Le Brésil, terre de football, de policiers lourdement armés et de réactions parfois très étranges. Pas d’accord avec le juge de touche, pas d’accord avec l’arbitre central, ce jeune homme décide de se rebeller -un peu fort certes- pour ne pas être soumis à l’injustice galopante de cette belle nation fondée sur l’humanisme. Son démarrage est exceptionnel, si un club voit ça, il pourrait songer à le faire signer. On sait déjà comment le motiver.
le 4e arbitre en survet du dimanche. même lui commence à savoir qu’il sert à rien
faut dire que des fois, le chapron ou le duhamel, ça leur ferait pas de mal de s’en prendre une ou deux, histoire qu’ils se détendent un peu.
@ Skeeter : oui, ou qu’on leur coupe une main quand ils mettent un carton non justifié.
@ JacquesFacial : ah bah non ! sinon ils n’auront plus de main pour mettre des rouges parfaitement justifiés à tous les adversaires de cette valeureuse équipe du PSG.
Parait qu’il a juste pris un avertissement verbal. Il a marqué un but en fin de match.
Décidément la formation brésilienne a toujours une longueur d’avance…
Je verrais bien Zlatan tout puissant faire ça avec nos cadors de l’arbitrage.
Bien fait.
Pepe galère avec le nouveau module de Conte… ça va être pittoresque l’année prochaine avec Tevez et Melo moi j’vous l’dit.
Je rêve de voir Valbuena faire ça un jour
L’injustice sa toile
Putain d’accent du nord. Bon faut les comprendre, ces gens là ne connaissent pas encore la technologie et la culture, comment veux-tu leur expliquer qu’ils sont filmés alors qu’ils savent pas ce qu’est une télévision.
Il démarre tellement vite qu’il arrive trop tôt sur l’arbitre et ne peut pas lui mettre une pêche digne de ce nom.
On comprend de suite pourquoi y’a des militaires avec des gilets pare-balles sur le bord du terrain… !
Encore un qui doit trop écouter P. Menès.
Le vrai scandale, c’est le présentateur qui a piqué la volaille de Clément d’Antibes et l’exhibe fièrement sur son plateau.
D’ailleurs je lance une fatwa sur leur décorateur tant qu’à faire.
on dirait du Intervilles sans la vachette