Monaco-Montpellier (1-1) : la Paillade Académie ric et rac.
Le bonjour chez vous s’il n’y a personne.
C’est vide, le sens. Nombre d’hommes ont essayé d’en remplir la panse onirique, en vain, d’en forcer l’ouverture pour la gaver de force, foie gras de désespoir, rien, d’envoyer tous les flots du possible pour qu’au moins une goutte vienne l’irriguer, ouallouh, de déterrer les cris les plus enfouis pour les enfermer en son intérieur, nada.
Qu’est-ce qui pourrait bien encore nous pousser à chercher à convaincre l’autre, nous en premier, que c’est plein, le sens ? L’imbécilité qu’on nous octroie à la naissance. D’aucuns l’appellent naïveté, ou optimisme, ou espoir. Peu importe le nom que vous lui donnez, vous vous ferez toujours blouser.
Les notes :
Omlin (4/5) : la croix rouge.
Souquet (2/5) : faute de mieux.
Congré (3/5) : pas dans l’ordre mais placé.
Hilton (4/5) : déambulateur au pas de course.
Cozza (2/5) : dépassé simple.
Oyongo (3/5) : constellation de grandes courses.
Savanier : ça cartonne.
Chotard (2/5) : s’est assis sur sa boussole.
Mollet (2/5) : el vélo que anda comme oun avión, à condición de pédalar com oun couillón.
Delort (2/5) : gypsy child.
Laborde (2/5) : aux abonnés pas là.
Entrés en jeu :
Sambia tôle les opticiens, Le Tallec Baldwin, Mavididi (chanson dans la tête dès qu’il marque), Dolly fa si la chanter.
Purée mais Teji… Déjà je l’aligne pas à MPG parce qu’il avait soi-disant la COVID. Finalement non, mais impossible de l’aligner quand même car déclaré blessé. Et là, il prend un rouge ! MARRE !