Aïoli les sapiens,

Centre d’entraînement de la Commanderie, juin 2023 :

  • Javier, pour remplacer Igor j’ai des critères prioritaires : d’abord il faut qu’il ne parle pas trop fort, et ensuite qu’il arrête de prendre des buts sur des frappes déviées de 35 mètres. Le reste je m’en tape.
  • Attends Pablo, les buts improbables c’est pas la faute de l’entraîneur, c’est juste qu’on a été poissards comme pas possible cette saison.
  • Bien sûr que si c’est la faute d’Igor ! Tu sais le placard qu’on avait condamné, dans les vestiaires, que j’avais fait mettre une tête de mort sur la porte avec en gros « NE PAS OUVRIR ». C’est là qu’on avait des joueurs qui faisaient des rituels de sort de titularisation éternelle. Sauf que ce con d’Igor, quand on le lui a dit, il s’est énervé, il a raconté que c’était que des conneries de paysans superstitieux et il a défoncé la porte du placard à coups de latte pour y ranger ses haltères. Note, après ce coup t’inquiète pas qu’il y croit aux dieux vaudous maintenant, non seulement à partir de ce moment on n’a pas arrêté de prendre des buts à la con, mais en plus il retrouvait une couille dans son café et des rats crevés sur son palier chaque matin. Je comprends qu’il ait craqué et qu’il soit parti, sauf que maintenant en plus du mercato je dois gérer la déesse Erzulie qui n’est toujours pas calmée.
  • Mais ça c’est pas une question d’entraîneur. On a le Pape qui vient à Marseille en septembre, ça peut pas être une mission pour lui, ça ?
  • Me fais pas rire, Javier. Le Pape, à partir du moment où il a annoncé sa venue il est passé trois fois en chirurgie, ça vient de qui d’après toi. Il va nous claquer dans les pattes avant d’arriver, et de toute façon je peux pas me permettre d’attendre septembre. Déjà que je dois trouver des clubs pour Lirola et Amavi, si en plus je dois calmer une déesse vaudou je vais pas m’en sortir, deux trucs surnaturels je peux mais trois à la fois je vais craquer. Je tourne déjà à trois paquets, mon médecin me regarde déjà d’un sale œil.
  • Tu lui as parlé que des clopes ou aussi du reste ?
  • OK, trois paquets et deux lignes par jour, mais si on s’arrête à des dét… attends… lignes… lignes… MAIS OUI PUTAIN, JE CONNAIS CELUI QUI IL NOUS FAUT !
  • Attends, Pablo, tu parles quand même pas du Géomètre ?
  • Mais si Javier, si ! Bien sûr qu’il va nettoyer tout ce foutoir, c’est le seul qui en est capable !
  • Mouais. Mouais, à la réflexion t’as sans doute raison. Ceci dit tu m’excuses, je vais aller me bourrer la gueule et finir en boîte, parce que quand il sera là, j’ai pas l’impression qu’on va rigoler tous les jours.


Centre d’entraînement de la Commanderie, juillet 2023 :

  • Donc Marcelino, ça c’est le vestiaire, et tu vois ce placard, ce qui serait bien c’est que t’ailles y faire un tour, c’est un peu une tradition pour chaque nouvel entraîneur.
  • Ce n’est pas un bizutage au moins Pablo, hein, parce qu’une fois au lycée, les copains m’ont fait un coup de ce genre et une fois que j’étais entré, ils m’ont attrapé et passé le zizi au cirage. C’était très convivial, on a bien ri, mais c’est un peu salissant tout de même.
  • Mais non, t’inquiète pas, c’est une sorte de cabine de recueillement.
  • Ah oui, une retraite spirituelle en quelque sorte. Ca me rappelle quand j’étais chez les scouts.
  • C’est ça, c’est ça, allez, vas-y, entre, moi je remonte avec Javier me bourrer la g… travailler aux recrutements et on se retrouve plus tard, ok ?
  • Euh oui mais, Pablo je voulais dire que… ah, tu as déjà claqué la porte. Oh ben tiens c’est verrouillé. Il n’est pas très bien rangé ce placard, il faudra que je dise aux gens de ménage de mettre un peu d’ordre là-dedans. Oh, une fumée rose, c’est curieux. J’espère que je ne vais pas faire de l’asthme, en plus j’ai laissé mon inhalateur en haut.
  • QUI ES-TU ET QUE VIENS-TU FAIRE ICI PAUVRE INCONSCIENT ?
  • Oh ben ça alors c’est rigolo, je ne vous avais pas vu arriver. En tout cas bonjour Madame, je suis ravi de vous rencontrer, sauf si vous étiez enfermée dans ce placard pour fumer de la drogue car la drogue fait des ravages, savez-vous, je crois que mon président possède quelques numéros utiles si vous voulez vous faire aider…
  • CESSE CES PAROLES INEPTES ET PROSTERNE-TOI DEVANT ERZULIE.
  • Hihihi, j’ai compris, vous me faites une farce c’est ça ? Il faudra que je dise à Pablo que tous ces effets spéciaux n’étaient pas nécessaires, la fumée, les éclairages, les éclairs, ce n’est pas une façon très raisonnable de dépenser le budget du club ! En tout cas je vzbxetxfxjkvbpt mais… vous… vous me montrez vos… votre poitrine ? Mais Madame je… oooh.
  • MAIS QUI ES-TU POUR DETOURNER LE REGARD DU CORPS DE LA DEESSE DE L’AMOUR ?
  • Excusez-moi Madame, je crois que j’hyperventile, n’auriez vous pas un sac en papier sur vous ? Ou un crayon, pour que je trace des lignes au sol ?
  • DES LIGNES ? UN SORT ? SERAIS-TU UN MAGE SOUS TES DEHORS ANODINS ? TU COMMENCES A M’INTERESSER, MORTEL, TIENS, ACCEPTE CE PINCEAU, PRESENT DE LA DEESSE ERZULIE. Non, ici, dans ma main. Là. Mais ouvre les yeux enfin, abruti !
  • Mais Madame, c’est que vous êtes toujours… nue. Je n’ose poser les yeux sur… Ah, ça y est, j’ai votre main. Vite, mes lignes.
  • Voyons un peu ce dont tu es capable, mortel. Voyons le pouvoir magique de ces tracés mystiques. Est-ce un vévé qui invoque l’une de mes divinités sœurs ? Un pentagramme ? Des runes nordiques, peut-être ? Mais que sont donc ces traits inconnus qui ne se croisent pas ?
  • Oh rien de spécial Madame, c’est que quand je suis un peu stressé j’aime bien tracer des lignes parallèles, ça me détend. Ca m’est venu quand j’étais plus jeune, vous savez, ça vient de quand j’étais au club de Scrabble au lycée, il y a une fois où j’étais à deux doigts de battre Monsieur Gomez, le professeur de mathématiques, alors qu’il avait déjà été champion régional d’Aragon en 1958, donc si je le battais j’allais pouvoir frimer auprès de Jenny (c’était mon amoureuse mais elle ne le savait pas), et là j’avais un X à poser sur une lettre compte triple, donc j’étais un peu en panique devant l’enjeu vous voyez et puis avec mon crayon à compter les points, machinalement j’ai tracé des lignes parallèles et ça allait mieux, alors depuis, vous comprenez
  • TU TE MOQUES DE MOI, INSIGNIFIANT ! MAIS NE FAIS PAS LE MALIN, JE T’EMPORTERAI COMME LES AUTRES DANS LE TOURBILLON DE MES PASSIONS. JORGE S’EST CONSUME DEVANT MOI, IGOR A CRU POUVOIR ME DOMPTER MAIS IL A FINI PAR RAMPER A MES PIEDS, MEME ANDRE N’A PAS PU GARDER LA TETE FROIDE DEVANT LA DEESSE DE L’AMOUR.
  • Oh mais Madame, je suis marié et heureux en ménage. Mais votre main, que faites-vous dans mon pantalon mais, je… ooooooooooh.
  • Déjà ? Heu…je veux dire DONNE-TOI A MOI MORTEL ET VIENS T’EMBRASER COMME TANT D’AUTRES A MARSEILLE.
  • Excusez-moi Madame, pourriez-vous arrêter de crier s’il vous plaît, je dois dessiner mes lignes. Voilà, mes lignes… C’est bien, mes lignes.
  • TU LE PRENDS COMME CA, PAUVRE FOU. TU ME DEDAIGNES. SOIT. JE DECHAINERAI SUR TOI L’ENFER. JE POSSEDERAI L’ESPRIT DES ARBITRES POUR QU’ILS VOUS SPOLIENT, JE PLOIERAI LES POTEAUX POUR QU’ILS S’OPPOSENT A VOS TIRS, JE SOUMETTRAI A MA VOLONTE LES LOIS DE LA PHYSIQUE POUR QUE LES BALLONS FINISSENT DANS VOS FILETS, TOUTES LES FORCES DIVINES VOUS SERONT CONTRAIRES JUSQU’A CE QUE VOUS PLONGIEZ DANS LE DESESPOIR
  • Excusez-moi, je n’écoutais pas ce que vous disiez, j’étais occupé à tracer mes lignes. Votre pinceau n’a plus d’encre, pourrais-je avoir l’audace de vous réclamer un autre crayon Madame, s’il vous plaît ? Madame ? Mais où avez-vous disparu ? Oh saperlipopette, il n’y a plus personne. Ce Pablo et ce Javier sont de sacrés farceurs, quand j’y pense, quel travail ça a dû être d’organiser cet accueil. Bon, allez, d’abord aller changer de caleçon, et ensuite aller voir les joueurs pour travailler mon 442.


Les Longorious Basterds 

Lopez
Clauss – Gigot– Mbemba – Renan Lodi
Sarr (Guendouzi, 80e) – Rongier – Veretout Harit (Mughe, 49e)
Ndiaye (Vitinha, 64e) – Aubameyang

Ce match voit la première apparition d’Harit dans le XI de départ depuis l’an pèbre. Celles et ceux qui n’ont pas lu l’introduction ci-dessus en déduiront naïvement que sa blessure est définitivement derrière lui. A l’infirmerie, justement, Kondogbia annonce un forfait de six semaines environ, ce qui amène la reconstitution des Rongetout au milieu. Devant, Vitinha reste cantonné au rôle de super-remplaçant.


Le match

Il se confirme donc depuis plusieurs matchs que l’OM est à l’image de son entraîneur : géométrique. Et précoce. Après une galette savoureuse d’Harit vendangée de la tête par Sarr, c’est Veretout qui adresse un coup-franc de la gauche à Mbemba qui, au deuxième poteau, montre à Ismaïla comment on fait pour cadrer une tête (1-0, 4e).

A l’image des Dupondt dans « On a marché sur la Lune », les Brestois paraissent avoir mal compris l’horaire de report de la rencontre et vouloir se présenter au stade à 7h plutôt qu’à 19 heures. Pour autant, l’OM ne profite pas de leur absence pour taper, taper, taper, mais se recentre sagement sur les plans de l’entraîneur dont le ballon ne fait pas partie. Les partisans de la rigueur après la folie tudorienne en sont pour leurs frais : l’OM se trouve autant en danger que la saison précédente, la seule différence résidant dans le fait que l’on se fait chier comme des rats morts devant Télématin.

Brest monopolise un ballon dont nous ne voulons pas, et se montre dangereux plus souvent qu’à son tour. Leurs attaquants placent régulièrement leur tête dans notre surface, ce qui entre Mbemba et Gigot n’est pas donné à toutes les équipes de Ligue 1. Fort heureusement, qui dit « tirs de près » dit « j’envoie les arrêts-réflexe sans que mon cerveau ait le temps de douter » : dans ce registre, Pau Lopez se montre impérial notamment face à Camara à la demi-heure de jeu. Si la tactique réside dans l’acceptation d’une certaine domination adverse pour placer des contres meurtriers, l’échec est total : insécure derrière, l’OM gâche ses rares transitions offensives par une maladresse sans nom. Harit multiplie ainsi les pertes de balle suicidaires tandis que Veretout goinfre une situation de deux contre un d’autant plus regrettable qu’elle faisait suite à la seule action réussie d’Aubameyang dans cette période.

La deuxième période s’annonce du même tonneau quand Clauss détourne par réflexe une reprise au premier poteau sur corner. C’est à croire que l’OM ne sait pas concéder de buts normaux : nous attendons donc patiemment que Brest s’en rende compte et cesse de construire de jolies actions pour faire comme tout le monde : tirer n’importe comment des 25 mètres en attendant que quelqu’un dévie dans le but ou que Lopez se troue. Notre gardien est cependant dans un excellent soir, détournant une nouvelle tête de Mounié. On ne peut pas en dire autant d’Aubame, qui gâche un centre idéal de Lodi en envoyant un pladupiésécurité à Endoume.

Bref, les choses se précipitent, avec cependant une permanence dans la possession de balle bretonne qui augure d’une fin de match sous tension slipométrique. Une inflexion significative est apportée par l’entrée de Vitinha qui, à défaut de marquer ce soir, amène l’action de déménageur qui faisait défaut dans la défense adverse. Dès son entrée, il met ainsi le oai en se battant dans la surface pour conserver le bénéfice d’une bête touche : nettoyé par Veretout, le ballon parvient à Lodi, dont le centre au premier poteau vise le Portugais : Victor ne parvient pas à reprendre mais perturbe suffisamment le gardien pour que celui-ci relâche devant Sarr, qui inscrit ici un but délicieusement dégueulasse (2-0, 65e).

Vitinha, lui, s’il ne joue que 30 minutes par match, c’est pas pour tracer des lignes. Une percée de mammouth de notre avant-centre est relayée par Sarr pour Aubameyang, dont le tir file droit sur le gardien.


Brest accuse le coup mais continue à se procurer quelques occasions, échouant cependant devant un Lopez intraitable. Vitinha, lui, se fend d’un éclair de subtilité dans un match de tractopelle, avec un dribble de dégagement qui lui ouvre une position de frappe idéale, malheureusement déviée de la hanche par le gardien.

La maîtrise olympienne se fait de plus en plus palpable, ce qui fait passer la victoire pour acquise sauf bien entendu en cas de cataclysme. L’improbable étant chez nous quotidien, c’est donc sans un poil de sec que nous abordons le temps additionnel. Pour une fois, les seules raisons de s’agacer résident dans les échecs d’Aubameyang et Guendouzi : notre défense, elle tient jusqu’au bout.

L’OM s’impose ainsi dans un match constitué essentiellement de rien, ce qui laisse à penser ^qu’à la différence de ses prédécesseurs plus foutraques, le Géomètre a intérêt à finir sa saison sur un trophée s’il veut qu’on retienne quelque chose de son passage chez nous.


Les joueurs

Lopez (4/5) : C’est ça la solution : le bombarder de tirs pour qu’il arrête tout sans avoir le temps de se dire « oh là là, je vais rater » ou, encore pire, qu’il doive prendre l’initiative de tenter une sortie.

Clauss (3/5) : Un beau sauvetage pour rappeler qu’il était là et éviter à ce match d’être le moins mémorable de son histoire.

Gigot (3/5) : D’habitude, quand Samuel est battu sur un centre, ça l’énerve et il s’engage deux fois plus dans les duels jusqu’à s’exploser et finir le match avec un bandage. Là non, il a dû recevoir des consignes de son neurologue.

Mbemba (3+/5) : Note en suspens dans l’attente d’être absolument certain que la VAR ne va pas invalider son but.

Renan Lodi (3+/5) : Ses coéquipiers le laissent se démerder seul en défense et gâchent ses centres : Renan est l’archétype du daron qui se démène à faire le ménage et la cuisine pour des ados ingrats même pas foutus de débarrasser leur table.

Sarr (3-/5) : L’un desdits ados, réveillé à 11 heures du matin et mis en action péniblement à 13h, qui soupire « azy c’est bon, j’vais l’faire », marque son but de crevard et retourne faire des jeux vidéo.

Guendouzi (80e) : Entrée percutante et qui aurait même pu s’avérer décisive avec un peu plus de réussite à la finition. Un combattant dans l’âme qui reste assurément un pilier de l’équ… ah bah non, on m’annonce qu’il dégage à la Lazio dans le cadre du « OM hall de gare project ». Les joueurs de foot à l’OM c’est comme les bébés chatons chez les mamies ardéchoises, faut pas s’attacher : une fois que les comptes des bouches à nourrir sont faits, il y a des sacs lestés qui se retrouvent à la rivière sans état d’âme.

Rongier (2+/5) : « Dites, coach, je les trouve très jolies vos lignes, mais ôtez-moi d’un doute : quand vous écrivez « 442 », ça veut dire que nos ailiers viennent nous aider au milieu, ou bien que Jordan et moi on doit bosser comme quatre ? »

Veretout (3/5) : Impliqué dans les deux buts olympiens et, à l’image de l’équipe, prodigieusement dégueulasse entre ces deux moments.

Harit (1/5) :

  • Javier, t’as le numéro de l’équarisseur ? J’ai une offre des farines Sotramo Parola, au cours actuel de la croquette il ne faut pas laisser passer l’occasion
  • Non mais Pablo, ça va pas, la tête ?
  • Ben quoi. C’est pas une blessure qui s’opère ça, on va pas le laisser souffrir. Et de toute façon avec le match qu’il a fait c’est pas à l’Inter de Milan qu’on l’aurait transféré. Alors, je leur dis quoi, aux farines animales ?
  • Pff… dis-leur ce que tu veux, moi je préfère aller me bourrer la gueule.

Mughe (49e, 2/5) : Bien fondu dans notre jeu appétissant comme un régime sans résidu (celui qui prépare à la coloscopie).

Ndiaye (1/5) :

  • Javier, tu me redonnerais le numéro du Genoa s’il te plaît, je crois qu’ils seraient intéressés par Iliman, je me disais, comme il a l’air d’avoir raté son adaptation chez nous, on pourrait peut-être prendre un petit billet… Javier ? T’es où ?

Vitinha (64e, 4/5) : Ce genre d’entrée en jeu, c’est l’équivalent du nitroglycéryméthanol dans le réservoir au dernier tour de l’arsouille. Une sorte de facteur X.

Aubameyang (2-/5) : Puisque quand il marque on ne gagne pas, Pierre-Emerick a pris le parti de sacrifier ses occasions aux dieux : à partir de quatre duels avec le gardien croqués, ceux-ci consentent à nous lâcher la grappe sur ls poteaux et les tirs déviés.


L’invité zoologique : Romain Del Castorillo

L’atout du castor c’est pas de viser le prix Pritzker, c’est de construire du barrage bien solide et imperméable, du mastoc, du robuste, du durable. Le castor est donc bien l’invité approprié pour évoquer ces équipes totalement imbitables dès qu’elles opposent un blocquéquipe à se frapper la tête, mais plus propices à nos résultats dès lors qu’elles se mettent en tête  de vouloir jouer au football.

  • Les autres : C’est joli mais ça tient pas la distance et ça ne met pas ses occasions. C’est parfaitement ce qui nous convenait.
  • Le classement : en attendant les matchs de ce dimanche, nous sommes premiers ex aequo avec Monaco. On notera le sur-place de Lens, déjà six points derrière mais qui souffre cependant d’un calendrier de début de saison plus ardu que le nôtre.
  • Coming next : Nous nous déplaçons à Nantes vendredi pour le dernier match avant la très internationale. Nous passerons ensuite à la vitesse supérieur avec un enchaînement Toulouse-PSG-Monaco qui nous permettra d’y voir plus clair sur nos ambitions.
  • Les réseaux : ton dromadaire préféré blatère sur Facebook, sur Instagram et sur Twitter. Homerc remporte le concours zoologique.


Bises massilianales,

Blaah

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