Coucou les filles,

Rigobert préfère vous prévenir d’emblée : l’entraîneur du Clermont Foot Auvergne est une femelle… Autant dire qu’on a le thème du jour. Pas besoin d’aller chercher plus loin que cette mère-porteuse qui pense que parce qu’elle a enfilé un jogging le Coq sportif, elle peut se targuer d’avoir les qualités masculines nécessaires à l’exercice de la fonction d’entraîneur. Entraîneur, docteur, ingénieur, etc…, toutes ces professions réservées aux humains doués d’intelligence et desquelles les femmes sont donc logiquement exclues, jusque dans le vocabulaire, qui n’accorde même pas à la langue française la possibilté qu’une femelle puisse en être.

Sauf que, société de fiottes oblige, la femelle de l’homme, couramment appelé la femme, la fille pour les plus jeunes, la rakia pour les moins éduqués ou la ménagère pour ceux qui aiment parler sincère, est devenue en quelques 50 ans l’égale dans les textes de loi de son supérieur hiérarchique, l’humain doué de testicules. Preuve ultime de cette dérive sociétale majeure, la nomination l’année dernière de Corinne Diacre ès qualité d’entrainEUR de Clermont, un club sans ambition, mais doté d’un président en quête de buzz et de chatte.

Corine et ce noir ont un point commun : les tâches ménagères, c’est pour eux. C’est comme ça.

Rigobert ne s’étonne même pas. Dans une société qui admet le jeans au dessus des chevilles pour les hommes, quoi de plus normal que d’assister à l’affaissement de la frontière naturelle entre l’homo sapiens et l’homo pas sapiens, c’est à dire la femme. Sous prétexte qu’elles enfilent un pantalon, on estime qu’elles peuvent le remplir autrement que par de la cellulite. Mais non. Mesdames, arrêtez cette mascarade, rendez-vous à l’évidence, rendez-nous nos postes, laissez-nous entre personnes de type couillu et allez faire le ménage. Comment elle fait Corinne Diacre, ma bite sur son front de femelle, les jours de ragnagnagna pour pouvoir montrer à ses attaquants malhabiles comment faire une reprise de volée en déséquilibre. Et même les jours normaux c’est compliqué…

 

Revenons à l’essentiel. Il y a trois ans, avant que l’équipe de France ne nous plonge dans une faille spatio-temporelle, le FC Metz s’était déplacé à Brest pour y livrer le match-symbole paroxystique de la nouvelle philosophie de jeu messine : 75% de balle, 2 occaz, match nul dans tous les sens du terme. Pourtant, c’est pas faute de s’exciter à l’entraînement autour de la méthode, que les U15 du club ont récemment mis sur le devant de la scène footbanalistique mondiale, grâce à cette chorégraphie qui a déjà faut le tour du web :

La méthode s’appelle CogiTraining et repose sur l’intégration au premier plan des aspects coginitifs et l’intelence du joueur. La légende dit que la première fois que José Riga a expliqué au groupe pro de quoi il s’agissait, Métanire a saigné du nez. Mais depuis, l’arrière latéral messin sait faire ses lacets seul et pourrait même d’après ses proches, réussir à épeler son nom d’ici fin Novembre.

 

Metz – Clermont :

Le jeu messin de ces dernières semaines et la température ont considérablement refroidi la plupart des supporters grenats. Contrepartie positive, Rigobert peut se mettre à l’aise à Sinsinf pour regarder Corinne Diacre essayer de convaincre des noirs qu’elle est leur chef.

 

On notera que Riga a préféré laisser les grandes jambes de Métanire sur le banc et mettre un petit espagnol valétudinaire à sa place. Rigobert ne juge pas sur les apparences, mais quand même. Très rapidement on se rend compte que le FC Metz n’a toujours pas gagné en ambition, que Toussaint est nul en défense, que l’arbitre est une belle petite salope de classe européenne, et que le FC Metz ne sait plus attaquer. Très vite on se rend compte également que Clermont a fait la passe à Diedhiou et que Diedhiou a donc marqué.

Oberhauser et son charisme de levrette, une défense qui sent la pisse, un milieu uniquement composé d’eunuques et une attaque sordide. Voilà le FC Metz tel qu’il se présente à son public en première mi-temps. Honteux, défiguré. Si le projet de José Riga était d’émasculer les Grenat, c’est réussi. Sinsinf’ se voit contre son gré devenir le théâtre d’un onanisme collectif avec André Santos en chef d’orchestre de cette masturbation footballistique généralisée.

 

Et avant que Metz n’ait eu la moindre occas’ en réponse au premier but clermontois, Monsieur l’arbitre et l’attentisémitisme des Messins finissaient d’enfoncer le clou. 0-2. Seconde période oblige, le FC Metz revient sur la pelouse. Mais la testostérone des Grenat est elle à nouveau restée aux vestiaires. Seul Dieudonné Ggribouillé entré en jeu à la pause, tente de mettre un peu de tempo dans la froideur ambiante.

Illustration. La philosophie de jeu du FC Metz coincée quelque part dans ce charabia :

Puis un peu de chatte plus tard, suite à une percussion de J’ai Baclé, N’Gabakosto se saisit du ballon et tire comme un homme. Le destin se charge du reste sous la forme d’un genou clermontois et Metz revient à 1-2. Sinsinf s’anime, les joueurs tentent de se mettre au diapason. Quelques minutes plus tard, après un corner mal repoussé, Ivan Balliu, la petite fouine espagnole suscitée, tente la volée : 2-2.

 

Les Grenat sauvent les meubles, mais après un départ tonitruant sur le plan comptable, l’heure est au pessimisme. Le FC Metz est en train de devenir un club d’agents avec les joueurs qui vont avec. Le tout engoncé dans un projet de jeu de fiottes aiguës. On attend toujours un match référence. Ou une occasion, pour les moins difficile. On n’oubliera pas en guise d’épilogue de saluer cette bonne vieille Corinne Diacre, qui malgré son absence de tuyau urinaire, réussit là où José Riga échoue : comprendre que la Ligue d’eux est un championnat destinés aux gros noirs, et qu’à rien ne sert d’aller contre la nature. Nique le positivisme de Riga, vive le naturalisme. Vive les gros noirs.

 

Allégorie : le FC Metz dans le classement de Ligue d’eux

 

 

Les artistes :

David Oberhauser, 2/5 : Abandonné à la naissance par ses parents, puis abandonné par ses cheveux après la puberté, David Oberhauser essaie de composer comme il peut avec une vie qui ne lui veut que du mal. Dépourvu de toute emprise sur les choses et encore pire sur les gens, le gardien messin a beau sautiller dans sa cage, il est logiquement et systématiquement abandonné par sa défense de mercenaires. Oberhauser est malheureusement pour lui et pour nous, crassement insignifiant.

Ivan Balliu, 1/5 : Petite danseuse étoile dans l’âme, Balliu a été forcé par son papa Domingo de faire du foot pour éviter les coups de ceinture. Pris en charge très jeune par les éducateurs du grand Barça, Balliu a ainsi pu développer quelques capacités de footballeur, même s’il ressort de manière évidente que la petite belette hispanique n’est pas dans son élément naturel sur un terrain de football, encore moins dans cette Ligue d’eux rude et sauvage. Balliu au contact des gros noirs de notre champianal, c’est un peu comme un Arménien innocent au contact de dix turcs alcolisés. C’est pas joli joli.

Tiago Gomez, 1/5 : Pour le nouveau latéranal gauche du FC Metz le problème est tout autre. Le problème est qu’il n’a aucune envie d’être là où il est au moment où il est là où il est. Le Portugay pousse le professionnalisme jusqu’à se voir comme contraint par l’exercice de sa profession et le montre à tous sans scrupule. Footballeur professionnel en guise de job alimentaire. A moins que Tiago Gomez ait perdu sa femme ou un fils dans un incendie meurtrier à Lisbonne hier et qui pourrait excuser cette indolence.

Jean Louis Palominal, 2/5 : Le gros costaud de la défense et du début de saison messin n’a pas fait un match plein. Ce qui peut s’admettre dans la mesure où José se voit associé aux pires partenaires imaginables en défense centranale. Après le gros Turc peu ambualant ambiance CFA2 et le Portugesh insipide, voici le jeune adolescent fébrile. Si on mélange les 3 ça fait Bussmann. Kamoulox.

Lucas Toussaint, 0/5 : En prélude à ses vacances éponymes, Toussaint est tombé sur un anthropophage violent. Diedhiou a mangé tout cru le jeune grenat, n’y laissant que les os et un peu de pisse froide, fêtant ainsi quinze jours en avance la fête des morts, à la sauce africaine.

André Santos, 1/5 : André Santos ou le football qui tourne en rond. Et avec des micro-testicules.

Georges profonde Mandjeck, 2/5 : Mieux pourvu que ses partenaires du milieu en terme de bistouquette, le George profonde Mandjeck alterne toutefois les passes de bon aloi et les relances d’esclave, les duels de subsaharien nourri et les fiotteries vulgaires d’acculturé. Le tout dans un seul homme.

Kévine Lejeune, 3/5 : Le meilleur Messin niquez vos mères. Lejeune est une re-sta point sur les i. Seul joueur messin qui a compris que ce qui se passait ne pouvait plus durer longtemps. Alors certes la cochonaille de Lejeune n’a pas les arguments pour remédier à la chute irrémédiable de son équipe vers les abysses de l’homosexualité, mais au moins il grognone qu’un un autre footbanal est possible.

Yéni N’Grototo, 2/5 : Un but de roi de la chatte qui récompense toutefois une prise de risque bienvenue, un CF direction Jupiter, une prise de balle de héros sur le rouge clermontois, des passes d’ivrogne, un mélange mi-figue mi raisin du match poivre et sel de l’étoile messine. Néanmoins peut-on finir par constater que le N’Gbakoto se tasse pas les temps qui courent.

Daniel Candeias, 1/5 : T’es une brêle Candeias. Une bonne vieille brêle comme le FC Metz les aime. Bien tendre, bien pédé, bien nulle. Footballeur sans âme.

Habib Diallo, 1/5 : Diafra Sakho à son âge. La réplique identique. Devrait donc logiquement se faire siffler rapidement par quelques centaines de connards avant d’éclater et d’être adulé par ces mêmes immondices en forme de supporters, avant de signer rancunier dans une club anglais. Et de taper sa femme.

 

Les artistes remplaçants :

Dieudonné Ggribouillé, 4/5 : Rigobert surnote exprès pour bien marquer la différence entre le petit africain agile et ses collègues onanistes qui pourraient s’enculer sur le terrain si on les laissait faire. Seul joueur à prendre la balle et à tenter des choses, avec un mélange de courage et de panache. Et des petites courses rigolotes de petit noir pas encore tout à fait sûr qu’il est bipède.

Ferjani Sassi sans famille, non noté : Sassi vidé de son talent.

Juan Kaproff, non noté : Entrée remuante de Kaproff qui n’a pas pris de rouge. Ni de jaune. Si la bande de Portugay avaient à eux tous un 1/3 de la grinta de notre Argentin houleux, le FC Metz serait premier.

 

Rigobert aime le chaos, mais là c’est vraiment exagéré La Ligue d’eux.

 

 

Rigobert Pirès

2 thoughts on “Metz – Clermont (2-2) : La Metz que un Club Académisogyne

  1. L’entraînement des U15 fait du club le remplaçant tout désigné du Paris Football Gay dans le cœur des petits chattes couillues du Marais

  2. Cette academie est un hymne à la tolérance. On dirait un remake d’Elephant man. Merci.

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