Chers lecteurs, j’espère que les agapes de fin d’année se sont bien passées et que vous vous êtes explosés le bide et la gueule. En guise de cadeau et pour célébrer comme il se doit l’arrivée des Reyes Magos, El Piojo a chopé une crève carabinée qui a duré plus de deux semaines et, pour couronner le tout, le traditionnel colis de la famille rempli de mantecaos et de turron n’est pas encore arrivé. Du coup, je risque fort de rentrer à la capitale sans ces précieuses victuailles bourrées de sucre. Pis, j’ai même pas encore bu le moindre verre de horchata. Qué vergüenza ! Au passage, si l’un d’entre vous peut m’indiquer où me procurer ce nectar à Paris, ça me ferait bien plaisir.

J’ai particulièrement glandouillé ces derniers jours, ce qui ne me change pas de d’habitude me direz-vous. Néanmoins, lisant les différents posts de mes collègues sur l’interface cara-libro, il a bien fallu que je me mette au boulot, histoire de faire bonne figure et de montrer que la Murciélago Académie était in da place.

J’ai bien compris que pour niq…euh, dégling…euh, concurrencer la Blaugrana académie et la Merengue académie, il fallait absolument que je fasse les choses en grand, comme un symbole de Michel Panini dans son onze historique. Quand t’as lu son papier, ça devient un tantinet compliqué de se mettre au niveau.

Mais au lieu de reprendre tous les effectifs depuis 1919 (j’ai beau ne pas avoir de vie sociale, faut pas pousser non plus), j’ai fait une sélection des joueurs qui m’avaient le plus marqué depuis 1996, année où je suis tombé amoureux du club blanquinegro. Mine de rien, ça fait pas mal de monde. Ainsi, après avoir sélectionné environ 80 joueurs dans un premier temps, j’ai finalement passé le tamis une seconde fois pour établir pas moins de 4 équipes.

Ces formations n’ont absolument pas pour but d’être cohérente, d’être équilibrée ou d’être une redite des 25 cracks élus lors du 90ème anniversaire de la création du club ou de l’excellente rubrique « Un brin d’Histoire ». En ce qui concerne les deux premières équipes, il s’agit simplement de rendre hommage à des joueurs qui m’ont marqué avant toute chose, par leur jeu, leur personnalité ou juste parce qu’ils ont des noms marrants. Les deux autres compositions, en revanche, sont beaucoup plus improbables et foutraques.

 

El Piojo All Stars

Santiago Cañizares : impossible de ne pas le citer. Taulier indiscutable pendant plus de 10 piges, Santi était aussi talentueux que pas verni, rapport à son amorti loupé avec une bouteille de parfum alors qu’il devait être titulaire au Mondial 2002. Cheveux peroxydés et ongles peints, excentrique et dépressif,  Cañi avait un style hors normes.

Enrique Romero : certainement le joueur qui compte le plus pour moi puisque je porte le même nom de famille et que, dans mon cerveau de xic, je pensais qu’il était forcément de ma famille. Généralement, Romero reste plus connu pour avoir été le latéral du Super Depor d’Irureta.

Paco Camarasa : un symbole du club, compère de Fernando Colomer pendant de nombreuses saisons et avec qui il a partagé le brassard de capitaine. Forte personnalité et issu de la formation ché, il a passé seize temporadas en défense centrale avant de se finir à Levante en fin de carrière, chassé par Mister Cuper. Au total, il a joué 267 matches et inscrit 7 buts. Pour couronner le tout, il a porté le maillot de la Roja à 14 reprises et participé au Mondial ricain de 1994.

Roberto « El Raton » Ayala : simplement incontestable en défense centrale dont l’ombre plane toujours à Mestalla. « C’est quand le jeu devient dur que les durs deviennent bons » dit Gianluca Vialli. A ce petit jeu-là, Ayala était un sacré cador.

Jocelyn Angloma : apprécié partout où il est passé, il a été un rouage essentiel de l’équipe pendant 5 saisons. Pour le plaisir, petite vidéo d’un VCF/Real Madrid mythique avec un but du Joce.

Carlos Marchena : un amoureux du tacle glissé en crampons de 16, de la contestation et de la provocation. Barbu, violent mais aussi un sacré meneur d’hommes .

David « El Patriota » Albelda: évidemment, c’est lui qui porte le brassard. Un mec exemplaire qui n’a pas cédé aux sirènes blaugranas après les finales de Champion’s. Toujours présent dans les matches au couteau, signe des grands http://www.youtube.com/watch?v=9253BBgAzYE.

Kily Gonzalez: Trofeo Naranja, août 2004. Avant le début du match contre le Perugia du fiston Kadhafi, chaque joueur fait son entrée sur le terrain de Mestalla. A l’annonce de l’Argentin, le stade se met à trembler pour acclamer Kily. Un hommage qui sonne déjà comme un au revoir : en janvier 2005, il rejoint l’Inter avec peu de réussite. A coup sûr, l’un des joueurs les plus appréciés de la dernière décennie et, accessoirement, un énorme bonhomme.

Goran Vlaovic: sans nul doute, le Croate fait partie de mon Top 5. Alors qu’il effectue un essai à l’Ajax en 1995, il est victime d’un accident de voiture. Après examen, une tumeur au cerveau est détectée. Il s’en sort, signe un pré-contrat avec Naples avant de voir la lumière et de rejoindre Mestalla. En tout, il a joué 4 saisons mais a surtout été performant lors des deux premières. Encore plus qu’à València, Vlaovic m’a marqué sous le maillot croate qu’il porta à 52 reprises (15 buts). Parce que, y a pas à dire, la plus belle équipe du Mondial 98, c’était celle au maillot à damier.

“O Baixinho” Romario: certes, il n’a pas fait long feu chez nous mais s’il n’avait pas signé au club, pas certain que je serais allé voir le match du Trofeo Naranja contre Flamengo. Romario a été, avec Hendrik Larsson, le premier joueur qui m’a fasciné lors du Mondial 94.

Claudio “El Piojo” Lopez: vous devinez pourquoi je suppose !

 

Entraîneur: Rafa Benitez

Qui d’autre que Rafa pour mener cette équipe ? Deux Ligas remportées, un doublé Liga/C3 avec un effectif qui n’avait rien de surhumain. Avec Don Di Stefano, il est le Mister qui a le plus marqué l’Histoire du club par ses victoires.

 

Suplentes

Andrés Palop : coiffe sur le poteau Andoni Zubizarreta principalement pour sa méthode d’entraînement qui consistait à lancer des melons dans le champ de son père.

David Navarro : joueur plutôt faiblard qui est resté célèbre pour avoir emplâtré Ivan Cordoba au terme d’un quart de finale de Champion’s. Le plus étrange, c’est qu’après avoir mis KO un Intériste, la Juve ne lui ait pas proposé de contrat.

Amedeo Carboni : titulaire en défense centrale jusqu’à ses 40 berges, il a malheureusement loupé son tir au but en finale de Champion’s contre le Bayern. En revanche, il a moins brillé en qualité de directeur sportif carrière, se faisant refourguer une palanquée de quiches. Pas du genre à se laisser marcher sur les arpions, il avait nonchalamment laissé un Magnum dans son casier. C’est pour ça, vaut mieux que je le nomme, j’veux pas avoir de problèmes.

Poyatos : sa présence est principalement due à son nom rigolo.

Luis Milla : il n’y a qu’un seul Milla et il ne s’appelle pas Roger.

Rubén Baraja : autre grand symbole ché, du même calibre qu’Albelda. Dix ans avec la liquette blanquinegra, forcément ça inspire le respect. El Pipo, c’est 361 matches pour 57 pions et 43 sélections avec la Roja entre 2000 et 2006. Un monument du valencianisme.

Gaizka Mendieta : pour sa carrière de comète. Non seulement, il a été sublime sous nos couleurs mais, en plus, on l’a revendu un paquet d’oseille. De crack à arnaque, la limite est parfois ténue. Aux dernières nouvelles, il est consultant sur une chaîne anglaise (c’est quand même aut’ chose que les andouilles du CFC) et a ouvert une académie de football. Mais quand même, quel joueur 

Vicente : excellent gaucher qui n’a jamais donné la pleine mesure de son talent à mon goût. Je regrette que le club n’ait pas renouvelé son contrat en fin de temporada dernière. Il aurait été aperçu sur les terrains de Premiership anglaise sous le maillot de Brighton and Hove Albion. En tout, il a porté le maillot à la chauve-souris à 339 reprises et a fait trembler les filets 52 fois .

Zlatko Zahovic : une seule saison au club et un tir au but décisif loupé en finale de Champion’s. Surnommé le Zidane slovène pour ses initiales et parce qu’il avait dû faire couiner deux ou trois défenses de seconde zone, c’est le joueur que je déteste le plus au monde. Alors, je le laisse sur le banc et je lui gueule dessus pendant tout le match. Accessoirement, je lui pisse dessus. Cependant, qu’on le veuille ou non, il a marqué l’Histoire du club. Mais on s’en serait bien passé…

Juan Mata : si Silva est fabuleux, Mata est largement supérieur au Chino. Que nous l’ayons gardé aussi longtemps est un véritable miracle.  Profitez petits Rosbeefs : avec nos deux Chés, vous découvrez enfin ce à quoi ressemblent des véritables joueurs de ballon !

Juan Sanchez : quand on me parle du València de 1999/2002, on me le cite souvent. Pourtant, je n’ai quasiement aucun souvenir de lui. C’est assez surprenant puisque, en quatre ans, il n’a marqué que 23 pions en championnat, avec un pic à 12 buts en 2000/2001. On a vu mieux. Mais inscrire un doublé en demi retour de Champion’s contre Leeds, forcément, ça marque les esprits.

Entraîneur adjoint :

Hector Cuper : L’homme qui ne gagne jamais alors qu’il le mérite mais qui régale le public et laisse de beaux souvenirs dans le cœur des hinchas.

 

Les 11 improbables

Attention ! Ceci n’est pas un onze anal. Certes, pas mal d’entre eux ont franchi les limites de l’analité sous nos couleurs mais d’autres m’ont rappelé de bons souvenirs.

Timo Hildebrand : présenté comme le successeur d’Oliver Kahn, Timo arrive en 2007 auréolé d’un statut flatteur matérialisé par un spot publicitaire pour une marque de pneu comme un symbole prémonitoire . C’est juste une question de technique qu’il dit… Une saison, 40 pions encaissés. Pignouf.

Ivan Campo: une telle coupe de cheveux, même si on ne l’a vu qu’une seule saison à Mestalla, ne pouvait être absente.

Stankevicius: un nom imprononçable, une compréhension tactique inexistante et Ricardo Costa comme compère en défense centrale. Quand il jouait, fallait pas être cardiaque.

Asier Del Horno: en espagnol, horno signifie four. Et pour un four, ce fut un four. Acheté une blinde à Chelsea par Carboni qui pensait que Mourinho lui avait fait une fleur, le Basque est considéré comme le pire transfert des quinze dernières années.

Moussa Saïb : j’aimais beaucoup ce joueur quand il jouait à Auxerre et j’étais content qu’il signât chez nous. Arrivé en 1997, il joue 14 matches sous les ordres de Jorge Valdano mais après le limogeage de l’Argentin, Saïb n’entre plus dans les plans de Claudio Ranieri. Au mercato hivernal, il plie les gaules direction Tottenham.

Oscar : un golazo à l’époque où il jouait au Barça m’avait marqué. J’attendais beaucoup de lui : il fut un bide. Quatre buts en 20 matches et un retour à Barcelone en fin de saison. A l’Espanyol. La vie ne fait pas de cadeau. Son frère Roger a également une trace indélébile dans l’Histoire du ballon puisqu’il a été le dernier à porter le numéro 14 à l’Ajax.

Denis Serban : arrivé en 1998, il est expédié à Villareal la saison suivante. Après deux prêts à Elche et au Dinamo Bucarest en 1999/2000, le Roumain revient à Mestalla en 2001 et réussit une saison pleine pendant laquelle il joue 32 minutes, 8 secondes et 32 centièmes. Lâché à Cordoba, il s’est fini à Larissa en 2007.

Ariel Ortega : el Burrito arrive en 1996 après avoir remporté la Libertadores avec River Plate et se taille un an et demi après car, ô surprise, il ne s’entend pas avec Claudio Ranieri. Pour sa seule saison complète, il marque à sept reprises pour une moyenne de 0,58 but/match. Pas trop mal pour un milieu ! Aligner Ortega, c’est la certitude d’avoir un joueur de ballon mais aussi de toujours avoir des bières dans le vestiaire.

Cristiano Lucarelli : une saison chez les Blanquinegros, 12 matches pour un seul but. C’est sûr que face aux 21 galettes du Piojo Lopez, ce n’est pas la meilleure façon de prolonger son contrat. Pourquoi je le mets ? Parce que le Choa, ce bel homme toscan, adore ce type  !

Salva : sacré Pichichi avec Santander en 2000, Salva part à l’Atlético de Madrid et devient Pichichi de Segunda en 2001. Il signe dans la foulée chez les Chés et devient… pas grand’chose, n’inscrivant que cinq buts. Honnêtement, composer une attaque avec Lucarelli, le communiste, et Salva, le mec franchement ancré à droite, ça me vend du rêve !

Adrian Ilie : surnommé le Cobra par Ranieri, il a un nom sacrément fait pour un buteur.  Deux premières saisons intéressantes (22 pions inscrits) puis plus rien ou presque (7 buts en 3 ans). Son plus beau coup est certainement d’avoir rapatrié son frangibus, soi-disant meilleur que lui. Effectivement, Sabin Ilie a cartonné : 0 match et 6 prêts en 4 saisons.

Entraîneur :

Ronald Koeman  :Détesté, son avatar en papier a été brûlé lors des Falles. Et pourtant, c’est le dernier entraîneur ché à avoir soulevé un trophée. La garantie d’avoir de l’ambiance dans le vestiaire et des procès aux prud’hommes.

Entraîneur adjoint :

Claudio Ranieri deuxième époque (2004/2005) : Déjà Mister entre 1997 et 1999, le Romain revient à Mestalla avec une idée de base ultra simple : transformer le club en ambassade d’Italie. Corradi, Moretti, Fiore, Di Vaio arrivent dans ses bagages et s’étalent magistralement. Au final, València achève la saison à un septième rang indigne de son statut.

 

Hablas francés ?

En 15 ans, onze Français ont porté le maillot ché. En fin de compte, ça te fait une équipe pas trop dégueu.

Ludovic Butelle : annoncé comme le successeur de Cañizares, sa carrière a pris un sale tournant après qu’il a rencontré le genou de Marchena lors d’un match amical. Résultat : ablation de la rate et du talent. On l’aurait aperçu à Nîmes la saison dernière et à Avignon et pourrait réaliser une deuxième descente en National de rang.

Jocelyn Angloma : est-il encore besoin de le présenter ?

Adil Rami : c’est la bonne surprise de la première moitié de la saison. Patron de la défense, il doit encore se perfectionner dans la relance et ne pas trop s’enflammer pour devenir un joueur de puta madre.

Alain Roche : une première saison pleine (29 matches) et une Copa del Rey soulevée avant de flancher lors de la seconde (2 matches).

Jean-Félix Dorothée : deux ans pour un match joué. Ça reste une fois de plus que moi.

Didier Deschamps : il a joué son ultime saison au haut niveau chez nous et, accessoirement, chopé le virus du coaching. Quelle plus belle école que celle de Mister Cuper pour apprendre ses gammes ?

Momo Sissoko : grand espoir du football français, il a joué la finale de la C3 contre l’OM en 2004. Annoncé comme le nouveau Vieira, il a choisi de jouer pour le Mali aux côtés de Kanouté. Trop inconstant pour le haut niveau.

Karlamoff : il signe chez nous à 19 ans, squatte quelquefois le banc, est sélectionné en Espoirs mais rejoint Compiègne la saison suivante. Il a arrêté sa carrière en 2009, à seulement 26 piges.

Anthony Réveillère : son unique saison l’a relancé. Un de mes regrets est que l’option d’achat n’a pas été levée.

Jérémy « Parlapoco » Mathieu : joueur le plus régulier cette saison, il déçoit rarement pour ne pas dire jamais. Discret, professionnel, il a enfin obtenu la reconnaissance qu’il méritait avec ses premières sélections en Bleu.

Sofiane Feghouli : sa progression est surprenante mais, petit à petit, il trouve ses marques, a la confiance d’Unai et s’est permis le luxe de bouter Pablo sur le banc.

Entraîneur :

Didier Deschamps : Je ne sais pas si le style de DD correspondrait bien au club. Mais si jamais il devait s’assoir sur le banc des Murciélagos et qu’il nous faisait remporter quelques titres, on ne râlerait pas tout de suite !

Pour achever cette acad’, une petite vidéo de présentation du Nou Mestalla qui devrait être livré, si tout se passe bien (notion plus qu’aléatoire), en 2014. On verra bien ce que ça donne mais en aucun cas il ne remplacera l’historique Mestalla en plein cœur de la ville, son béton gris et son ambiance unique en Espagne.

Et n’oubliez pas, être hincha de València, c’est avant tout un sentiment !

 

Amunt València, és il millior !

Besitos (C)anales,

El Piojo

 

Horsjeu.net a besoin de toi xic ! Alors, tu vends les organes de tes enfants et les orgasmes de ta femme, tu fais comme tu veux, mais tu t’abonnes au site à la limite du footballistiquement correct. Celui qui ne le fait pas ne mérite même pas d’être hincha de Villareal !

Xiquets, El Piojo vous souhaite la bonne année avec du sexe avec plusieurs partenaires, si possible, simultanément.

7 thoughts on “Les onzes historiques de la Murcielago Académie

  1. Bonne conaissance, je suis impressionné. Par contre, pour Mata superieur a el Chino, je suis désolé, ya pas photo.
    Pas de Guaje Villa alors que le gars a planté en moyenne 20 buts par saison pendant 5 ans.
    Sinon le reste est nickel, bonne continuation

  2. Beau boulot El Piojo, mais comme je ne connais pas très bien certains joueurs, il aurait été au moins utile de préciser leur poste.

    Et puis une minuscule phrase pour certains joueurs du Onze Mondial Historique, ça fait un peu court je trouve.

    Et enfin, comme le chantait le kop d’Anfield Road : Rafa… Rafael, Rafael Benitez !

  3. Merci Ilyasse! Je savais que l’absence du Guaje susciterait des réactions. Mais il a fallu faire un choix et Romario, dans mon panthéon personnel est plus important que Villa. Sinon, on est d’accord que Villa a été un crack et a marqué le club bien plus que le Brésilien. Et quitte à mettre un joueur récent, j’ai préféré Mata. Ensuite, que tu préfères Silva, je vais pas t’en vouloir hein! Tu as bon goût quand même!

  4. @JustWide: le problème, c’est que les joueurs nommés pourraient très bien ressortir en cours de saison dans ‘un brin d’Histoire’! Faut bien teaser un peu!

  5. Académie subjective, mais qui a des arguments objectifs. J’aime.

    J’avais complétement oublié Villa, mais moi aussi, je trouve que Silva a quand même été plus important que Mata, fin c’est mon avis.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.