Mes couilles sur Rousseau. Si lui se fait renverser par des chiens danois quand il se promène, les deux mains collées aux miches comme un gros pédé, les Napolitains, eux, musellent les toutous. Jean-Jacques, ça c’est pour ton petit cul.

 

Les notes :

Reina (3/5) : pas grand chose à foutre, même quand il prend un but; alors que dire, sinon « mes couilles »?

Maggio (3/5) : il a rattrapé toutes ses conneries à l’expérience, tel Kurt Cobain lors du célèbre MTV Unplugged de Nirvana. Ou tel mes couilles sur ton nez, si tu préfères les références cultivées.

Chiriches (3/5) : beaucoup mieux placé que les chèvres d’en face, qui erraient lamentablement sur le pâturage danois, et assez technique; toutes les raisons de venir chercher Albiol pour une place de titulaire.

Koulibaly (4/5) : encore un match béton de notre anthropophage préféré, qui a aussi commis un attentat, ce qui nous permet un jeu de mots facile, en rapport avec son patronyme de Calaisien. Elisa, Elisa, cherche-moi des poux, dans la jungle de mes cheveux.

Ghoulam (3/5) : bon match, bonne entente avec El Kaddouri, Maghreb connection.

Allan (4/5) : toujours aussi monstrueux quand il s’agit de mettre du liant entre les lignes et de créer des décalages (ça fait savant); un exemple, le deuxième but : il contrôle, s’appuie sur un coéquipier attaquant qui lui remet dans la course, il déborde, centre et Gabbiadini termine le travail. Clairement la meilleure recrue du Napoli avec Hysaj.

Valdifiori (3/5) : il a bien fait circuler le ballon, comme s’il s’était agi des mst de mes couilles dans une grosse partouze des années 80. On ne lui tiendra pas rigueur de son entame délicate, qui s’explique par son manque de temps de jeu.

David Lopez (0/5) : mes couilles l’objectivité. Ce type est dangereux de nullité.

El Kaddouri (3/5) : bon match pour un numéro 3. Il aurait même pu avoir 4, mais vu comment il a pris cher la dernière fois, s’agirait pas que je passe pour un con (et mes couilles sur toi la petite fouine, qui dodelines de la tête pour avoir sa ration de cacahuètes à rogner).

Callejon (4/5) : beaucoup plus réaliste dans cette compétition, que cela dure comme ma bite. Son but est remarquable, l’ouverture de Koulibaly ne l’est d’ailleurs pas moins (j’ai cru qu’elle était de Valdifiori tellement elle était précise). Avec tous les espaces concédés par les Danois, c’était du gâteau pour lui, bien qu’il se soit retrouvé – mais c’était inévitable – plusieurs fois hors-jeu.

Gabbiadini (5/5) : plaisir de retrouver le génie qui avait illuminé les premiers mois de l’année. Toute sa classe résumée dans son deuxième but, à voir bien évidemment.

Les remplaçants :

Hamsik : les supporters danois pourront dire à leurs petits-enfants qu’ils l’ont vu dans ses œuvres.

Higuain : quand Gonzalo joue, ne serait-ce que trois poils de cul de minutes, il marque de toute façon. Du fond du cœur, je remercie Sarri qui entretient le capital confiance de notre avant-centre (inter)national.

Strinic : le bellâââtre.

 

 

Baci les Nîmois,
2LF

2 thoughts on “Mescouillesland – Naples (1-4) : la Napoli académie en quarté

  1. Sympa ces acads qui vont à l’essentiel, les couilles de son auteur, qui ne sont pas nimoises soit dit en passant.

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