Il n’a pas toujours été simple de faire des choix. Il n’a pas toujours été simple, non plus, de s’extirper du piège infernal de la branlette sous la couette. Pour autant voici le onze mondial historique de Montpellier. Si je me suis permis de coller un nombre incalculable de crottes de nez à nos chers voisins nîmois, les liens entre Montpellier et Nîmes me sont apparus très nettement dans cette rétrospective. C’est pourquoi j’envoie aujourd’hui un message de paix : Montpelliérains, Nîmois, aimez-vous les uns les autres ! Non je déconne.

 

Gardiens :

Albert Rust (1987-1990) : Il expliquera être arrivé dans les buts « par hasard, à l’âge de quatorze ans », alors qu’il évoluait encore dans son club formateur de Wittelsheim, en Alsace. En 1987, quand il choisit de rejoindre Montpellier, ce n’est plus un minime : il a évolué pendant 15 ans (!) au FC Sochaux-Montbéliard, il a remporté les Jeux Olympiques de 1984 avec la sélection française, il a participé à l’euro 1984, ainsi qu’au mondial 1986. Montpellier retrouve alors l’élite, après avoir remporté le championnat de Division 2, Groupe B, devant Lyon. 3 saisons et 129 matches plus tard, Albert Rust s’en va et laisse derrière lui le souvenir d’un gardien qui, à défaut d’être impressionnant, faisait gagner des points. Aujourd’hui, il est entraîneur des gardiens à Saint-Etienne.

Remplaçant :

Bruno Martini (1995-1999) : Il est, avec 130 titularisations, le gardien qui détient le record de longévité à Montpellier. Sa trajectoire est sensiblement similaire à celle de Rust avant lui : en 1995, quand il signe au club, c’est un gardien expérimenté, et son contrat avec Montpellier sera son dernier contrat de footballeur professionnel. Rompu aux joutes européennes avec Auxerre, où il assure la succession de Joël Bats après 1985, il compte déjà, en outre, quelques sélections en équipe de France. Avec Montpellier, il disputera deux demi-finales de Coupe de la Ligue (SC Bastia-Montpellier en 1995, Bordeaux-Montpellier en 1997), retrouvera brièvement l’UEFA, et sera retenu comme troisième gardien de l’équipe de France, à l’occasion de l’Euro 1996.

 

Défenseurs :

Nenad Dzodic (1997-2004 puis 2007-2011) : S’il a laissé de bons souvenirs en Corse (allez lire le onze mondial historique de l’A.C. Ajaccio), Dzodic est surtout connu pour avoir joué à Montpellier. Quand il signe, il n’a que vingt ans, et deux saisons derrière lui, dans son club formateur du FK Zemun (Serbie). Deux saisons plus tard, il a fait ses preuves, et Michel Mézy, qui succède à Jean-Louis Gasset au poste d’entraîneur, lui fait confiance. C’est un défenseur solide, et intelligent. Avec Montpellier, il connaîtra des hauts et des bas : la finale de la Coupe Intertoto remportée en 1999 contre Hambourg, d’abord, mais aussi deux relégations, en 2000 et en 2004. Après trois saisons à Ajaccio, il retourne à Montpellier, et revêt le costume de taulier. C’est un des artisans de la montée, au terme de la saison 2008-2009. Malheureusement il contracte la saison suivante, une déchirure aux ischios-jambiers, dont il ne se remettra jamais vraiment. Alors qu’il annonçait, en novembre dernier, mettre un terme à sa carrière, la Mosson lui rendait un vibrant hommage.

Julio César (1987-1990) : En 1987, alors que Montpellier retrouve l’élite, Loulou veut frapper un grand coup sur le marché des transferts. Il signe alors Julio César da Silva, en provenance de Brest. Le Brésilien a tout de même participé à la Coupe du monde 1986, au Mexique, et, avec Brest, a contribué à la meilleure saison du club en D1 (8ème avec 40 points). A Montpellier, il retrouve le soleil et son meilleur niveau : avec 5 réalisations pour 37 matches disputés, il fait une première saison remarquable. Il se distingue par sa puissance physique et son excellent jeu de tête. La deuxième est plus compliquée, alors qu’il subit quelques blessures, et ne dispute que 26 matches. Mais la troisième se termine par une victoire en Coupe de France, avec un Julio César au top de sa forme. Il rejoint ensuite la Juventus, pour former avec Köhler, la charnière centrale turinoise.

Laurent Blanc (1983-1991) : Pur produit du centre, Laurent Blanc débute en équipe première en 1983. Il évolue alors, et jusqu’en 1989-1990 (!), au poste de milieu offensif. Il gardera de cette trajectoire originale, une attirance certaine pour le but, et il reste à ce jour, avec 84 réalisations, le meilleur buteur de l’histoire du club. Il participera aux plus belles aventures du club, que ce soit la montée en 1987, la saison 1987-1988, la victoire en Coupe de France, ou encore l’épopée en Coupe des Vainqueurs de Coupes. Il quitte le club en 1991 pour le SSC Napoli.

Pascal Baills (1983-1991 puis 1995-2000) : Vous connaissez sans doute l’adjoint de René Girard, pour être celui qui supplée l’entraîneur au bord de la pelouse, à chaque fois que celui-ci est suspendu (c’est-à-dire souvent). Mais saviez-vous qu’il s’agissait de Pascal Baills, légende vivante du foot à Montpellier ? Il est en effet, avec 429 titularisations, le joueur qui a porté le plus grand nombre de fois le maillot de Montpellier. Catalan d’origine, il débute dans des clubs perpignanais, avant d’intégrer le centre de formation de Montpellier, en 1983. Une autre époque, puisqu’alors âgé de 19 ans, Baills a été plombier pendant trois ans, mais aussi vendeur dans un magasin de sport. Après avoir disputé, aux côtés de Blanc et Ferhaoui notamment, la finale de la coupe Gambardella 1984, il devient la saison suivante, titulaire sur le flanc droit de la défense. Un poste qu’il ne quittera plus et retrouvera à son retour, en 1995. En 2000, quand il se retire, il a déjà fait la preuve de son attachement au club, et pourtant il continuera de s’y consacrer, s’occupera des équipes de jeunes, et sera plusieurs fois entraîneur-adjoint.

Remplaçants :

Nenad Stojkovic (1986-1988) : Il a participé activement aux mémorables saisons 1986-1987 et 1987-1988. Montpellier a constitué pour ce solide défenseur yougoslave, un tremplin vers la sélection. Et vers Mulhouse aussi. La classe.

Michel Der Zakarian (1988-1997) : 284 matchs disputés avec Montpellier, pour 18 buts inscrits. Fidèle le garçon, il s’est même occupé des équipes de jeunes et tout le bazar. C’était avant de mettre son expérience au profit du FC Nantes…

Franck Silvestre (1998- Déc.2002) : Avec Francky, c’était bon. Surtout quand il formait avec Dzodic, la charnière centrale pailladine. Il a fini sa carrière au FC Sète, peinard.

Emir Spahic (2009-2011) : Une première saison au top, une deuxième à chier, au point d’être nominé au ballon de plomb 2011. Mais techniquement y a pas à chier, c’est un des meilleurs centraux qu’on ait eu à Montpellier.

Cadeau à nos amis parisiens.

 

Milieux :

Michel Mézy (1979-1982) : Avec Nicollin, ils sont soudés comme deux couilles. Au début c’est l’histoire d’un traître qui a le bon goût de quitter Nîmes pour Montpellier. L’affaire fait grand bruit à l’époque, et le président du Nîmes Olympique -dont on peut comprendre ce qu’il y a de frustrant à occuper tel poste- décide de l’exclure du groupe professionnel. Mercenaire ou pas, c’est un bon joueur, que ce soit au milieu de terrain ou en défense centrale. Aussi ne tarde-t-il pas à s’imposer comme un des cadres de l’équipe. Mais c’est surtout l’après qui nous intéresse. D’abord manager général du club, il a ensuite entraîné l’équipe à plusieurs reprises, pour un total global de 362 matches. Rendez-vous compte ! Presque autant de matches que de jours dans une année. Aujourd’hui, c’est en quelque sorte l’éminence grise de Louis Nicollin. Une légende.

Bruno Carotti (1991-1995 puis 2001-2009) : Un autre héros des années de vache maigre. Issu du centre de formation, il a en tout évolué pendant douze saisons à Montpellier, dont cinq saisons en Ligue 2. Ce qui fait de lui le deuxième joueur le plus capé de l’histoire du club (377 matches). Et si tu aimes les chiffres et les symboles (petit fou), sache qu’il a inscrit 34 buts sous les couleurs de Montpellier. C’est aujourd’hui le directeur sportif du MHSC ; encore un qui est passé par l’université de Limoges (mais bon sang, pourquoi Limoges ??? Il faudra qu’on m’explique, un jour).

Kader Ferhaoui (1983-1993 puis 1996-1998) : Kader Ferhaoui lui aussi, a évolué pendant douze saisons à Montpellier. Titulaire un peu partout au milieu pourvu qu’il fut titulaire, c’est également une réussite du centre de formation. Champion de Division 2, artisan de la montée en 1987, protagoniste et buteur décisif de la finale de Coupe de France 1990… Kader Ferhaoui ne pouvait pas être oublié. Il subit malheureusement une fracture de la jambe en Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe, et ne peut disputer le quart de finale (aller et retour) contre Manchester United (futur vainqueur de l’épreuve). Après avoir fauté pendant trois saisons avec l’AS Cannes, il revient à Montpellier, mais s’en ira de nouveau quand Michel Mézy décidera de le mettre au placard. C’est le troisième joueur le plus capé de l’histoire du club.

Carlos Valderrama (1987-1991) : La classe, tout simplement. Sa choucroute dissimulait des yeux derrière la tête, il distillait les passes avec autant de précision qu’un chirurgien adepte du petit chimiste. Une étoile filante, dont le sillage n’est pas prêt de s’estomper. George qui ?

Gérard Bernardet (1986-1989) : Il a évolué dans de nombreux clubs, parmi lesquels Montpellier (117 matches), où il a laissé un très bon souvenir. Doté d’un pied gauche et d’une technique redoutables, il a inscrit 22 buts, avant de quitter le club pour Marseille. Le souvenir qui fait la différence, c’est ce derby gagné contre Nîmes, le 1er novembre 1986. Ce jour-là Montpellier l’emportait sur sa pelouse 1-0, grâce à un but de Gérard Bernardet…

 

Remplaçants :

Mama Ouattara (1974-1983) : Un Ivoirien qui finit par y voir clair, en quittant Nîmes pour Montpellier (tiens donc…). Tantôt milieu, tantôt défenseur, il détient le record de matches disputés en Coupe de France.

Philippe Delaye (1992-2000 puis 2005-2010) : Formé au club, c’est un fidèle parmi les fidèles. Milieu offensif réputé pour sa technique et sa vision du jeu, il fait un retour aux sources en 2005, alors que Montpellier est au plus mal.

Jean-Christophe Rouvière (1993-1999 puis 2001-2005) : Milieu défensif de formation, Jean-Christophe Rouvière a évolué pendant dix saisons à Montpellier. Il a terminé sa carrière par quelques piges au Nîmes Olympique, chez les pédés.

Alberto « Tino » Costa (2008-2010) : Parce qu’il est passé par Sète, parce que ses coups-francs étaient orgasmiques, parce que ses origines sont d’un romantisme incroyable, parce que même ta sœur a un maillot floqué « Tino ».

Voici quelques souvenirs.

Mais aussi : bien avant l’affaire Spahic, l’origine du conflit.

 

Attaquant :

Roger Milla (1986-1989) : Il a joué à Montpellier, peu avant d’exploser aux yeux du monde, à l’occasion du mondial 1990. Pourtant, en 1986, son recrutement ressemble un peu à un pari, alors qu’il reste sur plusieurs échecs dans d’autres clubs français, tels que Valenciennes, Monaco, ou Bastia. Pari gagné : à Montpellier Roger Milla fait trembler les filets pendant trois saisons, et contribue à la réussite du club sur la période. La suite on la connaît… jusqu’à un certain point. Saviez-vous par exemple qu’il fut recruteur pour le club en Afrique, et que c’est lui qui a déniché la perle rare, en la personne d’Ibrahima Bakayoko ? Une anecdote à raconter en société, histoire d’épater vos collègues.

 

Remplaçants :

Fleury Di Nallo (1975-1978) : Un des premiers attaquants de l’histoire du club, signé sur un parking, à l’époque il abandonne la Division 1 pour la DH (!). En 64 matches, il inscrira 30 buts (ici, j’aime moins les symboles…).

Hugo Curioni (1978-1980) : Il n’est pas resté longtemps, pourtant il a marqué les esprits. Il faut dire qu’en l’espace de 56 matches, il a tout de même trouvé 23 fois le chemin des filets.

Jean-Marc Valadier (1976-1978 puis 1982-1989) : C’est tout simplement le deuxième meilleur buteur de l’histoire du club, et le meilleur buteur en Coupe de France.

Rui Pataca (Janv.2000-2004) : Je me demande ce que pense le Choa de ses commentaires avisés sur le football portugais. Marcelin garde un souvenir ému du joueur.

Olivier Giroud (2010-) : J’anticipe peut-être un peu. Mais je suis prêt à parier qu’on s’en souviendra encore dans cent ans, quand on sera mort.

Petit best of par un paillados, et encore il n’y a pas tout.

Doivent être cités :

Hervé Alicarte, Jean-Louis Besson, Vincent Guérin, Laurent Robert, Jacek Ziober, Éric Cantona, Christophe Sanchez, Ibrahima Bakayoko, Habib Bamogo, Victor Hugo Montaño

 

LE Bonus :

Il ne faudra jamais oublier cela.

La bise méridionale, j’espère que vous avez apprécié ce onze, je dédie ce morceau de bravoure à la plus compliquée de toutes,

 

Loulou.

20 thoughts on “Le Onze Mondial Historique du Montpellier H.S.C.

  1. Très beau boulot Loulou ! Et LE bonus est vraiment MAGIQUE !!
    A quand le onze anal ?

  2. Merci beaucoup Loulou, super travail, j’ai kiffé cong.
    J’ai hâte de voir le Inze Anal.

  3. Moment historique, Lemoult savaté par Hughes et Ince, la magnifique nuque longue de Ziober, le premier « à partir de là » de Lolo Blanc, Baills déguisé en inspecteur des RG et la fin de carrière de Lee Sharpe cette année là… Une belle sodomie mancunienne ce match. Après ça, vous êtes fan de City

  4. Je suis un grand nostalgique d’El Pibe, un joueur absolument unique, donc je ne peux qu’aimer ce Onze Mondial Historique. Beau boulot Loulou, tu as du être atteint de priapisme en écrivant ça.

  5. Merci Loulou pour ce beau onze mondial du plus grand club de foot de l’histoire!
    Auraient pu être cités également Xuereb, Suvrijn, Barrabé(tu le réserves peut-être pour le onze anal. Il est comme un vieux meuble de mamie: moche, inutile, et vermoulu… mais on finit par s’y habituer et même s’y attacher. Bref, il est dans les mémoires de tous les Pailladins)

  6. Ferhaoui un pur produit du centre !!?? Hahaha, Montpellier c’est bien une ville de pédés comme on dit chez nous. Ferhaoui c’est un produit pescalune. Ca revient à dire que Mexes est un pur auxerrois, ignorants.

    Sinon les légendes peuvent tuer, car à ses débuts, Bakayoko était un crack sur les terrains, un des plus grands espoirs du foot français (même si en fait il avait déjà 52 ans), je me souviens notamment d’une talonade mise à Richert en dehors de la surface (ô oui, je m’en souviens cruellement), j’arrive pas à trouver les images, 1998 ? 1999 ?

    Et alors ? Ne pas souligner la RE-trahison de Mezy quand il est parti entrainer Nîmes, c’est un oubli, grave, valant la peine capitale.

    Enfin pourquoi avoir mis Blanc en défense ? Même si c’est dit, il y a tellement peu jouer chez vous.

  7. Un Onze Mondial « Historique » pour un club qui ne l’est pas, c’est un concept interressant.

    Et puis bon, quelque soit la division, Nîmes reste toujours et encore UNE VRAIE VILLE DE FOOTEUX, tandis que Montpellier…, euh non rien, même en faisant semblant de disputer le titre au PQSG, vous restez une VRAIE VILLE DE FOOTIX. Z’êtes combien à la mosson pour voir votre équipe jouer (soi-disant) un titre de champion ? 7500 à tout casser, autant qu’un bon Nîmes Olympique – Quevilly en National… Purée, quelle ville de cons…

    Et encore une fois, quelque soit la division, on vous la met systématiquement dans le cul depuis trente ans (oui, puisque vous n’existiez pas auparavant), bande de tarlouzes.

    Mais profitez, profitez bien du gros lyonnais, quand il sera canné, ben vous redeviendrais les merdes que vous auriez dû rester. Ah mais, vous l’êtes resté, autant pour moi…

    Nîmois, enculeur de montpelliéraines et fier de l’être :)

    La bite au cul.

    => Quoi c’est puéril ? Mais c’est qu’on t’emmerde à la fin, toi et ton club de merde. Vous n’existez que par nous: les nîmois bla-bla, des pédés bla-bla-bla, nous on est ci et ça blablablabla… Oui vous supportez l’Ohème, ça on sait, sacré ville de foot hein..

    Grosse bite au cul donc. Et arrête de bander sur le FC Sète, les Sètois n’ont jamais pu blairer les pignoufs de Montpeul’.

    Bon c’est bon là ? Bandes de tapettes.

  8. @Mayoul: Ok Ferhaoui d’abord Lunel, mais il est quand même passé par le centre, en même temps que Blanc etc. L’oubli de la « re-trahison » de Mézy est volontaire, parce que tellement anecdotique (16 matches sur le banc, pas beaucoup quand même). Blanc en défense parce que j’allais pas mettre Valderrama sur le banc.

    @Oxianor: je pense que je suis mieux qualifié que toi pour parler des Sétois (avec un accent aigu).

  9. J’ajoute que je n’ai jamais dit de Ferhaoui qu’il était un « pur produit du centre ».

  10. « Le petit prince de Gerland » a joué à Montpellier.

    Je le note et je vous en félicite.

  11. Super Onze mondial. De quoi donner à certains l’envie de se poignarder le cul avec une saucisse, bravo Loulou. Il était pas défenseur Carotti ?

  12. @Bart: Merci. Carotti a pu jouer défenseur, mais il jouait plutôt à ce poste de milieu défensif.

  13. @Oxianor: Ah et au fait, j’oubliais : il vaut mieux un club qui ne survit que par son passé, ou un club qui continue d’écrire son histoire? Qui se souviendra du Nîmes Olympique millésime 2012 dans quelques années? Remarque il y aura sûrement de quoi faire un onze anal…

  14. La roue tourne, à Nîmes on est bien placé pour le savoir, vous l’apprendrez aussi.

    Et je m’en tape de Sète et des Sétois (on a pas le même accent).

    Un bisou, va.

  15. J’aurai quand même cité Pascal Fugier pour toutes ses années passées chez nous et une petite pense pour Rudy Riou qui nous a sauvé d’une merde, à faire saliver un GM, à maintes reprises.

  16. Dzodic dans le Onze Mondial du MHSC et de l’A.C.A. Comme un symbole d’entente cordiale contre Nîmes.

Répondre à Perfettu Erignacci Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.