Montpellier-Troyes (3-2) : La Paillade Académie reprend les voitures

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Tu parais si fragile sous ton drôle de capot

On court vers le perron. Il y a des pas qui ne trompent personne. Ceux-là s’accélèrent, frappent le sol, composent une toccata pressée. Tatata, tatata, tatata. Le rythme prend jusque dans le ciment des fondations.

Mais que veulent-ils dire, ces pas ? Pour qui joue cette mélopée ? On entend à l’intérieur des sons étouffés, une clameur en sourdine. Une porte s’ouvre. Tatata, tatata, tatata. Rencontre entre les pas et la clameur. Et puis, et puis, l’harmonie. Tout se rejoint, tout fait corps, une seule mélodie pour toute musique.

Nous y sommes. La fenêtre des possibles va s’ouvrir. Le vent de l’espoir se lève, le courant des désillusions n’est pas loin, patient terrible.

Il y aura : une longue pause imbécile à l’hiver ; un couperet sans appel pour quatre ; des larmes ; un peu de joie ; du pastaga ; des chants ; des troubadours ; du pastaga ; de la littérature ; des tambours.

Et du pastaga.


Le onze qui démarre

Omlin (3/5) : Il en prend 2 mais en retient 200. Ça fait combien ?

Tchato (2/5) : Pour la gloire du père, on repassera bientôt.

Sacko (2/5) : Dupond.

Sakho (2/5) : Dupont.

Sainte-Luce (3/5) : Martyr sans trop souffrir.

Savanier (34/5) : Pietitas de plata.

Chotard (3/5) : Vieille avant-garde.

Maouassa (3/5) : Fait tout et le fait bien.

Khazri (3/5) : L’esprit et le pied de la lettre.

Mavididi (2/5) : Claqué au sol.


Ceux du cours de route

Makouana : Blessed.

Leroy : Quid de l’oiseau ?

Cozza : Central décalé (à son insu).

Estève : C’est la saison.

Souquet : Barré.



Le bisou vigneron,
Marcelin.

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