Salut les Timmy,

Rigobert a beaucoup de choses à dire. Et il essaiera de les dire, sans utiliser le mot « juif ». Pas évident, mais c’est en forgeant qu’on devient forgeron.

 

OM – Metz : Golliath VS David le petit juif

Le gros Marseille recevait dimanche soir sur ANAL+ full HD, double caméra rotation super palette Philippe Doucet est un héros, notre petit FC Metz de rien du tout et son seul but marqué à l’extérieur cette saison. Et le tout sans son gros Argentin vénèr, ni son Malien boudeur en attaque, Modibo Maïga ayant préféré regarder tout ça sur son canap, plutôt que sur le banc des remplaçants.

Difficile d’imaginer meilleure surprise que le début de match des Grenat qui prirent à la gorge phocéenne l’espèce de triplette défensive olympienne et mal bâtie. A gros coup de butoir de l’ogre Guirane, avec l’inspiration et la technique du petit Andrada sur son bidet, mais aussi une charnière retrouvée, un Doukoure à l’aise dans ses pompes et un Malouda pimenté, le FC Metz se permit le luxe d’entamer la confiance marseillaise et de donner un peu de rêve par-ci, par-là aux amoureux du Grenat. Toutefois, malgré plusieurs occasions et une première mi-temps de haute volée, le FC Metz dû quitter la pelouse une première fois sans le point, mais avec de l’espoir, la faute à André Ayew et le gros vagin de sa maman.

Mais les Messins étaient trop forts pour se laisser abattre si facilement, et Malouda envoyait un message important à tous les traitres qui le critiquaient sans vergogne en égalisant avec le sourire à la reprise. Les choses devaient pourtant tourner finalement à l’avantage de Marseille et de son Vieux Porc, André Pierre Gignac, qui une fois n’est pas coutume, remettait Marseille en ordre et renvoyait les visiteurs messins sur leur chemin de croix de Lorraine à l’extérieur. Au sol mais encore en vie, le FC Metz poussa, emmené par la fougue d’un Capitaine Marchal nous voilà en fusion, mais rien d’autre ne sortit qu’un dernier contre olympique et un troisième ballon dans la musette, par l’étincelant Payet. Metz se fait donc dépouiller de ses points par l’OM, et repart donc vers de nouvelles aventures avec une nouvelle paire de couilles qui lui sied beaucoup mieux.

 

Pendant ce temps-là :

– Le gros Modibo se fait juger par une exceptionnelle commission de discipline interne au club pour son match buissonnier. Verdict en semaine prochaine. Qu’on le pende haut et court !

 

Lorient – Metz :

Marcel Picot et ses semblables sont des salopes. Le Moustoir insalubre de Lorient n’échappe pas à la règle anale et le FC Metz, après avoir pris le vent au Vélodrome, doit cette fois composer une chanson plus douce à l’oreille de ses supporters, sur des petites gommes homosexuelles en guise de pelouse. En face, Benjamin Jeannot Lapin et sa bande de Bretons malsains pour contrer les plus fous espoirs grenat.

Si à Marseille, les Messins avaient su montrer de quel bois ils se chauffent au gros Pierre Ménès dépressif, c’est le caleçon mouillé et l’honneur en berne que les Grenats devaient repartir du Morbihan. De ce match immonde Rigobert préfère ne rien retenir, par peur de tomber lui aussi dans mêmes affres morbides que le gros porc précité.

Cela dit, Rigobert coche malgré tout quelques noms parmi les plus sales de l’histoire du footbanal français et saura s’en souvenir en temps voulu. Pour ne pas tomber dans la violence la plus bestiale, le Gobert préfère donc aiguiser ses couteaux dans le noir et pointer collectivement une équipe du FC Metz proche du néant. Pas content, pas content, pas content.

 

Pendant ce temps-là :

– Le gros Modibo écope de deux jours de mise à pied. Même lui trouve ça scandaleusement laxiste. Mais en dépit de ses protestations, la sanction est maintenue.

 

Nantes – Metz :

Troisième déplacement de suite pour les Grenat, qui cette fois, devaient tâter du canari en Coupe Moustache. Avec de nombreux changements sur la ligne de départ, le FC Metz se rassura d’abord, avant de prendre le large ensuite, grâce aux coups de butoirs bienvenus de Falcon (et non pas, comme annoncé initialement de l’homme bus #leplusgrandespoirdufootballfrançais selon la télévision française qui oublie de regarder de plus près le visage métallique et dépravé de notre arrière gauche bien en peine par les temps qui courent à l’inverse de Bussmann) ; puis d’un Cheick Doukoure en prise de volume et de rayonnement.

Le FC Metz menait donc logiquanalement 2-0 les doigts dans le nez de Guirane N’Daw suspendu, jusqu’à ce qu’Anthony M’Fa se transforme en danseur contemporain plutôt qu’en vrai gardien et ne puisse repousser le vilain front frisé de Vizcarrondo, avec la complicité de la défense messine. La suite sent le pâté : l’arbitre chauve de la rencontre, Monsieur Amaury Alarue accorda un pénalty aux Nantais avant d’expulser Bussmann le bienheureux pour cette parade du Messin à l’intérieur de ses cages.

A dix contre douze, et face à une tribune Loire qui mérite des louanges, les Messins n’obtenaient pas non plus justice après que Riou et Djilobodji envoyèrent Thibault Fion le museau dans la gadoue de manière illicite, alors qu’il se présentait seul face à son destin de granttatakan. De même lorsque Lejeune, possédé, s’échappait dans la surface canarie et s’écroulait face à la charge, illicite elle aussi, d’Olivier Veigneau qui ne mérite même pas qu’on écrive son nom.

D’autant plus que dans le même temps, les Nantais nous l’avaient mise profonde comme c’est pas permis, par l’intermédiaire de Johan Audel (honte de l’espace), avant que Bangoura (oui Maman, Bangoura !) plante un subtil lobe au lieu de la frappe de gitan au-dessus qu’il aurait fait à n’importe quel autre moment de sa carrière de traitre. Bilan des courses : 4 buts dans la musette, une élimination, 30 minutes pour rien, un rouge, une nouvelle défaite, un peu de colère… Merci qui ? Merci Jacky et Michel der Zakaryan et son coaching gagnant.

Le geste fou de Bangoura

 

Pendant ce temps-là :

– Le gros Modibo Maïga passse envoie une carte postale de son anus à l’intransigeante commission de discipline en guise de remerciement pour sa clémence.

– Le FC Metz tente la doublette tunisienne Sassi, Ben Youssef (dont voici le portrait) pour 1.7M de dinars. Pour deux Tunisiens. Dont un roux.

– Romain Inez va bien. L’ancien Messin aveugle élu joueur aveugle le plus talentueux de sa génération écume désormais l’Union Soviétique en quête de sensations fortes.

 

 

Metz – Monaco :

-7 : Albert Cartier demande conseil à sa minuscule paire de testicules pour concocter l’équipe la moins audacieuse de tous les temps.

-6 : Sa minuscule paire de testicule ne faillit pas et souffle à l’oreille de coach Cartier d’aligner directement Kashi et N’Daw et Doukoure et encore plein d’autres milieux défensifs.

Représentation taille réelle du centre de décision de Tonton Albert

 

-5 : Albert Cartier n’en fait qu’à sa tête et ne titularise finalement qu’une triplette de milieu def devant la défense. Grosse prise de risques.

-2 : Le speaker est toujours aussi loin dans son monde imaginaire de poneys roses et d’arc en ciel grenat. Qu’il meurt en souffrant.

2 : Le début de match est à l’avantage de Lionel Jaffredo, le petit lutin étant de loin l’acteur le plus en vue dans ces premières minutes.

5 : Bon ok, Rivierez > Gandalf en terme de « you shall not pass »

 

7 : Palomino moins à l’aise dans un couloir, tente de s’en sortir avec des grandes courses de cheval de trait et beaucoup d’engagement. La mayonnaise prend et le public se prend d’affection pour le gros Monsieur argentin.

9 : Sinsinf n’a en revanche aucune affection pour le chauve vicieux qui sert de défenseur gauche italien à l’ASM. « Raggi est une salope » n’est désormais plus quelque chose de contestable si loin dans l’est de la France.

12 : Le FC Metz sans Métanire et sans Bussmann= Le FC Metz dépourvu de ses jambes et de son âme. Même si Guirane N’Daw fait son possible en terme d’âme.

Guirane sait aussi s’habiller en Gentilhomme  pour faire plaisir aux petits blancs

 

17 : Anthony Martial fait un énième caprice en pleurant pour que Choplin arrête de lui mettre des coups de genou.

Nouvelle simulation de Martial

 

20 : Très bien déguisé en fantôme de Voldemort arabe invisible et nul à chier, Ahmed Kashi tente d’enlever son costume. Sans succès.

23 : Comme le nombre d’années de prison qu’aurait sûrement pris Abdennour s’il n’avait pas eu le foot.

24 : Comme le nombre de kilomètres la tête penchée et la langue dehors qu’a déjà effectué Jérémy Toulalan.

26 : Anthony Martial s’échappe en pleurant du marquage couche-culotte de la défense messine, puis tire de toutes ses petites forces. Sinsinf’ éclate de rire.

31 : Subasic s’étale pour dévier en corner une vilaine frappe malsaine de Doukoure.

38 : Premier ballon touché par Ahmed Kashi. Ah non, jolie feinte de l’esthète algérien qui laisse passer pour plus qualifié que lui.

41 : Ferreira-Carrasco, petite pute imprononçable à la coiffure intolérable, fait deux fois trop le malin avec Rivierez vu le rapport taille/poids du Black Panther Messin.


 

45 : Malouda tente à son tour d’inquiéter le portier croate. Mais c’est raté. Le Croate n’est pas une espèce inquiète.

Mi-temps.

45 : Entrée de Métanire. Place au spectacle.

48 :  Cinquième débordement de Métanire.

52 : Falcon est très mobile, très batailleur, bon dans les appels, etc. Dommage qu’il n’ait encore jamais réussi à contrôler un ballon.

57 : Face à la passivité de ses coéquipiers, N’Daw tente de prendre le jeu à son compte. C’est beau et triste à la fois.

60 : Ahmed Kashi dans le mal.

 

64 : Sortie de N’Gbakoto, entrée de Levieux. Encore un travail de sape remarquable de la paire sifflante de Cartier.

68 : Pas mal le petit portugay monégasque, Bernardo Silva.

 

70 : Dernier coup de maître de la paire frileuse, sortie de Falcon remplacé par la tête d’anus sauvage. Si avec ça Toulalan et Abdennour ne chient pas dans leur froc, AC n’y comprendrait plus rien du tout au football.

75 : Magnifique appel de Thibault Fion

 

76 : Entrée de l’attaquant monégasque en forme de Diabaté.

77 : N’Daw à la réception d’un centre, contrôle dans la surface, première prouesse et enchaîne d’une demi-volée, deuxième prouesse. Subasic repousse, troisième prouesse.

78 : Sur le contre, alors que Métanire était parti à la pêche aux moules, Jérémy Choplin oublie totalement la vieille pétasse de Carrasco, qui marque tranquillement. Et permet de faire oublier son match immondissime.

 

80 : Metz se satisfait de la défaite 1-0 et n’attaque plus.

84 : Seul Malouda tente de se sortir son petit cul des orties dans lesquels les Messins sont pris.

91 : Albert Cartier rappelle ses trois milieux défensifs à l’ordre. L’un d’eux trop entreprenant à ses yeux clignotants.

94 : Wenger démission.

 

Fin du match : Metz passera Noël bien au chaud. C’est toujours mieux que Nancy.

 

Les notes :

M’Fa, 2/5 : Quelques parades, quelques dégagements du droit, quelques dégagements du gauche, quelques dégagements en touche, deux parades et un but. Le plus gros indice de masse corporelle de Liguain part ainsi en CAN avec le Gabon.

Jonathan Rivierez, 4/5 : Il aura mis du temps à pointer le bout de son museau, mais maintenant que c’est fait, il faut avouer que Rivierez est un bon gros black bien badass comme il faut et monstrueux défensivement. Excellent match.

José Palomino, 3/5 : D’abord trimballé à gauche pour compenser un Bussmann aux abonnés suspendus, Palomino s’est défendu avec les moyens du bord, concentration, application, et abnégation, avant de finir aussi proprement dans l’axe après que Marchal nous voilà nous avait encore une fois quitté pour ses problèmes d’arthrose.

Sylvain Marchal, 3/5 : Jusqu’à sa sortie, le capitaine grenat avait fait montre du même renouveau que lors des derniers matchs. Lui qui était à la rue en Ligue d’eux est revenu d’entre les morts pour reprendre une place de capitaine qui lui va pas mal. Mais le sort s’en est mêlé, et Marchal a été rattrapé par ses démons, son genou, son dos, ses maux de tête et un satané rhume qui ne veut pas partir. Remplacé par Métanire 3/5 à la pause. Un Métanire inspiré offensivement qui a multiplié par 5 les incessantes montées qui le caractérisent trop bien, dans la mesure où il oublie parfois son rôle premier, défendre nos cages. Ce qu’il n’a pas pu faire sur le but messin.

Jérémy Choplin, 2/5 : Méthodique et violent, Choplin a annihilé tous les assauts monégasques et a fait longtemps vibrer Sinsinf’ du plaisir de retrouver son guerrier mieux dans ses pompes. Puis, cette action où il laisse le pire sodomite du monde nous la mettre comme il faut. Dur.

Guirane N’Daw, 3/5 : Le meilleur attaquant messin. Toujours aussi fort par ailleurs. Rigobert emmerde ceux qui critiquent la bête immonde du FC Metz tant le bon vieux Guirane aligne les matchs avec implication et régularité, tant il joue intelligemment avec ses moyens techniques, tant Guirane a la classe des vrais.

Cheick Doukoure, 2/5 : Il a gagné sa place à force de toquer à la porte ; va désormais falloir convenir dans ce rôle très exigeant qui fait de Doukoure le dépositaire axial du jeu messin. C’est dire si projet de jeu messin il y a en cette période de frilosité homo sur la Moselle.

Ahmed Kashi, 0/5 : Le box to box du FC Metz, mais sans ballon. Kashi court verticalement dans le vide et ça nous fait une belle jambe. Seul bémol : ce rôle ingrat dans lequel il a été mis de force par la paire timide de Cartier.

Génie N’Gbakotal, 2/5 : Bon à Nantes, en dépit des multiples croquages, Yéni a été remis dans un couloir contre Monaco. Disponible et bagarreur en première, N’Gbakoto a tenté beaucoup avant de s’éteindre quelque peu en seconde. Remplacé par Lejeune, qui auteur d’une entrée intéressante reste un gros Kévin un peu mou quand il faut foutre le bordel en fin de match.

Florent Malouda, 4/5 : Le meilleur match de Malouda peut-être, qui alors que tous dormaient, a tenté d’éveiller les consciences et de montrer quelque chose au public de Saint-Symphorien. Entreprenant et lui aussi très impliqué, Malouda n’a plus les jambes mais il a encore la tête et le cœur. L’inverse de Métanire.

Juan Falcon, 2/5 : Attaquant solitaire du FC Metz, le numéro 9 vénézuélien se démène tant bien que mal, avec le peu de ballons qu’il a à exploiter. Mauvais dans les contrôles, Falcon est en revanche bon dans le duel et emmerde les gros Abdennour comme il faut. Malgré un état d’esprit irréprochable, pas suffisant encore pour être le nouveau fleuron esseulé de l’attaque d’un FC Metz en mal de points. Remplacé par la grosse blague Carambar Thibault Fion, qui à part courir et glisser nous fait comprendre pourquoi finalement Porto c’était non.

Voilà pour 2014. Si pendant la trêve vous voulez des infos intéressantes et rigolotes sur les Grenat, Rigobert ne saurait que vous recommander le GFC (http://www.grenatfootballclub.com/), nouveau site indépendant et cultivé. Longue vie à lui.

 

Amicanalement,

Rigobert Pirès.

1 thought on “Metz – Monaco (0-1) : La Metz que un Club Académie ne veut pas y retourner…

  1. Proportionnellement les couilles de Cartier sont immense vu sa bite…comme quoi tout est relatif, n’est-ce pas Albert?
    Bon ben vous êtes dans le dur et va falloir reprendre des points car du 11ème au 20ème tout le monde est concerné par le maintient sans matelas…

    Par contre Albert qui en conf de presse dit que le plan se déroule comme attendu, c’est space quand même.

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