Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes en avant, nous créons pour vous,  un face à face unique en son genre, le onze contre onze.

C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences d’avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent),  les gros membres choisissent chaque semaine les meilleurs et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.

Fabianski, Arsenal 5/5 : Docteur Lukasz, Mister Fabianski. Après avoir rempli son quota mensuel de conneries (espérons…), il a su rebondir et sortir encore un très gros match. Des sorties rassurantes et une poignée d’arrêts ultra-décisifs, dont celui à la dernière minute sur une frappe au sol, à l’entrée de la surface alors qu’il est complètement masqué. Seul point noir : le maillot rose fluo, qui le faisait passer pour une pub Adidas de 1992.

Carragher, Liverpool 4/5 : Le taulier dans ce genre de match, c’est encore et toujours lui. Certes Anelka n’y était pas, mais ses gueulantes ont fait tenir toute SA défense. Mention pour le petit échange avec Lucas en 1ère : après que les deux aient brillamment stoppé une contre-attaque des Blues et relancé correctement sur Meireles, le petit Lucas vient remercier/féliciter Jaimie, celui-ci lui braille dans les oreilles de se replacer, qu’ils se féliciteront plus tard, le tout accompagné d’une petite poussade. Là aussi, Gerrard aime!

Skrtel, Liverpool 3/5 : Excellent dans les duels aériens et les contacts à l’épaule. A tellement dégouté Drogba lors des duels qu’il en a attrapé la malaria. Sale histoire. Sa régularité cette saison le fait passer un cran au-dessus.

Clichy, Arsenal 4/5 : L’ancien Cannois revient à son meilleur niveau, et heureusement qu’il est là pour chaperonner l’autre saucisse suisse. Volontaire, incisif, et solide derrière.

Zanetti, Inter : 19,5/5 Encore bien seul au milieu de terrain, il a tout comblé défensivement et ajouté son écot vertical balle au pied. S’il n’a pas 20/5, c’est pour faire semblant d’être objectif.

Zanetti, Inter : 99/5 Jugador de puta madre ! S’il n’a pas 100/5, c’est pour faire semblant d’être objectif. Comment Maradona a pu lui préférer la cocaïne ?

Gerrard, Liverpool 4/5 : Une ouverture lumineuse pour Torres d’entrée de jeu, une frappe écrasée sur la barre qui rebondit devant la ligne en fin de rencontre. Foutu stéphanois de m***, Gerrard Mouillée est sûr qu’avec une barre carrée, elle rentrait celle-là!

Lucho, Marseille (4/5) : a mieux défendu que Taiwo et Kaboré réunis, a exercé un pressing intéressant et a marqué un but pour sauver le linge sale marseillais. Ne peut malheureusement pas récupérer 10 taches trop incrustées…

Kuyt, Liverpool 4/5 : Blessé le 13 octobre dernier, les premières analyses lui prédisent une absence de plusieurs mois. LOL. Revenu à Liverpool, les médecins qui le connaissent lui donne un mois, 3 semaines avec de la chance. C’est donc « avec de la chance » que notre Iron (Dutch)man est retourné à l’entraînement ce vendredi. Mais c’est quoi alors qui lui a permis de disputer 83 minutes d’un Liverpool-Chelsea, parcouru presque 11 Km et de rentrer avec des bouts de chaussettes, maillots et shorts bleus entre les dents? Cet homme n’en est pas un…

Eto’o, Inter : 5/5 Allez : 4,5 parce qu’il n’a pas marqué… en revanche, il marche sur l’eau balle au pied, et quel caviar pour Milito ! Mon 2ème fils, après Cramponi, s’appellera « Samuel Matrix fils » (j’ai déjà renommé ma femme « Javier »)

Park, Monaco – 4 Quand il attrape sa proie il ne la lâche plus, après une chasse aux buts le voilà lancé et après tant d’efforts on ne peut que lui dire que c’est mérité. Fidèle, il fait toujours la fête à Moustache lors des mauvais jours. Un slogan du « no pain no gain » dans un doggy style assumé…

Le banc mondial des remplaçants.

Chamakh, Arsenal 4/5 : Et quoi ? Deux occases, deux buts, désolé je peux pas mettre moins. Toutefois, pour les détraqueurs de l’ancien Bordelais, oui, je le concède, il n’a servi à rien pendant les ¾ du match. Mal placé (relativement, il met deux buts quand même), il gênait encore un peu trop souvent.

Nêné, Paris-SG : (5/5) il est dans la plus pure tradition des grands joueurs brésiliens du Parc. Il est une fois de plus à l’origine de nos 2 buts, notamment grâce à cette louche magique à destination d’Hoarau. Il a enrhumé les olympiens pendant toute la partie, c’est d’ailleurs lui qui provoque les cartons de Lucho et de Diawara qui s’est pris pour Zidane en s’essuyant les crampons sur Nêné. On espère pour ce dernier que le sélectionneur auriverde jette un œil sur ses performances.

Dja Djédjé, Arles-Avignon (4/5) : a été un vrai poison pour les défenseurs caennais et pour mes yeux ! Rate tout ce qu’il peut rater mais amène de vraies grosses occasions dont le penalty de la victoire. Digne successeur de Bakayoko

Cheyrou, Marseille  (3/5) : a joué aux côtés de Kaboré puis d’Abriel. VDM

Queudrue, Lens. 5/5. Il remplace Boukari à la 89e. Il sort sur une civière à la 93e, les crampons de Belhanda plantés dans la cuisse. 1 point par minute.

Les adversaires pathétiques du Onze mondial, le Onze anal. Il est ici.

2 thoughts on “Le Onze mondial

  1. Fabianski et Chamakh réussissent la prouesse d’être dans les deux équipes, comme un symbole…

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