Aïoli les sapiens,

Rigobert VS Blaah, c’est un peu David contre Goliath, à la différence près que David est youpin alors que Rigobert est juste torse-poil et souriant. Et Goliath a une tête de chameau. Fin bref, on va vous dérouiller les petites pétasses avec l’accent qui chante « Mouillez-le maillot », tandis que le FC Metz, condamné à l’enfer d’une nouvelle saison en Ligue d’eux, continue d’être encouragé par des milliards de supporters. Si ça c’est pas le meilleur public de France !

 

1. Bordo – Metz

D’abord Rigobert et sa bande de petits grenats velus devaient impérativanalement s’imposer en terres girondines pour espérer le plus longtemps possible rester dans l’élite du football français. Mais, malgré la très bonne première période des hommes du Caporal Cartier et le premier but du Tunisien non roux, Sassssi la famille, les Grenat devaient concéder le match nul sur ce superbe papier-caillou-ciseau retourné d’Henri CV coup-franc d’un autre Tunisien sans dent ni cheveux, mais avec une bonne patte droite, le tout avec la complicité d’un M’Fa pas chaud pour plonger. A noter le bon match de Gaëtanche Bussmann, resté sur le banc et qui n’a donc pas pu gribouiller des insanités sur la copie de ses camarades.

 

2. PQSG – Metz

Avec des voitures sur le toit, le PQSG en tenue de soirée a déposé le FC Metz sur le bas côté de la Liguain. Outre ce but de l’amour du FC Metz, on retiendra également de ce match que le Parc donne envie de vomir, à l’image de son club locataire. Rigobert en profite d’ailleurs pour élire à l’unanimité le PSG comme le club le plus superficiel de tous les temps. Crève Paris Saint Germain le Lynx.

Encore un trophée en vue pour Nasser Arafat

 

3. Metz – OM

En prélude à ce match de gala qui attend un Sinsinf archi-comble, communsymbole de l’anus de Philippe Mexes, Albert Cartier a été confirmé à son poste anal de sélectionneur de Kwamé N’Sor et autres supercheries. Ce qui implique :

Dominique D’Onofrio, le petit belge avec un visage d’espion letton qui porte conseil à la moustache de Bernard Serin, et qui recrute des Fédérico Andrada entre autres, devrait évacuer le territoire français et être envoyé en mission outre-Quiévrain.

Robert Duverne, devrait aller jeter ses chronos ailleurs en France, même si le bougre homosexuel avec Florent Malouda rêve de Premier League.

José Jeunechamps, entraîneur très adjoint d’Albert le cinquième mousquetaire pourrait prendre les commandes sportives de Seraing United, club filiale du FC Metz qui aura loupé la montée de pas grand chose.

Florent Malouda devrait rejoindre Hallilodzic quoi qu’il lui en coûte.

Bussmann serait en contact avec le Stade Rennais. Rigobert n’a toujours pas perdu le sourire depuis la lecture de cette brève.

Les abonnés du FC Metz devraient logiquement ne pas se réabonner.

 

Das Spiel :

-18 : Sérieusement Albert Cartier, deviens boulanger ou philosophe professionnel, mais arrête d’être entraîneur c’est pas pour toi. Y’a trop de dynamiques que tu ne comprends pas…

-15 : Kévin Lejeune titulaire au milieu c’est non. Kévin Lejeune capitaine c’est encore non. La seule place qui soit séyante à Kévin Lejeune se trouve loin de Saint-Symphorien, dans un centre avec des gens en blouses blanches, et des adultes qui crient, qui bavent et qui se pissent dessus.

-12 : Pour le reste c’est du classique, hormis le retour du guerrier Choplin, pour suppléer aux ligaments croisés de Guido Milan. Rigobert en profite pour claquer une bise anale à Jérémy, vrai parmi les vrais.

Quand Jérémy Choplin n’est pas dans le groupe, il ne regarde pas le match près du gros Bernard en corbeille présidentielle.

-9 : Autant Rigobert essaie tant bien que mal de respecter l’institution qu’est l’OM (…) et ses innombrables supporters, autant il vous chie dans les yeux à vous, la grosse bande de sacs à foutres qui venez à Sinsinf’ en bleu et blanc, dans des tribunes qui ne sont pas les vôtres, avec vos gueules de Timmy et votre gloriole de faux supporter, bande de footix sales.

-4 : Saint-Symphorien (avec ou sans cette sale bande de mi-hommes mi-marseillais) = 10ème affluence de Liguain cette année. Et vu la saison du FC Metz, ça te pose ton stade dans le panthéon des trucs cool, à l’inverse de Marcel Picoti Picota, sa pelouse et ses supporters synthétiques.

1 : C’est parti à Sinsinf’, les Grenat joueront en grenat, tandis que les Marseillais joueront la peur dans le ventre.

2 : Déviation de Sassi la famille, première accélération survénère du Roi Bouna et centre au sol pour un Lejeune qui tente une frappe de méduse. Mandanda arrête le ballon tout gluant.

8 : Frappe d’Imboulard. M’Fat tente la boulette mais arrête finalement ce tir médiocre.

10 : Gignac se saisit de Gaëtan Bussmann et commence à le mâcher.

10 : Monsieur Millaud intervient et demande à Gignac de recracher le défenseur messin.

11 : Bussmann demande un soin.

11 : Gignac explique à l’arbitre qu’il a pris Bussmann pour une feuille de laitue. Monsieur Millaud ne sort finalement pas le jaune, trouvant lui aussi que la ressemblance est frappante.

17 : Kévin Lejeune, brassard au bras, tente de donner des consignes à ses collègues. Personne ne l’écoute, Palomino lui crache au visage. Lejeune s’essuit et part se replacer.

21 : Sassi sur son tapis volant distille bons ballons comme Monsieur Millaud les erreurs d’arbitrage.

27 : Le jeu messin penche tellement à droite, que Métanire joue désormais avec le bras droit tendu devant lui en criant Juden Raus à qui mieux mieux.

28 : Lejeune n’est pas Juif, mais il est quand même à la cave en attendant que l’orage passe.

31 : Choplin en mode accuponcture vient de gagner son 231ème duel grâce à ce genou subtilement placé dans le creux du dos de son adversaire.

34 :  Marseille reprend du poil de Milan et commence à pilonner les Messins du côté d’un Bussmann en larmes. Lejeune qui n’aime pas revenir, regarde Bussmann prendre l’eau sans plus d’émotion que ça avec son brassard saillant.

Lejeune n’a pas le même brassard, mais il a la même passion.

37 : Corner joué à un par les Marseillais. M’Fat à la parade, mais qui roule sur la carapace de Palomino, pourtant recroquevillé sur lui-même. La suite est confuse, mais Rigobert pense avoir vu un gros porc pousser le ballon au fond de l’anus messin. 0-1

Rigobert n’a pas tout vu, mais ce premier but de l’OM a l’air bien sale.

 

40 : La politique de Choplin  à l’égard des attaquants marseillais vient encore de monter d’un échelon.

Mi-temps : Des nouvelles de Guido Milan.

 

46 :  C’est reparti à Sinsinf’ où le FC Metz n’a désormais plus que 45 minutes pour ensevelir l’OM sous les décombres de la honte et  ainsi espérer encore se maintenir.

50 : Monsieur Millaud, arbitre de la rencontre a le droit d’être pour l’OM, mais il pourrait faire ça un peu plus en douceur.

54 : Gaëtan Bussmann tente de franchir la ligne médiane.

 

56 : Centre de Gignac depuis le désert du côté gauche grenat, pour André Ayew de volée. Mais M’Fat, tel un vieux matou s’extirpe de la torpeur de sa défense et expulse le ballon loin de sa ligne.

60 : Cartier devient complètement fou et réitère ce qui avait conduit à un but contre le FC Metz à Bordo et au Parc, en sortant Sassi la famille, l’un des tout meilleurs sur le terrain ce soir. Surtout pour faire entrer le rouquin et ses grandes pattes mal coordonnées.

60 : En plus de perdre au change au niveau individuel, Metz perd sa rampe de lancement, son organisation défensive, et un petit bout de son âme puisque désormais un rouquin se trimballe dans Sinsinf avec un maillot grenat sur ses épaules de rouquin.

62 : Comme à Bordo, comme à Paris, dès que Sassi la famille sort, le FC Metz écarte les cuisses et s’en prend un. Encore une oeuvre du vieux porc de l’OM. 0-2

63 : Par contre Rigobert ne balancera jamais le nom de celui qui couvrait APG sur cette action.

 

65 : Certains footix en tribunes ouest célèbrent avec un peu trop d’enthousiasme le second but de Gignac. En conséquence logique de quoi, une trentaine de supporters messins quittent le kop, montent les escaliers, et distribuent les petits pains comme Jésus à la belle époque.

67 : Et puis maintenant Ahmed Kashi a l’air dans le dur, tout seul comme il est à la récupération.

 

70: Le fils de Youssef est plein de bonne volonté, en revanche niveau technique et coordination, c’est encore un peu la misère.


 

72 : Les Messins assiègent le mont Olympe de Marseille, mais les Sarrasins résistent toujours grâce à l’individu d’ébène qui protège leurs cages.

74 : Cartier décide donc de lancer du Letton dans le business.

Ikaunieks lance Flammèches. Ce n’est pas très efficace…

79 : Kévin Lejeune n’en a plus rien à foutre du qu’en dira-t-on et se met à brouter la pelouse.

82 : Coup franc pour le FC Metz qui décide encore une fois de faire tirer N’Gbakoto, lui qui n’a plus cadrer un CF depuis qu’il est dans le ventre de sa maman noire. Renvoi au cinq mètre cinquante.

85 : Nouvelle entrée plutôt convaincante d’Ikaunieks, notre druide.

 

90+2 : Honnêtement, Rigobert n’y croit plus beaucoup.

90+3 : Bon ben ça y’est, le FC Metz descend en Ligue d’eux dans la joie et la bonne humeur.

90+12 : Cartier ne manquera pas de souligner la magnifique saison qu’a réalisé son équipe, tout en rappelant que le FC Metz est toujours en course pour son objectif de l’année dernière : à savoir, la montée en trois ans. Shalom.

90 + 15 : Alors que Bielsa lui, parlera de football.

 

Les notes :

Anthony M’Fat, 3/5 : Avec le gros Gabonais c’est un peu toujours la même histoire mais en pire ! Plus il fait de parades déterminantes, plus le but encaissé est ignoble.

Romain Métanire, 3/5 : Une grosse fin de saison de notre bon Métanire anal. Sauvage et fougueux comme on l’aime, le latéral droit messin a encore déroulé dans son couloir de la mort avant de centrer sous terre.

Gaëtanche Bussmann, 1/5 : A peine moins pitoyable qu’à l’ordinaire, l’homme bus a encore étalé un manque flagrant de goût pour la vie parmi les hommes. Au delà de couvrir sur le deuxième but marseillais, Bussmann a encore passé 90 minutes en mode dos d’ânes, la bouche ouverte, les yeux dans le vague. Au moins, cette fois-ci il n’est pas tombé tout seul sur le but des visiteurs.

Jérémy Choplin, 3/5 : Solide, efficace, pas rancunier, Choplin a même réussi à supporter le micro de Julien Cazarre en fin de match. Costaud.

Jean Louis Palomino, 3/5 : Bien saignant, à la sauce argentine, le José n’a pas pu empêcher M’Fa de lui atterrir dessus pour le premier but marseillais. Reste avec nous José, promis en Ligue d’eux on gagnera des matchs.

Ahmed Kashi, 2/5 : Ahmed Kashi a des yeux dans le dos. Bien pratique puisqu’il ne fait que des passes en retrait.

Ferjani Sassi la famille, 4/5 : Au dessus du lot, Sassi a apporté au FC Metz beaucoup plus que ce que le FC Metz lui demandait. En récompense de quoi, Albert Cartier, roi des Andals et des Premiers Hommes ne cesse de le sortir dans les moments clés, avec le sourire et une petite tape d’occidental sur son épaule de colonisé.

Kévin Lejeune, 0/5 : Depuis qu’il est au FC Metz seul Guirane N’Dieu a réussi à cassé le Kévin assez longtemps pour l’empêcher de sâlir le maillot grenat. Depuis, il est titunul en permanence ou presque, et tandis que tout Sinsinf’ essaie de lui montrer la sortie, Lejeune continue de sourire, béat, à ses innombrables lacunes.

Roi Bouna Sarr, 4/5 : Le Roi Bouna est revenu dans les plans chelous de son coach en Janvier, alors que Metz n’en finissait plus de couler. Quelques mois plus tard, le Roi Bouna continuera d’enchanter la Liguain tandis que les plans chelous de Cartier déchanteront en Ligue d’eux.

Florent Malouda, 3/5 : Toujours aussi impliqué dans cette mission impossible de sauver le FC Metz, Malouda aura surtout manqué de partenaires.

Modibo Maïga, 3/5 : Même sans occaz’, ce Maïga de fin de saison ne ressemble pas du tout à l’espèce d’ancêtre aveugle qui zonait horsjeu sur le front impuissant de l’attaque messine durant de longs mois.

Les trois jokers :

Rouxmoute Ben Youssef, va savoir/5 : Grand, ultra rapide, bien costaud aussi. Mais complètement nul.

Yéni, non noté : A l’image de ta saison en mi figue mi dents de scie.

Ikaunieks, non noté : Des promesses de coups du sombrero et de lendemains qui chantent. Contrairement aux supporters de l’ASNL.

 

Le bonus de la cave :

 

Pour tous ceux qui voudraient pouvoir se moquer encore plus longtemps de l’homme-bus, Rigobert vous rappelle qu’il en a fait le portrait il y a quelques jours : http://www.grenatfootballclub.com/tag/gaetan-bussmann/

 

 

Rigobert Pirès

5 thoughts on “Metz – OM (0-2) : La Metz que un Club Académie retourne d’où elle vient

  1. Ton lien à la fin ne marche pas…ne marCHE PAS…NE MARCHE PAS !!!
    Comme un Saint Bôl du FC Metz.

  2. Commentesttil humainement possible de vous laisser descendre en L2 alors que sans vous, M. Rigobert, nos dimanches ne seront plus les mêmes et que vous ne le savez que trop bien.

    A très très vite si possible..

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