Un cadeau de Noël pour l’Editeur
Et c’est à Arsène qu’elle fait sa fête…

Perdant à chaque fois face à un concurrent,
J’ai cessé de songer à sortir la vielle !
Qu’attendre d’Arsenal qu’un gros gâteux nielle
Et qui, honteux, se fait à notre nouveau rang ?
Pour maintenir le rêve amer d’être encor grand,
Il nous offre l’Europe en médaille annuelle,
N’a-t-il aucun égard pour ma peine éternelle ?
Comment peut-il songer qu’on reste indifférent ?
Suis-je le seul sensé ? Maint lèche-cul rabâche
Ses exploits du passé pour couvrir ce vieux lâche !
Le déloger devient ma seule mission.
Pour mettre enfin un terme à ces matchs sans panache,
Je couve la révolte en hurlant sans relâche :
« Wenger démission ! Wenger démission ! »
Votre muse poétesse, Delphine
Merci. Merci.
entre ça et le rêve de Rhinit c’est presque le plus beau boxing day de ma vie. Manquerait plus qu’Arsenal se prenne 5-0 et qu’un vilain supporter assassine Wenger…
Des détracteurs me vilipendent sur Twitter, je compte sur votre virilité pour me défendre!
À part ça, avec cinq grammes de vous-savez-quoi dans le sang, je ne me suis pas rendu compte que j’utilisais deux fois le même verbe… Remplacez « songer » par « prier » à la deuxième occurrence…
Les sonnets, c’est pas un peu démodé ? Sinon bien, je trouve la répétition du dernier vers très sophistiquée.
Ca