La Bianconero Académie note Juventus-Palerme (3-0)
La classe, tout simplement.
L’introduction qui introduit bien :
20 jours. 20 jours sans un seul match de la Juventus, c’est long. Long comme un dimanche sans pain. Autant dire que Michel était limite nervous breakdown. Pendant que mes amis d’horsjeu.net (Tu parles, cette bande de connard qui parvient à être à la fois pertinent, drôle et jubilatoire, même en 18 mots. Enfin, sauf certains, mais je ne citerai pas de noms. Et qui me ferait passer pour un vague imposteur contraint d’alimenter ses chroniques de filles aguicheuses comme un symbole d’une brève du 10Sport) faisaient sauter du clic à tout va, moi, je faisais sauter ma connexion wifi et ma carte gold de page pornographique et de filles de joies, sur les conseils de Hristo, afin de calmer ma libido. Tandis que mon ego vorace ne supportait plus l’idée de ne pas être twitté et liké par les lecteurs du monde entier un millier de fois au minimum.
Alors, vers 17h, il faut que je sorte ma main de mon caleçon pour écrire cette académie jouissive. En regardant la Juventus jouer, je n’ai même plus envie de toucher à ce mannequin italien tout droit sortie des usines Berlusconi. Cette équipe est bandante. Et toi aussi derrière ton écran, tu vivras cet orgasme (footballistique ?) par procuration grâce à ma prose.
Les Mafiosi avaient pris la vilaine habitude de nous braquer les trois points, trois fois en trois saisons ? Très bien. Comme la loi des séries fait bien les choses, ce fut un 3-0, pour la Juventus. Merci d’être venus, vous pouvez garder la monnaie les culs terreux – oui, je suis un connard du Nord – Sinon, ça fait quoi de découvrir la civilisation ? Ah, au fait. La Juventus retrouve la première place avec un match en moins encore à jouer. Piacere.
La tactique :
La Cougar :
Les magouilleurs qu’on aime.
La Vieille Dame se présente avec son onze habituel. Un milieu de terrain plus pétillant qu’un champagne Bollinger qui provoque les jalousies et une attaque non moins redoutable. Pepe démontre à tous les besogneux du Calcio qu’une carrière est toujours possible avec de l’abnégation dans le football moderne. Putain de méritocratie. Sur le banc : Storari, De Ceglie, Pazienza, Elia, Giaccherini, Del Piero et Quagliarella prennent place. Tandis qu’Estigarribia, Luca Toni, Iaquinta et Krasic sont portés disparus.
Les Mafiosi :
Les magouilleurs qu’on aime que dans les films.
Pastore et Sirigu sont allés palper l’argent du Qatar. Nocerino celui du Milan. Palerme, déjà inconstant la saison dernière, n’est pas flamboyant.
Tzorvas – Pisano, Silvestre, Cetto, Balzaretti – Bacinovic, Migliaccio, Barreto – Bertolo, Ilicic, Miccoli.
Cetto a rejoint la Sicile. Sa performance n’a pas dû rassurer le délirant Zamparini. En même temps, un rouquin avec un passeport Argentin et un CV comportant Toulouse et Nantes, ça sentait plutôt l’embrouille. Enfin, pas autant que Taiwo au Milan. Ou Faubert au Real Madrid. Balzaretti, lui, s’en bat les steaks comme Rocky dans la réserve, attendant le mercato hivernal pour rejoindre sa fiancée à Paris. Sinon, Alain Migliaccio joue au football. Non, j’déconne. Devant, Ilicic est maladroit et Miccoli, à en juger par son poids, dans son maillot floqué Burger King fait office de premier consommateur pour la firme.
Les buts :
19e minute de jeu : Pepe 1-0 Palerme. Vucinic combine avec Chiellini côté gauche. L’Italien adresse un bon centre dans la surface à destination de Pepe. Ce dernier, intercalé entre Cetto et Balzaretti, conclut de la tête sans problème. Sa célébration est pathétique, Simone simulant un trou au Golf avec le poteau de corner. Triste.
49e minute de jeu : Matri 2-0 Palerme. Alessandro conclut d’une belle frappe croisée à l’angle de la surface suite à une ouverture de Lichtsteiner. Cinquième but de la saison pour l’ancien de Cagliari. Propre.
64e minute de jeu : Marchisio 3-0 Palerme. Vidal écarte pour Vucinic côté gauche. Celui-ci sert Matri dans la surface, qui laisse habilement filer dans son dos. Marchisio, qui s’était placé intelligemment et libre de tout marquage conclut.
Les notes :
Buffon (5/5) 369 matchs avec la Fidanzata d’Italia. « C’est du sérieux » comme dirait un certain Président de la République. Après avoir fêté ses 111 sélections pour les Azzuri mardi, Gianluigi a honoré son surnom de Superman en veillant sur Turin. Ces dernières semaines, il n’avait guère eu besoin d’être plus actif qu’un Cristopher Reeves tétraplégique à cause d’une chute de cheval. Cet après-midi, il a été impérial sur trois sauvetages. Cette saison, Gigi est il capo di tutti capi.
Lichtsteiner (5/5) Aurait pu se faire expulser dès la 6e minute de jeu pour un tacle par derrière. Tant mieux, parce que son match a été excellent. Une activité permanente, une qualité de centre constante et une bonne ouverture pour Matri. Dans la conjoncture actuelle, il prouve qu’il est un placement financier sans risques et rentable. Néanmoins, je le soupçonne d’avoir le même fournisseur que Dani Alves pour coller la ligne blanche.
Barzagli (3/5) Avec ses faux-airs de Josh Hartnett, il est la caution beau-gosse pour rameuter des supportrices au stade. Bien vu. Pourtant, il n’y a pas que les femmes qui sont sensible à son physique, la preuve : les attaquants n’osent plus croiser son regard.
Bonucci (2/5) Leo est toujours coupable d’une hésitation dans le match qui aurait pu coûter cher si Ilicic n’avait pas le sang-froid de Mouloungui en un contre un. Michel reprend de la fougasse à chaque fois qu’il touche le ballon. Heureusement pour mon cardiologue, c’est Barzagli qui relance.
Chiellini (4/5) Il a eu le nez fin comme un symbole de l’attaquant adverse qui n’a pas bronché. Son rhume semble être passé, c’est bieng. Une passe décisive pour Pepe à son actif en bonus.
Marchisio (4/5) Capitano Futuro s’est illustré davantage par fulgurance que par constance. Quelques accélérations, quelques ouvertures bien senties et un but qui récompense son intelligence de jeu. Lecteur, ne sois pas triste du départ de Del Piero, Claudio sera la bandiera de la Juve pour les dix prochaines années. 5 buts en 10 journées, une influence croissante et un statut d’indéboulonnable en Azzuro. Le monde ouvrira les yeux sur lui à l’Euro 2012 et comprendra que l’Italie forme toujours des joueurs de ballons.
Pirlo (4/5) Il a fait de Pisano son pantin à la suite d’une série de feintes après quelques minutes de jeu, comme un symbole du Parrain. Il trouva le poteau à la demi-heure d’un enroulé tout en décontraction. Les commentateurs hispaniques disaient de lui qu’il était une « Encyclopédie, tout est clair et juste. » Je propose que l’on distribue le Pirlo Illustré dans tous les centres de formation français. Pour comprendre le football, aux éditions La classe pour les nuls.
Vidal (4/5) Tuttosport est friand de jeux mots, le dernier en date : Vidalità. Court, sprinte, trottine. Gratte, ratisse, découpe. Moins haut sur le terrain et moins éblouissant, il s’est contenté de lancer ses coéquipiers par ses bons ballons notamment pour Pirlo dont la tentative heurta le poteau. Arturo a la hargne d’un boxer dans le corps d’un latin-lover. Et le courage d’un mineur Chilien à 700 mètres de profondeur.
Pepe (4/5) Simone a du se faire un lavement au café. Parce qu’il pète la forme. Une chose est sure, même s’il est décisif, Simone Pepe est à George Best, ce que Mimie Mathy est à Mélanie Laurent.
Vucinic (3/5) Mirko a trop de ballon pour se satisfaire de sa performance. Probablement adepte de la masturbation parce qu’il se fait plaisir, mais ses tentatives d’esthètes ne finissent pas au fond une nouvelle fois. En tout cas, c’est toujours mieux que d’être un partouzeur de droite.
Matri (4/5) Pas à l’aise avec le ballon loin du but, après tout, on s’en fout, ce n’est pas ce qu’on lui demande. Un ballon, un but. Le cinquième de la saison. Puis, une belle inspiration en laissant filer le ballon pour le but de Marchisio. Cetto a fait connaissance avec Mitra Matri.
Sostituzioni :
Quagliarella (3/5) Entré en jeu à la 67e à la place de Vucinic pour le plaisir du service. Il a prouvé qu’il avait du ballon et des fourmis dans les jambes.
Pazienza (non noté) Il a remplacé Marchisio à la 77e. Un jour, je regarderai avec attention ses entrées. Un jour.
Del Piero (5/5) Pas de 311 but en 776 matchs pour la Juve. Simplement un frisson quand le poteau s’est opposé à sa frappe en fin de match.
L’Allenatore :
Antonio Conte (5/5) L’idée du siècle. Il est dans la lignée des plus grands entraineurs italiens. Son apport ? Immense. Rigueur, travail, sérieux, autorité – Elia, Krasic ni personne ne la ramène – organisation, projet de jeu, adaptabilité, plaisir et émotion. Conte à une putain de classe. Pep n’a qu’à bien se tenir, parce que lui il a des cheveux. Et lui, ne fout pas des doigts dans les yeux des assistants adverses. Rangez votre Mourinho vulgaire, cynique et suffisant. Et dire qu’il entrainait à Bari et Sienne auparavant…
Les faits-marquants du match :
- Le saviez-vous ? Luca Toni, Fabio Quagliarella, Vincenzo Iaquinta et Amauri appartiennent à la Juve. Pire, le Brésilien se verrait bien au Milan AC. Oui, tu peux rigoler.
- Elia, 10 millions d’euros fin août. 45 minutes au compteur depuis le début de la saison. C’est quoi déjà le slogan de Coca Cola ? Ah, oui. Enjoy.
- 16e minute de jeu : Tous les joueurs de la Juventus sont dans le camp de Palerme. Domination ?
- 21e minute de jeu : Tous les joueurs de la Juventus sont dans leur propre camp. Compacte ?
- Même en espagnol, sur une chaine obscure, les commentateurs sont bien plus intéressants que les Canal plus, TF1 et autres Direct8. Bon, ce n’est pas compliqué. Mais c’était simplement pour dire que la France n’est pas un pays de foot.
- Capable de faire le jeu et de placer des contre-attaques. Cette équipe a tellement progressée dans sa gestion des matchs et sa capacité à s’adapter au cours de celui-ci. Rationnelle, mais pas dénué de romantisme comme un symbole d’El Piojo, ni d’une envie perpétuelle de jouer.
Le coup de cœur de Michel :
Dans son livre Secrets de Coachs, Daniel Riolo, ce bel homme, a été reçu par Marcello Lippi dans la station balnéaire de Viareggio. Station que Michel a visitée cet été comme un symbole du hasard de la vie. En bref, une ville composée de Liliane Bettencourt en puissance avec des plages privées, une allée de magasin de luxe qui borde la plage et deux hôtels majestueux dont le Principe di Piemonte où Lippi a ses habitudes à l’année.
Dans cet entretien, l’entraineur Champion du Monde 2006 dévoile que le meilleur match de sa grande carrière est cette demi-finale de Ligue des Champions contre l’Ajax en 1996. Les images.
Le plus de Michel :
Michel n’a pas eu l’occasion d’en parler à cause du match reporté face au Napoli, alors il en profite. L’enfant de Bari qui a dit à Fabio Capello « qu’il était plus faux qu’un billet de Monopoly », ses 600 conquêtes, ses soirées à Madrid, « Des femmes et des croissants, quoi de mieux ? », ses Cassanate, sa propension à tout gâcher alors qu’il avait tout pour réussir. Souvent victime parfois coupable. Un homme attachant, un joueur de ballon génial, une histoire folle qu’il relate son livre Dico Tutto que Michel possède. Antonio est une lueur d’humanité dans un football moderne froid et cynique. Bref, Michel l’aime. Le pire c’est qu’il s’imposait au Milan, était indispensable avec l’Italie et décisif. Comme souvent, ce n’est pas sa faute. Heureusement, l’opération s’est parfaitement déroulée. D’ailleurs, Seedorf a rendu visite à Antonio, qui lui a sorti « Merci Obama d’être venu ici. » Ce type est un génie.
Je pensais avoir tout vu avec le Vietnam. C’était avant. Avant d’avoir vu jouer Simone Pepe. Au début, je voulais te dire que tant qu’il n’éliminera pas un adversaire, je ne dormirai pas. Manque de bol, il a marqué. J’suis pas prêt d’aller mieux.
Michel vous file les images, c’est un homme classe et sympathique.
Michel talkin’ to you.
Oui, toi là. Tu aimes Horsjeu.net et la Bianconero Académie ? C’est bien. Comme toute addiction, il serait regrettable que tu sois obligé de subir les effets du sevrage. Etant donné que tu es intelligent, tu vas suivre les instructions suivantes à la lettre. Tout d’abord, tu vas sagement t’abonner pour que Michel puisse payer ses Martini et ses soirées Cock & Bitches. Quoi ? Tu crois que je me suis fait chié à devenir vaguement célèbre pour lire du Roland Barthes au coin du feu ? Au pire, tu peux toujours cliquer sur les pubs ainsi qu’en bas de page sur l’insigne +1, pour un meilleur référencement du site.
Une fois cette étape accomplie, il te suffira de cliquer sur le bouton j’aime de cet article en bas de page pour le poster sur le mur de tes amis. Tu aimes la Cougar ? Le cynisme d’antan, le romantisme d’aujourd’hui, l’efficacité et parfois les magouilles ? Alors, viens suivre Michel sur Facebook et Twitter.
Bel effort Michel. J’ai pas vu jouer la Juve cette année, mais au vu de tes académies, ça doit valoir le coup. Mais que veux-tu : entre un Nice-Sainté et un Juve-Palerme, entre de la bagarre de rue et du vrai football, mon coeur balance…
Oui, non, là, ca va pas être possible mon bon signore. Il n’y a qu’un seul capitano futuro et il est à la Roma. Appellation contrôlée du seul club du sud de l’italie pour danelino.
Excellente académie. La Juve est de retour.
Roland
Oui, je pense que tu devrais prendre rendez-vous avec ton médecin généraliste afin d’obtenir un certificat médical qui t’autorise à regarder la Juve. Parce que, passer de la Galette touch’ (Guilavogui, Clément) à un milieu à trois Pirlo, Marchisio, Vidal… Ca peut entrainer des complications médicales.
Fabio Labello
Je sais que c’est ton De Rossi qui est le dépositaire du « Capitano Futuro » mais il convient très bien à Marchisio. Je tacherai de trouver une autre appellation dans les prochaines académies afin de ne pas heurter ta sensasibilité comme un symbole d’une retournée d’Osvaldo refusé pour Horsjeu.
Ahhhhh tu es bien cruel avec ma romanité bafouée par ce horsjeu d’horsjeu sans horsjeu.
Merci pour tes efforts. Après je te reconnais la chance d’avoir la meilleure doublette avec Marchisio et Pirlo. Avec « il capitano futuro » ca peut faire un bon milieu pour la nazionale.
et je regrette mon petit mirko! Quel gachis! Il a rien à foutre dans le nord. Il est trop rock.
Bons baisers labiaux du sud
La Nazionale a déjà ce qu’il faut, avec un milieu à quatre entre Pirlo, Marchisio, Aquilani ou Montolivo et De Rossi, ça a une sacrée gueule ! Et ca joue au foot.
Mirko a la décence de ne pas sortir son slip blanc, mais j’attends mieux de lui, il est trop dans l’esthétisme, mais c’est bieng.
Ca va, t’en fais pas, la Roma a un bon projet, c’est une saison de transition, et encore. Le championnat est ouvert, ils peuvent accrocher la LDC. Mais, au moins, pour les prochaines années ils sont blindés. Pas comme l’Inter qui subit les conséquences du gestion pitoyable ou Milan qui n’a plus un rond. Nous, on a le stade et un business plan ah ah
Salut Michel,
j’ai vu une belle Juve, franchement cette équipe me plaît beaucoup depuis le début de saison… Ils essayent de relancer en jouant tous les ballons en prenant beaucoup de risques parfois mais si ça marche ça peut contre attaquer rapidement. Ils pressent assez haut avec Lischteiner qui est très bien sur le côté. Il y a vraiment un changement flagrant dans la mentalité depuis que Conte a pris l’équipe en main. Quand tu as Pirlo qui joue 6, ça dénote déjà de quelque chose. Marchision prend une place énorme. Vucinic très fort mais comme d’hab, des fois ilest nonchalant, Simone Pepe est un joueur très moyen mais il marque il est décisif donc bon il mérite sa place de titulaire.
Oui Kammars. Pepe c’était ma tête de turc, mais il est indiscutable même si son style n’est pas toujours académique.
J’ai l’impression qu’on se repète, mais c’est vraiment plaisant. J’me demandais avant le match si le fait de ne pas jouer depuis 20J casserait la dynamique, en fait non, donc ça va.
La semaine prochaine, la Lazio ! Et puis, le report du match contre Napoli est la semaine suivante je crois. Les gros matchs vont s’enchainer.
Bravo Michou, tu es bon
Lichtsteiner, il a couru hier sous anabolisant oú il tape des sprint toujours quand il veut oú il veut depuis ses débuts à la Juve ?
Lichtsteiner avait bien commencé la saison en plantant un but pour son premier match.
Puis, les deux-trois matchs suivants, il a décliné, mais si j’ai été critique avec lui, c’est parce qu’il était capable de mieux.
Mais je crois que l’explication principale c’est le changement de systeme. En 4-3-3 la Juve maitrise davantage le milieu de terrain et peut donc developper ses attaques. Et surtout, Krasic était tellement à la rue quand il a joué que le coté droit était sinistré, voilà les quelques explications.
Oui Michel on va se régaler. En attendant demain ce sera Naples – City, et l’OM pour la qualification.
J’espère que la Juve continuera dans cette dynamique.
La Juve a quelque chose en plus cette année je trouve ! Déjà Pirlo transcende cette équipe, qu’elle erreur de la part du Milan A.C de le laisser partir mais bon grâce à ça on peut rêver devant une Juve qui joue vraiment. Très beau résumé, félicitation.
Merci Madlozoz
Et bien tu sais pour Pirlo, la raison était simple : il avait connu une saison difficile à Milan entre blessures et méformes.
Et puis, Milan comptait sur Boateng et un milieu different. Alors, quand la Juve a proposé un super contrat à la fois niveau salaire et niveau durée, le choix a été vite fait. D’ailleurs, un joueur de ce type, finir à la Juve était assez inattendu, mais pour 0 euros c’est le coup de l’année sans aucun doute.
Et puis là, il est constant. Presque à tous les matchs il a été décisif. Son apport est indéniable, mais mieux encore, il y a moins cette Pirlo dépendance du début de saison puisque Marchisio et Vidal se sont tellement imposés que maintenant le danger vient de partout.
Bref, c’est un régal.
En fait Antonio il a tout piqué à Paolo si on te suit bien Michel.
it’s wonderful, it’s wonderful, it’s wonderful, I dream of you…
chips, chips, da-du-du-du-du…
chi-boum chi-boum-boum ?
C’est pas compliqué le football tout est une question de rythme. J’ai hâte de voir un José Cooder ou un Simon Clapton assis sur un banc
Bien vu Mèch.
En plus, j’adore Paolo Conte.
Et Clapton et son Cocaine aurait sa place en préparateur physique ah ah