L’école des capitaines Patrice Evra
Des larmes, des chouettes, des brillantes. Oui, c’est voulu.

C’est un instant mignon que vous propose le service, avec les larmes de Luis Amaranto Perea, capitaine de la sélection colombienne, après la victoire contre la Bolivie. Oui, la Bolivie. Imaginez Evra pleurer pour une victoire contre, on ne sait pas nous… Non, n’imaginez rien, le service à la nausée en se remémorant quelques images.
Evra est un homme, il ne pleure pas.
Je sais pas ce qui est le plus moche, la musique de fond ou le voir chialer comme un vulgaire pedretti de bas étage… Encore un colombien que loulou n’engagera jamais !!!
En même temps, la dernière fois que la Colombie a gagné à La Paz, c’était en 183. Aller gagner là-bas est un exploit pour n’importe quelle équipe, même le Brésil. A près de 4000 mètres d’altitude, un simple footing peut devenir un gros calvaire.
@ Fabrice :
il est vraiment pédé ton commentaire.
Il chiale comme une petite fille qui vient d’apprendre que les princesses aussi font caca.
@JacquesFacial : pédé toi même !
Il chiale parce que les cartels lui avaient ordonné de perdre, et que là, il est foutu!
le genre de match que le jeune lassana.D ne gagnera jamais …
Perea Mes que une idole
@fabrice
En même temps, la dernière fois que la Colombie a gagné à La Paz, c’était en 183
Contre les Incas?
@Fabrice
D’abord, on dit pas « pédé » mais « sale pédé » quand on a un peu de classe.
Ensuite, utiliser le coup du « miroir qui renvoie tout », c’est vraiment une combine de « sale pédé ».
Enfin, gagner à la Paz et chialer faut vraiment être un « sale pédé » pour trouver ça admirable.
Clash Montpellier style!
@Liberté Capillaire : j’essayais de m’abaisser à son niveau. En fait, toi, tu es le vengeur masqué de Horsjeu.net ? Enchanté, moi c’est Fabrice.
@Seaman : Bah non, en 183, les Incas étaient loin d’être nés. C’est dire la performance de Perea et sa bande !