La Porte de Saint-Cloud Académie en infiltration trotskanale

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L’espion qui venait du froid

Salut les boys, salut les girls,

Je me présente mais vous me connaissez déjà : Georges Trottais, secrétaire généranal du Parti coco-franchouillard. Ou de ce qu’il en reste. Car vous n’êtes pas sans savoir que le Parti de votre serviteur avisé se tape une sale gueule de bois depuis plus de 30 ans. Et oui, depuis qu’un grand souffle de liberté consumériste a agité les couilles de quelques hurluberlus d’outre-Alsace qui se sont mis à l’escalade murale, au graffiti de no man’s land et à la techno post-aryenne, les communistes ont fini de frimer. L’analyse est simpliste, je vous le concède, et passe sous silence bon nombre de péripéties dont l’énumération se révèlerait trop fastidieuse, mais le constat reste le même : on s’est fait méchamment sodomiser par le cours de l’Histoire et son terrible cortège, et aujourd’hui on se retrouve complètement largués dans une société où cohabitent Périscope, Hanouna et le Paris FC, et qui portera bientôt aux nues Marion Maréchal-nous-voilà-le-Pen, la seule à pouvoir sauver la France du péril beur (et en plus elle est bonne, paraît-il).

Mais alors Georges, me direz-vous dans un style indirect à faire rougir les stagiaires de Football365, qu’est-ce-que tu fous à venir nous parler de football, ce miroir grossissant (je ne sais pas si ça existe mais je trouve que ça sonne bien) de la société de merde que tu viens de dépeindre avec tant de sagacité et de clairvoyance ? D’une, je vous saurais gré de cesser de m’appeler Georges. Communisme ne veut pas dire familiarité – je les connais les écolos soixante-huitards qui croient faire la révolution prolétarienne en se donnant des tapes dans le dos devant le portrait de Mao suspendu dans la cour de la Sorbonne. Ce sera camarade pour les copains, et monsieur Georges pour les autres. Non mais dites donc.

De deux, laissez-moi m’expliquer, bordel à cul de nonne.

Vous pensez bien que j’ai mes raisons, bande de petits gauchistes de mes deux. Avec les copains du Politburo, on est pas nés de la dernière pluie radioactive, et on a compris comme tout le monde que le foot, c’était pas mal pour toucher du doigt (no gay) les esprits de millions de Français gavés de matches télévisés, de highlights internetisés et de débats sochialnètouorquisés. Et je ne vous parle même pas de l’After RMC.

Alors pour relancer un peu le truc de la lutte des classes et tout le tintouin, on a pensé à se donner une nouvelle image en investissant dans le foot-biz. Alors oui, on a pas de pétrole et encore moins de thunes à claquer, mais on a des idées. On a pas d’oseille à dilapider dans le gouffre financier d’un club de Liguain ? Qu’à cela ne tienne, y a qu’à détourner celui des autres. L’entrisme, ça vous dit quelque chose ? Et oui les enfants, j’ai renié Karl et Joseph pour me rallier à Léon, ce beau binoclard. De toute façon, j’ai toujours pensé que ce mec avait été sous-coté, et aurait pu prétendre à une belle carrière à l’internationale (la IVe, pour ceux qui se posaient la question), s’il n’avait pas été victime des choix du coach Staline. Il s’est fini au Mexique, comme le gras Gignac, mais pas avec le même succès. Que voulez-vous, la cuisine aztèque ne réussit pas à tout le monde.

Bref, une fois l’idée de l’infiltration trotskanale trouvée, il suffisait de trouver un club à pénétrer (tout en préservant notre clandestinité et l’intégrité de nos propres orifices, bien entendu). J’avais déjà tâté le terrain pendant quelques années avec le Ressstar de Saint-Ouen, quand mon gendre Xavier tenait les bois de Bauer, mais l’équipe a bien trop changé dernièrement pour correspondre à nos objectifs politiques à court terme. Les mecs, avec la montée en Ligue d’eux, ils se sentent plus pisser, ils ont même de quoi se payer trois académiciens pour le prix d’un. Quant à la mairie, n’en parlons pas. Déjà que les camarades précédents avaient quitté le Parti, ils ont carrément trouvé le moyen de se faire chiper la place par un sombre pucier à brushing et costard ringard. Faut le faire. Et puis vraiment, l’étoile rouge, même en anglais, c’est totalement grillé comme nom. Personne ne nous prendra au sérieux. La preuve, ça ramène à Bauer la fine fleur des hispters parisiens pseudo-maoïstes cherchant l’encanaillement dans les rues sales d’un 9-3 en proie à la gentrification immobilière. Si c’est pour entendre à chaque rencontre leurs refrains #antifas à deux sous… Non, franchement, le Red, j’ai fait le tour.

Alors j’ai cherché ailleurs. Pas trop loin non plus, j’allais pas me faire chier à déménager Germaine à Lens, à Saint-Étienne ou même à Nîmes, restons sérieux. Je suis tombé au cours d’un périple dans les internets sur une interview d’un gusse avec un nom qui fleurait bon la guerre de Yougoslavie, et qui parlait d’un club né il y a trois ans dans la banlieue ouest de Paris, grâce aux gros sous du pétrole. Ni une ni deux, j’ai fait quelques petites recherches sur cette équipe encore inconnue, mais qui me semblait avoir les moyens de ses ambitions. Une rapide recherche sur Horsjeu.net m’a permis de constater que ce club, probablement du fait de sa jeunesse, n’avait pas d’académicien attitré, et ce malgré une volonté louable de la part de ses dirigeants de faire sa propagande sur tous les supports de communication modernes. Jeune, nouveau riche et souhaitant assouvir une soif de reconnaissance rapide et facile : la proie idéale pour servir nos intérêts.

Un simple appel en PCF (vous l’avez ?) au Qataristan m’a permis d’obtenir carte blanche de la part de la direction pour lancer une académie horsjeuïste. Des patrons installés à l’étranger, parlant étranger et donc ne pigeant pas mes subtiles allusions internationalistes, dirigeant à distance et en dilettante un club encore mal structuré, voilà qui allait faciliter ma mission, laquelle m’enthousiasmait de plus en plus à mesure que ce club m’apparaissait comme l’outil idéal de la révolution prolétarienne. Le fait que j’allais être grassement rémunéré par les Qatariciens pour raconter en toute impunité mon infiltration, au nez et à la barbe de ces cons de nouveaux riches pétés de thunes à ne plus savoir quoi en foutre, ajoutait encore à une excitation bien compréhensive.

Fort de la réussite de mon imposture auprès de dirigeants incompétents, des comme on en fait plus depuis la chute de la RDA, je décidais de commencer au plus vite mon observation du club dont les exploits, narrés par ma plume experte, allaient bientôt inspirer quantité de prolétariens refoulés, se découvrant une fibre révolutionnaire jusqu’alors ignorée d’eux-mêmes. Après quelques jours passés à chercher le moyen de contourner le monopole médiatique, digne de l’ORTF, des frères ennemis à péage Canal et BeIn, je parvenais enfin, avec l’aide de mon petit neveu de 12 ans, habitué des pop-ups et autres xhamster, à me connecter à un streaming mexicain (encore les Aztèques, « comme un symbole » dirait L’Équipe – ou le Miroir des Sports, je sais jamais lequel des deux a survécu), de fort bonne qualité ma foi.

 


LA RENCONTRE :


 

Je tombais donc sur le mâche opposant Paris-Saint-Germain-en-Laye à la Cité de Manchèsteure – une équipe/ville, je croyais que ça se faisait plus depuis la Coupe des villes de foire, mais bon, ne cherchons pas à comprendre les Angliches. Car oui, cette rencontre internationale est placée sous le signe de la paix, de l’amitié des peuples et de l’union des prolétaires de tous pays, et oppose donc nos chers Violets-et-Bleus aux enfoirés de Rosbifs d’en face.

Le stade était plein pour cette belle rencontre, mais bien faiblement animé. J’en ai vu d’autres à Kiev et à Belgrade, vous pouvez me croire. Le public reste sage, nul doute que le club n’a pas encore conquis les foules et déchaîné la passion des amoureux de la balle ronde de région parisienne. Mais après tout, les dirigeants se sont donné les moyens de leurs ambitions, et ne tarderont pas à fidéliser des supporters et à créer dans leur stade une belle ambiance, même si pour l’instant les absences du public doivent être comblées par une programmation musicale sympathique bien que surannée.

Remarquez, au moins, ce ne sont pas leurs supporters bien sages qui poseront des problèmes de violence, à l’avenir. Laissons cela aux Péfécistes.

Venons-en au mâche en lui-même. Avant toute chose, je tiens à préciser que, bien qu’étant un grand amateur de fouteballe, je n’ai plus assisté à une seule rencontre depuis 1988, et la défaite de l’URSS en finale de l’Euro, dont je n’avais pas vu la fin car mon téléviseur était passé par la fenêtre après la volée du Grolandais milaniste. C’était pourtant la fine équipe, coachée par Lobanovski, ce bel homme… Elle me rappelait le grand Dynamo des années Brejnev.

Toujours est-il que j’ai mis quelques minutes à me plonger dans la partie, ayant peine à me remémorer les tenants et les aboutissants du coup de pied de coin et du 4-3-3. Mon petit round d’observation se concluait sur le coup de pied de pénalité loupé par notre grand avant-centre et son catogan de pubard des nineties face à Joe Hard, l’acteur porno que ces demeurés de Rosbifs avaient mis dans les cages pour nous en mettre plein les fesses. Croisant le regard lubrique du sosie rougeaud du prince Harry, le beau Yougoslave perdait ses moyens, et sa frapounette était détournée par le goal. Une dizaine de minutes plus tard, le samouraï des Balkans en remettait une couche en vendangeant magistralement un bijou d’ouverture entre les deux défenseurs. Que voulez-vous, quand on tente désespérément d’éviter le regard pervers d’un blondinet qui meurt d’envie de vous bouffer la rondelle, on perd en précision dans la frappe. Un peu avant la mi-temps, c’était au tour de la défense de se montrer incapable de résister à un petit mec à la peau rougie par le soleil, qui s’amusa à faire plusieurs tours du grand défenseur chevelu avant de placer une belle frappe croisée. 1-0 pour les Manchestériens, c’est la merde. On se remettait à peine de ce coup dans le dos que, pendant que le réalisateur se la touchait en slow-mo sur le rouquemoute, de l’autre côté, le gros Fernand – à ne pas confondre avec le petit Fernand, qui joue à côté et qui lui ressemble beaucoup, mais moi on me la fait pas, j’ai fait un an de portugais à la fac – devait lui aussi avoir peur de croiser le regard de sa pornstar de gardien, car il était visiblement distrait au moment de relancer, laissant le temps au gusse au grand nez de passer par là. 1-1, on a pas eu le temps de suer que déjà on respire mieux.

Au retour des citrons, les Bleus-un-peu-violets y allaient un peu plus fort, et finissaient par dominer outrageusement pendant un petit quart d’heure, suffisant pour voir un pré-pubère à la barbe éparse récupérer un ballon oublié au second poteau par tout le monde sur un coup de pied de coin à l’heure de jeu, et le mettre tranquillement dans les filets, avant de se la péter à fond devant des supporters enthousiasmés par le gros son envoyé par le speaker pour les faire réagir à ce but de raccroc. 2-1. Quelques instants plus tard, PSGEL poussait toujours et la grande asperge touchait du bois sur une belle tête. Sauf que dix petites minutes plus tard, l’arrière droit se retrouvait inexplicablement devant son défenseur central au moment de dégager un ballon dangereux, et se chiait dessus magnifiquement, permettant au petit Fernand – le bon – de l’envoyer au fond sur ce sacré billard de mes deux, brisant net les velléités d’ambiancement de quelques courageux supporters qui s’étaient lancés dans un audacieux « Ici, c’est Paris-Saint-Germain-en-Laye », dont la seconde partie se perdit dans le tumulte provoqué par les bruyants hooligans manchestériens. 2-2, la chance parisiano-saint-germanoise était passée, et le dernier quart d’heure ne les vit plus réussir à sortir de leur moitié de terrain, et ce ne sont pas les nouveaux entrants qui purent arranger quoi que ce soit.

Au final, un mâche franchement dégueulasse, achevé sur le score de deux erreurs défensives partout, et qui aura vu Paris-Saint-Germain-en-Laye jouer au fouteballe pendant une dizaine de minutes à peine. Heureusement que les mecs d’en face n’y ont, quant à eux, pas joué du tout. Mais ne nous formalisons pas, l’équipe est jeune, encore mal structurée, et les dirigeants semblent avoir les thunes pour remplacer certains coéquipiers pas du tout au niveau. Et quand les succès viendront, la ferveur du public et l’ambiance au stade suivront.

J’ai cru comprendre qu’il fallait noter les joueurs. Ça va pas m’aider parce que je n’ai pas bien réussi à tous les discerner sur mon petit écran tout plein de pop-ups, et puis j’ai pas bien entendu les noms, mais je vais faire en sorte de vous dire ce que j’en ai pensé d’un point de vue quotient d’infiltration trotskanale. Car oui, j’ambitionne aussi de convertir les joueurs à la cause, mais y en a que je sens moins réceptifs que d’autres.

 


LE SOVIET SUPRÊME NTM :


 

L’aryen aux yeux bleus dans les buts (CRS=SS/5) : Lui, je le sens mal. On m’a dit qu’il était allemand, même si j’aurais facilement pu le deviner tout seul. Mais personnellement, je le vois plus NSDAP que KPD.

Serjorié (Mi-sûr, mi-guez/5) : Il s’est projeté vers l’avant, il a bien anticipé sur pas mal d’interceptions judicieuses, mais il s’est méchamment lourdé sur l’égalisation des Manchestériens. Qu’est-ce qu’il foutait là, bon dieu ? (Remplacé par Dardewiel, sans doute le quota d’infirmes du groupe, maître de la passe aveugle en touche)

Le hippie en défense centrale (Ni Dieu, ni coach/5) : Sa liberté capillaire me fait penser qu’il est déjà sympathisant de la cause… mais pas de la bonne manière. Cet anar de premier choix a décidé de chier sur le plan de jeu de son entraîneur en laissant les attaquants adverses flâner dans sa zone, pour lui-même aller chercher un péno de l’autre côté. Sur le premier but, il se fait envelopper par le rouquin d’en face comme un Waffen SS à Stalingrad.

L’androgyne d’à côté (Black block/5) : Sous ses faux airs de ladyboy battu par son proxénète, il a l’air d’en avoir dans le slibard, notamment lorsqu’il s’agit de travailler pour deux et d’aller écoper les gros trous laissés par son copain baba-cool. Un mec sur qui on doit pouvoir compter.

Le chien mouillé sur le côté gauche (Café équitable/5) : Bien chaud dès le début, il a dévoilé son meilleur arôme en seconde période, comme un grand arabica.

Le mec devant la défense avec une gueule de mannequin « Diesel Fioul for Life » (Gramsci du pauvre/5) : Plus lourdingue en défense qu’un gaulliste en campagne à Gennevilliers dans les années 60. Quelques belles ouvertures, notamment pour le Yougo de devant à la demi-heure de jeu, et puis plus grand-chose.

Le pré-pubère au milieu (Étudiant, poil aux dents/5) : Avec sa dégaine d’intello gauchiste, il ne partait pas gagnant. Un but de renard à l’heure de jeu, et il a pas pu s’empêcher d’agiter sa tignasse de sorbonnard marxisant devant la tribune. Mais avec sa gueule de militant UNEF, il a pas réussi à tenir un milieu pourtant laissé bien libre par les frères Fernand (Remplacé par un petit métisse qui court partout, un petit tir et puis s’en va).

Blaise m’a-t-on dit (Le Marteau/5) : Lui, j’en avais plus ou moins entendu parler, on m’avait vendu « La Pieuvre », « La Faucheuse » – ou « La Faucille », je sais plus trop – comme un mec qui ramassait tous les ballons. On ne m’avait pas précisé qu’il les perdait tous après.

Ange de Marie (Gabriel/5) : C’est pas lui, l’ange qui annonce à Marie qu’elle a été engrossée par le Saint-Esprit ? L’ange de Marie, quoi. Enfin, moi et les bondieuseries…

Le FARC sur le côté gauche (Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivreras/5) : Il a l’air d’avoir la gâchette facile celui-là. Un vrai guérillero, très utile pour harceler l’adversaire, mais il a pas inventé l’eau chaude pour autant. Même quand il reçoit de bonnes passes, il arrive à ne pas faire exprès de les talonner dans le vide (Sorry for zis terribeule syntaxe).

Le grand nasique (et non pas nazi) de devant (Commissaire politique/5) : Alors là, des Yougos bâtis comme lui, plus difficiles à bouger dos au but qu’un dictateur serbo-croate en campagne, on en fait plus depuis Tito. Il m’a l’air d’un gars qui a déjà la doctrine chevillée au corps, et qui serait prêt à assassiner froidement dans le dos un coéquipier trop laxiste pour une histoire de passe ratée.

 


LE SECRÉTAIRE DE SECTION :


 

C’est normal si je le reconnais ? Il me dit vaguement quelque chose (j’ai plus regardé de match depuis 1988, je vous le rappelle). Il me donne l’impression d’un gars qui se ferait volontiers marcher dessus aussi bien par un ailier bulgare que par un arrière ivoirien. Vrai ou non ?

Voilà camarades, je reviendrai vers vous quand j’en saurai un peu plus sur cet obscur club de banlieue parisienne, qui grâce à la bonne volonté de ses dirigeants, et à leur laxisme de nouveaux riches, devrait bientôt servir la cause marxiste par ses succès à venir. J’ai pas regardé où ils en étaient côté classement, mais s’ils en sont à jouer des mâches amicaux internationaux en milieu de semaine, c’est qu’ils ne doivent plus avoir grand chose à jouer. Mais on y croit pour la saison prochaine ! Je vous retrouve pour la prochaine rencontre, et d’ici là promis juré je vais essayer de me renseigner sur les noms des joueurs, les enfants.

 

La bise anale,

Georges Trottais.

20 thoughts on “La Porte de Saint-Cloud Académie en infiltration trotskanale

  1. ça devait arriver. A force d’autoriser Petit Louis à sortir le soir après 20h00, il s’est fait retourner la tête à la nuit debout…

  2. Vos jeux de mots sont au niveau du jeu de l’OM. Je ne comprend pas que la fortune qatarie puisse autoriser une telle association au PSG.

    1. Ils ont du croire que j’étais une sorte d’Averroès de l’écriture footballistique.

  3. Bonjour Monsieur Georges.
    Pensez vous que le mouvement nuit debout puisse tenir tête au gouvernement?

    1. Ce serait moi, j’aurais déjà viré tous ces gauchistes au char d’assaut. Ceux de République, et ceux de l’Élysée avec.

  4. Ca y est, j’ai lu M. Georges. Je suis triste pour vous, pour la France, pour l’indice UEFA. Il est vrai que City a dépensé 1 milliard pour cette qualification et que vous en êtes encore éloigné. Mais vous approchez de la zone des constructions éphémères qui font parler d’elles quelques années et tombent dans l’oubli une fois le clinquant de la nouveauté devenu plus terne. Comme votre jeu d’hier soir. Je connais des équipes qui ont fait des 1/4 avec Brandao ou des 1/2 avec Serge Le Dizet. Autre époque, autres valeurs. Partez en paix mais revenez sérieux.

    1. Je ne comprends pas bien où vous voulez en venir avec vos histoires de quarts et de demies, mais c’est gentil de participer au débat.

  5. On sent tout de suite la patte ligue 2 sur cette académie. Le monde sous-terrain qui n’attend que de vomir ses tripes à la face du nanti aliéné par des Aulas-voyous et des usurpateurs protégés par leur superstructure. Qui n’a que sa besogneuse force de travail à venir publier sur Horsjeu.net, contre une modique rétribution. Bref, le meilleur titre que pouvait gagner Paris cette saison, c’est clairement pas la LDC : c’est un académicien à sa hauteur.

    Du coup, on à le droit de souhaiter qu’ils descendent ?

    1. J’ai pas encore regardé le classement : ils en sont où ? Sont-ils encore menacés par la relégation ?

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