Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes en avant, nous créons pour vous,  un face à face unique en son genre, le onze contre onze.

C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent),  les gros membres choisissent chaque semaine les meilleurs et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.

Fabianski : 5/5 : Rien à faire pendant les ¾ du match. Il enchaîne deux arrêts de grande classe en toute fin de rencontre sur des frappes de Saha et Beckford. Et en plus il a le cul bordé de nouilles. What else ?

Lucio : 4/5 psahtek Florent Pagny ! (Très solide face à Zlatan, très vif face à Robinho, et toujours ses fameux « tout droit » sur 40m… Louss pète le feu)

Coulibaly 4/5 : Le Pierre Martinet de la défense. Parfaitement intraitable.

Nesta 4/5 : A sauté à pieds joints dans la fontaine de jouvence cet été. Indémodable et aussi intemporel que Charles Aznavour.

Sagna 5/5 : For the glory of Mia Frye. In the memory of Taye Taiwo. Second but du Poulpe sous le maillot d’Arsenal sur une frappe de sagouin aux 5m à angle fermé. A un moment où le match s’embourbait, on ne peut que le remercier d’avoir pris l’initiative. Avec Baines et Pienaar en face, il s’est quand même mis le cul par terre tout le match pour ne rien laisser passer. Une débauche d’énergie impressionnante.

Flamini (4/5) : Comment 4 poumons peuvent-ils tenir dans un si petit corps et dans un maillot taille 14 ans ?

Iniesta 4/5 : maitre du jeu, maitre du ballon, maitre du temps (pour un épisode de Fort Boyard où il batta Didier Gustin à l’épreuve des bâtonets, parait-il), il envoie du lourd le garçon, pas possible à ses yeux qu’un mec plus petit que lui lui ravisse le ballon d’or.

Zanetti 2010/5 : Splendido, Meraviglioso, eccezionale, fantastico (Il capitano)

Valbuena : kif kif bourrico lui, il a d’jà la taille de l’ane c’est vrai ? putain elle est bonne !! tu vas voir qui vont m’prendre chez foorese, tu vas voir ! Pt’ain vl’à qui marque le nain..on va encore les entendre les sardines..pourtant on leur bien fait fermer leur gueule au parc hein Léon ?! J’suis pas raciste des nains t’entends, mais franchement en dessous d’ un 70 tu l’ laisses pas jouer au foot. Sauf Ludo, c’est différent. C’est l’PSG..!!

Ibrahimovic : (4/5) Intenable ce soir, il a fait faire du toboggan à Lucio et Materazzi sur le pénalty provoqué et a pesé de tout son poids sur la défense nerazzura. Un pénatly tout en sang froid ! En fin de match, il a rendu un hommage appuyé à ses amis du club de Taekwondo et a justifié sa ceinture noire reçue cette semaine en effectuant un mawashi geri bien maîtrisé sur Materazzi, électrifiant !GG Ibra !

Messi 4/5  : encore un doublé. Son positionnement dans l’axe de l’attaque ne change rien à ses statistiques. 51 buts en 47 matches pour l’année en cours. Et quand je pense que certains disent que Football Manager n’est pas réaliste…

Les remplaçant du Onze Mondial:

Nenê (4/5) : même quand il n’est pas au top, il arrive à rester décisif. Une fois de plus, il nous sauve la mise grâce à cette égalisation dans le petit filet pendant les dernières minutes.

Crouch (non noté) : un ballon, un but, et pas de la tête. Merci, au revoir.

Pedro 4/5 : 2 passes décisives et le titre du joueur le plus combatif de la journée. Il compense sa fofolité par un cardio que même Lance Armstrong sous EPO aurait du mal à égaler.

Les adversaires pathétiques du Onze mondial, le Onze anal. Il est ici.

8 thoughts on “Le Onze Mondial

  1. « où il batta Didier Gustin » : elle est délibérée ? Sinon, je sens que Moké va s’autoriser une descente.

  2. C’est un espagnol catalan qui tente d’écrire français donc Moké est plus souple.

    Puis faire une faute à côté de Didier Gustin, ça fait double fautes, donc point.

  3. « où il batta Didier Gustin » : mais non, yapafôt, je crois :
    « il batta Didier Gustin à l’épreuve des bâtonets » : il faut lire « il batta Didier Gustin à l’épreuve des battes au nez ».

  4. C’était un hommage à Marc Batta.
    Je m’explique, sachant que Batta est né en 1953 et Didier Gustin en 1966, 1966-1953 = 13. Mais comme le Père Fouras est supersticieux alors 13 n’existe pas donc 1966-1953 = 82cm, comme Passe-partout.
    cqfd, fermez tous vos gueules

  5. Et c’est Coulibaly qu’on décale à gauche, tout ça parce que messieurs Nesta et Lucio jouent dans les clubs de Milan.

    Je suis révolte, je suis Vahid, je suis vomi.

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