Nantes – Bordeaux (5-3) : La Scapulaire Académie, réinterprète un Classique

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La composition :

Costil

Marcelo – Guilavogui (c) – Ahmedhodzic

Kwateng                  –                    Mangas

Onana   –   Ihnatenko

Dilrosun

Niang    –    Hwang

Gregersen n’est pas retenu, ni Médioub. Pembele et Elis sont out pour la fin de saison.

Marcelo revient de blessure ainsi que Hwang de suspension. Ils intègrent le onze titulaire.

Bref, Guion a demandé à son adjoint Boggle de se secouer pour composer notre ligne défensive, et il nous en a pondu encore une différente, c’est le principe, pourquoi changer cette habitude de changer ?

Le match :

Une fois de plus, un match que les Girondins doivent gagner s’ils veulent maintenir l’illusion du maintien.

Le match démarre plutôt bien. Niang bien placé est à la réception d’un centre au deuxième poteau et ouvre la marque, 0-1 (6e minute). Les Nantais eux n’ont pas encore commencé le match. Une preuve ? C’est une ouverture du score après avoir laissé Dilrosun et Ihnatenko se balader dans le coin gauche de leur surface de réparation.

Douze minutes plus tard, Dilrosun tente de percer le mystère de la chambre jaune. Après un contre favorable et un ballon légèrement rebondissant, il pénètre le but d’une demi-volée extérieur du pied gauche qui vient nettoyer la lucarne de Lafont, 0-2 (18e minute).

Sur cette première période les Girondins se montrent entreprenants, la réussite qui les a globalement fuis cette année (faute de l’avoir provoquée) leur a souri pendant ces quarante-cinq premières minutes. A moins que ? C’est ça. Bel hommage du FCN qui ne joue pas l’entièreté des 90 minutes comme son adversaire du jour a l’habitude de faire.

C’est pourquoi, après le retour des vestiaires. Un autre match commence.

Si David, Admar, Gérard, ou le futur entraineur en N3 a besoin d’en savoir plus sur le club ou l’effectif, la Scapulaire Académie se tient à sa disposition :

Coulibaly est servi par Cyprien juste à l’extérieur de la surface, seul entre Guilavogui et Mangas après qu’Ahmedhodzic ait été « aspiré ». Coulibaly envoie une frappe sèche croisée qui bat Costil, 1-2 (47e minute). Superbe frappe qui relance Costil dans son duel à distance avec Poussin dans le challenge du plus grand nombre de buts encaissés depuis la création du football.

Ihnatenko récupère un ballon au centre du terrain, et chose rare pour un milieu girondin arrive à se retourner dans le sens du but. Il transmet à Dilrosun qui lui, chose rare, arrive à lancer Niang en profondeur sur la droite. Niang temporise puis envoie une passe à ras de terre pour Hwang qui déboule au second poteau pour creuser l’écart d’un but Elisien « y-a-plus-qu’à-la-pousser ». Mais coréen n’est pas hondurien, et Ui-jo décide de se remettre à viser les étoiles… et manquer l’immanquable (49e minute).

Bon c’est pas grave hein… hein ?

Non. Quatre minutes plus tard, la panique ayant déjà atteint son paroxysme dans les têtes des Marine & Blanc, Mangas sort le grand jeu et coupe un ballon au deuxième poteau pour satisfaire son deuxième poto Costil, 2-2 (51e minute). Ça a été un peu plus long que prévu, mais le contrat est rempli. Bon on chipote, parce que ça faisait 2-2 quoiqu’il arrive, que ce soit via Mangas ou Kolo Muani. Mais faut avouer que le fait que ce soit un CSC, pour ruiner une avance de deux buts dans une opération maintien, ça a grave de la gueule, on aurait été déçu, on a été si bien habitué jusqu’ici. Et puis que ce soit Mangas, encore lui, ce qui lui permet de rester dans la course dans son duel à distance avec Kolo dans le challenge du plus grand nombre de CSC marqués depuis le premier être unicellulaire, ça n’a pas de prix.

Kwateng, esseulé sur le bord droit de la surface Jaune, enroule une frappe du gauche (!) et redonne l’avantage aux Girondins, 2-3 (67e minute). Ecoutez… j’en sais rien moi. Comment est-il arrivé là ? Pourquoi du gauche ? Et pourquoi il a réussi son geste… je sais pas, mais je veux pas être mêlé à ça.

Toujours est-il que Bordeaux mène. Avec un truc pareil, soit on finit champion de France sur une tête plongeante de Bernadette Soubirous… Soit… je sais pas, pourtant on a beaucoup d’imagination quand même, mais ça va être mémorable quoiqu’il en soit.

Allez, imaginez une fin à la « Thelma et Louise », vous voyez, fichu pour fichu, autant partir avec panache et un grand feu d’artifice.

Sauf que là l’hélicoptère de la Police qui les prenait en chasse doit repartir faute de kérozène. Une tempête de sable du Sahara (c’est pourtant pas à côté de l’Arizona…) arrive en même temps que toutes les voitures de Police qui voulaient leur faire barrage. Impossible d’y voir à 1 mètre, impossible de les tenir en joue. Pire, elles pourraient passer à côté des flics qu’ils n’y verraient ni n’entendraient rien…

Tout est là qui leur tend les bras pour une issue favorable. Alors elles se le disent, elles vont y arriver, ensemble – c’est la seule chose qui compte à présent –, elles ne sont pas inquiètes.

Elles sortent de leur véhicule. Elles décident d’y aller tout doucement, le vent souffle fort, mais il ne faudrait pas faire de bruit, on ne sait jamais. Thelma sort une boussole qu’elle avait volé à JD, et se décide à progresser vers le nord. Louise, elle, se rappelle la position du précipice, et des flics à l’opposée, et se décide à partir en biais afin de les contourner.

Ni l’une ni l’autre, malgré leur souhait et leur promesse de ne plus se séparer, ne s’aperçoivent qu’elles partent dans différentes directions. Thelma s’approche en fait du précipice. Elle s’en aperçoit au dernier moment, mais en se retournant se prend plein de grain de sable dans les yeux. Elle se déséquilibre légèrement, mais se reprend in-extrémis ! Elle se recroqueville au sol et se protège du vent et du sable. Elle finit par s’enlever le sable des yeux et se relève.

C’est à ce moment-là qu’un pigeon (oui) se prend dans ses cheveux. Elle gesticule. Le précipice est si proche… Dans un ultime effort, elle finit par s’en défaire. Mais en reprenant un appui sur son pied droit, ce dernier tourne dans un mécanisme de varus équin forcé. Les fibres de son ligament latéral externe se déchirent. Elle ressent ce craquement dans tout son être et laisse échapper un cri étouffé. Elle perd l’équilibre, prend du sable plein la bouche, et tombe en arrière dans le sens opposé au précipice. Son occiput heurte lourdement une tortue géante d’Aldabra charriée par la tempête depuis les Seychelles.

Louise quant à elle, progresse. Lentement, très lentement même, mais sans obstacle. Par chance elle finit même par trouver refuge dans un véhicule abandonné. Elle pénètre un fourgon tout en métal par sa porte arrière. La voilà plongée dans cette pièce tout en métal, sans autre ouverture vers l’extérieur que celle qu’elle vient d’emprunter. Elle n’y voit rien. Il y a bien une ampoule au milieu du plafond mais pas d’interrupteur, il doit être dans la cabine avant. Elle s’allonge sur un banc situé sur le bord gauche de cette pièce froide et lugubre. Mais c’est bien un sentiment de chaleur qui l’envahit : elle est cachée et en sécurité le temps que la tempête s’estompe. Ce qui, vu le temps qu’elle a mis à progresser dehors, arriva dans les cinq minutes de son arrivée dans le fourgon. Elle avait à peine eu le temps de s’inquiéter de l’absence de Thelma que la visibilité revient progressivement. Le fourgon est entièrement de métal noir. Il y a un autre banc situé sur l’autre flanc du véhicule. Elle aperçoit une petite trappe métallique qui donne sur la cabine avant.

C’est alors qu’un sentiment étrange, enfoui jusqu’à présent la submerge totalement : Elle doit sortir. Et puis elle doit retrouver Thelma ! Elle regarde par la petite fenêtre à l’arrière. Le champ de vision est étroit mais elle ne voit rien d’inquiétant. Elle se saisit de la poignée mais il lui est impossible de l’abaisser. Elle force : rien. La poignée ne bouge pas. Et si la porte ne s’ouvrait que de l’extérieur ?? Elle ne peut s’y résoudre, alors elle s’acharne dessus, encore et encore, de plus en plus violemment, son épaule heurte même la paroi à plusieurs reprises. Elle fait du bruit et fait tanguer le véhicule. C’est à ce moment-là que la petite trappe donnant sur la cabine s’ouvre brutalement dans un bruit métallique glaçant. Louise se retourne et constate que deux hommes la fixent intensément du regard.

Louise a pénétré un véhicule de la Police. Celui qui était resté à l’arrière, le dernier avant la liberté : le fourgon venu pour les transporter après leur arrestation.

Elle est immédiatement conduite en prison. Son procès se déroule seulement une dizaine de jours après. Elle est jugée seule. Personne ne parle de Thelma. Le procès est bâclé, expéditif. Juste après le verdict qui la condamne à la perpétuité pour meurtre, son Jimmy s’avance vers elle. Il tend sa main pour s’emparer de la sienne. Sa main est moite mais froide. Elle ne peut lire ses yeux car il fixe ses chaussures. Au dernier moment, alors que ses geôliers la saisissent par les épaules, elle sent un petit objet que Jimmy lui a glissé au creux de la main : sa bague de fiançailles. Jimmy a déjà tourné les talons.

En tombant, Thelma tue la magnifique tortue – jeune de 170 ans et à la moitié de sa vie – sur le coup. Quant à elle, elle se brise la nuque sur un mécanisme d’hyperflexion du rachis cervical. Elle présente immédiatement un syndrome sous-lésionnel de niveau de C3 : elle est tétraplégique. La dernière sensation ressentie au niveau de l’un de ses quatre membres aura donc été l’indicible douleur de ses fibres ligamentaires se déchirant sur le bord externe de sa cheville droite. A présent elle ne ressent que le sable dans sa bouche. Mais elle vit. L’absence d’anomalie cérébrale et une prise en charge rapide par les secours lui évitent de mourir d’une détresse respiratoire. Après de long mois en réanimation puis en soins intensifs, et un séjour d’un an en hôpital-prison, elle regagne enfin le domicile conjugal pour bonne conduite (!), et se retrouve de nouveau sous l’emprise de Darryl, goguenard et infidèle, mais dans une superbe chambre toute équipée avec vue sur la piscine et la salle de sport.

Bref… On savait bien que ça n’allait pas bien se terminer. Mais rien ne s’est passé comme prévu. Aucun panache.

On hésite entre la tristesse, la consternation, le pathétique, mais on pense surtout au ridicule de la situation.

Bon… retournons-nous en au foot fiction.

Simon centre au deuxième poteau pour Coulibaly pour un remake de la tête du but de Niang, 3-3 (72e minute). Inutile de rappeler que nous jouons à trois axiaux, inutile de rappeler leur taille, c’est de la fiction on a dit.

Kolo Muani sert à présent Simon, esseulé à gauche de notre défense (partie) à Troyes. Contrôle poitrine, tranquille, crochet intérieur du droit, patate du gauche, lucarne, 4-3 (76e minute).

76 minutes de jouées, 7 buts marqués, et c’est la première fois que Nantes mène de la partie. Tout se passe comme prévu.

Après un corner à gauche, Oudin hérite du ballon à droite. Il s’apprête à dévisser son tir mais sur la trajectoire un Nantais touche le ballon de la main. Penalty ! Voilà l’occasion de revenir à égalité et de repartir au moins avec un point après avoir mené trois fois au score. Mais bon, foutu pour foutu… Briand envoie un hérisson sur la droite de Lafont qui repousse tranquillement du genou (88e minute).

Dans la minute, après un coup franc indirect obtenu par les Marine & Blanc, les Nantais se dégagent d’une tête… ce qui les mets immédiatement en situation de profiter des boulevards laissés par l’arrière garde Bordelaise. En une passe, une véritable chevauchée inégale est déclenchée vers le but de Costil. Un contre éclair à 4 Vs 1, où Kolo Muani encore à droite sert Bukari à gauche qui décroise sa tête pour tromper Costil, 5-3 (89e minute).

L’arbitre siffle la fin et les Nantais ont gagné la Coupe du Monde.

Les notes :

Des joueurs moyens qui n’atteignent pas la moyenne.

Costil (1/5) : Impuissant, fautif… Les avis sont partagés. En tout cas il fallait du caractère pour revenir dans ce contexte. Et bien lui en a pris : il raciste à une nouvelle orgie de buts.

Marcelo (1/5) : Marcel est venu avec son orchestre. Jamais dans le bon tempo il a enchainé les fausses notes.

Guilavogui (1+/5) : Perdu, Guy il a vogui à droite, à gauche pour fermer des brèches tout en en créant d’autres.

Ahmedhodzic (1+/5) : A part en jouant en tenue NRBC je ne vois pas comment il ne peut être contaminé lui aussi. Petit conseil : Cito, Longe, Tarde.

Kwateng (2/5) : Ahahah !! Incroyable ce but. Un évènement pareil nous a forcément fait basculer dans une autre dimension… Rejetez un œil à vos films préférés, des fois que Keyzer Sözé change d’identité ou encore que Jack rejoigne une barque de sauvetage…

Mangas (1/5) : Mangas et Kolo se copient, mais sans anesthésie générale, de quoi le sentir (mal) passer.

Onana (1/5) : Aux fraises, aux pâquerettes, et pas assez au charbon.

Ihnatenko (2/5) : Il va finir par nous convaincre qu’il sait mettre aussi bien le pied sur le ballon que sur le tibia.

Dilrosun (2/5) : Belle activité. Cette position derrière deux attaquants semble lui convenir… Pour combien de temps ?

Hwang (1/5) : Était-ce vraiment le moment pour se remettre aux tirs balistiques ?

Niang (2/5) : On l’a vu courir ! Pour bien se placer il faut être bien physiquement. Ca doit être le cas puisqu’il le fut pour ouvrir le score. Il aurait même dû avoir une superbe passe décisive à son tableau de chasse du jour…

Les remplaçants :

Adli (1/5) : 55e

Mara (1/5) : 55e

Klidje (1/5) : 74e

Briand (1/5) : 81e

Oudin (1/5) : 81e

Pour conclure :

Les Nantais avaient visiblement opté pour le match amical de préparation avant leur finale de Coupe de France. Mais comme avec les autres équipes, les Girondins leur ont offert la conviction qu’une bonne orgie de buts, le tout grâce à un scénario faussement hitchcockien (mais pleinement emmerichien), pouvait flatter l’égo et faire du bien aux têtes, le tout sans gros effort. Pourquoi s’en priver ? On demandera à Metz pour voir (et encore, le match aller était l’un des premiers du genre).

Chez vous, chez nous, vous repartez avec les 3 points, du divertissement et surtout beaucoup de satisfaction. Quant à vos supporters selon la manière dont nous avons entamé le match ils ont l’impression d’avoir assisté soit à massacre à la tronçonneuse soit au retour du Jedi.

Poussin, Costil, défense à cinq avec trois défenseurs centraux, ou à quatre à plat… qu’importe ! A la fin toujours les mêmes constats de défaillances à la fois individuelles et collectives. 84 buts encaissés c’est du jamais vu depuis 40 ans, alors ce n’est pas du hasard.

Alors fichu pour fichu… Il reste un symbole à aller chercher : la barre des cent buts encaissés.

Cette génération fera-t-elle aussi bien que la dernière équipe à avoir connue une rétrogradation sportive à l’issue de la saison 1959-1960 ? Sous la houlette de notre entraineur-joueur luxembourgeois (c’est un signe ?) Camille Libar, les Girondins avaient encaissés plus de cents buts !

Allez, il va falloir faire un effort car il s’agit tout de même d’une moyenne de 4 buts par match sur les 4 derniers ! Mais on y croit.

Cette année nous nous devons quoiqu’il arrive de nous réjouir pour tous ceux qui ne nous aiment pas… Imaginez ce kiffe incessant. Rien que ce dimanche, imaginez-vous en tribune de la BL. Tu perds 0-2. Tu gagnes 5-3 avec ce scénario-là.

Mais si vous n’avez pas trop le vertige, prenez du recul sur la saison entière : C’est une descente aux enfers interminable, à la fois méthodique et toujours plus surprenante. Nous n’aurons rien épargné en matière de nullité, malchance, ridicule, etc. Il faut le reconnaitre c’est FA-BU-LEUX !!

Regarder un match des Girondins c’est ne pas savoir par quel sentiment vous allez passer, ni pendant combien de temps. La colère, la consternation, la honte, le désespoir, parfois un peu d’espoir aussi, bien cruel.

Il y a une constance tout de même : celle de savoir que l’on sera surpris et de manière désagréable. L’impression que c’est toujours le pire et au meilleur des moments. Ils ne nous épargnent aucun des pires scénarii courus d’avance. Sur ce match ? La réduction du score dès la reprise en seconde période. Tout le monde sait que c’est parfait pour relancer un match… Tu rates le 1-3 ? Bah dans la foulée 2-2. Pénalty pour revenir à 4-4 ? Attends, ce serait fou si… non ???? Mais si je te dis ! Allez, on le rate et pareil dans la minute on en prend un autre. Rien que sur ce match…

Sacré thread que voilà. Et encore… si on rentrait encore un peu dans le détail ce serait effroyable.

Si c’est parfois lié à une certaine malchance, voire un litige, c’est TOUJOURS sur fond de nullité.

Au final les Girondins c’est un peu le Fight Club. Tu peux nous mettre la branlée que tu veux, nous n’en parlerons pas, ça ne nous inquiète pas. Une équipe composée de personnage d’Edward Norton à qui leur identité alternante pourrait demander après chaque match « T’étais où là Schizo-boy ? » et à qui ils répondraient inlassablement « J’avais envie de détruire quelque chose de beau… ». C’est réussi, merci.

PS : le massacre du film culte Thelma et Louise par la proposition de cette fin alternative – alors qu’il ne peut y en avoir d’autre – n’avait pas pour but de dénaturer sa capacité d’empowerment et encore moins d’effectuer une réappropriation masculine de cette épique escapade émancipatrice. Le seul but recherché était d’illustrer cette fâcheuse tendance de cette équipe à vouloir « détruire quelque chose de beau… ».

Prochain match face ce dimanche premier mai face à l’OGC Nice à domicile. Nice qui viendra préparer comme il se doit sa finale de Coupe de France… Les Girondins, sparring-partner idéal et équitable pour nos finalistes.

Rassemblons-nous autour de l’espoir infime qu’il reste de les voir rester en L1 et de cette nouvelle maxime qui s’impose à nous : « TOUS DÉM-UNIS ».

Bonne fête du travail à tous, en espérant que les joueurs fassent le leur… Non je déconne ! Mais bonne fête du travail quand même.

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