Cet étrange concours de simulation est sans doute la plus belle performance artistique que le service a pu admirer. C’est propre, c’est limpide. C’est parfait.
9 thoughts on “L’instant néerlandais”
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J’ai rien compris…
Je savais bien que j’aurais dû la prendre cette LV3 néerlandais, j’aurais eu une dérogation pour un meilleur lycée et je me sentirais pas minable quand ça parle art flamand sur un site de foot.
Chienne de vie.
Voir Albert Heijn sur le panneau des sponsors c’est magnifique. Cela me rappelle leurs raisins secs enrobés de chocolat, dégustés sur une terrasse à Amsterdam en buvant un vin dégueu, avant d’aller voir les filles de joie.
Si le service avait la gentillesse d’expliquer un peu pour l’infime minorité non-néerlandophone
Sinon c’est un peu Frih deh Bi De Uh! quoi…
Il a pas un petit air de Toulalan le gars du milieu, avec la cravate verte? Au moins dans les cheveux… un peu… non?
Chandler Bing ?
Ca me rappelle le zapping radio flamand de Chris Esquerre.
Moi ça m’a paru limpide. Le coach no. 1 n’intéresse personne, il gueule, les journalistes font semblant de lui poser une question, puis font semblant de noter sa réponse. Quand les autres arrivent, ils lui demandent poliment de partir et laisser la vraie interview commencer. La Hollande, c’est classe. Je me demande à quoi ressemble leur Pierre Menès.
Kyle MacLachlan époque twin peaks aussi… c’est fou
J’espère que c’est pas trop tard pour l’explication.
Les journalistes et le coach a droite Gertjan Verbeek sont en train d’attendre le coach de Groningen Huistra qui est en retard.
Verbeek est déjà dégoute d’avoir perdu alors que son équipe a domine le match.
Quand on a fini de lui poser des questions, le protocole veut qu’il reste par politesse. La suite est plus que claire.