Juventus – Bologne (2-0), la Bianconero Académie sauce

Ciaù ragazz’,


Le temps est assassin. C’est Renaud qui l’a dit, à l’époque où il était centriste. Avec sa stéatose naissante et ses hémorroïdes internes. Mais le niveau est bien plus élevé à la Bianconero Académie. La stéatose est bien installée dans le 11 de départ, c’est un peu le Bonucci des maladies de poivrot d’ailleurs. Les hémorroïdes sont internes et externes (on rend hommage à feu la Croix de Savoie et ses superbes académiciens très portés sur la rondelle et les saignements qui vont avec). Et le temps n’assassine rien du tout, ce fils de pute. On a pas besoin de lui. On se suicide à petit feu comme les lâches que nous sommes. En football ça se traduit par des défaites face à l’ennemi juré en proposant un plan de jeu Olympiquedemarseillesque, mais en gagnant tout de même contre les petites cylindrées de Serie A pour se maintenir en vie. Suicide de lâches on vous dit.


LES NOTES

SZCZESNY (4/5) : Indispensable comme le droit à l’avortement.

CUADRADO : (3+/5) : Généreux à tel point qu’il essaie de marquer dans tous les buts, ce con.

BONUCCI (enculé de sa race/5) : Fort contre les faibles, faible contre l’Inter. Nique tes moro sur la Piazza San Carlo.

CHIELLINI (4/5) : Éloge de la lenteur.

DANILO (3/5) : Rustine sexy.

McKENNIE (5/5) : Le joli grain de beauté que tu gardes même s’il est suspect parce que c’est ton atout charme.

ARTHUR (4/5) : C’est bieng.

BENTANCUR (3/5) : Médiocrement bon.

BERNARDESCHI (2/5) : Tout bonnement médiocre.

CRISTIANO RONALDO (3/5) : N’a battu aucun record. La crise ?

KULUSEVSKI (2/5) : The ginger Berna ?

La Panchina ? C’est ce qu’on met dans la carbo quand on pas de lardons fumés c’est ça ? Mais attention, avec de la crème fraîche épaisse hein. On est pas des sauvages.

Fino Anal Fine,

Roberto.