Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes en avant, nous créons pour vous, un face à face unique en son genre, le onze contre onze.

C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent), le service rédaction choisit chaque semaine les meilleurs et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.

Le coach anal s’est encore fait troussé la semaine dernière, comme l’imageait un de plus grands cerveaux contemporains. Il n’est dit que le Coach Anal se laisse faire et reconduit pour la énième fois son 4-3-3 habituel, comme un symbole de coaching marseillais.



Julio Cesar -Inter (0/5) : Certes, il a repoussé l’échéance en quelques occasions. Mais sa prestation flirte avec le catastrophique.

Néry – ASSE (gélifié, 0/5) : un tacle de boucher qui handicape les Verts dès la 35ème minute. Le gel, faut le mettre sur les cheveux uniquement, pas sur le cerveau. Vu le geste, il risque de prendre plusieurs matches en plus, CUS de blaireau.

Busquets – Barca (0/5) : principal fautif sur le but de Pato pour cause d’hésitation eunuquienne, Sergio est encore une fois passé à côté de son match dans cette position où Pep s’obstine à le positionner. Il aurait pu se rattraper en fin de rencontre en allant au contact aérien avec Thiago Silva mais il n’en fût rien. Sergio s’est couché devant le Brésilien comme la pute s’allonge devant le millionnaire quinquagénaire chauve, bedonnant et huileux. Quand on vous dit qu’il y a des ratés au Barça

Aurier – Lens (1/5) : Il paie sa suffisance par un match complètement raté. Plus fort, plus rapide, plus technique que ses vis-à-vis, il n’a pas jugé bon de conserver l’humilité du mec qui n’a que 18 ans et dont le seul palmarès est une rétrogradation en L2. Il lâche son marquage sur le but qui est pour sa pomme, et prend le bouillon sur une action anodine en début de 2nde période qui aurait pu faire basculer le match dans l’autre sens. Arrête le melon mec, c’est plus la saison.

Nesta – Milan AC (1/5): S’est brisé quatre cervicales et deux vertèbres sur le contrôle de Papy Magic Klose et a offert toute latitude à Cissé pour qu’il puisse inscrire son premier but en Série A et ainsi ne pas subir les cris de singe de ses propres supporters. Un Nesta carté Parti Socialiste avec toute la solidarité en plus et la même vitesse de jeu que François Hollande.

Rosi- Roma (0/5) : Aussi utile qu’une saucisse de Francfort dans l’analyse de l’ADN des fluides trouvés sur un drap de touriste hollandais dans une chambre d’hôtel de Saigon. Ta mère, je maudis.

Yaya Toto – City (1/5): « Qu’est ce qu’il y a sous son grand chapeau ? » Disait la poétesse Annie Cordy… Une chose est sûre, il n’y a pas, chez Yaya, une intelligence de jeu suffisant pour être seul milieu défensif.

Bulot – Caen (1/5) : D’ toutes façons ya plus de bulot, la boucle est bouclée le système à la tête sous l’eau. Et les jeunes sont soûlés, salis sous le silence…

Nocerino –Milan AC (1/5): Inquiet après l’avoir cherché toute la première période, le staff milanais a contacté dès la mi-temps Jacques Pradel et son équipe. Il est ressorti de son trou à la 51 ème minute, en hommage à la victoire marseillaise en Grèce. Hommage bafoué tout de même tant il a plus ressemblé à un Casanis qu’à un Ricard. A même réussi à provoquer la colère de René Malleville.

J.Ayew – OM (1/5) : Le monde des fantômes ne connait pas la discrimination. Casper peut aussi être noir.

Maïga – Sochaux 1/5 (10/5 au Challenge Moumouni Dagano de l’inefficacité) : Il s’est rendu plus disponible que contre Saint-Etienne, mais n’a jamais été décisif, n’a pas fait les bons choix dans l’orientation du jeu, il manque de 5cm l’ouverture du score.

 

Remplaçants :

Villa – Barça (0/5): Hristo pensait, après avoir revu la finale de la Coupe du Monde 1998, que le titre très honorifique de « plus mauvaise performance d’un attaquant durant un match de football » décernée à Stéphane Guivarch ne serait jamais égalée. Et pourtant, quand un attaquant n’effectue pas un seul dribble (ce que même Gignac a réussi en 2005 face à Jean-Jacques Pierre), ne frappe pas une fois au but et fait une passe décisive à l’équipe adverse, force est de constater qu’ El Guaje remporte ce trophée laissé vacant depuis 13 ans haut la main. Mon aversion envers ce joueur croît de jour en jour.

Coentrao – Real (1/5): Il nous a tout fait sur ce match. Il couvre Miku pour l’égalisation adverse et il nous la joue Bakayoko devant les cages. Sa meilleure place, c’est sur le banc. On n’a pas besoin d’un nouveau Marcelo en défense ni d’un nouvel Adebayor en attaque.

Nenê – PSG : (2/5) mais lâche ton ballon bordel de merde ! Joue simple pour une fois dans ta vie ! Avec Menez, ils font une sacré paire d’égoïstes.

 

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1 thought on “Le onze anal de la semaine

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