Pachuca – Impact Montréal (2-2) : L’Impact Académie revient très fort

4

Salut les Hibernati,

Ça y est, vous êtes sortis de votre torpeur hiveranale et prêts pour la nouvelle saison qui arrive ? Ça tombe bien, moi aussi. Certes, l’intersaison fut chargée côté montréalais et une Académie de présentation des petits nouveaux n’aurait pas été de trop. Sauf que j’ai estimé que ça allait être carrément chiant à écrire, puis à lire pour vous, j’ai donc décidé de m’en passer et préféré rester au chaud dans les p’tits culs de mon Havre de Paix céleste. Bon, du coup, j’ai dû refaire quelques colonnades parce que j’y ai tout pété. Du moment que les Portugais que j’ai engagés à bas coup me refont ça correctement d’ici cette été, on sera bien.

Alors oui, ça démarre fort cette année, comme si ton dépucelage était réalisé par la maman d’un de tes amis, assurément une femme d’expérience. Chez nous, la MILF en question est mexicaine. Elle a donc la mistouille qui sent le guacamole mais, honnêtement, quand t’as rien tâté depuis fin octobre, tu ne fais pas le difficile. Pachuca qu’elle s’appelle la gueuse. Si ça c’est pas un nom de trainée. Pour un quart de finale de Ligue des champions, autant dire qu’elle impressionne la grosse. Surtout qu’on est un peu rouillé, avec trois pauvres matches de préparation à l’arrache et les trois quarts de l’équipe qui changent.

Quelques départs à déplorer, mais pour faire un bilan, on a viré les busards et pris des bons gars (sauf Oyongo qui fait chier).

Après donc 3 semaines de préparation au Mexique, pour s’acclimater toussa toussa. Les gars ont pris la direction de Pachuca, une ville qu’elle est toute pourrie selon nos informateurs sur le terrain. C’est bien la peine d’aller au Mexique pour ça, autant se pointer directement à Ciudad Juarez et dire qu’on veut reprendre en main le trafic de narco.

Bernier, Piatti et Ciman débarquent à l’Estadio (Michel) Hidalgo.

Ceci dit, à nouvelle saison, nouvelle mise en page : l’alignement en première intention, le résumé rapide du match en prenant les espaces, puis les notes des joueurs dans la profondeur.

Alignement

Un alignement qui n’a plus grand chose à voir avec celui de l’an passé.

Onze joueurs. Sept nouveaux. Du rescapés (Bush, Mapp, Duka…), du recrutés (Ciman…), du repêchés (NRC, Toia…), du prêté (Cabrera), du génie (Piatti)… Bref, une équipe toute refaite comme une star du porno, mais attirante comme une beauté naturelle. De quoi aller chercher un bon résultat chez une équipe qui a déjà bien entamé sa saison, et qui joue à 2400 mètres d’altitude qui plus est. Rappelons que jouer trop au-dessus ou trop en-dessous du niveau de la mer est signe de lâcheté.

Le Matchauricio

-5′ : Je me rends compte, trop tard, qu’il ne fallait pas boire autant de jus d’orange pour tenir jusqu’au début du match. J’aurais dû préférer le café. Là, je ne peux même pas en lâcher une petite sans risquer de repeindre le canapé. Mon estomac gargouille, c’est plutôt mauvais signe.

2′ : Laurent Ciman a décidé de poser ces énormes testicules d’entrée sur l’Hidalgo. Le Belge sort une première situation chaude et tente de s’imposer directement dans nos coeurs, comme Pachuca voulait le faire dans nos foufounes.

6′ : Bon, les narcos contrôlent la péninsule. J’ai du mal à croire qu’on puisse courir comme ça en altitude sans avoir mâché de la coca toute l’après-midi. Les gars sont camés jusqu’au trou d’balle, c’est plutôt clair. Ça penche à gauche côté mexicain et Cabrera en chie sévèrement.

8′ : Ceci dit, le nouveau venu de River nous offre une première chance d’une mi-molle tête sur corner. Après n’avoir marqué aucun but sur phase arrêtée en 2014, c’eut été rigolo d’un mettre un sur le premier corner de la saison.

10′ : Ça attaque de tous les côtés comme dans un club où il y a beaucoup trop d’hommes pour le nombre de femmes open. Je commence à apprécier la chaise percée récupérée de chez ma grand-mère.

14′ : Dilly Duka tente de tromper son monde en effectuant une fausse touche. Mais Monsieur Pitti, l’arbitre panaméen, ne l’a pas vu. C’est plus ce que c’était les oracles.

22′ : De son côté, Bush salit mon caleçon pour la première fois en manquant son contrôle sur un ballon mort. Du coup, Ciman ne lui fera plus aucune passe en retrait cadrée. Pas con. Cette action s’est produite beaucoup trop près de notre ligne de but pour que je contrôle mes sphincters.

25′ : DILLY DUKA, LE BUT IL AIME ÇA ! Ouverture du score jouissive de l’ancien Chicagogo-dancer. Alors que l’Impact bénéficiait du coup de mou des Mexicains, leur permettant de mieux contrôler le match, Duka, parti de la gauche, est relayé par Toia qui lui remet. Dilly repique alors dans l’axe et croise une frappe ratée, en bout de course, qui rebondit, mais qui finit par mourir au ras du poteau de Perez. Seconde d’incompréhension dans mon cerveau… Ouais putain, on a bien marqué. 0-1 Montréal.

27′ : Duka a réussi à vexer les Tuzos, qui sonnent la charge. Et ouais, quand tu te rends compte que le gars avec qui t’as couché n’est pas censé jouer dans ta catégorie, tu te précipites pour relever le niveau. Bande de catins. Mais la précipitation est mère de tous les échecs… Frappe contrée, frappe déviée, frappe à côté… Tu ne nous auras pas, vilaine.

36′ : Laurent Ciman. Puissance, anticipation, placement, intervention millimétrée… Notre nouvelle tour de contrôle dégoûte les Chicanos avec son compère Soumaré, et nous régale.

Laurent Ciman s’amusant des attaquants mexicains.

40′ : MAIS QUI ES-TU DILLY DUKA ! La demie volée magistrale du Montréalais au second poteau est sortie d’un réflexe par Perez. Quoi qu’il en soit, le tradé de l’an passé est dans une forme olympique. En soirée, c’est toujours lui qui repart avec la bombasse, alors qu’il est loin d’être le plus beau.

Mi-temps : Grosse grosse première demie, on subit avec sérieux et on contre avec intelligence. Pour le moment, ça va au-delà de mes rêves les plus fous. Même celui où je faisais des choses à Miss Mexique dans les tribunes alors que l’Impact perdait 2-1.

Les stats à la mi-temps. On se promène.

51′ : Contre-attaque parfait du Bleu Blanc Noir, conclue par une frappe de Mapp… vraiment trop molle. Allégorie de l’action.

55′ : Oh putain, oh putain, oh putain ! Duka marque le deuxième but de l’Impact au terme d’un nouveau contre. Mapp s’infiltre superbement depuis la droite et repique dans l’axe mais, n’ayant pas encore résolu ses problèmes d’érection, envoie une frappe repoussée par le gardien mexicain… dans les pieds de Dilly qui n’a plus qu’à conclure. 0-2 Impact. Je suis à deux rotations d’hélicobite de décoller dans le salon, mais il reste trop de temps pour que je me fasse avoir comme un bleu de la sorte.

BONUS : Mention spéciale aux timbrés qui ont dévalé la tribune, bravant la police, pour checker Piatti et compagnie. J’espère qu’ils pourront rentrer et qu’on ne retrouvera pas les corps dans une quelconque fosse commune mexicaine.

57′ : J’ai bien fait de ne pas m’emballer. Olvera (famille de dyslexique probablement) réduit le score sur un superbe coup franc. Une remarque ? Oui, le mur, si vous sautiez on ne le prenait pas. Qui a donné cette consigne à la con ? Vos mères ne vous ont jamais dit que quand on a l’opportunité de sauter, on saute ? Non ? Ben la mienne, si. 1-2 Impact.

68′ : Ce qui devait arriver arriva. Cabrera complètement cuit au soleil du Mexique et à deux doigts de l’apoplexie ne verrouille plus son côté droit. Pachuca en profite et Nahuelpan, avec sa tête de repris de justice, ne se fait pas prier pour pousser au fond une gonfle mal négociée par Bush et Ciman. 2-2. Et il reste 25 minutes à tenir. Je n’en mène pas large, d’autant plus que ces deux buts m’ont fait l’effet d’une bonne claquade sur chaque fesse. La fin du match, je la verrai donc debout, c’est meilleur pour le transit, et de toutes façons, j’ai tellement les miquettes que je ne tiens plus en place.

80′ : Bush fait des merveilles et essaye de ne pas trop nous rappeler le massacre de 2009 contre Santos Laguna. Tellement de stress, je pactise avec le Diable, lui proposant une abstinence masturbatoire de 6 mois contre le maintien de ce résultat nul.

Fin du match : On a tenu ! On a tenu et on a fait un match monstrueux, compte tenu de tous les paramètres défavorables avant la rencontre. Sacrée performance, fier de l’équipe pour un rude premier match. Plein de sentiments qu’on n’avait plus ressenti depuis un moment. La saison vient de recommencer de la plus belle des manières, je bande.

Moi au coup de sifflet final.

Retrouvez les faits saillants en vidéo ici. Essuie-tout nécessaire jusqu’à la 60e minute.

Un pack de Montréal

Evan Bush (3/5) : Seul rescapé de 2014 sur la feuille de match, Bush a bénéficié d’un poste de titulaire, sûrement négocié avec la libération de Perkins et pour assurer la continuité logique, contre Pachuca. Tendu, paraissant impressionné par la foule mexicaine, Evan n’a pas raté son match malgré les quelques frayeurs occasionnées. Pas exempt de tous reproches sur l’égalisation de Nahuelpan, il a pourtant fait ce qu’il fallait pour assurer le match nul, en étant solide sur plusieurs bonnes frappes. Un bon match donc, même si je pense lui ramener quelques copines pour le match retour, histoire de le détendre un peu.

Donny Toia (3/5) : Être repêché par l’Impact après la dissolution de Chivas aurait pu lui apparaître comme une sanction divine, à l’image d’une esclave finissant prostituée après l’abolition de l’esclavage. Mais il semble prendre le nouveau projet à coeur, d’autant plus que le poste d’arrière gauche est relativement peu fourni, rendant la concurrence assez faible. Cela ne l’a pas empêché de faire un très bon match, fermant avec talent son côté aux attaquants mexicains.

Laurent Ciman (4/5) : LA recrue de l’intersaison. Lui qui a accepté un salaire limité, qui ne prend pas une place de Joueur Désigné, qui vient avec un enthousiasme énorme… Quel bel homme. Et quel joueur. Il a imposé sa griffe dès les premiers instants en s’interposant avec brio lors des situations chaudes. Son impact physique est plus impressionnant que celui d’un gros bras sur un petit minet dans un porno gay. Il a clairement dégoûté les joueurs de Pachuca et sa déception au coup de sifflet final, malgré le résultat plus que positif, laisse augurer du meilleur. Un compétiteur né. Alors pourquoi pas 5/5 ? Car je suis persuadé qu’il va réitérer ce genre de performance tous les week-ends.

Bakary Soumaré (4/5) : Nouveau venu, de Chicago encore (la marque de Klopas), Baky, c’est le grand steak de l’équipe. Présence physique très intéressante, placement sur coups de pied arrêtés précis, le Malien a repoussé de la tête un grand nombre de ballon. Son entente avec Ciman a été excellente, chose que l’on n’avait plus vue entre deux défenseurs centraux à Montréal depuis de très longs mois.

L’excellente entente entre Ciman et Soumaré.

Victor Cabrera (2/5) : Prêté par River, on ne savait pas grand chose sur Cabrera avant le coup d’envoi, à part qu’il n’avait joué qu’un match foireux avec le club argentin, et qu’il se définissait plutôt comme un défenseur central. On ne s’attendait donc pas trop à le voir débuter arrière-droit, mais il a bénéficié de la petite forme de Camara et, sans doute un peu, de la lubie de Klopas de faire jouer des gars à des postes qu’ils ne connaissent qu’assez peu. Résultat : malgré des efforts conséquents, Cabrera a eu du mal à fermer son couloir, et les opportunités mexicaines sont souvent venues de là. Il n’a jamais lâché le morceau ceci dit, contractant des crampes dès l’heure de jeu. Son remplacement tardif par Camara a probablement coûté l’égalisation à l’Impact, incapable qu’il était de faire les derniers efforts défensifs. Dommage.

Marco Donadel (2/5) : Un Marco peut en cacher un autre. Ou presque. Di Vaio parti, le quota d’Italiens et de Marco n’étant plus respecté, l’Impact a fait signer Donadel, libre comme l’air qu’il était. Mais le duo qu’il a formé avec Reo-Cocker a eu bien des difficultés à s’entendre. Donadel a mis du temps à réussir à se placer correctement pour se rendre le plus utile possible, et quand il a finalement trouvé ses marques, il commençait à être bien cuit. Je mets ça, pour le moment, sur le compte de la nouveauté et de la courte préparation de l’Impact. Il semble cependant être l’inverse d’un Bernardello, qui marchait sur son binome. Donadel a eu, lui, tendance à s’effacer et laisser la majorité du boulot à NRC. Pas un cock-blocker donc, mais pas vraiment wing-man non plus pour l’instant. J’espère évidemment me tromper. Ou pas (Patrice Bernier <3).

Nigel Reo-Cocker (3/5) : Du coup, Nigel a eu un sacré boulot au milieu de terrain. Heureusement pour lui, et a forciori pour nous, Pachuca s’est surtout concentrée sur les ailes, en oubliant l’axe à de nombreuses reprises alors que les espaces se créaient de plus en plus en les défenseurs centraux et les milieux défensifs. Mais NRC a tenu le coup, encaissant les coups de butoirs sans trop de difficulté comme une demoiselle bien boulée. D’ailleurs, ça faisait un peu penser à ces matches où Bernier se coltinait Felipe à ses côtés. Dans une moindre mesure certes, je ne suis pas non plus le dernier des enfoirés.

Dilly Duka (5/5) : Duka mardi soir, c’était la jolie pépé qui sort du gâteau d’anniversaire. Trois occasions, deux buts et demi et une intensité de tous les instants dans ses prises de balle et ses déboulés. Il a beau topé sa frappe sur le premier but, elle est si divinement placée qu’elle trompe Perez. Sa volée, juste avant la mi-temps aurait mérité un meilleur sort tant elle était spontanée et plus bonne que la plus bonne de tes copines. Il suit parfaitement l’action en solitaire de Mapp pour pousser la balle du 2-0 dans le but vide. Le but qui fait du bien, car les buts de Pachuca ont semblé presque inévitable, compte tenu de la forme physique et du degré de préparation des deux équipes (au moins l’un d’entre eux). Duka a donc envoyé du lourd pour le premier match, lui qui va se battre avec la concurrence sur les ailes de l’Impact. Gros bon point.

Dilly Duka dans les vestiaires.

Ignacio Piatti (3/5) : Jésus is back. L’Argentin est si beau que j’aimerais qu’il me fasse une tripotée d’enfants. Même des petits autistes je prends. Mais il a été bien pris par les Mexicains qui savaient à quoi s’attendre avec Piatti. Bien tenu, il a quand même offert quelques belles opportunités de but : une paire de frappes mal ajustées, quelques crochets dévastateurs, mais surtout quelques bonnes boîtes reçues qui m’ont fait flipper pour son guenou à chaque fois. Mais Nacho est solide et il profitera du match retour pour éliminer ceux qui lui ont fait tant de mal mardi soir. Bel homme qu’il est.

Justin Mapp (4/5) : J’aime quand Justin aborde les matches de cette manière, avec l’air de ne pas y toucher. C’est comme la nana qui arrive en soirée avec un gros manteau en moumoute et qui, quand elle l’enlève, montre à tout le monde son corps de bombe atomique. Mapp, c’est pareil. Dès ses premiers ballons, tu sens qu’il peut faire la différence à tous moments. Cela s’est traduit en première demie par des tentatives de passes décisives qui ont touché au but (comme pour Duka à la 40′), sans faire mouche. Puis il a profité des espaces sur son côté en seconde période pour s’essayer à quelques épopées fantastiques dont il a le secret. Il a bien suivi une première fois pour se retrouver à la conclusion d’un contre qu’il n’a pu mettre au fond, avant de se créer sa seconde occasion menant au deuxième but de Duka. Un peu moins en vue défensivement, ce qui peut expliquer certaines des difficultés de Cabrera, mais il ne pouvait pas tout faire.

Dominic Oduro (2/5) : Rôle ingrat que celui du Dom mardi soir. Seul en pointe, il avait fort à faire face à la ligne défensive de Pachuca. Percé ces défenses se révélait être mission impossible pour Oduro seul, il s’est donc évertué à jouer du mieux possible en pivot, offrant souvent des solutions à Duka ou Piatti notamment. Mais il a manqué de deux choses à mes yeux. Tout d’abord, il a assez peu mis la pression sur les défenseurs et le gardien mexicains quand l’occasion s’en présentait. Et il a également très mal négocié les maigres opportunités qu’il a eues, comme sur cette action où, lancé par Donadel, il rate la dernière touche de balle qui devait l’emmener affronter Perez en face à face. Pas assez tueur.

Substituts

Calum Mallace : Une des entrées qui a fait grand bien. Il a remplacé un Donadel très fatigué pour bétonner définitivement l’axe du terrain. Un bon boulot.

Hassoun Camara : Son entrée à la place de Cabrera est intervenue 10 minutes trop tard à mon goût, mais il n’y est pour rien. Ceci dit, une fois sur le terrain, ça rigolait moins à Pachuca. Il a pris son jaune, pour recommencer l’année sur de bonnes habitudes, et a collé un gros tacle à Cameron Porter en fin de match, pour lui souhaiter la bienvenue.

Cameron Porter : On attendait Jack Mac titulaire, on attendait l’entrée de Jack Mac pour remplacer Oduro, on a finalement eu le rookie Porter, qui est loin d’avoir fait une mauvaise apparition, au contraire. Mais son entrée amène surtout des questions (Bertrand) quant à l’état d’esprit de Jack Mac et au niveau de l’autre rookie, drafté en premier, Romario Williams.

Voilà, c’est tout pour cette première académie et pour ce premier quart de finale de Ligue des champions. Autant vous dire qu’on n’était pas nombreux à s’imaginer rentrer au Québec avec ce superbe résultat, même si la tournure de la rencontre peut laisser quelques (maigres) regrets. On se donne rendez-vous pour le retour, le 3 mars, avec un guest de qualitay dans le Kop Bleu Blanc Noir du stade olympique : moi-même, votre divin Mauricio ! Je vous laisse là-dessus, j’ai quelques longues heures d’hélicobite qui m’attendent pour rejoindre la ville aux cent clochers !

En route pour Montréal !

Becs anaux,

Mauricio Vincello.

Retrouvez votre serviteur sur Touitteur, pour clavarder ou se slacker la vis en toute décontraction (et autres faits saillants)

http://twitter.com/VincelloM

Ou sur Fessebouc (mais moins souvent)

http://www.facebook.com/mauriciovincello

Si tu veux des photos exclusives du magnifique phallus de l’Editeur Belhomme certifiées Horsjeuiades 2014, abonne toi à Horsjeu.net, on s’arrangera.

http://horsjeu.net/abonnement/

4 thoughts on “Pachuca – Impact Montréal (2-2) : L’Impact Académie revient très fort

  1. Comment ça avec une défense centrale ça se passe mieux ? Quelle drole d’idée, j’espère que le coach va vite corriger ça

  2. C’est quand le retour?
    Car 2-2 c’est pas mal, mais si ils vous bouffent au retour comme à l’aller ça risque d’être chaud…

  3. @Mèch Ouais bizarrement quand tu remplaces les joueurs catatoniques par des gars en forme, ça change tout. Bientôt une grande redécouverte sur le thème : un attaquant peut marquer de buts.

    @Homerc Retour mardi 3, 20 heures de là-bas.

Répondre à Laezh Dour Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.