Monaco-Montpellier (1-2) : La Paillade Académie ne joue qu’un quart d’heure
Dauphins mon frère

Se targuer d’avoir fait quelque chose d’abouti ne serait que pique téméraire. Et ce n’est pas le genre de la maison, vous savez. Mais que voulez-vous, il y avait en face de la peur, celle qui vous rétracte toutes les griffes que vous forçâtes si ardemment à sortir, et au final, vous vous la prenez à l’envers.
Franchissons le Rubicon et advienne que pourra.
Les notes :
Lecomte (3/5) : toujours et toujours et encore toujours impeccable.
Aguilar (3/5) : allure de jeune chien fou mais tête bien faite de sénateur.
Mendes (3/5) : garde du corps même à la fin du verre.
Hilton (3/5) : fébrile en l’absence de premier rideau digne de ce nom, gardant tout de même un pied pour sauver les meubles, même bancals.
Congré (3/5) : président normal.
Oyongo (2/5) : vouloir passer en force quand on le sait si fin d’habitude, la nature doit reprendre ses droits.
Skhiri (2/5) : ses sautes de concentration et ses erreurs techniques m’inquiètent.
Le Tallec (2/5) : a séché le cours d’origami et oublie les replis.
Mollet (3/5) : un peu plus de créativité serait un plus.
Delort (3/5) : la médaille du jamais ne démérite.
Laborde (3/5) : comme une claque en hiver, ça vient subitement et ça réchauffe.
Entrés en jeu :
Sambia sent bien les coups.
Piriz a un grain.
Mais surtout, quel pétard, Skuletic !