Monaco-Montpellier (1-2) : La Paillade Académie ne joue qu’un quart d’heure

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Dauphins mon frère

25 ans que nous n’avions plus gagné à Louis II, les records ne cessent de tomber pour DerZak.

 

 

 

Se targuer d’avoir fait quelque chose d’abouti ne serait que pique téméraire. Et ce n’est pas le genre de la maison, vous savez. Mais que voulez-vous, il y avait en face de la peur, celle qui vous rétracte toutes les griffes que vous forçâtes si ardemment à sortir, et au final, vous vous la prenez à l’envers.

Dommage pour eux, tant mieux pour nous. Le malheur des uns…
Il n’y a pas grand-chose d’autre à dire sur ce match où on s’est ennuyé ferme jusqu’à ce que la chair de poule fasse faire les pires erreurs aux princiers coincés.
Viennent ensuite quelques considérations. PUTAING ON EST DEUXIÈME EH COMPÈRE. Voilà. Juste ce petit cri qui remplace doucement les saccades respiratoires, rien de bien méchant. De bien durable, peut-être ? Car s’avancent deux échéances féroces, d’abord ceux juste derrière, puis ceux loin devant. En l’espace de 5 jours, la superbe sera probablement ravalée à grands coups de sanglots tant bien que mal déguisés en philosophie de la vie.

Franchissons le Rubicon et advienne que pourra.

Les notes :

Lecomte (3/5) : toujours et toujours et encore toujours impeccable.

Aguilar (3/5) : allure de jeune chien fou mais tête bien faite de sénateur.

Mendes (3/5) : garde du corps même à la fin du verre.

Hilton (3/5) : fébrile en l’absence de premier rideau digne de ce nom, gardant tout de même un pied pour sauver les meubles, même bancals.

Congré (3/5) : président normal.

Oyongo (2/5) : vouloir passer en force quand on le sait si fin d’habitude, la nature doit reprendre ses droits.

Skhiri (2/5) : ses sautes de concentration et ses erreurs techniques m’inquiètent.

Le Tallec (2/5) : a séché le cours d’origami et oublie les replis.

Mollet (3/5) : un peu plus de créativité serait un plus.

Delort (3/5) : la médaille du jamais ne démérite.

Laborde (3/5) : comme une claque en hiver, ça vient subitement et ça réchauffe.

Entrés en jeu :

Sambia sent bien les coups.
Piriz a un grain.
Mais surtout, quel pétard, Skuletic !

 

Le bisou vigneron,
Marcelin Albert.

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