Le Onze Anal historique des Girondins de Bordeaux

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Claude Pèze pourtant ses mots, mais là…

Claude Pèze avait un large choix anal en matière fécale de joueurs, il est parvenu à se sortir de se pétrin pour vous offrir le plaisir du vouloir su savoir des plus mauvais de chez les girondins. Bonne lecture anale.

Chaque club a eu son lot de chèvres, que ce soient des joueurs confirmés qui se plantent pour diverses raisons, de jeunes joueurs en provenance de pays exotiques, ou alors des joueurs formés au club et dont on n’a jamais réussi à se débarrasser. Ce Onze Anal historique se veut ambitieux pour faire taire ses détracteurs. L’équipe utilise un 4-3-3 ultra-offensif pour utiliser toutes les qualités de ses joueurs. Au programme : des sorties aériennes hasardeuses, des tacles assassins, des placements aléatoires, des ratés à la pelle et l’occasion pour les commentateurs d’utiliser toutes les expressions du genre : « Il a bouffé la feuille », « Carton, carton, carton, carton, carton, carton rouge », « Il s’est troué, il s’est troué, il s’est troué », « Danger, danger, danger, danger, danger » (aucun commentateur n’est visé).


Gardiens :

N°1 : Stanley Menzo : Pour un bon Onze Anal il faut un gardien qui soit allé à la bonne école. Stanley est de ce genre. En 1997, Bordeaux récupère un gardien capable de faire passer un frisson dans le dos de chaque supporter à chaque frappe de l’équipe adverse. Soucieux de ne pas les décevoir, Stanley fait de son mieux et enchaîne les prestations décevantes en encaissant des buts facilement évitables. Il a permis ainsi l’éclosion de Ramé et reste une référence à chaque fois que sont évoqués les gardiens aux gants « en peau de pêche » à Bordeaux.

1ère Dauphine : Franck Fontan : Lorsqu’on n’est pas titulaire derrière un mec comme Huard à une époque où celui-ci était au top de sa forme niveau conneries sur le terrain, il faut être zen. Et ça Franck le savait parfaitement, un peu trop d’ailleurs puisqu’il fut contrôlé positif au cannabis fin 1995. Il était le remplaçant de Huard lors du fameux match face au Milan en 96, ce qui est le seul fait d’arme de sa carrière footbalistique. D’ailleurs sa carrière n’intéresse tellement personne que sa page Wikipédia a été supprimée…

2ème Dauphine : Marc Delaroche : Il signe à Bordeaux en janvier 99 et part en août de la même année un titre de champion en poche en ayant joué seulement deux matchs. La plupart des Bordelais ne se souviennent même pas de lui, normal pour un joueur ayant disputé 36 matchs de Ligue 1 en 8 saisons.

Egalement cités : Joseph-Antoine Bell, Yannick Quesnel, Frédéric Roux.

Défenseur droit :

N°1 : Raymond Domenech : Ne pas aimer Ray le sélectionneur c’est normal. Ne pas aimer Ray l’arrière droit c’est encore plus normal. Si certains trouvaient René Girard et Gernot Rohr un peu « bourrins », ils passaient pour un vulgaire Paolo Maldini a côté de Raymond. Armé de sa moustache et son mono sourcil il taclait à hauteur du genou tout ce qui se présentait à lui, la bave aux lèvres. Même Roy Keane aurait eu peur de ce fou furieux surnommé « Le casseur de jambe ». Pour une défense anale qui tient le choc jusqu’à son expulsion, faites confiance à Raymond.

1ère Dauphine : Patrick Blondeau : Le résumé de sa carrière tient en une ligne sur Wikipédia : Ce défenseur latéral droit de 1,74 m pour 73 kg était un joueur sanguin. Sanguin ? Sans déconner ! Petit rappel : Double fracture tibia-péroné pour Deroff, bagarre générale provoquée avec Gallardo, coup de tête à un policier casqué lors du match Bologne-Marseille. Il a joué seulement six mois à Bordeaux où les supporters ont cru voir le retour de Domenech.

2ème Dauphine : Paulo Miranda : La fameuse filière sud-américaine de Camporro. Miranda fait partie des nombreux joueurs « aux portes de la sélection » qui ont été fourgués au club et qui en fait étaient à la porte des chiottes de la sélection et encore. Certains soupçonnent Camporro d’avoir utilisé ces Sud-Ams pour faire passer de la drogue en France et j’espère que c’est le cas, parce que si c’était vraiment parce qu’il croyait acheter des bons footballeurs ça la fout mal. Miranda c’était le Bernard Mendy brésilien, un placement défensif d’un niveau district et une qualité de centre d’un niveau Sagnesque. Au moins il nous a fait marrer.

Egalement cités : Julien Faubert, Victor Torres Mestre.

Défenseur gauche :

N°1 : Bruno Basto : Le seul, l’unique, celui que tout le monde cite quand on parle des pires chèvres du club. Son placement défensif était au niveau de sa qualité offensive, celui de la mer. Pourtant il arrivait du Benfica ce qui semblait être gage de qualité. Lors de son arrivée j’ai eu l’honneur de voir son premier match en amical. Tout le monde se demandait qui était cet ailier gauche qui courait partout et qui loupait tout ce qu’il tentait. Un défenseur nous répondit-on ce qui nous fit instantanément frémir. Même Taiwo passe pour un bon défenseur à côté de notre Bruno. Il a fallu 115 matchs de championnat au club pour comprendre ce qui me fait douter de la santé mentale des entraîneurs de l’époque.

1ère Dauphine : Diego Placente : Le retour de la fameuse filière sud-américaine. Le club, trouvant Trémoulinas un peu trop tendre, tente le pari de faire revenir Diego Placente en Europe, lui qui a connu ses heures de gloire sous le maillot de Leverkusen. Ce pari, qui semble au premier abord être une bonne idée, se révèle être une catastrophe. Bien loin de son niveau du Bayer, Placente n’est plus que l’ombre du joueur qu’il a été et c’est du banc qu’il observe la plupart des matchs alors qu’à chaque annonce de sa titularisation les supporters craignent le pire. Il fait partie tout de même de l’équipe championne en 2009.

2ème Dauphine : Florian Marange : Il est toujours au club et pourtant c’est pas faute d’essayer de s’en débarrasser. On avait même presque réussi puisqu’il avait signé à Nancy à l’été 2009, en apparence en tout cas puisqu’il a réintégré l’effectif cette année. Il est l’une des faillites du système de formation français, il a réussi à signer pro à une époque où le club sortait des joueurs du centre de formation à tour de bras alors qu’il était incapable de contrôler correctement un ballon. Sa seule qualité est sa frappe lourde ce qui ferait de lui probablement un bon buteur en NFL mais ce qui est largement insuffisant pour être footballeur. Il finira peut-être par partir du club un jour au grand bonheur des supporters.

Egalement cité : Patrick Colleter, Manfred Kaltz.

Défenseurs axiaux :

N°1 : Avec des latéraux de ce niveau, il faut une charnière à la hauteur. Une charnière de rêve se dégage parmi les nombreux postulants à ce poste. Elle est composée d’un champion d’Europe et d’un double champion du Portugal et assurera spectacle, placement de qualité et relance sûre à tous les matchs.

Michalis Kapsis : Fraîchement auréolé d’un titre de champion d’Europe avec la Grèce en 2004 au sein d’une défense de fer, Michalis débarque à Bordeaux où Triaud veut nous faire croire qu’on peut être une équipe ambitieuse avec Pavon comme entraîneur. A l’Euro, Kapsis jouait au sein d’une défense à 3, à Bordeaux il se retrouve sans libéro dans un rôle de stoppeur où il n’est pas convainquant. Bordeaux se sauve à la dernière journée et Kapsis comprend qu’il n’est pas fait pour un championnat au niveau supérieur à celui de la Grèce. Il fait parti des nombreux joueurs vendus avec l’étiquette « d’internationaux » qui ont déçu.

Beto : Autre joueur avec l’étiquette « international » à son arrivée au club en janvier 2006. Dès son premier match il marque deux buts en Coupe face à Créteil mais ces buts cachent seulement le fait qu’il n’est pas au niveau. Il partira en Espagne par la suite à Huelva d’où il critiquera les Girondins au lieu de se remettre en question, lui dont la lenteur et le placement aléatoire exaspéraient les supporters.

1ère Dauphine : William Ayache : Il aura joué un match à Bordeaux entre juillet et novembre 89…

2ème Dauphine : Bernard Lambourde : Largement critiqué tout au long de sa seule saison passée sur les bords de la Garonne pour sa tendance à bien porter son nom, son seul fait d’arme est d’avoir marqué face à l’OM lors de la fessée administrée le 20 février 1997 (4-0) et d’avoir déclaré après le match : « J’ai mis toute ma rage de la saison« . Rage qu’il avait oubliée au moment de rater son penalty en finale de la MoustaCup face à Strasbourg. On a quand même réussi à arnaquer Chelsea en leur refilant, faut dire qu’ils achetaient n’importe quoi déjà à l’époque.

Egalement cités : Geoffray Toyes, Joseph Enakarhire, Arnaud Faget, Henrique, Hervé Alicarte, Eric Boucher (pour son nom).

Milieux défensifs :

N°1 : Miklos Lenvai : Recruté au mercato à l’été 1996 en provenance du ZTE après la saignée de l’effectif, ce rugueux milieu défensif hongrois devait être le futur du club. Une saison et cinq matchs plus tard il part en Suisse à Lugano puis retourne rapidement au pays où il fera une carrière banale. Il fait partie du Top10 des recrues étranges de Rolland Courbis selon les Cahiers du Football.

1ère Dauphine : Ivan Vukomanovic : Le club n’ayant apparemment pas compris qu’il fallait arrêter de recruter au hasard après l’échec Lendvai, Vukomanovic est recruté à l’été 1998 en provenance d’Obilic qui est un club et pas un mauvais sosie serbe d’Obélix. Il reste un an et joue neuf matchs, le temps de participer au titre de 99 puis est successivement prêté un peu partout jusqu’à ce que le club le laisse libre en 2004 où il signera à Alania en Russie histoire de se promener (il jouera zéro match).

2ème Dauphine : Giuseppe Colucci : En 2000, lassé des chèvres venant d’Europe de l’Est, Bordeaux arrête les frais et se tourne vers ce jeune italien, qui est passé par toutes les sélections de jeunes et qui est le « futur milieu défensif » de la Squadra selon les « experts » du football. Il apparaitra seulement deux fois sous le maillot Bordelais lors de deux entrées en jeu en Ligue des Champions puis retournera en Italie. Le reste de sa carrière confirmera son statut d’espoir déchu en jouant dans des clubs de seconde zone en Italie.

Egalement cités : Cédric Anselin, Peter Luccin, Sylvain N’Diaye, Christian Zanotti.

Milieux offensifs :

N°1 : Nombreux sont les milieux offensifs passés par le club et qui ont marqué les esprits par leur faible niveau et leur incapacité à créer quoi que ce soit, et les deux titulaires de ce Onze Anal sont parmi les meilleurs d’entre eux.

Fernando Chalana : Acheté 18 millions de francs (une somme colossale à l’époque) au Benfica, Chalana arrive avec sa moustache pour éclabousser la France de son talent. Trois saisons, 22 matchs et un but plus tard (un pénalty qui sauve l’équipe face à Dniepropetrovsk en C2) il retourne au pays en ayant passé plus de temps à l’infirmerie que sur le terrain. Il reste à ce jour l’un des plus gros flops de l’ère Claude Bèz et de même de l’histoire du club.

Albert Riera : Très certainement l’un des plus gros gâchis du club. Il est arrivé au club en provenance de Majorque avec un statut de « future star » et « d’international en puissance », il s’est surtout fait remarquer par sa nonchalance sur le terrain et son incapacité à s’imposer durablement dans le onze de départ. Régulièrement pris en grippe par le public il retourne en Espagne où il réussit à faire illusion au point de signer à Liverpool (Merci Benitez). La supercherie prend fin cet été avec sa signature à l’Olympiakos.

1ère Dauphine : Kalu Uche : Eté 2004, le club annonce le renfort d’un milieu offensif nigérian en provenance de Pologne. Ca sent l’arnaque à plein nez et la saison la confirme pour le sosie capillaire de Djibril Cissé. Bordeaux se sauve à la dernière journée, Kalu Uche brille par ses absences sur le terrain et son inconstance. L’option d’achat n’est évidemment pas levée et depuis Uche joue pour des clubs de bas de tableau en Espagne alors qu’à Bordeaux personne ne le regrette.

2ème Dauphine : Yksel Osmanovski : Dans la série des prêts en bois qu’on a pu connaître à Bordeaux, Yksel Osmanovski en est le parfait représentant. Pourtant il est une des idoles de Zlatan quand ce dernier jouait à Malmö, il arrive donc en janvier 2002 précédé d’une réputation flatteuse d’international suédois. Au total il jouera sept matchs en six mois dont deux seulement comme titulaire et repartira à Bari qui le cèdera à Malmö. Seul son nom n’a pas été oublié.

Egalement cités : Juan Pablo Francia, Ibrahim Ba, Bruno Cheyrou, Cédric Fiston, Camel Meriem, Enzo Scifo, Corentin Martins.

Attaquants :

N°1 : Trois pointes dans cette équipe ambitieuse, et pourtant aucun risque que l’un d’entre eux ne marque, c’est ça le Onze Anal.

Christian : L’Arnaque avec un grand A. Triaud a eu tellement de mal à s’asseoir après ce transfert qu’il a laissé la présidence un an à Dominique Imbault le temps que ça cicatrise. 100 millions de francs à l’époque pour un joueur qui sort d’une saison sur le banc parisien ça sent déjà le braquage pour les supporters bordelais qui sentent que le PSG vient d’enfler Bordeaux. 18 matchs, 2 buts, c’est pas une arnaque c’est un véritable viol.

Deivid : Pauleta parti à Paris, Charles Camporro, en manque, relance la filière Sud-Am, et cette fois-ci la mule chargé de transporter la drogue s’appelle Deivid. Pour 6 millions d’euros il débarque à Bordeaux et marque en amical lors de son premier match face à Marseille deux jours après sa signature. Il joue 23 matchs pour 3 petits buts et devient la tête de Turc du public de Lescure pour son absence de combativité et sa capacité à baisser les bras rapidement. Il perd même sa place au profit de Sylvain Franco, c’est dire.

Wim Kieft : Arrivé à Bordeaux à 28 ans avec un statut flatteur (champion d’Europe 88, 6 fois champion des Pays-Bas, Soulier d’Or Européen 82 entre autres), il est un flop complet marquant 3 fois en 26 apparitions. Il repart au Pays-Bas dès la fin de saison où il retrouve son efficacité. Il mérite sa place dans ce Onze puisqu’il est l’un des symboles du déclin de l’ère Bez.

1ère Dauphine : Claudio Biaggio : Encore un transfert made in Camporro. Il jouait à San Lorenzo lorsque Bordeaux vient le chercher. Il repart une saison plus tard avec pour seul fait d’arme un match énorme face au PSG avec un but et une passe décisive (5-3 score final).

2ème Dauphine : Tony Vairelles : à 0’48 remplacez « film » par « joueur »

Egalement cités : Anthony Bancarel, David Bellion, Hervé Bugnet, Laurent Leroy, Sylvain Franco, Edixon Perea, Uwe Reinders, Christophe Sanchez.

Entraineur :

Parce que cette équipe doit être menée par un spécialiste, il ne peut y en avoir qu’un : Michel Pavon.
Attention, Claude Pèze a également un superbe Onze Mondial Girondin a vous proposer. Ici.

23 thoughts on “Le Onze Anal historique des Girondins de Bordeaux

  1. Beau onze anal. J’avoue en même temps que disposer d’un tel effectif laisse réveur!

  2. La comparaison entre le onze Mondial et le onze anal laisse deviner qu’on ne devrait pas trop se risquer à recruter loin de nos frontières… pas pour flatter Marine mais pour dire que le recrutement sur vidéo on sait pas trop faire ! Et Maazou s’en sort bien d’être tout nouveau, parce qu’il postule sévère là.

    Sinon apercevoir Ba dans cette liste c’est quand même pas mérité, il a flambé chez nous et il a dû rapporter des sous quand même (impossible de confirmer cette dernière allégation)!

  3. C’est une blague en rapport avec l’italien le Christian Zanotti? Je me rappelle d un Marc Zanotti dans la fin des années 90 qui avait fait la navette entre Nancy et Bordeaux.

  4. Vous en avez fourni du tocard sudam les gars, pour réussir à foutre Christophe Sanchez en bout de réserve il faut avoir du costaud.

  5. Gérard on est tous d’ accord avec toi sauf qu en plus on est prêts a dire que c est la faute des chinois…

  6. Les Onze anaux sont quand même moins captivant. Mais ça reste intéressant. Bien vu le Claude.

  7. Miranda si je me souviens bien était plutôt un milieu droit. Et Faubert ne mérite pas d’être cité malgré des choix de carrière douteux.

  8. Faubert avait été correct, voire de temps en temps bon, avec Bordeaux, même si ses choix de carrière sont pourris. Donc il n’a pas sa place ici.

    Chouette équipe quand même. Dire qu’on avait réussi à vous refourguer Tony quelques mois…

  9. Merci Claude, une bien belle compo, du beau boulot: toutes nos frustrations figurent dans ce Onze.

    Je chipote, mais je me rappelais de Luccin comme d’un joueur tout à fait honnête.

  10. Bon j’émerge de mes différents réveillons et je vois plein de réactions auxquelles je vais tenter d’apporter une réponse.

    @Cleming: En effet c’est Marc et pas Christian, surement une erreur de ma part et pas de l’éditeur, ce si bel homme

    @LuckyLuke: Savic n’a fait aucune grosse connerie qui le placerait dans ce onze, et il ne faut pas prendre tout ce que dit RMC pour argent comptant

    @Stlepro: Miranda je pense que même lui ne savait pas vraiment où il jouait. Faubert il faut se rappeler qu’il a fait UNE saison pas mal avant de se voir trop haut de de finir à West Ham. Ses déclarations montraient qu’il en avait rien à foutre du club qui lui avait donné sa chance

    @Torben: Je t’en veux toujours pour Tony

    @RobertNamias: Luccin était très bon, c’est l’attitude du joueur qui collait pas (« je veux jouer dans un grand club » disait-il, tout ça pour finir au Celta Vigo)

  11. Et JCD ??? Jean-Claude Darcheville mérite largement une place de dauphine.

    Sans parler de Youssouf Fofana (pas l’assasin) le joueur qui nous a fait tellement rire que les tribunes de Lescure sont désormais fissurées !!!

    Dans l’effectif 2011, de nombreux joueurs risquent d’être titularisés s’ils continuent comme ça : Maazou, Ben Khalfallah, Savic …

  12. Assez marrant mais quelques trucs aberrants : ibrahim ba cité, qui a joué un an à Bordeaux, peut-être le milieu de terrain le plus brillant que j’ai vu ici avec zidane, micoud, savio ou bénarbia.
    Peter luccin? Excellente saison, même si il ne reste que un an. Comme Ba, c’est la suite de sa carrière qui serait plutôt à remettre en cause, surement pas son passage aux giondins.

    Puis miranda était milieu de terrain (jamais vu jouer arrière droit) et torres mestre jouait côté gauche(pas côté droit).

    Sinon tout va bien, une équipe bien bien dégueu :)

  13. @polo2k: Ibrahim Ba a été bon sur sa saison à Bordeaux je le reconnais. C’est la trajectoire en forme de crash que je sanctionne ici tout comme pour Luccin. Ces deux joueurs auraient pu faire une grande carrière mais en se comportant comme deux têtes de con ils se sont plantés. Et se retrouvent dans le Onze Anal, tout comme Faubert. Sinon je reconnais mon erreur pour Torres Mestre vu que l’année du titre l’arrière droit était Ferrier (ou Grenet).

  14. Je comprends pas comment Pochettino fait pour pas y être.

    On a aussi Célades comme beau loupé

    Et Bellion c’est quand même 12 but sur une demi saison avant que Cavé ne prennent le relai donc un peu dur de le cité ici même en remplaçant.Maazou devrait plutot y être.

    Néanmoins les présences de Bruno Basto, d’Uche de Deivid et de Christian me comblent

  15. « et l’arbitre , a bordeaux c’est le principal
    équipier , il est le n° 12 de bordeaux »

    + 1

    P.S.: oui, je suis supporter du PSG et alors ?! Vous avez le bonjour d’Okocha d’ailleurs (sans doute le plus beau but que vous ayez jamais pris, non ?)

  16. @skeeter

    C’est donc que tu n’as jamais vu ciani à l’oeuvre
    Entrechat, plat du pied, glissade !!!!
    Ca c’est beau!!
    Ca c’est sensible, humain, poétique !

    Une frappe de bourrin qui agresse les filets, c’est moche.

  17. Par contre Faubert a rien a faire dans ce classement , pour le reste je suis tout a fais d accord .

  18. Belle équipe^^ seulement Henrique n’a rien a y faire, il nous a offert une belle coupe de la ligue au détriment de Lyon.

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