Troisième match de la semaine pour les Rennais, et donc troisième rendez-vous prévu par la Breizhou à l’heure de prendre ce tournant de la saison, et donc en plein hiver, et donc avec du verglas, et donc n’oubliez pas de mettre votre ceinture, même si Roro conduit toujours aussi bien sa twingo.

À propos de voiture, c’est donc le FC Peugeot-Montbéliard, et son équipe de lionceaux qui se rendent en Bretagne. Vu que l’hiver est déjà rude chez nous, on arriverait presque à imaginer à quel point la situation doit être invivable en Franche-Comté, comme le fromage, pour peu qu’on y ait déjà foutu les pieds, même si ça reste quand même une curieuse idée. Bref, il s’agirait presque d’une migration naturelle et saisonnière, en quelques sortes donc d’un docu animalier diffusé sur orange.

Ah oui, aujourd’hui, la Breizhou a décidé de pas se faire chier et n’hésitera donc pas à prendre quelques raccourcis de-ci et même de-là. Déjà pour éviter qu’elle ne soit publiée en milieu de semaine, quand la France entière reprendra goût à la ligue des champions.

Enfin revenons-en à nos moutons et à nos kébabs. Rennes accueillait le FC Sochaux et le match avait été choisi par orange comme son affiche de la journée oui mais pourquoi ?

 

L’Enjeu 

Nouvelle rubrique de la Breizhou Académie écrite par le professeur Roazh en personne. Dans ce cadre évolutif et concurrentiel, quelle stratégie doit guider les acteurs ?  Quelle place pour la communication, et quelle place pour l’action ? Le professeur Roazh nous éclaire.

Pourquoi donc que orange a choisi de diffuser alors un Rennes-Sochaux ? Bon, on ne peut pas dire que ce soit vraiment un suicide vu leur situation non sans rappeler un Reims-Laval sur cfoot ou un épisode de Derrick doublé en breton sur Tv Breizh. Et il faut dire en plus que pour cette journée canal a choisi de retransmettre un Toulouse-Saint Etienne. Le match de Marseille a bien été interrompu mais ce serait suspecter les programmateurs télé de s’intéresser à la géographie et à la météo ; restons sérieux.

Il semble clair en fait que les média nationaux ont décidé de placer cette première semaine entière de février sous le signe des outsiders. Là, normalement, ce serait le moment idéal de recaler un lien vers le bilan de la mi-saison, mais le problème, c’est qu’on l’a toujours pas fait, et comme on a toujours pas fini celui de 2010, on doit bien vous avouer qu’en fait, il n’arrivera jamais.

Peu importe, nous pouvons profiter de l’occasion pour vous révéler deux conclusions que nous tirâmes sagement, et donc sans forcer :

  • La première pourrait même légitimer partiellement le choix d’orange : SochauxRennes (tak, un lien) et ce mythique 6-2 collé à Bonal fut le match du SRFC à voir durant cette année 2011.
  • La deuxième concerne nos concurrents directs. Nous sommes officiellement une équipe du chapeau 2. Qui sont donc réellement nos concurrents ? Quels sont leurs projets ? Leurs ambitions ? Mais où est donc ornicar ?

 

Pour bien répondre à ces questions, il nous faut mieux comprendre la répartition par chapeau.

– le chapeau 1, dit le chapeau haut de forme, est spécialement conçu pour les soirées BCBG du mardi et du mercredi. Il se tient bien droit parce qu’il est prétentieux, il est haut parce qu’il pète plus haut que son cul, et il est raide et brillant parce que ses supporters ont eu une forte tendance plus ou moins assumée à l’asticage.

Il se compose donc : de Paris, de Lyon, de Marseille et du 4e qui change chaque année, mais qui cette année est Lille.

Il est parfois nommé par les neuneus « big fort ». à ne pas confondre avec Pierre Ménes.

– le chapeau 2, dit le chapeau melon, plutôt élégant donc, mais moins qu’il ne le pense. D’ailleurs, il reste quoi qu’on en dise assez démodé même s’il se marrie à la perfection avec des bottes de cuir qui lui apportent la petite touche sm nécessaire à une finale contre Guingamp en coupe de France, une raclée annuelle collée par le voisin, un câlin d’Emir Spahic, ou un schéma tactique en étoile dessiné par Alain Casanova.

Il se compose donc incontestablement : de Montpellier, de Rennes, de Toulouse et de Saint-Etienne.

Mais c’est là où les versions, et c’est énorme, divergent, c’est que certains auraient souhaité voir Sochaux, fort de cette équipe qui l’a amené à la 5e place l’an dernier, et Bordeaux, fort de café dans ce chapeau.

La Breizhou n’était point de cet avis. Elle inscrivit les deux villes en ‘aux’ dans le chapeau mou, celui des équipes promises au ventre mou, et qui était à peu près l’équivalent du chapeau rond, composé de Brest et Lorient, sans toutefois écouter les recommandations de farfelus qui voulut écarter Montpellier pour le mettre plutôt dans le chapeau de paille.

6 mois après, cette classification théorique se retrouve confronté à la réalité d’une année qu’est le championnat. Si le premier chapeau est bien là, Montpellier affiche clairement ses ambitions élevées et lui tient tête. Rennes a réussi toutefois à négocier à son avantage son statut de favori du chapeau 2 en restant à la place qu’il préfère (ou préférait jusqu’en2009) : l’embusqué.

Du côté de son adversaire du soir, la situation est toute autre. À trois titulaires et un coach près, l’équipe était pourtant la même d’une saison à l’autre. Puis une grève d’un modeste employé devant nourrir toute sa famille passant par là, accompagnée d’une dépression d’un guerrier fatigué d’évoluer dans « ce monde de putes » (plus couramment traduit en « bas-monde », ou « monde de merde »par ceux qui savent), d’une melonite post-internationale, de blessures à répétitions, et c’est le drame, le pauvre FC Sochaux-Montbéliard, comme la saucisse, se retrouve lanterne rouge.

Alors à l’heure d’aller à Rennes, les pauvres lionceaux semblent bien inoffensifs, loin justement de leur armada offensive menée par MM, le nouveau ZZ, et étant encore à panser quelques plaies. Il ne s’agissait plus en rien d’une confrontation entre clubs rivaux, mais du lancement d’une opération survie.

Un peu plus tôt dans la journée, le grand Lyon lui-même s’inclina sur sa pelouse face à Caen. Les cartes sont peu à peu redistribués, et Rennes se trouve ainsi l’occaz de recoller un peu au podium, nouvel objectif plus ou moins déclaré, disons chuchotté, à mi-mots, et encore, des petits mots, donc à mi-molettes.

Autant dire que toutes ces raisons d’être optimistes inquiétèrent grandement les supporters pessimistes durs, qui crièrent au loup avant d’avoir mal et annoncèrent déjà une nouvelle contre-performance de nos rouges et noirs. Roazh Takouer , druide footballistique depuis une génération, ami des chiens et de la médecine douce resta sobre dans son jugement et peu pondéré dans son verre : « Mais non rrrroooooohhhhhhhhh ! »

 

Konpozision

L’enjeu n’étant pas de vaincre un concurrent direct avec gloire et périls, mais bien de tracer notre propre route et de bonnifier cette semaine aux résultats en balance avant d’attaquer du gros morceau, Totonetti fit ces choix-là.

En pointe, Mevlut, ( avec un u comme dans « ruz ha du » ) et ça semble devenu inévitable.

Derrière lui, hé hé, Jonathan Pitroipa va pouvoir pitroipater à loisir face à Sauget. Julien Féret illuminera l’axe de sa finesse et de sa touche. Enfin, logiquement, Jirès Kembo-Ekoko reprend sa place côté droit.

À la récupération, Pajot a de nouveau été préféré à Doumbia, qui sera de nouveau préféré à Tettey qui a, comme d’habitude, été préféré à Dalmat.

Yann M’Vila est là aussi, comme une évidence.

En défense, surprise, Apam occupe le côté droit, qui semblait appartenir à Romain Danzé. Mangane est ainsi confirmé axe droit.

 

En face, mauvaise nouvelle, Peybernes ne joue pas alors qu’on comptait bien sur lui pour obtenir un pénalty dans le match.

Sochaux joue « maintenant » (disons depuis le match aller quoi) en 4-5-1. La bonne nouvelle est que le côté gauche ne devrait pas trop nous inquiéter parce qu’il est occupé par Abdoul Camara. Le reste semble un peu plus menaçant, du moins, si on se méfie à leurs noms puisque le trio en question est composé de Marvin Martin, le nouveau ZZ que la presse annonce comme un futur grand, Boudebouz, le joueur qui s’annonce déjà tout seul dans tous les grands clubs de France, et Butin, qui avait fait bonne impression au match aller, et qui a quand même un nom qui en ferait saliver plus d’un.

 

Ar Matc’h

Vu déjà comment la Breizhou confiture aujourd’hui sa crêpe, on va accélérer le mouvement et éviter de rentrer dans un résumé live en différé.

Pour être concis, nous dirons que le match s’est effectué en deux temps : 60 minutes de domination tranquillou rennaise, concrétisée par un but très bien amené, 30 minutes de serrages de spincters pour le supporter.

Match en deux temps, qui laisse comme souvent en ce moment une double impression, celle d’avoir vu une prestation collective très aboutie et très encourageante d’un côté, celle de revivre à chaque fois ou presque le même scénario décevant lors des matches à domicile.

Match en deux temps, avec but en quatre mouvements : M’Vila au lancement s’appuyant sur Erding, Féret à l’accélération puis au décalage subtil, Pitroipa au dribble fantasque puis à la dernière, Mevlut à la conclusion, avec une précision dans la lunette qu’on avait pas vu depuis la dernière fois qu’on a fait pipi assis.

L’insatisfaction restera dans la frustration d’avoir dû serrer les fesses pendant 30 minutes alors que les membres, honorables dans l’ensemble , de la Breizhou pensaient tous à la mi-temps que vu la domination certaine en première mi-temps, on allait repercer les filets sans souci en deuxième. Néanmoins, cette évolution du cours du match doit être relativisée par le fait que Rennes jouait son 3e match de la semaine, contre zéro pour Sochaux.

De la première mi-temps, on retiendra essentiellement des promesses très intéressantes dans le jeu, Erding apportant un vrai plus indéniable dans le jeu collectif, bien que son intégration soit encore incomplète. La machine tourne bien et présente un visage séduisant, avec un potentiel bien plus menaçant sur le but adverse qu’avec Totorugo.

De la deuxième mi-temps, on ne préférera rien retenir, à part l’extérieur fouetté de Julien Féret qui aurait mérité de rentrer à peine moins que la reprise de Pajot en première sur une déviation de Pitroipa en aile de pigeon. Si les deux passaient, c’était plus que beau.

Le but de Privat ? Quel but ? Il est horsjeu. Net comme Perquis sur sa tentative d’extérieur qui passe à 3 m du but de Costil. Le révélateur peut dire ce qu’il veut, c’est bien l’arbitre qui a toujours raison.

L’enjeu finalement était surtout de se mettre bien à l’heure du virage que représentent les deux confrontations à venir : Sainté, qui est juste derrière dans son chaudron dimanche à 17h, Lille, qui est juste devant, la semaine d’après, chez nous, en prime-time sur canal.

 

Les gars du Stade

Costil 4/5 : Il impressionne tellement l’adversaire que ce dernier a tendance à vendanger son duel, pour peu que l’on puisse considérer Mollo et Perquis comme la norme de l’attaquant adverse sans leur faire insulte. Il ne faut pas lui demander de faire des miracles à chaque fois non plus. C’est sur les juges de touche qu’il vaut mieux compter pour ça.

Apam Non Noté : On trouvait que c’était une drôle d’idée de le titulariser à ce poste, même si on se doutait que la menace allait pas venir de Camara. Hé ben, on a tellement pas pu s’en faire une nouvelle que la seule fois où on l’a à peu près vu à l’écran, c’était lors de sa blessure. « Je l’avais bien dit que c’était une idée à la con » a même dit Roazh Takouer à ce moment précis, avant de terminer son double pastis.

Mangane 3 ou 2/5 : Plutôt solide dans l’ensemble, bien qu’il dégage toujours moins d’assurance que l’an dernier, il permet à Rennes d’afficher davantage de sérénité quand il s’agit de serrer les fesses et d’attendre que l’orage passe. En bon capitaine-patron de la défense, il a su souvent piéger les attaquants adverses et le juge de ligne au piège du horsjeu.net. Même certains coéquipiers ont failli s’y prendre. Même lui parfois.

Kana-Biyik 3/5 : On ne s’inquiétait pas, on savait que Jean-Mamelle ne ferait pas deux mauvais matches de suite. De toutes façons, entre Butin qui n’arrivait pas à exister, Boudebouz qui préférait essayer de tricoter dans sa zone, et Martin qui repartait chercher les ballons dans ses 16m, sauf une fois où Kana lui a fait comprendre qu’il valait mieux faire profil bas sur son territoire, il a somme toute passé une soirée plus tranquille que ses collègues. Un peu moins quand Davies est entré en jeu, le prenant deux fois dans son dos.

KTC 3 puis 3/5 : La régularité même sur son côté. Et ce n’est pas Boudebouz qui allait l’impressionner, même si ce dernier se verrait bien « à Lille, Lyon, ou à Marseille, » voire sinon à « Saint-Etienne, Rennes ou Bordeaux avant de signer dans un grand club à l’étranger comme le Real ou Barcelone ou City ou l’Inter ou Manchestère ou le PSG». On remarque aussi que comme M’Vila à une époque, le petit Kévin ne peut s’empêcher de tenter sa frappe dans le match. Pour un résultat similaire….

Pajot aurait pu avoir 6/5 si les Dieux du football avaient un peu plus de goût que le premier connard qui fout du sucre dans son irish coffee. Au lieu de ça, ce qui aurait dû être le but de l’année ne restera dans l’histoire que comme une anecdote qui a failli ne pas l’être. Aura donc 5/5 pour sa première mi-temps, où il était à la fois au moulin, à la crêperie et au bar PMU. N’aura que 2/5 pour la suite parce qu’il était donc légitimement cramé.

M’Vila 4/5 Première mi-temps plaisir des yeux : jeu long d’une précision d’orfèvre, anticipations justes et intelligentes, décisif à sa façon (c’est à dire quand on pense à l’action dans sa globabilité et nous sous son aspect statistique le plus pauvre), 2/5 pour sa deuxième mi-temps trop timoré qui coïncide avec les retrouvailles entre Marvin Martin et le football. N’empêche qu’entre temps, Jérome Alonzo, consultant orange, en avait mis plein partout à chacune de ses prises de balle soulignant « que M’Vila est nettement plus impressionnant quand on le voit en vrai qu’à la télé ». Les consultants qui découvrent le Stade de la Route de Lorient plus d’un an après leur prise de fonction, c’est d’un professionnalisme hors-pair. Dugarry par exemple n’y est jamais allé depuis qu’il est chez canal.

Kembo 3/5 : A fait ce qu’on attendait de lui : défendre avec application, et tenter des trucs bizarres et compliqués avec le ballon. Puis 2/5 pour le gros temps mort rennais. Dans un mauvais jour, c’est à dire un jour où se demande encore pourquoi on est pas foutu de marquer un 2e but à la maison, on aurait même pu lui coller 1/5 pour son 0 frappes cadrées sur 5 tentatives et ses corners trop mous au premier poteau.

Féret 4/5 : Un peu comme Pajot, il obtenait le 5 facile s’il avait cadré sa tentative de break. Puis comme M’Vila, il mérite un 2/5 parce qu’il s’est totalement éteint par la suite. Est d’ailleurs rapidement sorti cramé, soit à la 67e minute pour laisser entrer Brahimi

Pitroipa 4/5 Mode « Jonathane, héééééé, Jonathane Pitroipa ». Il a pitroipaté de longs moments durant le pauvre Sauget, sorte de fusion entre Saupiquet pour le côté remuant, et Puget parce que ça fait moins mal quand ça glisse. Il a aussi pitroipaté les éventuels coéquipier du Sauget venu à la rescousse. Il a honoré les dieux et sa mission en servant une offrande à Mevlut, puis son public sur cette merveille de déviation en aile de pigeon vers Pajot. Est trop fort tout simplement. Puis 3 pas, donc 2/5 Mode « Mais donne là bordel » il a continué à pitroipater tout le monde, y compris ses propres coéquipiers. Pour peu que nous dussions faire des prolongations, il aurait pitroipaté les supporters également.

Mevlut (avec un u, comme dans but) 4/5 : confirme un peu plus à chaque fois les dernières impressions qu’il nous avait laissées. Avant Evian, on se disait qu’il allait apporter dans le jeu. Avant Sochaux, on se disait qu’il allait bientôt marquer. À ce rythme-là, on va finir par gagner un truc et c’est Roazh Takouer qui vous le dit sans même le lire dans le marre de café, mais ça, c’est normal, c’est parce qu’il a fini le whisky ce matin. Puis 2/5 Trop en manque de rythme et esseulé pour pouvoir relancer la machine.

 

Les entrées en jeu

Danzé 3/5 : Autre exemple de régularité. A failli participer au but de l’année en étant l’avant-dernier passeur, le tout en faisant un centre pourtant moyen. Mais n’est-ce pas Teddy Bertin lors de chaque coup-franc qui affirmait aux membres du mur adverses que l’important, c’était de participer et ce juste avant d’expédier un missile ?

Brahimi 3/5 : Mérite son 3 pour son seul retour défensif et la course en contre qu’il tenta ensuite.

Doumbia 2/5 : Est rentré 5 minutes avant le presque but du FCSM. Pour l’opération bétonnage, c’est raté.

 

Les autres apparitions

Abdoul Camara 3/5 : Bravo à Abdoul pour sa CAN réussie et sa 2e titularisation de la saison. Quand on l’a vu revenir dans sa propre surface de réparation, on a eu un peu peur qu’il nous fasse une Rod Fanni : « ah oui, c’est vrai, je suis plus avec les rouges maintenant », mais en fait non, il semble réellement capable de repli défensif. D’ailleurs, sa frappe 3 m au-dessus et sa tentative de prendre Danzé de vitesse alors que ce dernier était encore froid nous ont confirmé que c’était bien lui et qu’il n’avait pas trop changé.

Charlie Davis 4/5 : « Pour la petite histoire » (copyright Christian Jeanpierre), il effectuait son grand retour avec le maillot sochalien. Toutes les félicitations et les meilleurs vœux de la Breizhou. À signaler que le captain de soirée était Perquis côté sochalien. Un Polonais, ça nous paraît moyennement raisonnable, mais il semblerait que tout se soit bien terminé.

Les neuneus qui sifflent 1/5 : Sérieusement les gars, c’est pas la peine de venir pour faire la gueule. Si vous n’aimez pas avoir froid et que le spectacle vous ennuie, faîtes comme la Breizhou, allez au bar. Même Saint-Sernin y va avec sa dame qu’on vous dit ! On y a même croisé deux jeunes sarkozistes déclarés le week-end dernier, et on ne savait pas que ça existait ailleurs qu’à la télé.

 

La non apparition

Totorugo 2/5 : Honnêtement, on pense que ses entrées en mode « attaquant-chacal affamé de ballons » vont nous faire du bien quand ce genre de scénario se reproduira sans que presque toute l’équipe ait déjà 90 minutes dans les jambes.

 

Roazh Takouer vous offre avec les images légales du match.

Il vous recommande aussi d’aller voir du côté de la Lionceaux Académie et même d’aller parfois sur twitter où il raconte beaucoup de conneries.
Et si vous êtes riches, ou que vous connaissez des gens qui le sont, faîtes pas vos putes, faites en profiter des chômeurs qui travaillent.

 

4 thoughts on “La Breizhou Académie note Rennes-Sochaux

  1. « Pour peu que nous dussions faire des prolongations, il aurait pitroipaté les supporters également » : épatant.

  2. Étant à la fois Franc-Comtois et professeur, je ne peux qu’applaudir à tout rompre une telle démonstration de talent. La tienne Roazh, parce taper du lionceau en ce moment, c’est pas compliqué.

  3. C’est un régal cette académie!! J’ai beaucoup aimé l’analyse chapelière pour ma part.

  4. Ah le FCSM et cette tradition de relancer nos anciens joueurs, reprenez Abdoul Camara et il mettra un hat-trique contre Sochaux, surtout qu’il fait trop froid dans le Doubs pour lui apparemment.
    Très bonne académie, au plaisir d’un prochain match quand Sochaux aura récupéré son âme.

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