en petite culotte en mangeant des colins de l’Alaska. C’est une élimination logique tant il y avait des manques sur chacune de nos lignes, Guingamp n’est pas armé pour ce genre de rencontre. Laissons la Russie envahir ce pays en guise de représailles ça sera suffisant. Si vous avez besoin de mes services pour violer leur enfant n’hésitez pas : gwentagrenmer@gmail.com.

Les paysans notés :

Lössl (2/5) : Il n’a pas fait de miracle, et c’est bien dommage. S’il a été bon dans la première demi-heure en repoussant les assauts ukrainiens, il a été sans réaction sur les 2 premiers buts.

Lévêque (3/5) : Actif sur son côté, il n’a pas hésité à prendre son couloir. Défensivement il a tenu la route et a même sauvé son équipe en début de rencontre en contrant une frappe devant son but.

Sorbon (3/5) : C’est le central le plus régulier cette saison et si on a longtemps cru à l’exploit c’est grâce au bon travail de Jérémy tout au long du match. Anticipation, interception, protection de balle, tout y était.

Angoua (2/5) : Moins tranchant dans ses interventions, il est un peu moins violent en ce moment et se laisse marcher dessus. Il est temps qu’on lui rende ses couilles qui ont fait ce joueur si monstrueux il y a quelques semaines. Sur l’action du peno, s’il l’arrache avant la surface y’a pas de danger, coup franc et on s’en sort de là. Allez putain refait moi voir du muscle, des larmes, du sang.

Jacobsen (2/5) : Un peu absent des débats sur certaines phases défensives, il a eu la manie de défendre en reculant et en tournant le dos au porteur par moment.

Sankharé (1/5) : Faut pas se voiler la face, l’équipe est dépendante de sa forme. Il est très rare de voir une victoire guingampaise sans un gros match de Younousse. Et la réciproque est vraie. À côté de ses pompes il n’a pas beaucoup orienté le jeu et ne s’est pas fait violence en situation défensive. Noyé.

Mathis (2/5) : L’ombre de lui-même, c’était pas sa guerre.

Giresse (3/5) : Il a tout donné sur son côté, il a été au charbon pour centrer, pour venir verrouiller avec Lévêque le couloir et même pour coller des têtes dans la surface. L’égalisation vient d’une de ses frappes.

Pied (3/5) : Remuant, il a multiplié les centres. Sans succès .

Mandanne (3/5) : Opportuniste, sa grosse activité a été récompensée par un but.

Beauvue (2/5) : Il a raté, malgré les situations qui se sont présentées à lui.

Les paysans qui épluchaient les patates :

Diallo : Il a apporté de la présence athlétique dans les zones de vérités et a fait mieux qu’un Mathis hors du coup.

Yatabaré : Il a beaucoup bossé sur son côté pour amener les ballons dans la surface adverse. Du déchet dans son jeu, mais il retrouve petit à petit le niveau de jeu affiché avant la CAN.

Gwen Tagrenmer

9 thoughts on “Kiev – Guingamp (3-1), la Paysan Breton Académie livre ses notes

  1. Physiquement, les Ukrainiens faisaient une taille d’épaule de plus que les frêles Guingampais. On comprend que Brandao ce soit épanoui dans ce championnat. Et puis ce temps… pire qu’en Bretagne. Félicitations aux courageux qui ont fait le déplacement et tout particulièrement à ce Thomas Jacques torse nu sur le but de Mandanne.

  2. Prochain tour : Everton-Kiev. On parie combien que ça faire mal le retour en Ukraine ? Sauf que les Anglais se déplaceront pas à 30.

    Dommage pour Guingamp, mais même si Kiev a largement dominé le match, qu’est-ce qu’il se serait passé si l’autre trou du cul avait pris un rouge pour sa semelle ? Et grâce à toi, je suis en train d’énormément apprécier Angoua : sa réaction à la fin du match est parfaite.

  3. Un bon match de merde, dans le froid, interrompu par des sups trisomiques, hâché, … Guinguamp n’a pas pu imposer son jeu; ce n’est pas passé loin non plus, le péno était très évitable, et Beauvue aurait peut-être pu remettre dans l’axe sur sa tête manquée à la fin (il me semble qu’un Guinguampais était seul au point de péno). Très belle épopée européenne malgré tout!

  4. Ils sont très bien ces gifs, ça manque peut-être un peu de poney pour Fernando, mais dans l’ensemble ça va.

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