Celtic Glasgow – Red Bull Salzbourg (1-3), la Green Academy livre ses notes

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C’est nouveau, ça vient de sortir, c’est la première académie écossaise d’horsjeu.net

Amis Hors-jeu s’ien/s’ienne, hello to tous. Nous avons décidé avec mon ami Neil Lenoeud d’analyser pour vous les gros matchs du Celtic, dont l’absence se faisait cruellement sentir sur le premier site du monde de football-anal. On parlera uniquement des gros, bien sûr, parce que venir vous raconter une rencontre contre Kilmarnock ou contre St Mirren, faudrait pas non plus trop déconner.

Pour commencer, je me présente Emilio Ivagicler, fan inconditionnel des Celts depuis ma tendre enfance. Comme tout bon fan des verts et blanc qui se respectent, je suis un habitué des pubs et un amateur de bière malgré mon jeune âge.

Un peu d’histoire et de traditions

Le premier jeu de maillots du Celtic Football Club est blanc à col vert, avec en guise d’écusson une croix celtique de couleur rouge. Ce qui n’a rien de fasciste ou même de communiste. Le passage aux rayures vertes, couleur symbolique de l’Irlande, et blanches se fait début 1889. D’abord verticales, les rayures deviennent horizontales à l’été 1903. Les grands succès connus par le club les années suivantes favorisent l’adoption définitive de ce maillot par le club et ses supporters. D’abord noirs, le short et les bas passent progressivement au blanc et au vert. Au milieu des années 1990, le dessin des rayures est un temps modifié (avec une alternance de fines et de larges rayures vertes), mais cette excentricité ne dure pas. Bien que le premier maillot du Celtic arborait une croix celtique, les premiers documents du club utilisent comme symbole une harpe celtique, instrument de musique répandu notamment en Irlande, sur un fond bleu. À partir des années 1950, le Celtic se met à utiliser le trèfle, symbole de la mère patrie, comme emblème : il s’inspire en cela de l’exemple du Bonnbridge Celtic Supporters’ Club qui autorise les dirigeants à reprendre leur idée. En 1977, le principe d’un écusson fait son retour sur le maillot, sous forme d’un trèfle à quatre feuilles inscrit dans un cercle vert et blanc sur lequel est écrit « THE CELTIC FOOTBALL & ATHLETIC COY. LTD. » et la date de fondation du club (1888). En 1988-1989, pour le centenaire du club, le trèfle est remplacé le temps d’une saison par une croix celtique verte inscrite dans un cercle. À la suite du rachat du club par McCann, la dénomination officielle du club change, et son image suit logiquement : à partir de la saison 1994-1995, le libellé de l’écusson devient « THE CELTIC FOOTBALL CLUB ».

Mais revenons à nos moutons  (blague, moutons, écosse, Aaaaah) : Glasgow… Ses murs gris et ses coeurs chauds, ses ciels bas et ses envolées lyriques. The Celtic Football Club, religion fondée le 6 novembre de l’an de grâce 1887 en l’église Sainte-Marie de Glasgow, avec pour maître de cérémonie ce jour-là Andrew Kerins, alias frère Walfrid car il était un prêtre irlandais. Son objectif de fond? En lever – des fonds. Afin de venir en aide aux nombreux et démunis immigrés débarqués dans la seconde moitié du XIXe, suite à la Grande famine, autrement baptisée The Irish Potato Famine, fruit détestable d’une politique anglaise désastreuse.

Comme quoi, le Celtic a des racines, et pas des moindres. Son premier match, le 28 mai 1888, il le remporte contre le FC Rangers, «battu 5 à 2 dans une ambiance amicale» rapportent les livres d’histoires. En tous cas les plus objectifs. Cela ne durera pas. Porte-étendard du peuple catholique, le Celtic revendique 10 millions de fans à travers le monde. Tradition, engagement, fidélité. Ferveur. Une forme d’éternité, presque. Le premier entraîneur de l’histoire du club, Willie Maley, à la base secrétaire, est nommé en 1897; il restera sur le banc jusqu’en 1940, remportant la bagatelle de 16 titres de champion d’Ecosse.

Tiens, le palmarès ; parlons-en. Le Celtic, c’est du lourd, puisqu’on est le deuxième club le plus titré d’Ecosse, juste derrière l’ennemi juré : les Rangers. Depuis la création du club nous avons remporté, sur le plan national : 45 titres de Champions d’Ecosse, 36 Coupes d’Ecosse et 14 Coupes de la Ligue. Sur le plan International, nous avons tout de même remporté une Ligue des Champions face à l’Inter de Faccheti en 1967, ce qui a fait de nous le premier club de l’histoire à faire le triplé Coupe-Championnat-Coupe d’Europe.

Mais trêve de flagorneries, rentrons dans le vif du sujet.

Cet été, changement d’entraîneur, puisque Ronny Deila a pris la place de Neil Lennon. Selon la BBC, Lennon était en désaccord avec la direction sur les moyens mis à sa disposition en plus d’être roux. En quatre années au club, Lennon a remporté trois fois d’affilée le Championnat (2012, 2013 et 2014) et deux Coupes d’Écosse (2011 et 2013). Merci pour tout Neil, et bonne chance pour la suite.

Pour ce qui est du terrain, nous avons perdu gros, puisque :

– (Turner) Fraser Foster est parti à Southampton pour 12M d’E.
– Georgios Samaras le messis au bon lait de brebis rejoint West Brom’ après 6 ans de bons et loyaux services chez nous.

Pour remplacer Foster, le club a recruté Craig Gordon, qui était libre depuis son départ de Sunderland en 2012.

Pour remplacer notre star grecque, on s’est fait prêter Jo Inge Berget par Cardiff, pour une saison.

Prêts toujours, Manchester City nous confie son jeune défenseur belge de 20 ans Jason Denayer, et le Rubin Kazan, Wakaso Mubarak, qui tentera de combler certaines lacunes offensives. Idem pour Tonev qui nous vient d’Aston d’Aston Villa. Enfin, dans les derniers instants du mercato, le très prometteur John Guidetti nous a rejoints en provenance de Manchester City. Après son passage loupé à Stoke City la saison dernière, il tentera de se relancer. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a réussi déjà à se faire remarquer en signant l’une de ses  réalisations par un hommage à Kurzawa (ça ne se voit pas comme ça mais Guidetti est en fait suédois. Comme Zlatan Ibrahimovic).

Voilà tout pour ce mercato.

Le match du jour (enfin d’il y a 15 jours) : Celtic-Red Bull

C’est la grande finale du groupe D qui oppose donc le champion d’Ecosse au champion d’Autriche, l’Europa ligue confirmant son statut de ligue des champions des pauvres.

Pour se hisser jusqu’à la phase de poules, le Celtic est d’abord allé corriger Reykjavik sans trembler au 2e tour préliminaire de ligue des champions. Ça s’est durement corsé dans l’alcoolico qui l’opposait au Legia Varsovie, les Celts ayant perdu 4/1 là-bas, mais s’étant imposé 3 buts à 0 en Irlande Ecosse, pardon.

Puis ce fut le drame au match de barrages… On s’est fait battre à domicile par Maribor, 1/0. Même l’OL n’a pas fait ça je crois.

Le Taureau Rouge de Salzbourg a connu mésaventure similaire en se faisant éliminer par Malmö au même stade de la prestigieuse compétition.

C’est donc en consolante que nous nous retrouvons. Lors du premier match, en Autriche, nous nous séparâmes sur le score de 2 partout.
Nous avons eu ensuite la chouette idée de gagner nos 2 matches à la maison contre le Dinamo Zagreb, champion de Croatie d’abord, et contre l’Astra Giurgiu, vice-champion de Roumanie, chez qui nous fîmes ensuite match nul 1 partout.
C’est donc invaincus dans cette poule que nous nous apprêtâmes à disputer cette grande finale. Le Taureau Rouge aussi. Il a carrément enchaîné les victoires pendant ce temps là.

3e minute : corner pour les Salzbourgeois. Sur un panneau publicitaire, il y a une pub pour wu.com. Mais il semblerait en fait que ça n’a rien à voir avec le Wu Tang. Dommage, ça aurait pété. Surtout que le club est déjà supporté (plus ou moins, ça dépend de son degré de défonce) par Snoop Dog.

4e minute : le corner ne donne rien, dégagé avec puissance par Van Dijk. Les sales bourgeois récupèrent la gonfle et tente de passer côté gauche. Izaguirre n’est pas du genre à s’avouer vaincu et profite d’avoir glissé pour choper la cheville de l’Autrichien adverse. Coup-franc.

5e minute :coup-franc dégagé par Ambrose. Avec une telle défense, on devrait être tranquille sur coups de pieds arrêtés.

8e minute : but pour les Sales bourgeois ! Bruno et sa bite de moineau partent côté droit et s’engouffrent plein axe. Sa frappe pourrie est contrée sans difficulté par la défense celtique, mais le ballon arrive dans les pieds d’Alan (Dégueu) qui a bien mieux suivi l’action que nos gros calibres défensifs. Il n’a plus qu’à fusiller Gordon de près. 1/0 pour le Taureau Rouge.

11e minute : réponse celtique du Celtic avec une action construite façon écossaise. A savoir un dégagement de Gordon loin devant qui permet à Griffiths d’aller se présenter face au but aryen. Il est signalé horsjeu, et ne cadre pas. C’est sans regret donc, puisque l’attaquant qui n’a pas cadré était de toute façon horsjeu(.net). L’inverse est également vraie.

13e minute : corner pour le Taureau Rouge. Cf 5e minute.
Ah non, cette fois-ci, il est tiré court au premier poteau. Leur sosie de Marouane Fellaini se jette pour dévier le ballon, et Alan (Théo) surgit pour reprendre le ballon de manière acrobatique et fusiller une deuxième fois Gordon, au cas où il bougerait encore. Ça fait 0/2. J’ai bien fait de venir, moi.

16e minute : belle combinaison entre Brown et Stokes côté gauche. Le seul Anglais fréquentable passe avec un poil de chatte royale et sert Griffiths, qui élimine son garde du corps autrichien, mais est bousculé par ce dernier. L’arbitre ne bronche pas, considérant que quand on est celte, on ne fait pas sa petite tapette à se rouler dans l’herbe dès le premier contact venu.

20e minute : Grosse frappe côté gauche d’un Autrichien quelconque. Gordon pense cette fois-ci à plonger pour dévier la balle en corner. Cf 5e minute.

22e minute : Faute débile d’Ambrose. Coup-franc du capitaine autrichien qui tire directement bien qu’à plus de 20 m et excentré côté… gauche ! Gordon ne plonge pas, mais à bon escient comme disent les Arméniens, le coup-franc devant être indirect et personne ne l’ayant touché. Il y a donc toujours 2/0, même si les filets tremblent pour la 3e fois.

26e minute : Alors que c’est plus que brouillon côté celtique, Alan (Stivell) régale et transmet à un joueur autrichien vachement moins fort qui sert à Gordon une frappe de biquette communiste. Le gardien écossais s’en empare sans difficulté. Même pour lui.

28e minute : Cette pute d’Alan (il n’y a pas trop d’autres mots) cherche le pénalty en tombant dans la surface sous prétexte que Van Dijk l’a un peu chicoté. Kampl parvient avec plus d’aisance à dribbler un peu tout le monde, mais heureusement il n’est pas très fort pour tirer et nous offre donc une frappe de pucelle en 6m.

30e minute : Enfin quelque chose de concret et de fort réalisé par les Celts ! Lancé en profondeur Izaguirre parvient à centrer pour Johansen qui reprend sans contrôle et loge le ballon dans le petit filet à ras de terre. C’est un nouveau match qui commence ! Enfin pas tout à fait non plus parce que le score n’est quand même pas de 0/0 mais bel et bien de 1 /2.

33e minute : C’est tellement un nouveau match qui commence que les Sales Bourgeois se mettent à rater des passes.

36e minute : Le Celtic prend peut-être un peu trop la confiance. En tous cas, Ambrose qui tente une transversale pour servir Izaguirre parti côté gauche. Le ballon arrive directement en touche 4m derrière le petit hondurien.

45e minute : On arrive à la mi-temps. Encore 1 minute d’arrêts de jeu et on y est. Peut-être le temps de voir un 4e centre du Taureau Rouge en 6m, l’animal ayant pris repris un peu de boil de sa bête (sans faute de frappe).

45e minute +1 : Le gardien autrichien, Gulasci, qui a un nom aussi ridicule que sa calvitie tire le dernier 6m de la première mi-temps. 1-2 donc. Mais attention à la 2e mi-temps, puisque c’est un tout autre match qui a commencé depuis 15 minutes.

46e minute -0,2 (approximativement) : L’arbitre siffle la reprise alors que le public scande ‘You’ll never walk alone’. Une semaine avant le téléthon, c’est quand même assez déplacé.

47e minute : Scott Brown fait comprendre direct à Alan (Parker) que ce n’est plus le même match que tout à l’heure, en lui foutant un combo tacle-taquet dans ta gueule. L’attaquant brésilien d’Autriche en ressort tout boiteux tel un crabe aux pinces d’or.

49e minute : Corner tiré directement par Stokes au premier poteau. Gulasci (quel nom ridicule) dégage péniblement en corner.

50e minute : Corner tiré directement par Stokes au deuxième poteau. Ça rebondit sur la barre. L’arbitre siffle de toute façon une charge de Johansen sur un visiteur.

59e minute : Le coup-franc de Stokes est tiré directement en 6m. On commence quand même un peu à se faire chier.

60e minute : Centre d’Izaguirre en touche. Ça se rapproche presque. Enfin non, pas du tout, mais j’ai envie de voir les choses positivement.

62e minute : Soriano réussit à gâcher un 3 contre 2 pour les Sales Bourgeois en frappant mollement à plus d’1m du poteau de Gordon après un centre à ras de terre de Bruno (bite de moineau). En fait, ils m’ont fait peur durant les 10 premières minutes, faut reconnaître aussi qu’ils ont du ballon, mais il semble qu’à part Alan (Vega) aucun ne soit capable de marquer un but dans cette équipe.

68e minute : entrée de Commons et de Forrest en lieu et place de Stokes et de Mac Gregor. Ce qui veut dire qu’on change complètement les ailes que le Red Bull refuse de nous donner.

70e minute : corner joué court, qui 3 passes plus tard débouche sur un centre fort à ras de terre de Soriano qu’Alan (Poe) n’est pas loin de reprendre. C’était super tendu du string.

74e minute : belle remise de la poitrine de Johansen pour Griffiths, totalement seul à 20m et qui tente de trouver la lucarne de l’extérieur du pied. Gros gourmand. Ça finit donc en 6m.

76e minute : SOAB (savon en anglais avec une faute de frappe)! Tout était nickel. Le travail de Commons pour décaler Izaguirre, le centre du Hondurien dans la course directement au 2e poteau, et la tête de Griffiths. Pourtant, leur gardien malgré son allure glandue parvient à dégager miraculeusement la balle et l’empêchert de trouver sa vraie place, au fond des filets.

82e minute : belle combinaison entre Izaguirre et Griffiths, mais le premier ne profite pas de la fine talonnade du second pour cadrer sa tentative.

90e minute +2 : Et voilà, c’est la fin des haricots et des pommes de terre… Le Taureau rouge nous la met profond en inscrivant un 3e but par Keita, au terme d’un beau mouvement initié par celui-ci, relayé par Kampl et qui aurait pu être conclu par Bruno si ce dernier n’avait pas trouvé le pied de Gordon. Arrêt pas vraiment salvateur du portier ecossais donc puisque la balle retombe sur la tête de l’homonyme de Seydou (mais non pas Michel) qui loge la gonfle hors de portée de notre géant vert. 1-3.

90e minute +3 : C’est fini sur cette lourde défaite anschlussante du Celtic 3 buts à 1 à domicile. Une défaite tout de même qui exceptionnellement rime presque avec qualification puisque dans le même temps le Dinamo Zagreb s’est incliné en Roumanie. Le Red Bull est donc assuré de finir premier du groupe D et le Celtic 2e.

 

Les notes

Gordon 3/5 : Lloris en masculin. Mais aussi en version gardien de but britannique. N’a pas fait de miracles, mais en est quand même un à lui tout seul en jouant une coupe d’Europe après une longue période de chômage. Un exemple pour tous les Français.

Matthews 2/5 : Est globalement parvenu à contenir les attaques de l’axe sur son côté, mais a préféré éviter de franchir la ligne médiane pour en être certain. C’est peut-être bien pour un défenseur de ligue 1 mais c’est un indigne d’un vrai Celt.

Ambrose 2/5 : Paye surtout sa première mi-temps catastrophique. Il a pris pleinement la mesure de son adversaire anal en 2e mi-temps, mais le mal était déjà fait. Autrement dit, il aurait été fort pour garder une école au Nigéria, mais à condition toutefois que celle-ci ne comprenait déjà plus d’élèves.

Van Dijk 1/5 : Toi qui sais être si long et si imposant, toi qui sais te dresser lorsque la situation l’exige, toi qui sais te montrer pénétrant quand tu en as l’opportunité ; où étais-tu lors de ce jeudi noir ? Là et pas là en même temps. Sans doute une panne. De motivation.

Izaguirre 2/5 : Sa prestation ratée défensivement a été compensée par sa passe décisive et ses deux ou trois autres centres réussis durant la rencontre. Sans doute que pour un Hondurien, la meilleure défense, c’est l’attaque.

Brown 4/5 : Trop fort. Malheureusement plus pour ses propres coéquipiers que pour ses adversaires d’un soir.

Mulgrew 2/5 : Malgré sa barbe et ses tatouages, il est plus nul que Groo le barbare.

Mac Gregor 1/5 : Petit Grégory en écossais. Porté disparu pendant 90 minutes. Probablement noyé sous les offensives du Red Bull.

Johansen 3/5 : Fils unique. Faudrait pas le prendre pour un Pascal Duquenne. Il n’y avait que lui pour marquer dans le jeu,. Et ce n’est pas évident de se faire des passes décisives à soi-même.

Stokes 2/5 : Belle débauche d’énergie sur son côté. Le seul Anglais appréciable n’a néanmoins pas pu sonner la rébellion et n’a pas vu ses efforts récompenser, même par l’Arbitre qui avait tendance à sanctionner son excellent jeu de coudes.

Griffiths 2/5 : Je lui mets 2 parce qu’il n’a pas chômé comme un gars du NPDC. Mais pour ce qui est ne serait-ce que de l’utilité réelle, il y a encore tout à revoir.

Les remplaçants

Commons (Stokes, 68e) : Come on !

Forest (Mac Gregor, 68e): court.

Tonev (Mulgrew, 73e) : Bulgare tonique.


L’adversaire

Attention, ce n’est pas si dégueulasse que ce qu’on pourrait penser avec un nom pareil. Derrière, c’est plutôt solide, et si ce n’est pas toujours adroit devant, Alan (plus d’idées là, à part anal) l’est lui suffisamment pour faire pencher la balance en faveur de son club. Kampl n’est pas maladroit non plus balle au pied, mais entre son style de jeu et son style capillaire, il nous a davantage rappelé un Jérémy Ménez moitié nazi (il porte le numéro 44).
On souhaite donc à Guingamp ou à Saint-Etienne s’ils parviennent à se qualifier (Lille, on s’en fout complètement) d’éviter de les croiser en 1/16e. Il y aura sûrement plus facile à éliminer. Par exemple, il y a le Celtic donc, mais bon….

 

Pas plus tard que ce soir, le Celtic joue un match qui compte pour du beurre contre le Dinamo Zagreb, en Croatie. Mais ces déplacements-là sont moins dangereux qu’avant.

On se retrouve donc probablement pour les 1/16e de finale, même si on se doute que vous n’en avez pas grand chose à foutre de ce stade de la compétition qui risque quand même de se dérouler déjà sans français.

Bonne bourre comme dit Edim.

Neil Lenoeud et Emilio Ivagicler/

8 thoughts on “Celtic Glasgow – Red Bull Salzbourg (1-3), la Green Academy livre ses notes

  1. Ca fait plaisir de voir ce club académisé, et merci de nous éviter Kilmarnock, Mamanbien et autres clubs écossais à la dénomination plus que douteuse.

    On omettra au passage de dénoncer le malicieux mensonge par omission concernant la double confrontation contre le Legia, parce qu’on ne va pas donner raison à des polonais quand même.

  2. Bienvenue à vous, cousins celtes ! Très bonne acad’, bien marrantr. Je suivrai vos aventures européennes avec plaisir !

  3. Wenger démission ! (hommage)

    Bon sinon, je rêverai bien évidemment d’une qualification de Sainté et d’un 1/16e de finale contre le Celtic.

    Mais bon, pour ça, il faut déjà se qualifier.

  4. Bienvenue, et pensez à rejoindre notre groupe privé sur le réseau social, où nous approchons à petits pas et grandes giclées du 100e membre.

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