La Lionceaux Académie exhibe son gros bilan
Les légendes de Bordudoubs
Jean-Claude se charge de la partie anale, un peu comme dans les douches à l’armée…
La province de Bordudoubs a sombré dans la défaite et la déchéance footballistique depuis l’avènement des conflits entre ceux au comportement impérial soutenant ce club qu’ils sentent sur le déclin et ceux au comportement plus indépendantiste ne voyant là qu’une occasion de se séparer du club. Conformément à une ancienne prophétie, un dragon noir nommé Maïga (aussi connu sous le nom d’Anin) est à l’origine de ce bouleversement. Si des prémisses ont été aperçues avant une victoire de prestige face à Lyon, nous nous intéressons ici au cœur de ce conflit.
Cela commence notamment avec un match contre Brest perdu 2-0. Plus qu’une défaite, c’est une tristesse pour nous de voir que même Corchia, notre Dovahkiin n’est pas performant De son côté Nogueira, notre squelette anorexique favori continue d’utiliser son pouvoir de furtivité afin de voler des minutes comme titulaire au sein de l’équipe. Concernant Anin, notre tête de Khajiit, il n’en fait qu’à sa sale tête coiffée d’un poulpe mort et semble être branché comme Claude François sur courant alternatif, malheureusement, il est plus dans les phases négatives que positives. Enfin Privat se charge de nous montrer qu’un plot est utile en diverses occasions, mais pas sur un terrain de foot.
Continuons notre chemin vers la défaite avec celle face à Paris sur le score de 1-0. Passons rapidement en vu le reste de l’effectif et même notre cher Corchia pour s’intéresser à Boudebouz, notre elfe des bois algérien à la compétence notoire de voleur de ballon. En effet, dès que cette espèce voit un ballon, elle ne peut s’empêcher de le prendre au vu et au su de tous et de le conserver à outrance jusqu’à que l’artefact soit perdu tel un vulgaire anneau de pouvoir. Il n’est certes pas à proprement parler la source directe de notre défaite, mais sa tendance à ne jouer que pour lui nous prive d’un certain nombre d’occasions potentiellement dangereuses qui nous aurait peut-être permis d’égaliser.
L’Histoire est très claire, il faut se méfier des Girondins, leur fourberie n’est là que pour endormir la bête qui sommeille en Marc Planus quand il n’est pas blessé. Et voilà un avertissement que les joueurs n’ont pas prit en compte au moment d’affronter les disciples du Prince déchu de Bordudoubs. Un match perdu sur le score de 1-0 mais qui a permis à Richert de s’illustrer, mais qui est Teddy Richert ? C’est notre gloire, l’ancien général ayant vécu par deux fois l’ennemi en la capitale de l’Empire, celui qui comme un gros membre n’a jamais peur de rougir sa baillonette. Il est notre dernier rempart dans ce conflit et nous pouvons compter sur lui car ce n’est pas sa première bataille, il en a vu d’autres…
Il y a eu parait-il un match nous opposant à Ajaccio que nous aurions perdu 2-0 à domicile, mais comme vous le savez, chaque pays à son histoire avec sa part de légendes et de contes que l’on raconte aux enfants quand ils sont petits. Cela me ramène à ma jeunesse où dans mon pays natal l’on me parlait d’un homme qui était plus qu’un simple homme, un maréchal devant l’éternel qui unissait son pays… d’une main de fer dans un gant de fer diront les mécréants qui n’ont pas connu les affres du partage forcé en France où un Général de la jeunesse de Bernard faisait une métaphore animalière concernant les français… mythe ou réalité…
La trêve hivernale a été l’occasion de voir à l’œuvre notre Seigneur, l’avaricieux juif. Décider à augmenter son butin et je ne parle pas ici d’une extension du membre du meilleur attaquant actuel du club, il vend pour le bien de tous l’hideuse tête de Khajiit à Nice afin de tenter de ramener la paix en Bordudoubs. Mais son avarice le poussa à conserver la tête de troll bosniaque déprimée dont les indemnités de licenciement n’étaient pas compatibles avec la religion de notre Seigneur, et c’est ainsi, avec un fardeau en moins et deux noms tropicaux en plus, que notre aventure se poursuit.
C’est alors qu’une troupe de Corses se présentent face à nous, à coup sûr des indépendantistes avec à leur tête un félon ayant essayé sans succès d’entrainer nos troupes d’élites de nuit, quelle idée… Un match où notre dragon noir montre tout son talent pour ne rien faire, ne pas réagir et laisser l’équipe sombrer sans aucun espoir de rédemption, mais l’avaricieux juif est ainsi, il faut savoir garder ses amis près de soi, et ses ennemis encore plus près quand ils valent cher et qu’on ne peut pas les vendre.
Venons-en maintenant aux matchs contre Lille et Toulouse, et que dire de ses batailles sinon qu’elles n’ont pas vraiment eu lieu, nous avons cédé du terrain bien trop facilement sans jamais vraiment inquiéter le bastion adverse. Pourtant Maïga avait maitrisé le cri « Faire fermer la gueule à ses supporters », mais avait malheureusement oublié d’avoir du talent à défaut d’avoir la bravitude ségolienne du guerrier.
La fin d’une ère que ce match contre Valenciennes finissant sur le score de 1-1. Passons ce résultat nul pour nous intéresser à un dernier personnage de cette province de Bordudoubs. « Corchia mon cher, je t’en prie toi sauve-moi, toi qui est le seul, mon Amour, ne me laisse pas tout seul dans cette nuit glacial s’il te plaît », exemple de prière à notre Dovahkiin Sébastien Corchia, notre meilleure recrue, notre meilleur espoir, notre romain impérial. La fin d’une ère avec la décision de l’avaricieux juif, notre Seigneur parmi les gestionnaires qui voyait en Bazdarevic un traitre à son trésor et qui pour cela est décapité en place publique, mais cela n’était pas encore la fin de notre aventure…
Et laissons-nous maintenant envahir par Bernard Lionsot et son message d’espoir, comme celui d’Aragorn dans l’anneau de Legolas…
« La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes ; car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu, et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi s’abattra la vengeance du tout puissant. »
Ezéchiel 25 verset 10.
Peu après le nul enregistré face aux Valenciennois, la nouvelle tomba ; Bazdarevic fut limogé par l’Avare. Son remplaçant Éric Hély, coach de la réserve, avait comme mission de maintenir le club en L1, considérée comme étant impossible par la grande presse de Franciel .Pour l’aider, l’Avare fit appel à un vétéran de l’armée de Rivedudoubs, Bernard Gengis Kan. Ancien grand joueur de Rivedudoubs reconnaissable par son épaisse moustache de Nordique, Bernard Gengis Kan qui s’occupait du recrutement de la Légion avec tout le succès que l’on connaissait, fut rappelé pour servir une dernière fois dans la Légion, mais en tant que second du Général Éric Hély. On pouvait se demander dès lors si la conduite de nos troupes par deux inconnus était risquée et que cette nomination était plus dans l’ordre économique, prôné par l’Avare. Pourtant, Éric Hély était craint des joueurs loyalistes qu’il avait eus sous ses ordres, je veux parler des soldats formés à Rivedudoubs. Lui seul pouvait ramener le calme au sein du groupe et permettre à la faction de Rivedudoubs de survivre dans ce monde impitoyable qu’est Franciel. La première bataille du Général Hély contre Evian fut synonyme d’espoir, où la victoire contre les buveurs d’eau pouvait laisser espérer de grandes choses. La suite allait nous donner raison, puisque Nice, Brest, Nancy, Caen, Dijon, Marseille tombèrent sous le coup des épées purificatrices données par la grande déesse Méridia*. Bordeaux, Paris, Ajaccio, Lyon et Montpellier résistèrent à l’assaut de l’armée de Rivedudoubs, protégés entre autre par les dieux Molag Bal* et Sanguyne*. Notre Dovahkiin était malheureusement à l’infirmerie et en méforme lors de ces cuisantes défaites, nous étions obligé de nous remettre à l’indépendantiste Maïga. Mais comme le disait si justement le Grand Aragorn, il y avait toujours de l’espoir. C’est à trois journées de la fin de ce championnat que le FCSM aligna trois victoire d’affilées, contre Nancy, Caen puis enfin Marseille pour se mettre définitivement à l’abri.
Hormis l’apport de victoires qui permirent à Rivedudoubs de survivre et de retrouver cet honneur perdu qui faisait la fierté des habitants de Rivedudoubs, c’est la tactique et la manière de mener l’assaut que la situation de notre Légion changea. Le style pratiqué devint plus offensif, ce qui ne fut pas sans risques, la défense était plus menacée. Paris, Bordeaux, Lyon, Montpellier et Ajaccio, avec des circonstances favorables certes, déjouèrent la vigilance de l’arrière-garde et de son dernier défenseur, Saint Teddy. Néanmoins, là où le fantôme bosniaque de juillet 1995 avait échoué, notre vaillant Général Hély avait réussi à redonner du courage à la Légion. En récompense, l’Avare de Rivedudoubs maintenait en place Éric Hély en le prolongeant de deux années, ainsi que Bernard Gengis Kan qui avait convaincu malgré sa moustache.
Rivedudoubs survivait dans Franciel, mais devait perdre son meilleur soldat, Marvin Martin, parti renforcer la Légion à Lilles qui devait résister aux futurs assauts de Paris. Maïga doit probablement émigrer dans l’Isle du Nord, pour découvrir autre chose. Quant à Boudebouz nous ne savons pas de quel côté il va rester ; soit il part pour les Parjures de Marseille* ou bien il reste à Rivedudoubs.
Quant aux arrivées, Thierry Doubaï reste définitivement à Rivedudoubs, les Khajiits de l’Udinese n’en voulaient plus. Simon Pouplin, rescapé des Terres de l’Est débarque chez nous, pour remplacer le vétéran Saint Teddy qui a préféré quitter Rivedudoubs, à cause de la conduite de son seigneur, l’Avare. Pour autant, Pouplin ne sera pas le dernier défenseur de notre arrière-garde, puisque Pierrick Cros aura cette lourde tâche. Cédric Kanté vient de l’Isle du Sud qui connait de graves problèmes socio-économiques pour venir apporter son expérience dans l’arrière-garde de Rivedudoubs. Surtout, le Grand Omar revient de son pèlerinage pour renforcer les flancs de notre défense. Nous avons besoins d’hommes comme ça, qui pourront faire profiter leur expérience à nos éléments les plus jeunes. Nous sommes toujours en attente d’un transfuge pour garnir nos rangs dans le domaine offensif. Notre Centre de Formation qui a obtenu la première place, mettant fin à la domination du Stade Rennais Galette Saucisse Je t’Aime.
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Vous aimez le FCSM et la Lionceaux Académie et vous voulez que Jean-Claude et Bernard fassent une 2ème saison plus longue, plus dure et sans circoncision artisanale, alors n’hésitez pas à suivre et à aimer la débauche des auteurs de l’Académie sur Facebook, et n’oubliez jamais : Tant qu’on ne regarde pas la carte d’identité, ce n’est pas illégal.
*Petit lexique de l’amateur de Skyrim :
– Méridia : princesse Daedra de la lumière et des énergies vitales, opposée aux mort-vivants sous toutes leurs formes.
– Molag Bal :prince Daedrique de la domination, de l’esclavage des mortels et de la corruption.
– Sanguyne : prince Daedrique de la débauche est des intentions obscures.
– Parjures de Marseille : Ils ont des problèmes d’argent, ce qui explique leurs tenues les soirs de week-end.
Jean-Claude Persil & Bernard Lionsot.
Anin ressemble plus a un smilodon qu’a un khajit.