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Première division chilienne. La bataille contre la relégation fait rage tandis qu’Antofogasta reçoit les Rangers dans un match décisif du bas de tableau. Dans ces conditions, certains supportent mieux la pression que d’autres. Lorsque son entraineur le fait sortir, Giovanni Narvaez pète les cables, shoote son maillot, va dire à son banc le fond de sa pensée profonde et se fait un panneau publicitaire pour terminer. L’arbitre finit par l’exclure pour la forme.

14 thoughts on “Comment réussir sa sortie

  1. y’a un moment il se demande s’il peut s’attaquer a la voiture après il semble repensé a toute sa smala qui l’attend a la maison et qu’il va devoir nourrir et il se dit « yé né pas les moyennes… »

  2. Zêtes sur que c’est pas le championnat carcéral ? On dirait que le carton rouge lui donne le droit de retourner dans sa cellule

  3. Purée, c’est la journée de la mégaclasse, genre le mec le dit clairement, si tu me sors, je te fiste, tu ne rentreras personne à ma place. Les Bernard Fa, Neymar, Zlatan et consorts n’ont qu’à bien se tenir, les chiliens arrivent!

  4. Le léger soulevage de balloches à l’attention du banc (du public ?) sur l’air de « viens me la tenir si t’es costaud » est très bien réalisé.

  5. Ses ailes de géant l’empêchent de penser… A part ça, en cas d’expulsion d’un joueur en cours de remplacement, sur quels critères l’arbitre doit-il décider que le changement a eu lieu ou pas, et donc d’autoriser ou non ?

    (pour un joueur qui gagne du temps avant sa sortie, les Portugais ont payé pour savoir la réponse, mais quid de ce cas-là ?)

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