Salut les p’tits beurres.

Eh bien ça les enfants, c’est ce qui s’appelle se faire rouler le cul dans la farine ou je ne m’y connais pas. Alors que je pensais, tendre et naïf enfant, que ce match contre Toulouse allait nous remettre en selle après une défaite honorable contre le leader olympien, voilà que l’on perd contre la plus mauvaise équipe de l’univers à l’extérieur. Alors, t’es fessé ? Oui, un peu.

Un hommage, en passant, à M. Kléber Bobin, disparu mardi 11 novembre 2014. Dernier président nantais titré, avec en trois ans de présidence deux Coupes de France et un titre de champion de France. Le dernier aussi a avoir laissé le domaine sportif aux techniciens nantais. Merci, et bon vent.

Bon, il a aussi fait quelques conneries.

Les buts :

24ème (I. Sylla) : 0-1

L’école du marquage Daniel Congré.

 

63ème (J. Veretout) : 1-1

Qui a une énorme paire de couilles ?

 

85ème (M. Braithwaite) : 1-2

Le Kostadinov noir.

 

Les gars de chez nous :

Riou (2/5) : Et dire que je préparais une académie à sa gloire après la série de 8 matchs sans défaites, réclamant sa sélection en Equipe de France. J’ai bien fait de m’abstenir.

Veigneau (2/5) : En difficulté, partout, tout le temps. Arrête les sombreros et ferme ton second poteau.

Vizcarrondo (3/5) : Franchement, ce port altier, ce regard fier et caliente même après un parpaing en Jules Verne, ça fait pas rêver ?

Djilobodji (2/5) : Suffisant.

Cissokho (1/5) : C’est quand la CAN ? Non, parce que là, on aimerait beaucoup qu’Issa prenne des vacances. Loin.

Deaux (0/5) : Le néant a un nom, le néant a un visage. Entre ici Lucas Deaux, et ton terrible cortège de passes à 15 mètres. Remplacé par Bammou (59ème), légèrement blessé, et donc légèrement nul.

Hansen (3/5) : Il reste le plus régulier de cette équipe (avec Veretout), sans doute grâce à son excellente mentalité scandinave.

Veretout (4/5) : Sur sa lancée, quel dommage qu’il tombe avec de pareils gaziers autour de lui.

Nkoudou (1/5) : 25 bonnes minutes, puis une longue litanie de ballons perdus et de mauvais choix.

Audel (2/5) : Moyen, comme souvent. Blessé, comme toujours. Remplacé par Bessat (74ème), enfin je crois.

Shechter (2/5) : Tout seul devant à jouer les duels aériens, c’était couru d’avance : inutilisable. Remplacé par Bedoya (59ème), auteur lui d’une bonne rentrée.

 

Les mecs d’en face (hold-up/5) : Ils sont redevenus l’équipe moche qu’ils ont toujours été, à six derrière à la 70ème. Et Etienne Didot reste une salope, malgré ce qu’en dira Bryan Bière-Gougnoux.

 

Raynald revoit les images du match et a mal à son foot. Il s’excuse aussi pour le délai de publication de cette académie, lié à des contraintes techniques de type serveurs horsjaïens en mousse.

Câlins beurrés

Raynald Dunoeud

4 thoughts on “Nantes – Toulouse (1-2) : la Canaris Académie a le cul qui chante

  1. Notre lecteur Mayoul Vonsalz ne manquera pas de réagir à l’avant-dernier paragraphe, auquel pour ma part je souscris totalement.

  2. Ne fut-ce donc pas un plaisir de voir Lucas Deaux traîné dans la boue par ses propre supporters ?

    Y’a des fois où la vie est plus belle qu’on ne le pense.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.