Aioli les sapiens,

Quatrièmes… dit comme cela, c’est très en-dessous de nos ambitions mais bordel, je le dis et je le répète, rien ne me ferait échanger cette saison contre une deuxième place acquise façon Elie Baup. Plus que le résultat, cette équipe, Bielsa en tête, nous aura au moins apporté du rêve, de l’espoir et de la fierté, en même temps certes que des envies récurrentes d’homicide avec sévices. Bref, on a assez pleuré hier sur le départ de nos figures marquantes Ayew, Gignac et Fanni, on aura bien de quoi se faire du mauvais sang quant au maintien ou non de notre entraîneur… On en a tant dit et redit là-dessus, le mieux est de savourer ce dernier match en se mettant en fond sonore un petit Oaistar, en hommage à cette saison de fadas.

 

L’équipe

Dja Djédjé est de retour de blessure, tandis que Romao et Mendy sont suspendus. Voici donc un 4231 avec Ayew épaulant Imbula et des permutations régulières entre Thauvin et Alessandrini.

 

Le match

Bien que notre défense et notre milieu de terrain soient largement remaniés, Bastia ne tente pas de nous presser haut, leur gigantisme testiculaire autoproclamé s’arrêtant aux limites du stade Armand Cesari. Ce sont deux lignes regroupées dans leur camp qui nous sont opposées, ce qui autorise notamment Ayew à jouer haut sans trop se préoccuper des récupérations adverses. Seul problème pour les Corses : si leur défense se prétend aussi hermétique qu’un chef de clan face à un juge d’instruction, elle montre finalement plus de trous qu’un chef de clan face à un 11.43.

Il nous reste donc à attendre, tout en gérant les appels de Giovanni Sio, l’un des seuls à nous ennuyer un minimum. Après une alerte modérée sur le but de Mandanda, l’OM continue à aller de l’avant, jusqu’à ce qu’un centre de Jérémy Morel soit repoussé par Pieds-Palmieri directement sur Payet. Dimitri profite de l’aubaine pour violer le seul défenseur restant entre lui et le but, qu’il défonce d’une mine au premier poteau (1-0, 14e).

A ce moment, l’OM récupère la 3e place, que les Monégasques récupèrent très peu de temps après en ouvrant le score à Lorient. A part quelques rares menaces, l’OM domine tranquillement et n’est empêché d’aggraver la marque que par la densité de Bastiais aux abords de la surface. Face à l’adversité, les Corses se recentrent sur leurs fondamentaux, à savoir les gestes de pute, la provocation, et l’inaptitude totale à maîtriser un objet sphérique. Le climat se détériore, jusqu’à ce que Morel se charge de calmer tout le monde : profitant de l’extrême repli de la défense, Jérémy prend l’initiative de perforer dans l’axe et de tenter une lourde. Ecrasé, le tir ne semble pas devoir inquiéter Leca : c’était oublier qu’en frappant, notre latéral a doté le ballon d’une charge extrêmes d’interferons-morellines. Cette protéine se fixe sur la gaine myélinique des neurones jusqu’à provoquer de graves séquelles psycho-motrices si l’on n’y prend garde : trop occupé à foutre la merde sur le terrain au lieu de se concentrer sur le jeu, le jeune Djiku voit les interferons-morellines occuper tout l’espace vacant de son cerveau (et Dieu sait qu’il semble y en avoir). S’ensuit dans son intellect un blougou à sens giratoire inversé qui l’amène à détourner la balle hors de portée de son gardien (2-0, 39e).

A la mi-temps, l’enjeu reste de conserver notre large avantage pour ne pas voir revenir Saint-Etienne (menant largement face à Guingamp) tout en espérant un faux-pas bien improbable de l’ASM en Bretagne.

L’équation se complique lorsque quelques surdoués du Virage Nord se mettent, à la reprise, à arroser Leca d’objets divers. Peu de chose en soi, mais l’incident s’ajoute à un jet de pétard de la part des surdoués du Virage Sud en première période. A Furiani, tout le monde aurait invoqué le contexte corse puis l’arbitre, la ligue, le Pape et le Dalaï-Lama auraient opportunément tourné les yeux de l’autre côté du stade pour voir si par hasard leurs couilles ne s’y seraient point trouvées. Manque de bol, dans une région quoi qu’on en dise civilisée comme la nôtre, les délégués du match se sentent habilités à faire un exemple et nous sortent le grand jeu : interruption d’un quart d’heure, menaces d’arrêt du match et CRS au pied de la tribune. Qu’on ne s’y méprenne pas : le comportement de certains abrutis chez nous n’a rien d’excusable et nous vaudra sans doute un huis-clos mérité à la rentrée. Néanmoins, dans le contexte sécuritaire ambiant, on ne s’empêchera pas de penser que la Ligue et les pouvoirs publics ont réagi à l’événement en amplifiant avec délectation une affaire qui aurait mérité de se régler à l’intérieur du virage avec deux ou trois tartes dans la gueule des fautifs.

Bref, la rencontre reprend avec un quart d’heure de retard, sur un rythme nettement diminué. Bastia tente parfois d’attaquer mais, se trouvant à la fois en sous-nombre et à la frontière de l’infirmité podologique irréversible, ne nous inquiètent guère. Face à la quasi-absence de danger, nous nous contentons de laisser passer le temps en produisant quelques actions de temps à autre.

Alors que les victoires de Monaco et de Saint-Etienne se confirment, ce qui nous offre la 4e place à condition de ne pas laisser Bastia revenir, les Corses ajoutent un attaquant supplémentaire en la personne de Djibril Cissé. Nous réagissons en passant à une défense à trois (Aloé remplaçant Payet). Bien que récurrent, ce changement peut susciter quelques inquiétudes au sens où il nous amène à reculer automatiquement face à des adversaires pourtant peu dangereux. Heureusement, Ayew s’adapte à cette nouvelle configuration en continuant à effectuer un important travail de récupération aux côtés d’Imbula. Le slipomètre reste d’une sérénité totale. Ocampos s’offre même un festival au milieu de quatre Bastiais, pour une victoire sans aucun but né d’une action construite mais non moins convaincante (3-0, 89e).

 

Les joueurs

Mandanda (NN/5) : Une sortie où il évite l’irréparable face à Sio, un arrêt peu difficile en deuxième mi-temps, et même pas une connerie défensive d’un coéquipier à compenser.

Nkoulou (4/5) : Quand l’on s’aperçoit que Giovanni Ciot est l’homonyme du premier secrétaire PS des Bouches-du-Rhône, on relativise tout de suite le sérieux de la menace. Nicolas a géré tout ceci une main dans le slip, quitte à se relâcher un peu par moments.

Fanni (3/5) : Quelques relances ou placements à la con, sans grand dommage cependant. Pour un type quasiment chassé à coups de pierres au mois d’août, se retrouver en mai avec un hommage projeté sur les écrans géants du Vélodrome atteste en tout cas d’une belle force de caractère (pas autant que lui, mais tout de même).

Morel (3+/5) : Une première mi-temps de luxe, et une deuxième où il finit physiquement à l’agonie au risque de nous mettre en péril. A noter aussi cette observation : on a pu entendre Parisiens ou Bordelais évoquer « une grosse ambiance », pour des événements aussi marquants qu’une célébration de titre ou une inauguration de stade. Sachez cependant, Messieurs, qu’il suffit d’un but de merde de Morel sur une frappe déviée pour que le Vélodrome émette trois fois plus de bruit que vos sauteries.

Imbula (3-/5) : Quelques belles percées, mais aussi des pertes de balle à transformer notre raie en pressoir à olives. Le fait que Gianelli prenne autant de risques qu’il soit premier relanceur ou relayeur plus avancé ne fait rien pour la longévité de nos sous-vêtements.

Ayew (4/5) : Ne disons rien, observons seulement une minute d’applaudissements :

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Merci.

Thauvin (3+/5) : Rien à faire, il a beau s’arracher de tous les côtés du terrain, dribbler provoquer, il y aura toujours un mauvais choix de sa part, ou d’un coéquipier, pour l’empêcher d’être décisif. Alors que s’ouvre Roland-Garros, on peut saluer sa saison digne d’un tennisman français.

Ocampos (66e) : Tel la prostituée marocaine qui t’offre une pipe-surprise à la fin de ton séjour. Oui, je suis sensible à tes attentions, mais c’est pas forcément pour ça que je t’emmènerai avec moi pour la rentrée. En tout cas, pas pour 14 millions.

Alessandrini (3/5) : Pas beaucoup de réussite devant, mais des efforts (y compris défensifs) louables. Un match pépère en attendant de récupérer les clés du camion la saison prochaine.

Payet (4/5) : Ne disons rien, masturbons-nous seulement pendant une minute.

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(rhââââ) Merci.

Aloé (81e) : Rien à signaler, on aura le temps de claquer des fesses l’an prochain.

Gignac (3-/5) : Pas d’exploit pour sa dernière avec nous, mais on s’en tape. Ce soir, c’était la dernière étape d’un long chemin ensemble, au cours duquel André-Pierre se sera montré tour à tour maladroit, buteur, tête de con, enragé, décisif, combatif, bordélique, hors-jeu… en un mot comme en cent : Marseillais.

A l’heure de son départ, André-Pierre n’a pas hésité à insister sur son amour pour Marseille.

Batshuayi (82e) : Quelques occasions qu’il n’est pas parvenu à conclure.

 

L’invité zoologique : Pandão

Après son cousin roux l’an dernier, c’est le panda géant qui est notre invité. Balourd, idiot, il se croit le roi de la planète du moment qu’il se trouve dans ses 1000 m² de forêt de bambou où il s’autorise à penser que la théorie de l’évolution, c’est bon pour les gaulois. Peu importe qu’en dehors de cette aire tout le monde le prenne pour un tocard voué à une extinction que l’on souhaite prochaine.

  • Les autres : Dans un maillot camouflage du meilleur goût de chiottes, les Bastiais n’ont pas tenté grand-chose et, quand ils l’ont tenté, leur incapacité congénitale à accomplir un geste ressortissant à ce que les experts nomment « football » le leur a bien fait regretter. S’ils expriment sans doute de réelles capacité dans le contexte corse®, force est de constater que leurs moyens semblent disparaître une fois transposés dans un environnement où les rapports humains sont régis par d’autres principes que le code d’honneur néandertalien. Une pensée cependant pour Djibril Cissé, dont le Vélodrome était aussi l’hôte des adieux ce samedi soir.
  • Le classement : Nous voici donc finalement 4e. Décevant après les promesses de l’automne, rageant eu égard à la perte financière et sportive d’une non-qualification en LdC pour la deuxième fois d’affilée, déprimant si l’on considère que le Destin – cet enculé dans son maillot jaune – a contribué pour beaucoup à nous priver des quelques points nécessaires à atteindre le podium. En revanche, nous nous dispensons des deux tours préliminaires que nous aurait valu la 3e place, ce qui est un mal pour un bien : même si c’est au prix d’une qualification en « petite » coupe d’Europe, notre classement a le mérite d’ôter un peu d’aléatoire dans une intersaison qui n’en manquera pas.
  • Les départs : A l’heure actuelle, les partants certains sont Ayew, Gignac, sans doute Fanni et, ne l’oublions pas, Fabrice Olszewski. Notre traductor a en effet annoncé son départ à l’issue de la rencontre. Outre les craintes de ce qu’une telle décision peut vouloir dire en creux concernant Bielsa, on regrettera un personnage attachant qui aura amené, à défaut de rigueur lexicale, la fraîcheur et la spontanéité qui risquent de manquer de plus en plus à notre football. Notre déclaration d’amour de la mi-saison, elle s’adressait autant à Bielsa qu’à toi.
  • La remarque volontairement naïve : tout aspect émotionnel mis à part, ne pourrait-on pas considérer que l’attitude « j’adore ce club mais je ne peux pas y rester car ils ne peuvent pas s’aligner sur mes demandes de salaire» est un petit peu – mais juste un peu, hein – faux-cul ? Je veux dire, personne ne vous force à demander une augmentation, n’est-ce pas. Autant on peut comprendre une volonté de départ vers un grand club européen, autant se casser pour enterrer sa carrière à West Ham ou Newcastle, j’ai du mal à y voir une logique en dehors du plaisir de se torcher avec l’effigie de la Reine Elisabeth. Bref, je souhaite sincèrement bon vent aux partants, en espérant que vous sachiez vraiment ce que vous faites.
  • L’académie anniversaire : Si tu l’as ratée les années précédentes, fais-toi plaisir avec la Canebière académie du 26 mai 1993.
  • La bonne cause : Dromaman participe à un concours. Si tu veux l’aider à voir sa photo affichée en grand à l’aéroport de Marignane, vote ici.
  • Le bilan : si la motivation est là, on fera une Canebière académie de bilan très prochainement. N’hésite pas à envoyer questions, demandes, créations, bref tout ce que tu veux voir ou revoir de cette saison (camelus.blaah [at] gmail.com)
  • La page abonnement: Pour que vive l’Alterfoot cananal historique
  • Les réseaux : ton dromadaire préféré blatère sur Facebook et sur Twitter.

Ils nous ont accompagnés tout au long de la saison : Monsieur Lapin et Gianluigi vous souhaitent de bonnes vacances et vous donnent rendez-vous la saison prochaine.

 

Bises massilianales,

Blaah

18 thoughts on “OM-Bastia (3-0), La Canebière Académie dit au-revoir

  1. Il y a quand même un gros point noir pour la période qui s’annonce, qui devient récurrent et extrêmement gênant quant au sérieux de la gestion du club. Les départs de Gignac, Ayew et Fanni sont gratuits. GRATUITS. GRA-TUITS.

    Merde.

    Bravo pour cette saison l’ami.

  2. Merci pour la saison, merci pour l’académie, merci d’avoir publié vite pour que Certain se remettent vite au taf après leur weekend en Bretonie…

  3. C’était un bonheur de te lire tout au long de la saison. Bravo M. Blaah. Et puis quelle saison, quels matchs ! Je me souviens de la première mi-temps du premier OM-PSG : c’était du Dillinger Escape Plan dans une petite section de maternelle. Vu qu’ils s’en vont j’espère que c’est Jurgen Klopp qui remplacera le traducteur et l’adjoint de Bielsa.

  4. Pareil que Mr Pédals. Rdv début août. L’été sera chaud dans les maillots, joyeux bordel en perspective.
    Et bye bye Ocampos, merci mais non merci, faut pas rester là gamin, tu ne sers à rien.

  5. Merci merci. Petite précision : nous serons qualifiés directement pour les groupes de l’Europa Ligue seulement si le PSG ne joue pas au con aface à Auxerre et remporte la finale de coupe de France. Dans le cas contraire, ce sont les Bourguignons qui se qualifient directement tandis que nous passons par deux tours préliminaires contre des clubs de merde, genre Mlada Boleslav.

  6. Je pense que tu confonds tout : Mlada Boleslav c’est le groupe d’handicapés qui a gagné l’Eurovision.

  7. Super agréable d’avoir suivi la saison à te lire avec Gianluigi et monsieur Lapin. À l’année prochaine pour des académies venues des pays de l’est riches en invités zoologiques. Comme dirait Valérie, merci pour ce moment.

  8. D’accord Tradouctor était rigolo, sympa (mais en fait je le connais pas), frais par sa naïveté, son côté Gaston Lagafe…
    Mais pour Bielsa quoi… le mec qui choisit ses mots comme personne dans le foot, le mec qui a des valeurs claires et une philosophie à faire passer.
    Face aux journalistes du Phocéen-mes-couilles c’était incompréhension à la chaîne et ça a pas dû aider Bielsa. J’imagine même pas avec les joueurs…
    Je préférais la meuf du début, elle semblait calmer les journalistes comme une puéricultrice, et semblait titiller les hormones de Père Castor.
    Merci

  9. @l’éto’o se ressere : si ce n’est pas Baup, ça jouera à fond, car qui à part ce con de Elie peut envoyer des remplaçant et des CFA en coupe d’Europe pour pas se qualifier car les titulaires ont joué le coup…

  10. Façon Om ante-Deschamps de grosses performances jusqu’aux quarts et une élimination face à un club de l’Est dont tous les joueurs partiront la saison suivante.

    Concernant le départ des joueurs gratuits, c’est un véritable scandale qui montre la gestion calamiteuse du club. De plus tout le monde sait que racheter des joueurs du niveau de Ayew ou Gignac coutera autant en transfert sec que de renouveler les contrats de ceux-là. Si Labrune ne peut empêcher Nkoulou ou Mandanda de partir libre(s) l’an prochain, on pourra parler de faute professionnelle (en admettant que ce ne soit pas le cas pour cette saison).

  11. CLAPCLAPCLAPCLAPCLAPCLAAEWPCLAPCLAPCLAPCLAPCLAPCLAP
    Merci.

    A jamais 4emes
    Allez l’OM !

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