Comme l’eut dit sa Majesté, le roi David Trézéguet, « lé football cépaçion ».
Il eut bien sûr raison, du moins en Argentine, puisque pendant que David passionne les foules du River, leurs ennemis du Boca se réunissent par milliers pour demander à ce que Riquelme reste au club. Même les supporters de Belgrade sont admiratifs.

Ils furent donc non pas 3000 lorsqu’ils arrivèrent au port, mais bien 5000 à entrer dans la Bombonera.

3 thoughts on “Riquelme et Boca, c’est un beau roman

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