Montpellier-Angers (4-1) : la Paillade Académie revient faire coucou rapidos

Au soleil de Rio
Je préfère toujours
La pénombre d’un studio
Où je suis si bien
Tout seul dans mon coin
Qu’est-ce qu’on peut y faire, au temps qui ne veut pas se passer comme attendu ? Qu’est-ce qu’on peut changer aux gens qui se comportent comme la plupart des sacs à merde ? Beaucoup, pense t-on innocemment. Hé mais monsieur, savez-vous ce qu’on fait aux candides ? On leur roule dessus sans vergogne, pas mieux, pas moins. Peu importe qui on laisse sur le bord de la route, tant qu’on est dans la bagnole, pas vrai ?
Et si on n’y peut rien, qu’est-ce qu’on peut finalement y faire ? Arrêter sûrement d’accorder de l’importance aux merde collées dans la gueule, continuer à sourire et avancer, peut-être. Si vous rendez les coups, ils partent dans le vent, et vous perdez encore. Ce n’est pas moi qui vais vous dire que la violence n’est pas une solution, mais je vous le dis quand même. Parce que celui qui se détourne et s’échine à ne pas dévier de sa marche quoi qu’il se passe est celui qui a raison. Car là est la vraie vengeance : rendre les prépotents insignifiants.
Titulaires
Omlin (3/5) : garde suisse et bonne soupape
Souquet (2/5) : des fulgurances en toute(trop) transparence
Cozza (4/5) : voltigeur de haute volée
Sakho (4/5) : briscard qui brise en quarts.
Ristic (3/5) : parfois dépassé, souvent dépassant.
Ferri (4/5) : fais du danger son sac à dos.
Chotard (3/5) : pierre qui roule n’amasse pas de bosses.
Savanier (5/5) : Mozart est là, faisons en tout un fromage.
Sambia (2/5) : un peu à la traîne à grande vitesse.
Mavididi (3/5) : danseur de vestibule.
Wahi (2/5) : attaquant désappointé.
Entrés en jeu
Thuler vaut mieux que deux tiens, Gioacchini rêve de Champion’s League (pas ici malheureux) et Germain cherche son œil de lynx.
Un bon match que vous gagnâtes sans Lionel t’es qui ?
Que vous gagnassiez, bordeyl !
Ristic pour les femmes ? Ohohoooooh.