Onze Anal Historique du FCSM et ses substituts in gag

 

Gardien de But :

Vincent Fernandez (1998-2002) : formé au PSG (photo à l’appui), mais barré par Bernard Lama puis Dominique Casagrande, il atterrit dans le Doubs en tant que titulaire au moment où Sochaux retrouve la D1. Malgré des performances que l’on pourrait qualifier « honorable » au début, il enchaîne bourdes sur bourdes et fini par être remplacé par Teddy Richert au poste de gardien de but. Il est licencié par le FCSM pour « fautes graves », il avait refusé de jouer avec la réserve et d’être remplaçant en équipe première. Il obtient néanmoins gain de cause 7 ans plus tard en faisant indemniser la coquette somme de 1,052606 millions d’euros au titre de licenciement abusif (nos fesses en frémissent encore). En plus d’être mauvais dans les cages, il a troué le budget du club. Par conséquent il mérite amplement d’être le titulaire du Onze Anal, pour ses performances relativement profondes.

Remplaçant :

Gérard Gnanhouan (2002-2005) : débutant sa grande carrière en Bretagne (EAG) il débarqua à Sochaux dans les valises Guy « Moustache » Lacombe. Ce gardien était surprenant, capable du meilleur comme du pire. Malheureusement c’est du pire que nous retiendrons, mais nous nous souviendrons de son expression faciale lors des tirs au but face à l’OL en demi-finale de la Coupe Moustache en 2003. Aux dernières nouvelles il évolue à l’US Avranches Mont-Saint-Michel en CFA, où il peut enfin faire l’étalage de tout son talent.

 

Arrière droit :

Ivan Stevanovic (2009-2011) : en provenance du Partizan de Belgrade avec une réputation non moins flatteuse, capable d’apporter en attaque et d’arracher quelques jambes au passage, il permit au public de Bonal de rigoler les soirs de matchs par des prestations de haute-volée. 6 matchs auront permis à coach Droopy de le mettre sur le banc, voir en réserve. Il aura marqué les esprits le temps d’une seule saison avant de retourner en Serbie et d’être un joueur libre actuellement. Ivan, merci pour ces prestations.

 

Arrière gauche :

Arnaud Bühler (2005-2006) : présenté comme un futur prodige du football helvétique, puisqu’il aurait signé un contrat avec le prestigieux club de Liverpool FC en 2002 (comme quoi nous ne sommes pas les seuls à nous sniffer au Viandox), il poursuit sa carrière en Suisse pour terminer ses études et sa formation de footballeur. Arrivé en 2005 à Sochaux dans l’espoir de passer la vitesse supérieure, il n’arrive pas à passer la seconde, malgré ses 14 matchs en L1. Il retourne en Suisse pour ne jamais en sortir, son visa de footballeur international ayant disparu à Sochaux. Il évolue au FC Sion depuis 2006.


Défenseurs centraux :

Lionel Potillon (2004-2007) : sosie de Jean-Paul Rouve, c’est dans le football qu’il était destiné. Formé à l’ASSE, il arrive en provenance de la Real Sociedad en 2004. Sa venue nous semblait étrange, puisque nous étions correctement fournit en défense centrale, Flachez et Diawara étaient des titulaires indiscutables. Ce joueur fut un cadeau du Président Plessis à destination de Guy Moustache Lacombe, à une époque où les relations entre les deux hommes étaient tendues. Lionel Potillon remplaça Maxence Flachez lorsque ce dernier partit en Bretagne à l’EAG, ce qui mit Guy hors de lui (ses moustaches parlent pour lui lorsqu’on évoque le sujet). Pourtant, Lionel fit des débuts encourageants, marquant sur pénalty contre l’OL lors de la première journée de championnat notamment. Malheureusement, les afters sont toujours douloureuses comme on dit, et c’est ce qu’il se produisit avec notre défenseur blond. Mis sur le banc, puis utilisé à parcimonie par Alain Perrin, il termina sa carrière par une Coupe de France sans jouer la finale.

João Miranda de Souza Filho (2005-2006) : sans doute le plus éphémère des joueurs passés au FCSM. Champion en titre du Parana avec son club de Coritiba, il décide de passer l’Atlantique pour tenter sa chance en Europe. Loin des strass et des paillettes, c’est en terre agricole et à la Peuge que notre divin chauve arrive. De ses 20 matchs au FCSM, nous retiendrons ses tacles de toute beauté pour arracher les tibias, ses placements hasardeux et sa lenteur sur le terrain. Il part en prêt à Sao Paulo pour y être transféré définitivement, le temps pour lui de gagner des championnats du brésil ainsi que ses premiers galons avec la Seleção. De par ses performances, il retourne en Europe en 2011, mais à l’Atletico Madrid cette fois, tout en connaissant la même réussite qu’à Sochaux.


Milieux de terrain :

Camel Meriem (1998-2002) : natif d’Audincourt et formé au FCSM, Camel est sans doute le joueur le plus doué de la nouvelle génération dorée sochalienne qui prend peu à peu le pouvoir au sein du club doubiste. Pourtant que fait-il dans ce Onze Anal ? La réponse est simple, la gestion de sa carrière avec des choix plus que douteux, la faute à cette comparaison avec notre Magic Danone national. La carrière de Meriem fut calquée sur celle de ZZ, mais il connut moins de réussite. Sa première bourde fut de signer chez les Girondins alors qu’il avait à peine fait quelque bon mois en championnat. Bordeaux depuis le banc de touche est magnifique me direz-vous. Mais pour le « nouveau Zidane » c’est insupportable ! Alors il se relance du côté de l’OM. Si l’OM ne put avoir Zidane, les phocéens eurent Camel Meriem, avec une certaine réussite d’ailleurs. Pourtant Bordeaux passa outre et le joueur retourna sur le banc. Puis il partit pour Monaco, grand club en pleine décadence et s’y installa longtemps, pas pour le challenge sportif, mais pour le système fiscal sans doute. Il signa du côté d’Arles-Avignon où le discours sportif devait être fort intéressant, à un tel point qu’il refusa de revenir chez nous. En ce moment il joue à l’OGC Nice où il fournit des prestations honnêtes. Voilà, si tu ne veux pas avoir une carrière à la Camel, futur « nouveau Zidane » ne signe pas à Bordeaux……..

Ryad Boudebouz (2008- ???) : un joueur avec des pieds en or, mais qui ne sait pas les utiliser. Un grand tricoteur, mais au final rien, nada, niet. C’est une mauvaise énigme façon Fort-Boyard. Trop individualiste, on dirait un ersatz de Camel Meriem. En plus, il se paye le luxe de déclarer vouloir quitter Sochaux s’il devient titulaire dans une plus grande équipe. Mon garçon, commence par être plus collectif et plus régulier, et après tu pourras exiger ce que tu souhaites.

Badara Sène (2005-2011) : Mouahahahahahah !!!!!!! Il est grand, mince et jouant pour le Sénégal, formé au FCSM et débute sa carrière professionnelle en Championnat contre le PSG. Prometteur, bon jeu de tête, milieu défensif d’avenir, il avait tout pour réussir. Et puis arriva Francis Droopy Judas Gillot, qui brisa ses rêves, et ce fut la chute. Prêté à l’EAG, puis au MUC72, il ne s’imposa pas dans ces clubs. Pire encore son comportement non professionnel, le refus de résilier à l’amiable (pas envie d’être dans le besoin sans doute) le fit mettre au placard, en attendant la fin de son contrat, chose faite en 2011. Bref, nous avons rencontré Badara Sène.

Stéphane Dalmat (2007-2010) : un talent monstre, capable de dribbler 100 personnes dans une cabine téléphonique, mais aussi un penchant pour l’alcool et la police. Membre du cercle très fermé des joueurs ayant officiés dans un nombre incalculable de clubs au cours d’une carrière, avec Gravelaine et Leroy, Stéphane Dalmat se fixa pendant 3 saisons à Sochaux, loin des boîtes de nuit de Paris, Milan, Toulouse (ah bon ???) et de Bordeaux. Maître du jeu sochalien, capable de prendre le ballon depuis sa surface de foncer vers le but adverse et de marquer un but (FCSM-LOSC saison 2009-2010), il fut aussi Maître Jack Daniel’s à ses heures perdues. Son plus haut fait d’arme ? Etre fin rond et taper sa voiture contre un poteau d’éclairage en allant à l’entraînement. Stéphane, les caves franc-comtoises pleurent ton départ pour Rennes. Par contre c’est le chouchen qui exulte.

Remplaçants :

Lionel Mathis (2007-2008) : ancien espoir de l’AJA, « Big Nose » signe au FCSM en 2007, gratos en plus. Un joueur formé chez les enfants de cœur, qui a une expérience en L1, Plessis semble faire la bonne affaire. Au final, rien du tout. La faute aux choix de l’entraîneur comme on dit souvent, mais aussi au fait que le joueur était incapable de s’acclimater dans une équipe joueuse, lui qui avait l’habitude de jouer la défense avec l’AJA. Il trouva à Guingamp un club à sa mesure, qui lui permit de gagner la Coupe de France et de connaitre le National.

Jérémy Ménez (2004-2006) : fameux membre de « l’arnaque 1987 » avec comme complice Ben Arfa, Nasri….. ce dribbleur formé au club montré des capacités hors-norme dès 16 ans. Une légende urbaine voudrait que Sir Alex Ferguson himself a fait le déplacement pour s’entretenir avec les parents du jeune Ménez dans l’optique de le faire signer. Finalement Plessis prit les devants, et Ferguson se rabattit sur Cristiano Ronaldo comme second choix. Lors de sa première saison pro, il montra de grandes qualités avec à la clef le triplé le plus rapide de l’histoire de la L1 contre Bordeaux (4-0 au final pour les J&B), mais aussi un certain individualisme et des choix plus qu’hasardeux tant dans sa carrière que pour sa coiffure. Il s’installa à Monaco puis à Rome sans s’imposer dans ces deux clubs. Il signa au PQSG en 2011, et pour se démarquer de Pastore, arbora une belette blonde en guise de signe distinctif  qui provoque des saignements oculaires chez pas mal de personnes. D’après people.365, il serait en couple avec Emilie, ancienne gagnante de Secret Story. Comme quoi, qui se ressemble s’assemble.

 

Attaquants :

Modibo Maïga (2010- ???) : notre Nafissatou malienne débarque dans le Doubs en provenance du MUC72. Rapidement il forma avec Brown « Bobby » Ideye une redoutable paire d’attaquants, terminant la saison avec 15 buts chacun. Mais le départ du Nigérian pour l’Ukraine rendit malheureux notre pauvre Malien, qui devint un grand gourmand à l’image de Nafissatou (oh le vilain !!). Bien aidé par son agent, Modibo sécha les entrainements, souhaita rejoindre Newcastle…..bref, beaucoup de caprices pour rien car notre « Très Cher Président » Alexandre-Jong-Il Lacombe resta ferme. L’apothéose de Modibo ? Insulter les supporters J&B après la victoire contre Toulouse (cf l’Académie à ce sujet). Après un transfert avorté à Newcastle, pour cause de blessure au genou, notre Nafissatou clame son amour pour le FCSM, mais pas pour les supporters……bien évidemment. Nominé au Ballon de Plomb 2011, et malgré un appel massif de la part de Jean-Claude, il termina à la troisième place du podium…….merde putain d’injustice !

Vaclav Sverkos (2009-2011) : lorsqu’il débarqua dans le Doubs au mercato d’hiver 2009, Sochaux manquait cruellement d’attaquants et ne pouvait compter que sur Erding. Très vite le tchèque s’adapta rapidement et forma avec « Mev’ » un redoutable duo d’attaquants. 8 buts en 6 mois, il intéressa rapidement l’ASM qui voyait le transfert de Steve Savidan tomber à l’eau. Malheureusement, notre « Très Cher Président » dit non, ou bien 10 millions et on peut discuter. Monaco préféra se rabattre sur Dieumerci Mbokani. Et ce fut la chute. Mevlut parti au PSG, Sverkos fut orphelin de ce dernier. Grâce au coaching du Gillot de Sauvetage, il fut cramé le reste de la saison, et raillé par le public de Bonal. Il retourna en République Tchèque, où un meilleur destin l’attendait.

 

Remplaçants :

Francileudo Santos (2008-2009) : comment passer du chasseur de buts à un simple cageot ? Facile, tu quittes Sochaux pour Toulouse sans pour autant être titulaire, et tu reviens dans le Doubs avec le physique en moins et quelques années en plus. Dommage pour lui, car il nous avait laissé de bons souvenirs, mais bon…….

Mickaël Madar (1986-1989 puis 1990-1992) : l’escroquerie de ces dernières années. Présenté comme un « monstre des surfaces » par l’Equipe (snurfffff……c’est de la bonne !!) il débuta sa carrière à Sochaux sans pour autant enfiler les buts. Sa principale faute ? Son tir raté lors de la séance des pénaltys qui nous prive d’une Coupe de France en 1988. Mais aussi ses choix capillaires, qui lui valurent le surnom de « gitan ». Enfin, il fut le protagoniste de « l’affaire de la gourmette », mais bon ce fut son seul fait de gloire.

 

Entraîneur Anal Historique du FCSM :

Francis Gillot (2008-2011) : selon la « version officielle », ce personnage à la voix névrosée fut le sauveur du FCSM, puisqu’il lorsqu’il arriva les caisses étaient vides et le classement précaire. Enfin, lorsqu’il partit, le club connaissait un excédent financier et terminait européen. Maintenant voici la VRAIE version. Cet homme aux cheveux blancs eut un parcours magnifique en tant que joueur (défenseur dans une équipe de bas de tableau) mais aussi en tant qu’entraineur. Il fit ses classes au centre de formation du FCSM s’occupant des jeunes avant de partir dans les pays du Golfe puis d’officier en tant qu’entraineur adjoint, puis entraineur, du RCL. Il quitta ses fonctions en 2007 suite à une non-qualification des lensois en LDC. Ce choix rime avec le début de descente aux enfers du RCL. Il atterrit dans le Doubs au moment où l’équipe était relégable et redressa la barre, ce qui lui valut comme surnom « le Gillot de sauvetage ». Malgré un effectif de qualité honorable, cet homme joua le maintien pendant deux saisons pleines, se plaignant du manque de moyen, criant au scandale envers l’arbitrage, mais aussi la faute à un coaching « surprenant ». En 2010, tout changea, ou presque. Malgré l’apport de joueur de qualité, le FCSM alternait le bon et le moins bon. Enfin, au cours de 3 derniers mois du championnat, l’équipe se réveilla. Elle alterna les bonnes performances tant à domicile qu’à l’extérieur et termina à une glorieuse 5ème place, avec comme match de référence, le 4-0 infligé à Bordeaux. Et puis, du jour au lendemain, il partit……..pour le FCGB. Pourquoi quitter Sochaux avec un groupe de qualité, pour un club sans âme, à la vinasse plus qu’horrible ????? On se le demande encore. Du coup, chez les supporters c’est la trahison. Trahison parce qu’il annonçait rester à Sochaux pour honorer sa dernière année de contrat, et qu’il voulait faire quelque chose avec cette équipe. Ensuite il eut le culot de rapatrier NMB, projet qu’il avait planifié depuis longue date. Enfin il se basa sur ces 3 bons derniers mois pour se vendre, alors que sur l’ensemble de son œuvre il fut moyen.

Sa titulature à son arrivée dans le Doubs : Francis Gillot
Sa titulature lors de son départ : Francis Droopy Judas Gillot.
Son point fort : nous faisait rire lors des conférences de presse par son timbre de voix névrosé.
Son point faible : ne pas avoir donné sa chance à Ivan Perisic qui marche à Dortmund aujourd’hui. Et de nous avoir donné un coup de poignard dans le dos.

 

Deuxième entraîneur anal historique du FCSM :

Alain Perrin (2006-2007) : précurseur « du coup de Gillot dans le dos », il arriva au FCSM dans le but de se relancer. Et il le fit remarquablement, puisqu’il donna à l’équipe un fond de jeu, par l’apport de jeunes joueurs (Karim Ziani, Valter Birsa…) et de joueurs plus expérimentés (Jérome Leroy…). A la clef une finale de Coupe de France remportée face à son ancien club, même club qui l’avait licencié pour « faute morale » comme dirait un expert en la matière. Il signa à l’OL et fit le doublé Coupe-Championnat lors de sa première et unique année de contrat. Licencié par JMA qui trouva un meilleur Manager en la personne de Claude Puel. Il reste à ce jour le dernier entraineur à avoir donné à l’OL un titre de Champion de France. Il connut une mauvaise fortune par la suite, car il fut entraineur de l’ASSE avant d’être remplacé par son fidèle adjoint, Christophe Galtier.

 

Ils auraient pu y figurer : Jacques Santini (entraineur), El-Hadji Diouf, Danijel Ljuboja, David SoGay…

 

Mot de la fin : ce Onze Anal Historique est terminé, en espérant qu’il vous aura plu. Le Onze Mondial Historique du FCSM se trouve d’ailleurs ici.

 

Chers lectrices, si toi aussi tu aimes le FCSM, rejoins nous dans notre action à promouvoir, mais aussi à détester, ce club qui représente, quoiqu’on en dise, la Franche-Comté.

Jean-Claude et Bernard vous font la bise anale.

14 thoughts on “Le onze anal historique du FC Sochaux Montbéliard

  1. Pour moi il manque les grands noms qui ont marqué le Fc Sochaux, entre autre Georges Lech, Patrick Revelli, b. Genghini, Yannick stopyra, joel bats, anziani, sylvestre , sauzee, pedretti, Isabey, c’est cruel de les oublier…..Avis aux connaisseurs

  2. Il a n’a rien compris du tout notre ami Grabou. Ici c’est le Onze Anal, donc on met les « perles » du FCSM. Il faut voir l’ophtalmologiste mon ami !

  3. Potillon ne vous a pas laissé de bons souvenirs, alors qu’à Sainté c’est l’inverse. Il devait déjà être cramé à cette époque, le PSG et la Real Sociedad étaient passés par là.

    Sinon, la réception de Bordeaux s’annonce anale pour l’ami Droopy.

    Bel effort en tout cas que ces 2 Onzes

    @Grabou : ici, c’est le Onze Anal, les plus nuls quoi. Le Onze Mondial c’est de l’autre côté.

  4. Il manque quand même toute la flopée de chèvre des années 90, l’époque terrible du FCSM :
    Gnako, Garande,Ichoua
    Celle des années 2000 :
    Vandecasteele, Dedebant…
    Les escroqueries :
    Yakovenko, Paco Carrasco
    Pour les coachs : Santini est bien placé

  5. Boudebouze??meriem??menez?? Perrin??? Tu connais que dalle au foot l amie mais vraiment que dalle

  6. Beber : pour Meriem et Menez, on critique leur choix de carrière, ainsi que leur irrégularité en championnat (idem pour Boudebouz). Si pour toi le football se résume à faire des dribbles et regarder par terre au lieu de regarder les partenaires, alors tu es un spécialiste de L1 et non de football. Quant à Perrin, il a laissé tomber le FCSM pour l’OL. D’ailleurs son doublé coupe-championnat ne lui a pas permis de conserver son poste. Donc coach Anal.

  7. Beber : Nous acceptons la critique, et il est vrai qu’on peut toujours discuter, Anelcouille nous a malheureusement irrité le sens anal en nous rappelant des joueurs que tout le monde préfère oublier, mais c’est vrai qu’ils auraient pu avoir leur place dans le Onze Anal.
    Après, je tiens à rappeler que tous les articles que nous publions sont vus par le Master Chief Redac’ et que ce dernier valide ou non les articles, donc s’il a permit la publication de cet article, c’est qu’il n’est pas à priori une bêtise sans nom.
    En résumé, la critique oui, mais dire que nous ne connaissons rien au football est déplacé.

  8. C’est propre à Sochaux ils restent gentleman, autant derrière c’est juste immonde, autant devant, les mecs jouent tous à leur niveau à un instant T, tu te régales.

    Bon, sachant que l’instant T, risque plus de se transformer en instant Ricard, faut pas trop en demander.

  9. moké : pas faux, on va dire qu’on a fait dans la sobriété. Certains mériteraient l’insulte, mais on fait preuve de générosité.

  10. Guillou, Bernard Bouger qui n’a pas su passer de la d2 à la d1, koffi fiawoo, kandia traoré (seul joueur que j’ai vu mettre deux frappes en touche dans le même match), Ibrahim Tall, Jean michel Ferri l’escroquerie, la dégaine de Rabiu Afolabi, igor pamic, le fiasco drobnjak, y’en avait encore un paquet. Bien vu pour Gérard « jeu au pied » Gnanhouan et Buhler

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