Nancy – Auxerre 2-1 La chardon à cran académie y croit à nouveau

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Ca tire sur tout ce qui bouge.

Salut les glands qui tournent à l’envers,

Je reviens de manière tout à fait obsessionnelle sur les dernières avancées dans l’affaire des matchs truqués de la saison dernière, presque avec l’impression de faire un travail de journaliste tant on jurerait que l’affaire est étouffée par les acteurs du métier. Ne croyez pas que je cède au complotisme ambiant : Marcel Picon ne croit pas aux complots, son seul leitmotiv est la connerie humaine, il s’en délecte comme d’une bonne salade vosgienne.

Alors Nimes blablabla relégation en Natianal, blablabla scandale, blablabla pensez aux pauvres secrétaires, jardiniers, porteurs d’eau qui vont devoir pointer au chômdu, ah mon dieu que c’est triste, la crise frappe aveuglément avec le concours de cette salope de LFP qui déchire tout l’espoir d’un peuple aviné et xénophobe comme un père de famille un peu gaillard déchire l’hymen de sa fillette un soir de beuverie dans la campagne lorraine…

Rien à foutre de tout ça, ils n’ont que ce qu’ils méritent ces cons, et si ça ne tenait qu’à moi, les sanctions auraient pris la forme de purges à faire passer Staline pour un vulgaire paysan géorgien un peu dérangé (on me dit que c’est ce qu’il était, en fait, mais vous voyez l’idée)

En route pour la joie, Marcel Picon descend à Nîmes s’assurer que les sanctions sont bien appliquées

 

Je m’interroge seulement (et après j’arrête PEUT-ÊTRE avec cette affaire) sur ce qu’on a reproché vraiment dans l’histoire à Nîmes pour en arriver à leur infliger une telle peine, et pour laisser Caen tranquille de la sorte dans le même temps. À moins que je fasse erreur, entente, connivence et autres collusions, ça ne se prépare pas tout seul, et si on juge la chose de manière impartiale, tous les partis en présence doivent trinquer, avec toutefois une sévérité accrue envers l’instigateur de l’affaire, évidemment. Les crocodébiles sont-ils responsables d’une sorte de racolage actif, dont Malherbe aurait été jugé la victime consentante-mais-ça-va-qu’on-ne-vous-y-reprenne-plus ? Dans ce cas, quelles sont leurs circonstances atténuantes ? Avoir une histoire ou un palmarès plus fourni que les enculés d’en face ? Ah parce qu’ils ont gagné des trucs depuis 1913, les buveurs de Calva ? Attendez, laissez moi chercher…Eh bien non, on pourrait presque dire que le palmarès de l’ASaNaL est écrasant, par rapport à leur tableau de chasse minable.

De toute façon, la conclusion de cette affaire, tout le monde la connait : une fois tous les recours épuisés, appels, pourvois et autres sollicitations de la cour des Droits de l’Homme, les crocos vont descendre bien gentiment, et la LFP pourra se féliciter d’avoir encore pris une décision à l’emporte pièce qui aura faussé la course à la montée du Natianal vers la Ligue d’Eux (ou le combat pour le maintien, selon le point de vue qu’on adopte). Réussite complète que ce Crocogate, qui aura jeté le discrédit sur absolument tous les acteurs concernés. Mais après tout, à Nancy, on n’est pas rancuniers envers les débiles profonds et autres attardés des boyaux de la tête : show must go on, comme dirait l’autre moustachu. Non, pas celui de la coupe.

Pour partir sur une note un peu plus sympathique, et comme nous sommes à nouveau livrés à nous-mêmes, parlons plutôt de la nouvelle victoire de l’ASaNaL, victoire ô combien primordiale dans la course à la montée des mecs qui n’ont pas les moyens de se la payer avec des caisses de vin.

En face, c’était Auxerre qui se présentait : concurrent direct pour la montée, devant nous de deux points au coup d’envoi, et surtout l’une des meilleures équipes de ligue d’Eux à l’extérieur (deuxième après Troyes, une seule défaite). La tâche prévoyait donc d’être difficile comme l’ascension du col de la Schlucht à dos de chat, et la gueule de bois en cas de défaite serait assurément bien pire qu’après une soirée à couper de la Picabelle (mélange de Picon et de mirabelle, un des rares trucs dont la Lorraine peut être vraiment fière) avec du Gris de Toul.

Auxerre ne vient donc pas à Picot pour se laisser marcher sur les glaouïs. Oui, je ne me suis pas lancé dans une diatribe à l’encontre des particularismes locaux des Auxerriens, étant donné que d’une, je ne situe vraiment pas du tout où se trouve leur trou à rat, et de deux, je mets au défi quiconque (sauf les compatriotes de Guy Roux, bien entendu) de me donner plus de trois informations sur le sujet hormis le nom de leur stade ou de leur département.

En même temps, dès que je sors de Lorraine, tout le monde croit que je parle allemand couramment, que je ne me nourris que de lard, et ne saisit vraiment où je crèche qu’après avoir posé cette question qui me donne des envies d’excision : « C’est pas à côté de Metz ? »…Bref. Afin de contrer ces aimables paysans, Pablo sort une composition toute fraiche de son sac à malice.

 

 

COMPOSIFION

Dans les buts, la grossièreté sublime que le monde de la honte nous envie prend place pour la seconde fois d’affilée sans trembler, confirmé pour le récompenser de sa performance de haute volée en Corse par un Pablo qui a sniffé la ligne de touche : Ndy Assemblant, le faux gardien placé là tel un slenderman échappé d’une photoshoperie dégueulasse et ayant revêtu un visage hagard, ses deux grands bras ballants au gré du vent, inspirant l’inquiétude à tous les enfants du monde. Je crois en Correa, mais je connais aussi les puissants effets de certaines drogues faciles à trouver dans les coins du Faubourg des Trois Maison, et j’ai bien peur que Pablo se laisse aller à y trainer sa nostalgie de l’Uruguay, parfois.

Mon cœur saigne au souvenir de Vincent Muratori, injustement suspendu suite à une série exceptionnelle de 31 cartons en 29 matchs. J’en profite pour signaler plus sérieusement qu’il y a bien un classement qu’on écrase cette année avec celui de l’influence (mais c’est plus facile quand on a un vrai stade). C’est le jeune Tobias Badila (21 ans) qui remplace notre habituel titulaire sur le flanc gauche de la défense.

Dans l’axe, Sami le grand et Lenglet le maigre conservent les faveurs du coach, avec mon aval. Cetout est toujours premier choix à droite, laissant croire que depuis le départ de Mickael Chretien (il y a 75 ans), on n’a toujours pas de vrai spécialiste au poste de latéral droit.

Au milieu, Walter et Amadou filtrent.

Devant eux, Lusamba occupe à nouveau son poste inutile de 9 et demi sans ballon, et enfin, sur les ailes, Dalé se présente avec Romain Grange, l’éternel espoir blessé 6 mois de l’année. Coulibaly semble payer…quoi, d’ailleurs ? Son manque d’implication ? Son âge ? Sa grande taille ? Ses mauvaises performances ? Son…nom ? On ne saura jamais.

Seul en pointe, gigantesque, le front imperturbablement dressé vers le lointain, comme prêt à affronter la marée du siècle et tous les cataclysmes les plus meurtriers depuis Nadine Morano, brassard de capitaine rivé au bras, Youssouf Hadji. Y en a qui disent que Superman porte des pyjamas à l’effigie de Chuck Norris, moi ce qui semble plus sur, c’est que si Chuck Norris s’intéressait au soccer plutôt qu’à buter de mexicains, il remplacerait les carreaux de sa chemise en flanelle par des portraits de notre attaquant. Béni sois tu, Youssouf.

En face, un genre d’ersatz de Valbuena prend place en attaque en la personne de Frédéric Sammaritano, et surtout, en défense centrale, un glorieux ancien de l’épopée de 2008 (on finit quatrième de L1, coucou les Caennais), croisement entre un tortionnaire croate et un patron de bar du Marais, arbore fièrement le brassard de capitaine de son club en bois : Sebastien Puygrenier. Je suis toujours content de le voir : puisse-t-il vivre longuement et continuer à croquer des têtes de chiots comme il faisait avant aux entrainements pour amuser ses partenaires. Puisse-t-il bien manger la poussière après une accolade sympa avec son pote Youssouf, aussi.

« Florent Balmont ? Ça se mange ? »

 

EUL MÔTCH.

1ère mi-temps

Les Bourguiches nous donnent du fil à retordre, et nous font bien courir après le ballon. Pas le temps de s’agacer et de jouer les poètes du foot, on applique le plan de jeu et ça marche assez rapidement, pour mon plus grand soulagement, avec ce but de Dalé.

Peu de temps après, Hadji manque de doubler notre avantage sur un corner de Grange, mais sa tête est repoussée par la barre, puis ricoche sur la nuque veinarde du gardien adverse.

Par la suite, la rencontre s’équilibre et les actions vont d’un but à l’autre, avec une opposition de style assez criante : à l’AJA la possession, les attaques placées et les tentatives de passes en profondeur ou les centres, à nous les missiles V2 vers Hadji et Dalé. D’ailleurs l’équipe semble assez perdue et a du mal à trouver ce dernier, vu qu’il est placé sur l’aile gauche de manière inhabituelle. En interview pendant le match, Pablo confie que c’est un placement « contre nature », ça tombe bien, en Lorraine on aime ça, les trucs contre nature. Je crois en tes choix abscons, Pablo.

Par chance, Guy Roland semble dans un bon jour, et pour sa deuxième titularisation d’affilée, offre des sorties et des parades plutôt propres. J’apprécie. La terreur Samaratino aimerait avoir de l’espace pour s’exprimer, mais Pablo lui a collé Amadou en mode marquage à la culotte, et le meneur auxerran ne peut imiter son modèle Valbuena que dans la glissade et l’œillade plaintive vers l’arbitre. On comprend à sa tête que le gazon synthétique, ça n’a pas très bon goût ; et il en a bouffé pas mal.

Dernier au courant quand il pleut, Fred n’a en revanche qu’à se baisser pour brouter du synthétique.

Sur son banc, caparaçonné dans sa doudoune grise (surement un hommage aux riantes façades extérieures du Saint Seb), Vannuchi tire la tronche d’un Mourinho des mauvais jours.

2ème mi-temps

Parti sur un rythme un peu plus élevé qu’en première, Nancy ne tarde pas à doubler son avantage par Grange, qui, à 26 ans, a déjà la tête de tabageo de Tom Waits, et le même air de dire à qui veut l’entendre : « je n’ai pas de problème avec l’alcool, excepté quand je ne peux pas obtenir un verre » (ça sonne mieux dans la langue de George Bush). C’est ça, la magie de la Lorraine.

Par la suite, Amadou continue à disloquer une à une les articulations de Sammaritano, toujours à la recherche de son football façon gourmette de Madar.

À côté de lui, Walter confirme les espoirs placés en lui en harcelant continuellement les milieux adverses et en montant très haut au pressing.

À noter, l’intervention pleine d’à-propos d’un supporter messin sur la pelouse de Picot vers la 65è, venu nous rappeler que ce n’est pas la Lorraine qui est grenat, mais la lanterne. Il n’était pas nu, ce qui aurait pu nous indiquer s’il était circoncis ou pas…on ne saura donc jamais si c’était Rigobert.

Sinon notre défense centrale semble tenir son match référence, mieux vaut tard que jamais. En revanche, les options sur les côtés ça laisse à désirer.

On pense être définitivement tirés d’affaire quand sur un service de Grange depuis l’aile gauche, Hadji se fait marcher dessus par son défenseur. Penalty discutable, et surtout, embrouille entre notre capitaine et quelques uns de ses partenaires pour savoir qui va le tirer. Youssouf a finalement gain de cause, et on sent le craquage arriver (le fameux mythe du « celui qui a subi la faute ne doit pas tirer »). Ça ne rate pas : en voulant réaliser sa spéciale, il appuie trop sa panencaca, et la balle rebondit bêtement sur le dessus de la barre pour disparaître derrière la cage, le tout redonnant espoir à nos adversaires alors moribonds.

Les blancs reculent, reculent, comme veux tu…et ce qui devait arriver arriva : les auxerristes plantent peu de temps après, et se mettent à jouer haut pour tenter d’égaliser. Bon, ils n’y sont pas arrivés, vu qu’ils étaient nuls, mais on a bien balisé jusqu’au coup de sifflet, sa mère. D’autant plus qu’ils étaient vraiment à 11 dans notre surface à la fin ; heureusement, leur gardien n’est pas plus doué pour marquer que pour couvrir son premier poteau, apparemment.

 

Les buts qui piquent comme un punch lorrain (chose bien agréable) :

Dalé, 17è : Grange atteint Hadji dans la surface. Entre les deux centraux adverses, ce dernier fout un bordel monstre, mais ne parvient pas à contrôler. Lancé comme une balle, Dalé transperce tous ces connards en s’emmenant le ballon, et conclut du plat du pied à bout portant. 1-0

Grange, 56′ : Coup franc obtenu par Dalé côté gauche. Romain Grange l’expédie au deuxième poteau, mais personne n’est là pour couper la trajectoire. Pas grave : c’est tellement bien enroulé que la balle tape le poteau et entre. 2-0

Le but qui pique comme de la végémite 

Diarra, 80è : Succession d’occases pour l’AJA à mesure que Nancy recule. Sur un corner, N’Dy nous offre son vomi de sortie habituel, et la balle revient sur Diarrée, qui marque en force malgré les trois nancéiens placés sur la ligne de but. 2-1

 

LES NOTES

N’dy : 3/5 Deux sorties en deux matchs : deux buts encaissés. Excellent en calcul mental, notre sous-gardien n’a pas non plus été mauvais sur sa ligne, heureusement. Il semble déjà en phase terminale, pourtant. Rendez moi Nardi.

Cetout : 2/5 Première partie du Correa-quiz du jour : pourquoi faire jouer à un poste si exigeant un mec qui dispose certes d’un physique suffisant pour arrêter Jonah Lomu lancé à donf, mais qui n’est pas capable d’assurer une montée correcte en phase offensive ?

Sami : 3/5 Papa défense a fait un bon boulot, en particulier sur les nombreux centres qu’Auxerre a balancé au petit bonheur en fin de match. Serein, patron, maçon du cœur.

Lenglet : 4/5 Le petit jeune a été brillant, un peu à la manière de son Papa défense, la vivacité et le placement en plus. Sa montée en puissance se confirme dans les duels, et quelqu’un de persuasif semble lui avoir expliqué que son rôle n’était pas de folâtrer balle au pied mais de dégager le plus loin possible, quitte à faire de même avec le joueur adverse.

Badila : 2/5 Je suis content pour lui qu’il ait pu faire une apparition. Après, sa seule chance de revenir gambader sur la pelouse de Picot à long terme, c’est que le ligue durcisse les règles sur les cartons, et que Muratori continue à en prendre autant.

Walter : 3/5 Toujours frais, le petit. Il cavale comme un chien après une voiture, sauf que quand il a chopé le ballon, il sait quoi en faire, en plus. Pablo devrait le vendre à l’inter-saison, histoire de s’assurer à nouveau que personne n’est là pour stabiliser le milieu de terrain quand on a la balle.

Amadou : 3/5 Apparemment, le coach a fini par lui trouver une fonction motrice dans laquelle il s’épanouit : le marquage individuel. À défaut de savoir respirer tout seul, il a donc tellement fait chier Sammaritano que je ne me suis plus senti, et que je lui ai mis la moyenne. Oui, parce qu’il ne faut pas croire qu’il a fait grand chose de plus que filer des coups à un mec beaucoup plus petit que lui, tel un grand lâche, hein…

Dalé : 3/5 À gauche comme à droite, Maurice Junior (bon dieu, ce prénom) a une tête chercheuse dans les pieds, et sa cible est invariablement la même : Youssouf. Peut-être que nos adversaires s’en sont rendus compte et ont décidé de couper les transmissions. Malin, Pablo a renversé son plan, et c’est lui qui a marqué grâce à Hadji. Démoniaque.

Lusamba : 2/5 Deuxième volet de notre concours « mais qu’est-ce qu’il a pris Pablo ? » : pourquoi placer ce jeune coup de vent à cette place, alors qu’on a un grand type technique qui ne demandait qu’à croquer le classement des buteurs en début de saison, et qui serait parfait en complément d’Hadji ? Un indice : Mana-co dépressif, il est de surcroit menacé de prolapsus à force de poser son Dembélerche sur le banc. Remplacé par Iglesias (84′).

Grange : 4/5 Son visage lépreux a peut-être attisé la pitié des auxerristes, pourtant habitués. Libre et laissé dans son coin, Romain a bien fini par réussir quelques trucs, comme cette passe vers Hadji qui amène le premier but, et ce coup franc que personne n’a osé toucher, de peur de choper une maladie grave. Remplacé par Zitte (89′).

Hadji : 3/5 Match paradoxal pour notre capitaine, d’abord impliqué sur le premier but, et toujours volontaire, mais responsable d’un excès de confiance impardonnable sur son penalty manqué. À défaut d’être infaillible, il reste tout de même Youssouf : on a eu les trois points.

REMPLA ÇANTS

Iglesias : NN Se tire toujours la bourre avec Lusamba pour savoir qui est le plus inutile des deux. Aujourd’hui c’est Arnaud qui a gagné. Enfin, il a eu plus de temps pour le montrer, quoi.

Zitte : NN Au moins, en trois minutes, il n’a pas pris de carton. C’est bon pour la confiance.

 

 

Note artistique de l’équipe : 4/5 Le spectacle était au rendez-vous à Picot, et ça fait plaisir. On ne peut pas dénier à nos adversaires du jour leur part de responsabilité dans la qualité du match : bien souvent, ce sont eux qui ont cherché à faire le jeu, tandis que nous les attendions pour mieux les poignarder dans le dos en contre. À défaut d’avoir appris à gérer un match au mieux, nos gars ont au moins prouvé qu’ils avaient un mental, et ce malgré les gueules d’orphelinat de la plupart de nos joueurs (mais Grange semble absorber à lui tout seul la faculté « vieillissement prématuré », ceci explique cela).

Surtout, malgré des choix encore erratiques illustrés par des expérimentations tactiques entre l’exotisme d’un Guardiola et l’incurie totale d’un Domenech (je VEUX ma place dans les comparaisons foireuses du Comité), un homme prouve une nouvelle fois à la terre entière que tout est encore possible. Un homme dont on moque la silhouette ingrate, mais qui s’en lave les mains tel un Ponce Pilate du bassin lorrain, tout prêt qu’il est à crucifier ses adversaires. Un homme qui, mine de rien, vient de nous ramener ce soir à six points du podium. Un homme dont la calvitie soucieuse exprime le désarroi de voir deux de ses meilleurs joueurs se cramer avec les Espoirs avant le déplacement au Havre. Un homme, est-il encore nécessaire de le préciser, en qui je crois à nouveau, en qui je n’ai jamais cessé de croire, au fond.

 

Je crois en Pablo Correa.

Marcel Picabelle.

 

7 thoughts on “Nancy – Auxerre 2-1 La chardon à cran académie y croit à nouveau

  1. J’aime beaucoup Youssouf, mais t’as été trop gentil. « With great power come great responsabilities », même dans les blockbusters américains on le sait, et le combo « je tombe tout seul – je chouine pour tirer – je fais une Landreau en loupant ma panenka comme une merde », ça mérite une note négative. Pas toi, Youssouf. Tu n’as pas le droit.

  2. C’est beau d’y croire , je loue cet optimisme sans faille.
    De la part d’un messin né à la maternité Adolphe Pinard, un traitre quoi, mais excusez moi d’avoir vibré en 1998 au Sinsinf.

  3. @Cascarinho

    Ouais j’ai hésité à lui mettre une note sanction, mais on a gagné, d’où l’immunité que je lui offre.

    @Laurain

    C’est pas de l’optimisme, c’est de l’aliénation, clairement.
    Etonnant qu’on puisse vibrer dans un stade en carton plume sans qu’il s’écroule…Heureusement, le niveau de jeu interdit toute vibration, maintenant.

  4. Superbe, je suis d’accord sur tout sauf sur Sami qui est honteusement avantagé alors qu’il est encore plus nul que Paul Fischer et Cédric Lécluse réunis.

  5. Je me doutais un peu que ce n’était pas toi.

    Je te vois plutôt bel homme. Toute proportion gardée, bien sur : un bel homme mosellan, quoi.

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