Salut les mangeurs de glands,

Beaucoup de violence en ce moment. Le FC Metz pue la pisse froide, sans point, sans supporter, et avec Kévin Lejeune…

Lens – Metz :

Rigobert en a déjà vu des équipes sans couille, mais des comme ça ! Putain de Dieu de con de bordel de Cartier, c’est fini oui ? Depuis quand le FC Metz se comporte comme une petite fille ? Lens-Metz l’an passé, c’était zéro point mais un match haut en couleurs, en blessure de Sylvain Marchal nous voilà, en occaz et en style. Aujourd’hui l’âme malheureuse de Bijotat plane au-dessus d’un FC Metz déburné, sans idée et surtout sans culot.

Un bon gros 4-5-1 ultra pédé, joueurs en manque de coke et de confiance, et Maïga horsjeu.net. Voilà la recette miracle trouvée par Tonton Cartier pour aller ne pas emmerder les Lensois, qui eux, ont libéré leur paire de testicules sur ce match, et se sont logiquement et facilement imposés face à la tristesse messine. Rigobert prend donc sa plus belle plume anale pour tailler dans la chaire ceux de cette déroute là :

Carrasso : gardien périmé à la couche un peu sale. Depuis son retour dans les cages, le FC Metz prend en moyenne 11 buts et 3 poteaux par match. C’est à chier ma pauvre vieille.

Métanire : L’animal ressemble furieusement à un âne. Joueur sans cerveau.

Bussmann : Deux buts pour sa gueule esquintée par tant d’accident de la route d’arrière-gauche un peu nul.

Marchal : Sylvain Marchal.

Milan : Sylvain Marchal en gros.

N’Daw : Grand noir malhabile qui suinte la haine. Mais la gentille haine.

Kashi : Non. Pas du tout. Mais alors pas du tout.

Lejeune : La seule touche d’humour dans une soirée bien triste le gros Kévin et sa tête rigolote.

Malouda : Guyanais en manque de football cherche nouveau challenge plus excitant que courir sans ballon.

Krivets : Mais repose-toi donc un peu Serguey. Tout le monde le voit que t’es à bout de force. Et rase ce vilain visage de biélorusse alcoolique putain !

Maïga : Pris au piège du Horsjeu comme un poisson dans un aquarium, condamné à manger ses propres excrément.

 

Metz – Bordeaux :

Là-dessus, un mercredi soir, dans le froid, les supporters messins, nombreux, déterminés par l’alcool et par l’amour du Grenat se rendront quand même à Sinsinf’. Fidèles mais le cœur gros comme le cou de Pierre Ménès, ils espéreront que leur équipe saura se faire pardonner l’insalubre du week-end, et faire oublier l’espèce de carnage qu’est Sinsinf’ par ces temps de dictature moustachue et de grève gay.

– 20 : La TOB est fermée (pétard = fermeture administrative). L’ambiance risque d’être encore un cran en-dessous du néant de Paris et Caen. C’est bien. C’est bien à chier.

-18 : Rigobert espère de tout cœur voir évoluer le grand bâton malien qu’on appelle Diabaté pour voir en vrai cette bête-là.

-11 :  Mesdames et Messieurs, préparez-vous à ne pas pouvoir échapper au « Carrassico » dans tous les bons canards de merde pour présenter ce match entre les gros frères Carrasso.

-9 : Rigobert est enchanté de voir que le speaker, nonobstant le froid ambiant, la grève, les défaites, est toujours aussi heureux d’être aussi con. Tant de candeur, c’est beau.

-7 : Marc Planus s’assoit en tribunes. Deux minutes plus tard, Sinsinf tremble encore.

-4 : Big up à Guirane N’Daw qui s’est offert un petit bout de réputation de Thiago Motta la salope lors de la réception du QSG la semaine dernière :

 

-1 : Rigobert observe une minute de silence en l’honneur de la carrière de Bouna Sarr.

2 : Entre la tribune fermée, l’absence de drapeaux dans le stade, l’ambiance d’enterrement et le nombre d’arabes en liberté, Rigobert va mal.

 

8 : Le fameux round d’observation est tellement plus drôle avec N’Daw, qui a sa manière bien à lui d’observer !

11 : Lejeune sent le chat de gouttière.

14 : Physiquement, Sané et Diabaté ont quelque chose en plus que leurs adversaires, c’est indéniable.

 

17 : Krivets tente la spéciale : ciseau retourné coupé cabriolé à côté.

21 : Ce n’est que le début du match mais Monsieur Mort aux Rats s’est déjà attiré les sympathies de Rigobert et de Sinsinf.

 

24 : But de Khazri mais l’édenté est logiquement signalé Horsjeu.net. en hommage à Maïga.

28 : Maintenant c’est sûr. Métanire est possédé par le malin.

33 : Falcon fait la technique du Juif et s’échappe sournoisement du marquage de Pallois, mais se fait rattraper par la police puis sectionner en deux dans la surface avant de pouvoir frapper. Monsieur Mort aux Rats hésite tellement que c’est désormais trop tard pour siffler.

34 : En revanche il n’est peut-être pas trop tard pour le suicide Monsieur Mort aux Rats.

37 : N’Daw tente de sortir de son corps de stéréotype du joueur africain et de faire une passe. La suite est drôle et triste à la fois.

39 : Diabaté essaie d’embarquer Guido Milan dans une partie endiablée de « Je te tiens, tu me tiens par la barbichette ».

 

Mi-temps. Challenge Wanadoo le plus funky de tous les temps.

 

46 : Et comme un seul homme, les deux kops lancent une clameur terrible. SINSINF EST DE RETOUR !!

51 : Tant de haine dans le corps de Lejeune, c’est dur.

57 : Le grand Cheick en bois Diabaté est aussi maladroit qu’il est noir. Et Dieu sait s’il est noir.

58 : Les ramasseurs de ballon se désespèrent d’un jour pouvoir retrouver ce ballon envoyé par dessus le bord de la décence.

64 : Rigobert aime le football vrai, mais il y a des limites Gaëtan Bussmann !

68 : Corner pour Metz. Repoussé par Pallois. Couverture de Métanire.

 

75 : Coup du Juif, acte 2. Falcon, à la réception d’une touche, glisse en pleine surface puis se relève plus vite que son ombre, et surtout bien trop vite pour Julien Faubert, avant de tenter le gros Carrasso sur son angle fermé. Corner.

78 : Malouda éclate son dernier rein à Faubert. Voir Faubert c’est déjà marrant. Voir Faubert à bout de souffle, c’est grand.

82 : Metz pousse mais les hommes de Willy Sa Gnôle résistent.

83 : Andrada, échappé tel un Falcon vers le gros Carrasso, oublie de décaler Malouda et la place du gauche. Assez doucement pour que Pallois puisse sauver sur la ligne et bomber le torse.

84 : Maïga fait une entrée remarquable. De la tête, du pied ou de la rate, le Malien est dans tous les bons coups.

87 : Kashi tente de se reproduire avec Khazri pensant que c’est une femelle de la même espèce. Faute pour les Girondins.

88 : Maïga lancé dans la profondeur anale par N’Daw, se fait découper en quatre par le plus gros Carrasso des deux : PENALTY sifflé pour Metz ! Malouda s’avance sans confiance et avec la queue entre les jambes. Carrasso écroule son surpoids du bon côté et sort le tir du Guyanais.

 

Fin du match. Metz renoue avec autre chose que la défaite honteuse. C’est déjà ça.

Les rigolos :

Johann Carrasso, 2/5 : FAR y’a rien à faire pour le gardien messin qui a pu regarder de loin son gros frère briller, mais qui aura au moins eu le plaisir d’entendre un bon gros « Chaud Carrasso » des familles qui va bien.

Romain Métanire, 3/5 : Un nouveau match boule de neige pour le grand taré qui joue arrière-droit au FC Metz et qui court comme personne d’autre ne peut courir. Rien que pour la performance physique Métanire mérite des louanges et une compagne

Gaëtan Bussmann, 3/5 : Toujours aussi volumineux, mais avec une toute petite kékette, l’homme-bus du FC Metz.

Sylvain Marchal, 3/5 : Effacé mais efficace, le capitaine grenat a livré un match propre. Contrairement à son caleçon sur quelques errements de la défense messine. Mais Marchal nous voilà s’avère précieux en ces temps de crise grâce à une aura hors du commun, une prestance et un charisme dignes des plus grands hommes dans l’histoire de l’univers, et une bonne dose de classe. Ceci est faux.

Guido Milan, 3/5 : Grand, gros et super sympa.

Guirane N’Daw, 4/5 : N’Daw était le patron de l’entrejambe messin depuis le début de saison. C’est désormais bien plus : une âme pour le FC Metz qui a enfin trouvé un méchant pour réguler le trafic au milieu, faire peur aux enfants juifs, casser du tibia, jouer long et sale, avec des passes aussi hard core que dangereuses et pénibles pour les défenses adverses. Lui manque plus que le football et N’Daw aura tout bon.

Cheick Doukoure, 3/5 : Et pourquoi pas.

Kévin Lejeune de mort, 1/5 : Le museau dans cette immense flaque de boue qu’est la lose.

Florent Malouda, 1/5 : Rigobert a toujours un peu mal au cœur quand il s’agit de mettre une mauvaise note à Malouda, mais ingurgiter la feuille de match sur péno à la 88ème, c’est comme supporter Nancy. C’est interdit.

Serguey Krivets, 2/5 : Hype en été, triste biélorusse un peu lent en hiver, Krivets n’a pas réussi à passer le cap des 584 matchs en 5 mois que lui impose son calendrier de travailleur soviétique. Même si niveau foot, y’a pas mieux dans le Nord-est en ce moment.

Juan Falcon, 3/5 : Petit lutin agressif, remuant et malin comme un singe, le Vénézuélien au visage arrondi du FC Metz n’a pas su concrétiser son bon travail mais a montrer plein de promesses latinos pour la suite. Reste maintenant à canaliser toute cette énergie de petite coquine au service d’une cause plus noble que tourner autour de Nicolas Pallois.

Les encore plus rigolos :

Modibo Maïga, 4/5 : Entrée remarquable. Maïga prouve donc au nez et à la barbe des supporters grenats qu’il joue où il veut et quand il veut

Fédérico Andrada, non noté :

Fais des passes à Malouda. Putain.

Ahmed Kashi, non noté : A la douche avec les autres.

Saint-Symphorien, 3/5 : De retour d’hibernation. Manque plus que de redescendre de quelques étages certains oiseaux beaucoup trop haut perchés et on verra c’est qui le lion maintenant !

Amitiés à vos femmes,

Rigobert.

 

1 thought on “METZ – BORDEAUX (8-1) : La MQUC Académie dans le ventre mou

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