Porto – Feyenoord (3-2) La Dragão Académie livre ses notes

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Seule la victoire compte surtout quand un match à cinq buts te laisse sur ta faim.

Bom Dia,

Dernière journée de la phase de poule de League Europa.
Porto a repris son destin en main car une victoire suffit pour se qualifier. En face le Feyenoord de Dick Advocaat veut nous la jouer guacamole en s’imposant pour nous souffler la qualification.


O Equipe :

Sergio revient à son équipe type du début de saison qui n’a pas marché. Non ce n’est pas une blaque. Manafa dehors, Corona arrière droit, Otavio, Marcano, Soares associé à Marega et Diaz-Uribe pour accompagner Danilo.


O Jogo :

Les Néerlandais démarrent en nous pressant haut pour nous mettre sous pression, comme quand ils débarquent à 20 pour deux emplacements de camping en Ardèche. Ca ne dure que deux minutes puis on rééquilibre les positions sans pour autant réellement mettre en place notre pressing. Mais c’est bien sur une première intervention de Danilo qu’on développe une action conclue par Diaz mais détournée en corner.

On constate quand même qu’on joue moins haut que d’habitude, on semble rester sur un pressing déclenché dans notre camp au milieu de terrain pour éviter les contres. Bien évidement ça ne sert à rien car Otavio commet une faute énorme et prend un jaune donnant un coup franc plein axe à 18m.

Le coup franc est une mine que Marchesin repousse et sauve mon slip.

Cette alerte est salvatrice car on essaie enfin de jouer plus haut et sur le premier mouvement entre Marega et Telles, le Brésilien offre un but à Diaz qui ouvre le score avec l’aide du gardien 1-0 (14e)

On lance enfin le pressing et sur une récupération Tiquinho se retrouve à centrer dans les 6 mètres pour un CSC de Malacia qui panique 2-0 (16e)

Alors qu’on pense se diriger vers une démonstration un corner à la con nous ramène à notre triste réalité, on ne sait pas se rendre un match facile. Botteghin seul au second poteau n’a plus qu’à mettre au fond 2-1 (19e)

Alors que Feyenoord a compris que pour nous mettre en danger il faut jouer sur le côté d’Otavio et de Corona, un centre suffit à nous foutre le second 2-2 (22e).

Donc ben, on repart à l’attaque car on est des chèvres.

Pepe manque de marquer sur corner et un péno d’être sifflé, mais bon on a qu’à arrêter de prendre des buts de débiles surtout.

On retombe sur un rythme de merde mais d’un coup Marega remonte le terrain, centre pour Otavio, le gardien fait sa seconde boulette et Tiquinho se jette pour marquer 3-2 (33e).

Telles remonte tout le terrain dans son couloir et sert Tiquinho qui fait un contrôle plus américain qu’un Texan tirant en l’air pour le 4 juillet pour fêter Trump.

On finit la mi-temps en maitrise, ce qui semble bizarre vu le match jusqu’à maintenant.

D’entrée Marega se met en mode Dragster mais son centre est repoussé. Tiquinho est proche du doublé mais sa frappe frôle le poteau.

On décide de défendre par la conservation. C’est un concept, c’est chiant et ça semble marcher mais c’est quand même chiant.

Le risque est qu’on s’endort et quand on perd la balle les contres partent à fond les bananes comme Rapido et Razmo.

Hé à fond les bananes?!

Et on manque de se faire surprendre mais heureusement Marchesin vigilant et sauve encore la patrie.

Avant de mettre sa cape et son masque de super héros sur un nouveau centre qui vient de la gauche, il sort à 2000 à l’heure pour contrer Ayoub.

On reprend en main le match et Sergio fait ses changements défensifs.

On manque de tuer le match mais Sergio puis Corona ne parviennent pas au bout de leur action.


O Resumo :

O Dragoes :

Marchesin (4/5)
Marche sur l’eau éviter les buteurs jamais souffrir juste faire hennir Les chevaux du plaisir
Osez Ose Marchesin plus rien ne ressemble à la vie, rien nous élimine

Corona (3/5)
Un Jesus ça sert à tout. Regardez, là un coup arrière droit, un coup ailier, un coup on se déglingue pour lui à Noël, un coup vous aidez les enfants à l’hôpital(en cliquant ici)

Pepe (3/5)
Il est tel les vieux guerriers, toujours concentré et besogneux à son œuvre de survie, les jeunes impétueux s’en approchent sans crainte pour se voir exploser par l’expérience.   

Marcano (2/5)
Pas nul car ça n’a pas attaqué vers lui mais pas bien bon quand même.

Telles (3/5)
Distributeur de bonbons, en cette période de fête c’est ton pote qui t’amène les papillotes avec les pétards.

Danilo (3/5)
C’est simple il lance la charge avec des actions à faire lever les foules .

Danilo montrant la voie

Otavio (2/5)
Aucune prise de risque dans ses passes. Des replis défensifs calamiteux, il sauve son match pour son implication sur le troisième but.

Diaz (3/5)
Un but des actions pleines de classe, mais une disparition complète après 30 minutes, et mec elle est où ta caisse?

Marega (2/5)
Une activité de tous les instants. Des courses, du pressing et des boites à la place des chaussures.

Tiquinho (3/5)
Le but qui nous envoie à notre place, premier de ce groupe. Pas le plus esthétique mais quand il est efficace c’est tout ce qu’on lui demande.

O Banco :

Mbemba (2/5)
Entré pour blindé il a mis les chaines et le cadenas.

Oliveira (3/5)
Il a remonté le bloc et les ballons loin de notre surface, avec ce côté chien fou à la récup’ qui fait toujours son effet. 

Zé Luis (NN)
C’est Noël on ne va pas encore le pourrir.


Remarque à la con :

Sergio avait raison, c’est à la fin du bal qu’on compte combien Quim Barreiros a levé de maman. Maria, on a donc goûté ta morue.

Je remets le lien du noël des enfants ici

Merci pour les enfants!!!

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beijos anal, Homerc

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