Portugal – Azerbaïdjan (1-0) La Bacalhau académie livre ses notes

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Bom dia, Dans une période où tout le monde s’en tape, la meilleure équipe d’Europe de l’univers du monde commence ses qualifications contre une équipe dont le seul fait d’armes est d’être l’ennemi de Borat.

O equipe :

L’ingénieur bricole une équipe hybride entre bleu-bites, possibles titulaires et tauliers, dans un 442 des familles si si la famille.

                                   Anthony Lopes
João Cancelo – Rúben Dias – Domingos Duarte – Nuno Mendes
                          Rúben Neves João Moutinho
 Bernardo Silva                         –                                 Pedro Neto
                       Cristiano Ronaldo – André Silva.

O Jogo :

Dès le début du match on joue haut en mettant la pression sur un bloc bas venu faire la tortue sur un malentendu.

On est gauche, on ne met pas de rythme, car on veut construire tranquille pour servir Cricri et les corners sont gâchés en les jouant à deux comme des lépreux ou à trois comme des bacalas.

Bref pas grand-chose à dire, 30 minutes 13 frappes, les 3 cadrées sont bien sorties par le gardien qui en plus cherche à se faire embaucher par Tondela en faisant entrer 4 fois le soigneur, envoie deux fois son remplaçant à l’échauffement mais reste sur le pré.

Bien mal acquis ne profite jamais (c’est faux), comme un symbole de François Fillon, et sur une sortie aérienne digne des plus belles cagades des horsjeuiades : dégagement des deux poings qui bifurque latéralement sur le torse du stoppeur et ça finit au fond des filets #Kamoulox.1-0 (36e).

Ensuite ? Ben on essaie de faire marquer Cristiano parce que merde il va en mettre 10 et on va passer à autre chose, les mecs sont justes bons à enlever et violer les femmes de Borat d’après la légende.

C’est la mi-temps et là, gloubiboulga de football. Entrée des divas du dancing qui se battent pour savoir qui fera le pire choix pour niquer l’équipe.

Les Bruno Fernandes et Joao Félix

Os Quinas :

Lopes (2/5)
Une sortie à faire et il a failli refaire en couleur la sortie du gardien adverse, incroyable de fébrilité en sélection.

Cancelo (2-/5)
Passer de meilleur latéral de l’univers du système guardiolien à Nanu après avoir croisé le gardien du Belenenses very quick

Duarte (3/5)
Intéressant en début de match par ses dépassements de fonction, notamment en se projetant vers l’avant. On sent bien dans sa seconde période qu’il a vite été recadré pour ne plus dépasser le milieu de terrain.

Dias (2/5)
Comme Cancelo, de patron du monde à se faire bouger par des 9 plus proches des troisièmes lignes en rugby amateur que de Lewandowski, deux bons retours quand même.

Mendes (2/5)
Un début de match très intéressant avec des passes qui voulaient casser les lignes, mais disparu au premier raté. L’apprentissage du haut niveau. 

Moutinho (2/5)
Aucun ballon perdu, 90% d’efficacité de passe, Joao a fait une fois de plus ce qu’on lui demande, mais à 34 ans ce n’est plus lui qui va faire les différences.

Neves (3/5)
Le seul qui a joué juste en première période en allant vers l’avant en se déplaçant pour centrer, en combinant.

Bernardo (2/5)
Décidément les joueurs de City n’était pas à la fête. Alors oui le bon Bernard a tenté de mener le jeu de créer du danger, mais avec une réussite de wallou.

Neto (2/5)
Ah oui merde, c’est Neto le hard discount en fait, je me suis emballé alors que tout était dans le nom.

André Silva (2-/5)
Quand tu es un 9 pivot et buteur, il faut soit venir te trouver en déviation, soit te donner des ballons dans la surface, visiblement il y a eu un problème au tableau noir.

Cristiano (2/5)
Pour une fois ce n’est pas lui qui a vampirisé, c’est les autres qui se sont empressés de tout lui donner sans réfléchir. Alors ça a donné de la merde parce que les Azerbaïdjanais, ils ne sont pas cons, ils n’ont pas laissé Cricri leur en mettre 10.  

O Banco :

Fernandes (1/5)
Une entrée tellement à chier qu’il a dû se demander s’il jouait à Manchester ou à Crystal Palace.

Rafa (2/5)
Il a essayé de mettre de la vitesse et du rythme, les autres en se mettant en mode playmobile ne l’ont pas soutenu.

Felix (1/5)
C’est bien beau de te prendre la tête avec Siméone, mais là on comprend pourquoi tu joues moins.

Oliveira (2/5)
Il a fait des passes vers l’avant sans tenter 8 dribbles, il a faillit être le meilleur de la seconde mi-temps. 

Palhinha (NN)
Le pauvre n’a même pas touché le ballon.

Remarque à la con :

Match le plus pourri jamais fait sous Santos. Pas de rythme, pas de jeu, les jeunes tétanisés, les remplaçants en sénateurs et les tauliers à la rue.
Seul point positif, on a trois points, seul point négatif, les 3 points ne vont pas inciter nos sénateurs à se bouger le fion.

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3 thoughts on “Portugal – Azerbaïdjan (1-0) La Bacalhau académie livre ses notes

  1. Il me semblait pourtant que Borat était kazakh (ou kazakhstanais, on laissera Didier Décampe trancher) ou ouzbek (ouzbekistanais ?), non ?
    D’ailleurs, cette académie manque un peu de paires de seins en formes d’hommage (une forme bizarre donc) au moustachu d’Asie centrale (tant pis s’il est pas arménien, y a pas de mauvais prétexte à faire tourner ce genre d’images).

    1. J’y souscris pleinement, Georges, c’est un scandale :
      ET LES BOOBS QUI BOUGENT ?
      REMBOURSEZ NOS INVITATIONS ! REMBOURSEZ NOS INVITATIONS !

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