Rennes-Montpellier (2-2), la Breizhou Académie livre ses notes

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Les dieux leur ont envoyé Jonathan Pitroipa. Puis Thorvoinen pour les consoler

Après une pénible qualification en coupe à Auxerre, retour à la routine hebdomadaire du championnat, avec la réception des anti-héraults Montpelliérains.
Montpellier, qui a eu la drôle d’idée de confier son destin à Jean Fernandez en début de saison, s’est ainsi retrouvé à la trêve avec une peu glorieuse 17e place et 4 points de moins que nous autres Rennais, pourtant bien mal en point à ce moment-là, suite notamment à une grosse biffle anale subie à Sochaux.
Oui, mais voilà, depuis, Montpellier a changé d’entraîneur et s’est mis à tracer son chemin à la force du Roland Tournevis, pendant que de notre côté nous végétions de match nul en match nul avec quand même une petite victoire au passage face à l’équipe du gendre idéal mauvais perdant, pour finalement se viander comme des brêles à Ajaccio. Montpellier se retrouvait ainsi avant le match avec un point d’avance sur les Rennais, ce qui aurait presque pu nous paraître intéressant si entre temps nous n’avions pas vu les Nantais revenir à portée de tir (genre à une victoire à la Beaujoire, par exemple…), suite à leur finalement non-victoire bastiaise.

Mais ne brûlons pas la peau de l’ours avant de l’avoir vendue et revenons à nos hôtes du soir, les Montpelliérains. Ne comptez pas sur la Breizhou pour se moquer de Rolland Courbis, cet homme qui a failli remporter le championnat et failli remporter la coupe de l’UEFA la même année avec l’OM, mais finalement non. Nous, à Rennes, on a toujours eu beaucoup de compassion pour ceux qui ont failli gagner un truc, mais en en fait non, allez savoir pourquoi. En fait, si, on sait, mais on préfère ne pas revenir dessus. Et puis en dehors de ces considérations anales, Rolland Courbis est tout de même le seul entraîneur ayant réussi à faire de Jacques Abardonado un bon joueur, ça mérite le respect.

Puisqu’il est donc malvenu de nous moquer de Montpellier, recensons les dernières recrues Montpelliéraines ayant fait fort logiquement le trajet Montpellier-Rennes : elles sont nombreuses.
Rennes a souvent fait ses courses à Montpellier ces dernières années. Tout a commencé avec Philippe Delaye en 2000, joueur qui sera resté coincé au statut de bon espoir sans jamais vraiment percer. La Breizhou regrette encore que Vincent Hognon n’ait pas été recruté pour former une doublette redoutable, à cette époque où le Stade de la Route de Lorient était ouvert à tous les courants d’air.
Après Philippe Delaye, ce fut au tour de Toifilou Maoulida et sa teinture blonde en 2002, alors que nous venions tout juste de nous remettre de celle d’El-Hadji Diouf, parti 2 ans plus tôt. Joueur laborieux mais volontaire (et sans doute mal utilisé sur un côté), Toifilou restera à jamais dans nos petits cœurs d’artichauts, tout mal coiffé qu’il était.
Puis vint le tour de Cédric Barbosa en 2003, joueur sur lequel la Breizhou n’a pas envie de s’étendre, ni au propre, ni au figuré.
D’ailleurs, l’expérience Barbosa mit un terme temporaire à l’exploration Montpelliéraine par les recruteurs Stadistes. Il fallut attendre 2010 pour voir à nouveau deux joueurs faire le trajet Sud-Nord, avec la triomphale arrivée du duo Johann Carrasso – Totorugo Montaño.

Dans le sens inverse, peu de joueurs Rennais sont allé s’empaillader, jusqu’à l’été dernier, où Yacine Jebbour a accompagné le retour de Totorugo « chez lui ». Deux joueurs que personne ne regrette à Rennes, même si le deuxième nommé laisse tout de même le souvenir d’un joueur qui se sera toujours battu sur le terrain. Signalons tout de même le transfert en 1996 de Pascal Fugier, petit défenseur latéral droit à moitié chauve qui passa 8 années à Montpellier après son aventure rennaise. La Breizhou se doute que Pascal ne la lit pas, mais le salue tout de même.

Guy-Gilbert fait un peu tourner suite au match de coupe à Auxerre, mais aligne ce qui ressemble au 11 titulaire du moment, avec un Sex N’Tep qui pourra notamment profiter de la non présence de défenseurs sur le banc pour réussir au moins une fois dans sa vie à les dribbler tous. Grosicki lui est préféré, avec Enflurini de l’autre côté. Féret étant encore blessé et Doucouré n’étant pas un vrai n°10, c’est Foued Kadir qui reprend la place, ni vu ni connu.
Devant, le grand Toivonen reprend sa place, Oliveira faisant de même avec celle qui est devenu la sienne sur le banc.
Derrière, John Boye est ménagé après son come-back ; c’est Hountondji qui revient lui prendre la place, Canne à Billique étant toujours sur le flanc potelé.

Konpozision

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Ar matc’h

-2′ : On termine la barquette de frites qu’est censée nous aider à mieux digérer les galettes-saucisses et autres consommations plus ou moins locales.
0′ : Tony Chapron siffle le début de la partie sous la pluie, ce qui fait briller son crâne chauve. La dernière fois qu’on l’a vu c’était contre Nantes il me semble. Il avait fait marquer Lucas Deaux mais depuis qu’il sait qu’il n’ira pas à la coupe du monde, il a dû arrêter les conneries.
C’était la minute Pierre Ménès du match.
4′ : Corner d’Enflurini dégagé par les Montpellierains.
5′ : Coup franc d’Enflurini pas cadré.
6′ : Centre d’Enflurini pour Toivonen, mais Congré met en corner. Purée de pommes de terre de Saint-Malo, c’est que c’est bien parti tout ça.
10′ : Tin tintintintin tintin tin. Sex Toivonen la met tranquillement au fond, bien servi par Grokiki. 1-0. En route vers l’Europa league !
Sans déconner, la coupe intertoto, en fait, c’était bien. Rendez-vous compte on avait reçu AstonVilla avec David Ginola et la Juventus avec « Zizou ». Rendez-la nous surtout.
17′ : Montpellier commence à explorer la moitié de terrain adverse sous les averses, et Sanson avec ses cheveux nous propose une frappe molle de mec gentil (j’ai dit gentil, j’ai pas dit homosexuel) que Benoit Costil capte tranquillement.
21′ : Carton jaune pour Kadir parce qu’il aurait marché sur la cheville de Deplagne. Purée, mais il avait le droit, c’est un quenelliste l’autre.
21’30’ : Il ne se passe pas grand chose. C’est un match de ligue 1.
C’était la minute Daniel Riolo.
31′ : Il ne se passe pas grand chose non plus.
32′ : Montano obtient ce qu’il peut obtenir de mieux d’habitude : un corner.
33′ : Montano dégage le ballon qui trainait dangereusement au point de pénalty des Rennais. 6M donc. Merci Totorugo.
35′ : Les tentatives de contre rennaises sont pas dégueues, mais un peu gâchée quand même.
40′ : Frappe toute pourrie de l’arrière droit montpelliérain. Ça sent la ouine vu le score, mais attention quand même, on trouve les Montpelliérains de mieux en mieux, et on a quand même l’habitude de ne pas gagner des matches qui nous tendent pourtant les bras.
42′ : Bon ballon de M’Bengué, purée. Tout le stade est surpris, sauf Enflurini qui présente la particularité de ne pas assez réfléchir pour s’étonner de quoi que ce soit. Bon centre en retrait du Marsennais pour Kadir dont la frappe passe largement au-dessus, sur la barre transversale quoi. Grosicky récupère et tente de dribbler tout ce qui a un maillot différent. Jourdren prend la balle.
45′ : Mi-temps. Je vais aller uriner et passe le relais à Nick Thomert, en direct, devant la télé. Ici la Route de Lorient. A vous centre ville.

2e mi-temps
47′ : suite à un cafouillage, Kadir tire dans un angle improbable, mais la trajectoire trompe Jourdren (ce que l’on peut aisément comprendre, vu sa tronche) pour finir par s’écraser sur le poteau. Sur l’action qui suit, un nonchalant défenseur montpelliérain se fait chiper le ballon par Kadir ; Enflurini tire mais Jourdren détourne.
48′ : corner d’Enflurini mal tiré
49′ : Montano évite le csc d’Hountondji en taclant le ballon à droite du premier poteau de Costil. Tony Chapron siffle corner.
50′ : double corner de Montpellier. Sur le deuxième, Hilton est tout seul pour placer sa tête, mais la met directement sur Costil.
53′ : sur corner, Hilton donne le ballon du bras à Totorugo, qui tire au-dessus. La défense rennaise est complètement à la rue sur coup de pied arrêté.
54′ : Nouveau coup de pied arrêté, tiré par Tiéné : le slip de la Breizhou, déjà souillé par les deux actions précédentes, rend l’âme en voyant Congré, libre de tout marquage, marquer de la tête. Congré, bordel… son retour était censé être une bonne nouvelle pour les Rennais… 1-1
55′ : coup franc d’Enflurini mal tiré.
57′ : sortie de Grosicki et entrée de Sex N’Tep
61′ : Mounier centre sur la cuisse de M’Bengue, alors que Totorugo traînait juste derrière.
61′ : Mounier souffre abominablement quelque part entre la cheville et la hanche, suite à une grosse air-semelle de Danzé
62′ : malgré sa terrible souffrance, Mounier pique courageusement un sprint effréné pour filer au but, mais est signalé horsjeu.net
65′ : M’Bengue récupère un ballon de façon virile mais correcte. Juste derrière, Enflurini lance superbement Sex Toivonen dans la course, qui n’a plus qu’à mettre un petit extérieur tranquille pour battre Jourdren, tout en douceur et volupté. 2-1. Aille jeuste canne guette Henaff
68′ : Sex N’Tep dribble 3 Montpelliérains avant de se dribbler lui-même. À chaque fois avec beaucoup de succès.
70′ : Sortie de Totorugo. Ça nous aura fait plaisir de te revoir, mec, même si on est finalement bien content que tu ne sois plus là avec nous.
74′ : centre d’Enflurini qui atterrit directement dans la Vilaine. Onyekachi Apam, devant sa télé, est impressionné.
77′ : sortie de Kadir, remplacé par Doudoucouré.
80′ : belle combinaison Danzé-N’Tep, mais le Sex black la met trop profond, ce qui n’est pas sans déplaire à l’arrière-garde montpelliéraine
85′ : sortie de Sex Toivonen. Tout le stade se lève pour une standing ovation. Imperturbable, le Suédois se cure le nez. Mais avec classe, bien sûr. Il est remplacé par Oliveira.
89′ : triple corner pour Montpellier. Sur le dernier, Marveaux se retrouve seul à 2 mètres du but, mais sa tête est détournée du pied par Costil. Marveaux était de toute manière horsjeu.net. Après cette triple occasion, la Breizhou se dit que c’est bon, ça va tenir.
90′ : Oliveira perd bêtement le ballon au milieu de terrain, se bat pour le reprendre, mais est pris de vitesse. Cabella en hérite sur le côté gauche et centre pour Camara qui place sa tête hors de portée de Costil, un peu mal placé. 2-2
92′ : sur un coup franc bien tiré par Sex N’Tep (ça change…), toute l’équipe rennaise se retrouve seule devant le but de Jourdren, mais aucun ne réussit à toucher le ballon
93′ : Sur le contre, Costil sort une grosse parade sur une frappe de Camara à l’entrée de la surface.

Deux points perdus contre un adversaire direct qui – comme nous – finira par se maintenir, c’est un peu con, mais il vaut mieux les perdre cette fois-ci que face aux voisins. Vous savez, là, ceux qui portent un maillot immonde et qui ont des roux dans leur équipe…
Mais un point de gagné quand même parce qu’en direct des virages Roazh Takouer a revu tout le match défiler devant ses yeux sur la frappe de Camara à la 93e.

Les gars du Stade

Costil 4/5 : Un peu vexé de s’être pris un but de Daniel Congré, il a sorti son costume de super Billy, auquel Rolland Courbis a répondu en sortant son joker « Souleymane Camara ». ça a marché une fois, mais Billy a rétorqué d’un superbe contre-kem’s pour sauver les meubles, principalement ikéa ce soir.

Danzé 3/5 : On était content de le revoir sur le terrain. Ceux qui diront « bof » méritent d’être attachés à un menhir et de regarder le replay d’Ajaccio-Rennes au ralenti. Face à un Mounier plutôt remuant, il a réussi à tenir son couloir. On passera sur sa relance qui rappelle un peu plus celle de John Boye, et on rappellera qu’il décale brillamment Grosicki sur l’ouverture du score.

Hountondji 3/5 : ça allait en première, mais ça n’a pas tenu en 2e. Un peu mou-mou au duel sur le but de Camara, et pas toujours réactif. On préfère Hountondji tonic. Bon, ça reste notre 4e défenseur central de l’effectif, il aura quand même plus que dépanné.

Armand 2/5 : On ne sait toujours pas s’il picole avant les matches, mais ces deux longs ballons en touche en première mi-temps coup sur coup nous sont un peu sortis par les trous de nez. Après, Pépé, il a le droit d’avoir un peu moins d’impact dans les duels, mais c’est aussi à lui de gérer le bloc défensif pour s’éviter d’y aller.

M’Bengue 3/5 : Non, mais il progresse vraiment. Il avait même un totem d’immunité auprès de Tony Chapron qui lui a permis de pouvoir y aller franco et même d’être à l’origine du 2e but. Il a été en revanche très mauvais durant les 10 dernières minutes.

Makoun 3/5 : S’est consacré uniquement à la relance parce que c’est moins fatigant et où son côté zen naturel a fait merveille, en rendant à ses coéquipiers des ballons propres, mais moches quand même parce qu’orange.

Bakayoko 3/5 : S’est consacré uniquement à la récupération parce que c’est un warrior et qu’il a quand même plus d’impact que le Jean de Makoun. Il avait aussi un totem d’immunité auprès de Tony Chapron qui lui a été fort utile, sauf pour marquer Daniel Congré correctement.

Grosicki 4/5 : Le polonais nous a montré encore de prometteuses qualités. Il y a encore un peu de déchet mais rien d’inquiétant. Le stade de la Route de Lorient l’inspire en tous cas plus que les deux déplacements. Vu qu’il va y jouer plus souvent que dans les autres normalement, c’est bon signe.

Kadir 3/5 : Il revient petit à petit à la compétition après ses pépins physiques, s’est montré disponible, il a essayé de percuter et a beaucoup tenté. Il mériterait mieux sur sa rageante tranversale. Plus en difficulté en seconde mi-temps lui aussi commence a devenir un petit vieux. Vu des gradins, son lob nous semblait au départ très au-dessus, comme un symbole de cidre de Cornouailles de notre propre regard sur le joueur peut-être.

Enflurini 5/5 : une passe décisive de plus pour le CV mais toujours pas de note pour lui, son agent, ou sa mère.

Thorvoinen 5/5 : Il est beau, il est grand, il est blond, c’est dieu ? Presque, c’est Thor. Il n’y a rien à redire. Une  finition rouge et noir qu’on avait plus vu que dans les anciens FIFAs ou dans les dernières saisons d’une ligue des masters PES très avancée. Sauf blessure le nordique finira meilleur buteur du club.

Les entrées en jeu

Sex N’tep pour Grosicki, 57e, 1/5: le problème avec Sex N’Tep, c’est qu’il fait systématiquement la même chose : il reçoit le ballon sur son côté et ne le lâche plus avant d’avoir dribblé le latéral et les deux défenseurs centraux. Pour le moment, ça ne fonctionne pas et on aimerait bien le voir faire autre chose, de temps en temps. Genre faire des passes ou participer au repli défensif.

Doucouré pour Kadir, 78e, 1/5 : On s’attendait à mieux les contenir au milieu, mais il n’a rien apporté.

Oliveira pour Toivonen, 82e, 1/5 : non plus. En tout cas pour Rennes. Si ce n’est un petit coucou au RCK qui a salué son entrée.

Les autres apparitions

Totorugo 4/5 : ça fait plaisir de revoir le meilleur buteur de l’histoire du club en coupe d’Europe. Encore plus quand il joue pour l’adversaire.

La pluie 1/5 : Purée, ça faisait longtemps. Comment tu vas depuis tout à l’heure ? Toujours humide ?

Le chant pour Oliveira du RCK 3/5 : Oliveiraginal et plutôt sympathique à défaut d’avoir réussi à le mettre dans le bain. La Breizhou aime bien quand on chante sur les joueurs de toute façon. Ou leurs femmes aussi. Ou leurs mères aussi.

La non-apparition

Jebbour Non Noté : Il n’était même pas là, ce con, mais la Breizhou serait un peu malhonnête si elle disait que ça lui aurait fait plaisir de le revoir. En fait, c’est surtout qu’elle s’en fout. Elle l’aimera de nouveau quand il aura fait vraiment mal à Bauthéac.

 

Roazh Takouer, Nick Thomert, et Pokou d’Amour

11 thoughts on “Rennes-Montpellier (2-2), la Breizhou Académie livre ses notes

  1. Joli résumé et beau travail d’archivage sur les échanges entre Island & Ugly et anti-Hero. Parmi les joueurs ayant porté liquettes de Jeanne Mas comme celles de la sécurité civile, citons l’ineffable Cyril Youngfield qui ornera son petit annuaire rouge lors de la 1ère journée en (?) 2003 à la Mosson sous les couleurs rennaises, avant de réitérer 6 ans plus tard lors de la 1ère journée itou contre le PSG sous les couleurs pailladines.

  2. Bordel à montagne, il me semblait en effet en avoir oublié un, mais sans réussir à le remettre. C’était donc Olivier Sorlin. Merci, Mr. Q.

  3. T’as fait tout un paragraphe sur les joueurs communs à Rennes et Montpelier sans parler de Cyril Jeunechamp !
    A ta place, j’irais souscrire une mutuelle santé béton et vite, parce que s’il le prends mal…

  4. Non, mais z’êtes fou, Cyril Jeunechamp reste à jamais dans nos coeurs. Simplement, il est passé par Nice avant de rejoindre Montpellier. Là, on voulait juste parler des transferts directs.
    Sinon, on aurait aussi parlé de John Utaka.

    Bon Sorlin, c’était un vrai oubli. Mais en même temps, c’était pas forcément plus mal de l’avoir oublié. Il est brave quand même.
    Autre oubli, Jocelyn Gourvennec, qui est passé par Montpellier avant de revenir en case départ Stade Rennais et d’avoir été très mal utilisé par Christian Gourcuff, rappelons-le.

  5. C’est vrai qu’elle est belle cette compo didon. j’espère que Thorvoinen va pas s’arrêter là et ne va pas devenir l’Oliveira blanc.

  6. Quitte à compléter la liste, ne pas oublier l’inénarrable et belliqueux (ce n’est pas sale) Grégory Vignal. Mais bon, vu qu’il a tapiné dans à peu près tous les clubs d’Europe, ça compte pas, je sais

  7. Du coup, obligé de relancer de 2 noms : Pascal « Fugigoal » Fugier, et Toifilou « bandelettes » Maoulida. Le premier est me semble-t-il un vrai transfert direct 35 to 34, et laisse un souvenir impérissable grâce à ces quelques buts à charge émotionnelle optimale (et aussi la balle du 5-0 au Vélodrome complètement croquée ce fameux soir) et l’autre un souvenir périmé vues les banderoles Maouligay qui l’attendaient à la Mosson lors de sa dernière venue. Au final, personne ne semble avoir fait l’affaire du siècle dans ces moults échanges (à part peut-être le prix de cession de VHM de 6.5M en 2010?)

  8. Parler d’Hognon et de galettes saucisses, la Breizhou reste une acad’ culinaire avant tout, et c’est pour ça qu’on l’aime (la Breizhou, pas les galettes saucisses oignons. Enfin j’aime aussi les galettes saucisses oignons, mais ça n’a aucun rapport.)

  9. @Abidal Lector
    A la moutarde, la galette-saucisse, à la moutarde. La seule qui ait de l’attaque, de l’envie et de la percussion, comme un sein bol de Grokiki (d’où la saucisse)

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