DCDV : si l’Euro avait eu lieu en 843

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Une nouvelle théorie de l’a peu près au service de la détente.

La carte actuelle de l’Europe a été façonnée par la seconde guerre mondiale, à quelques exceptions près (Balkans, ex-URSS, Belgique). Sur le plan footballistique, le vieux continent comprend deux puissances majeures (Italie, Allemagne) et quatre puissances secondaires (France, Espagne, Angleterre, Pays-Bas), les autres nations faisant de la figuration pour l’essentiel. Mais cette réalité n’est après tout qu’une des nombreuses possibilités qu’offre la théorie des mondes parallèles. Horsjeu.net vous propose de découvrir ce qu’il en est dans une autre Time Line ; celle où un savant nazi a voyagé dans le temps avec la formule de la bombe atomique, créant un Equilibre de la Terreur au lendemain du partage de Verdun… en 843 après Jésus Christ.

Le partage de Verdun en 843 a scindé l’empire carolingien en trois parties, chacune d’entre elles revenant à l’un des petits-fils de Charlemagne : à Charles le Chauve la Francie Occidentale (s’étendant des Pyrénées à la Wallonie), à Louis le Germanique la Francie Orientale (de la Saxe à la Bavière) et à Lothaire le narcissique la Lotharingie (partie centrale, allant des Pays-Bas à la Lombardie). A côté des ces territoires, on trouve à l’est l’empire séculaire des Byzantins qui occupe les territoires grecs et turcs, et, au nord, l’île de Grande Bretagne où coexistent sept ou huit royaumes qui sauront se rassembler le temps d’une compétition. La péninsule ibérique, elle, se divise entre le Royaume des Asturies et l’Emirat Musulman de Cordoue. Le pape dispose de territoires s’étendant bien au delà du Vatican, et les Vikings disposent, outre la Scandinavie, de l’Irlande et de l’Andalousie. Plus à l’est, enfin, se regroupent moult peuplades barbares incapables de structurer un Etat digne de ce nom : Magyars, Slaves, Avars…

 

Carte :

 

 

La Coupe d’Europe des Royaumes est un tournoi simple à huit équipes et à élimination directe. Les sept qualifiés sont issus d’un barrage aller-retour, l’organisateur étant qualifié d’office.

 

Tribus slaves

Gardiens : Akinfeev, Szczesny, Malafeev.

Défenseurs : Dudka, Stankevicius, Klavan, Gorkss, Wasilewski, Berezoutski, Berezoutski.

Milieux : Izmailov, Zhirkov, Blaszczykowski, Hleb, Dzagoev, Zyrianov, Bressan, Krivets, Kislyak.

Attaquants : Arshavin(c), Pavlyuchenko, Pogrebniak, Lewandowski.

 

Sélectionneur : Smuda.

 

Capitale : Varsovie

Devise : Eih bennek, eih blavek !

 

Organisateurs du tournoi malgré un manque flagrant d’infrastructures, les peuples slaves en ont profité pour éviter de passer par les barrages. Difficile donc de se faire une idée précise sur le niveau footballistique de cette « nation », davantage réputée pour ses plombiers, ses filles de joie et ses cinéastes pédophiles que pour ses footballeurs. Malgré quelques individualités venues du grand froid, la sélection comptera principalement sur l’extra sportif pour semer le trouble chez ses adversaires, qui devront résister à la tentation des bordels et des plats en sauces. François Hollande, nouveau souverain de Francie Occidentale refuse d’ailleurs catégoriquement de s’y rendre, craignant probablement l’effet des borscht, clouski et autres bigos sur son régime. DSK, rival défait, sera-t-il de la partie ?

 

Qualifié d’office en tant que pays organisateur.

Maillot : 

 

Équipe-type :

 

 

Francie occidentale

Gardiens : Valdes, Jourdren, Costil

Défenseurs : Clichy, Mexes, Debuchy, Pique, Van Buyten, Jordi Alba, Koscielny

Milieux :Busquets, Xavi(c), Fabregas, Cabaye, Martin, Mvila, Witsel, Ribéry, Valbuena

Attaquants :Hazard, Menez, Ben Arfa, Gameiro

 

Sélectionneur : Blanc

 

Capitale : Tulle (changement récent)

Devise : Pro rege saepe, pro pila semper.

 

Indéniablement l’équipe la plus technique du tournoi, la Francie Occidentale pourrait pâtir de l’absence d’un véritable avant-centre, capable de profiter des offrandes de ses innombrables playmakers. Jugez plutôt : Xavi, Fabregas, Ribéry, Hazard, ou Ben Arfa. De plus, le forfait de Carles Puyol, vainqueur pour la 5ème année consécutive du prix Roland-de-Roncevaux du joueur le plus combatif, change considérablement la donne en défense centrale. Mexès et Piqué ont connu des saisons difficiles dans leurs guildes respectives. Leurs absences auraient d’ailleurs pu être fatales lors des barrages contre le Royaume de Bretagne ; ce n’est que le génie d’Hatem Ben Arfa, bien aidé par une prestation catastrophique de Jeremy Morel (le latéral gauche breton), qui a permis aux François de rattraper les trois buts encaissés au Roudourou. Laurent Blanc saura-t-il gérer l’abondance de milieux à vocation offensive ou très offensive aussi bien que Pep Guardiola, entraineur mythique et déserteur de la guilde de Catalogne ?

 

Maillot :

Barrage : Francie Occidentale/Royaume de Bretagne : (5/4)

0/3 (Danzé, Feret, Gourcuff)

5/1 (Ben Arfa x3, Hazard, Valbuena) (Gourcuff)

 

Équipe-type :

 

 

Francie orientale

Gardiens : Handanovic, Pletikosa, Subasic.

Défenseurs : Srna, Corluka, Boateng, Spahic, Lahm(c), Badstuber, Mertesacker, Alaba.

Milieux : Modric, Götze, Schweinsteiger, Kroos, Khedira, Pjanic, Misimovic, Birsa.

Attaquants : Dzeko, Gomez, Muller, Olic.

 

Sélectionneur : Löw

 

Capitale : Augsbourg.

Devise : Fussball macht frei

 

Habituée à briller par sa rigueur et son réalisme, l’équipe de Francie Orientale a changé de visage depuis la coupe du monde organisée à domicile en 837. Et perdu en efficacité ce qu’elle a gagné en romantisme. Le fameux adage de Gary Lineker selon lequel « le foot est un jeu simple: 22 hommes courent après un ballon pendant 90 minutes et à la fin, c’est la Francie Orientale qui gagne » ne se vérifie plus. D’autant que l’épine dorsale de la sélection provient de la guilde de Bavière, qui a connu un échec retentissant cette année, en perdant à domicile un trophée continental qui lui semblait promis. La victoire en barrage contre les Magyars a fourni peu d’enseignements tant la proximité entre les deux peuples (subtilement soulignée par Guy Roux aux commentaires) a semblé l’emporter sur l’enjeu du match. Si le onze type a fière allure, la Francie Orientale disposera-t-elle du mental nécessaire pour se remettre de ces échecs à répétitions?

 

Maillot :

Barrage :

Francie Orientale/Magyars : (7/0)

3/0 (Srna, Dzeko, Gomez)

4/0 (Schweinsteiger, Dzeko x2, Modric)

 

Équipe-type :

 

 

Emirat de Cordoue

Gardiens : Casillas(c), Reina, De Gea

Défenseurs : Arbeola, Albiol, Juanfran, Alvaro Dominguez, Antonio Lopez, José Enrique, Joao Pereira

Milieux : Ivan Ramis, Mata, Borja Valejo, Granero, Pablo Hernandez, Bruno Soriano, Iniesta, Joao Moutinho, Miguel Veloso

Attaquants : Torres, Soldado, Negredo, Raul

 

Sélectionneur : Del Bosque

 

Capitale : Tolède

Devise :   (notez le travail habile et remarquable du service mise-en-ligne)

Lors d’un barrage à hauts risques contre les Etats pontificaux, Vicente Del Bosque a su prendre le dessus tactiquement sur Benoît XVI. Menacé d’exclusion après les incidents ayant opposés ses supporters aux gardes Suisses lors du match retour au Vatican, l’Emirat de Cordoue prendra finalement part au tournoi final. Mais la Verde ne présente aujourd’hui que peu de certitudes. Pire, la composition de la sélection est l’objet d’un débat nauséabond au sein de l’opinion publique qui déplore l’absence de joueurs musulmans. L’éminent philosophe Alain Finkielkraut, dont personne n’avait d’ailleurs sollicité l’avis, a même déclaré que « cette équipe blanche-blanche-blanche est la risée de toute l’Europe ».  Si la sélection pourra s’appuyer sur quelques individualités fortes (Casillas, Iniesta, Torres), le retour surprise du légendaire Raul Gonzalez suscite de nombreuses interrogations. En effet, le renfort espéré de Balotelli, l’excentrique avant-centre de la Sicile musulmane, n’a pu se concrétiser en raison des relations tendues entre les dynasties Omeyyades et Abbassides. Est-ce un mal pour un bien?

 

Maillot :

Barrage : Emirat de Cordoue/Etats Pontificaux : (5/5(e))

2/2 (Iniesta, Mata) (Totti x2)

3/3 (Mata, Soldado, Negredo) (De Rossi,Totti, Aquilani)

 

Équipe-type :

 

 

Lotharingie

Gardiens : Buffon, Neuer, Lloris

Défenseurs : Rami, Chiellini, Kompany, Ziegler, Liechtseiner, Heitinga, Van der Wiel

Milieux : De Jong, Inler, Pirlo(c), Marchisio, Nasri, Robben, Sneijder, Shaqiri, Özil

Attaquants : Van Persie, Benzema, Huntelaar, Giroud

 

Sélectionneur : Hitzfeld

 

Capitale : Aix-la-Chapelle

Devise : Et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai

 

Nation du catenaccio et du football total, de Baresi et de Cruyff, la Lotharingie paraît avoir le cul entre deux chaises sur le plan footballistique ou géographique. Elle compte pourtant d’innombrables trophées dans son palmarès et présentera une nouvelle fois la sélection la plus complète de la compétition. Elle est d’ailleurs sortie facilement victorieuse de son barrage contre la Bohême-Moravie. Mais son véritable problème concerne la cohésion du groupe. L’équipe n’a plus rien produit de bon depuis l’incroyable finale de coupe du monde 2006, ou Zidane frappa Materazzi, son propre coéquipier, d’un coup de tête dans le plexus. La nomination d’un sélectionneur originaire de la région suisse du royaume en lieu et place de Domenech a pour but avoué de rendre la sélection plus neutre et consensuelle. Aura-t-il le courage d’écarter Wesley Sneijder, qui a réussi l’exploit de se brouiller avec Van Persie, Benzema et Pirlo ?

 

Maillot :

Barrage :

Lotharingie/ Bohême-Moravie : (4/2)

(2/2) (Ozil, Benzema) (Rosicky, Hamsik)

(2/0) (Van Persie, Kompany)

 

Équipe-type :

 

 

Vikings

Gardiens : Given, Isaksson, Sorensen

Défenseurs : Ramos, O’Shea, Dunne, Mellberg, Olsson, Agger, Kjaer

Milieux : Wass, Eriksen, Capel, Kallström, Navas, Gibson, Callejon, Ireland

Attaquants : Larsson, Zlatan(c), Reyes, Elmander, Bendtner

 

Sélectionneur : Olsen

 

Capitale : Copenhague

Devise : Piller, violer, brûler

 

La puissance maritime des vikings leur a permis de conquérir un territoire aussi étendu que disparate. Mais si l’équipe peut sembler à première vue manquer de cohésion, des faits insolites unissent certains membres de l’effectif. Ainsi, deux des cadres de la sélection sont unis par un lien familial, l’aïeul du capitaine Zlatan ayant violé l’ancêtre de Sergio Ramos lors d’un prémice du sac de Séville par les Madjus en 844. En débarquant en Andalousie alors musulmane, il aurait d’ailleurs déclaré aux autochtones : « Moi, je suis Ivar et vous êtes mes putains ». Conscient de la trop grande attirance de Sven Goran Eriksson pour les péripatéticiennes, la fédération viking lui a préféré Morten Olsen pour mener l’équipe en terre slave. Parviendra-t-il à donner à cette équipe un style aussi flamboyant que celui de son maillot ?

 

Maillot :

Barrage :

Vikings/ Royaume de Navarre :(4/3)

(1/3) (Zlatan) (Azpilicueta,Llorente, Muniain)

(3/0) (Zlatan x3)

 

Équipe-type :

 

 

Heptarchie anglo-saxonne

Gardiens : Hart, Green, Ruddy

Défenseurs : Johnson, Jones, Terry(c), Lescott, Cahill, A.Cole, Baines

Milieux : Bale, Fletcher, Oxlade-Chamberlain, Gerrard, Barry, Walcott, Parker, Young, Milner

Attaquants : Rooney, Welbeck, Carroll, Defoe

 

Sélectionneur : Hodgson

 

Capitale : Nottingham

Devise : We stink like the leek, we sting like the thistle

 

Après des mois de tractations entre les différents royaumes de l’Heptarchie anglo-saxonne, une équipe unifiée s’est présentée en barrage contre les serbes. Mais le travail du sélectionneur ne s’est pas révélé simple pour autant. Roy Hodgson n’a eu qu’un mois pour préparer ses hommes, son prédécesseur ayant préféré démissionner devant la volonté du capitaine John Terry d’exercer son droit de cuissage sur les femmes de ses coéquipiers. Sur le plan du jeu, il n’y a pas grand-chose à en attendre. Ayant pourtant inventé le football, les anglo-saxons paraissent incapables d’en saisir les subtilités. Une fois encore, la tactique de Rooney et ses Merry Men devrait se résumer à un vulgaire kick and rush. La vitesse de ses ailiers, Bale et Walcott, pourrait toutefois être un danger pour des latéraux au replacement aléatoire, comme ceux de la Francie occidentale par exemple. Mais seront-ils capables de résister à la tentation des femmes slaves et de la bière la moins chère du continent ?

 

Maillot :

Barrage :

Heptarchie anglo-saxonne/Royaume de Serbie : (2/1)

2/1 (Rooney, Bale) (Jovetic)

0/0

 

Équipe-type :

 

Empire Byzantin

Gardiens : Volkan Demirel, Sinan Bolat, Alexandros Tzorvas

Défenseurs : Sokratis Papastathopoulos, Servet Çetin, Kyriakos Papadopoulos, Gökhan Gönül, Ismail Köybasi, Vasilis Torosidis, Semih Kaya

Milieux : Emre Belözoglu ( c ), Sotiris Ninis, Grigoris Makos, Mehmet Topal, Selçuk Inan, Necip Uysal, Caner Erkin, Arda Turan, Ioannis Fetfatzidis

Attaquants : Georgios Samaras, Konstantinos Mitroglou, Semih Sentürk, Burak Y?lmaz

 

Sélectionneur : Bartholomée Ier de Constantinople

 

Capitale : Byzance

Devise : Senatus populus que romanus

 

Dernier vestige du tout puissant Empire Romain, l’Empire Byzantin est loin de dominer l’Europe de la même façon que son « ancêtre ». Sur le plan politique, d’abord, où l’on persiste à le marginaliser, mais aussi sur le plan footballistique, où Byzance est devenue un repaire de mercenaires accourant des quatre coins de la planète pour profiter de ses fastes. Et la sélection en souffre : pour preuve, elle ne s’est qualifiée qu’aux tirs aux buts face au faible Royaume des Asturies, profitant en sus du forfait de David Villa… Mais emmenés par Bartholomée 1er  en ligne directe avec le Seigneur, pouvant s’appuyer sur la tradition tactique romaine (la fameuse tortue), et motivés par la défiance générale à leur égard, on peut compter sur les Byzantins pour jouer leur chance à fond. Après le titre surprise de 2004, Emre, Ninis et consorts arboreront fièrement cette année leur nouvelle tunique, conçue par Gianni Versace lui-même peu de temps avant sa mort, comme un ultime cadeau à sa terre natale. Le destin nous réservera t-il un nouveau clin d’œil, à l’heure où le monde civilisé ne cesse de stigmatiser le berceau de la civilisation ?

 

Maillot :

Barrage :

Empire Byzantin/Royaume des Asturies : (0/0) Tab : 5/4

0/0

0/0

 

Équipe-type :

 

Des Crampons et Des Vices.

21 thoughts on “DCDV : si l’Euro avait eu lieu en 843

  1. La Francie Occidentale, dont la tunique est frappée du coq Wallon, aura mes faveurs.

    Quant aux Vikings, leur suzeraineté est en pleine déliquescence depuis la christianisation galopante et la fin annoncée des raids. Preuve que la fin des pillages affaibli leur pouvoir, le dernier joueur enlevé à un royaume étranger est Zlatan (Royaume de Serbie). Il est bon mais c’est le seul. Quand il y a à peine 100 ans les Vikings pillaient des joueurs jusqu’aux confins des continents d’outre-atlantique.

  2. Mon grand-père me distrayait souvent avec une chanson de geste à la gloire de Zlatan.

  3. Jacques Brol: le coq est un symbole commun aux gaulois, aux wallons et aux catalans, c’est donc naturellement qu’il vient orner le maillot de la Francie Occidentale. Le choix du coq wallon est d’ordre purement esthétique comme l’ensemble des éléments présents sur les tuniques des participants.

  4. generateur d’équipe de « foot marseille » (anciennement omplanete, vive footmarseille :)

  5. Les gentilles colonies de vacances oui.

    La présentation de la Lotharingie m’a fait rire mon coca par le nez. C’est très bon les gars. Vous êtes malades.

  6. Seul le lieu de naissances des joueurs est pris en compte pour la composition des sélections. Les joueurs nés dans d’ancienne colonies ne sont pas sélectionnés, ce qui explique l’absence d’un mandanda par exemple. Et les joueurs nés dans des territoires non découvert à cette époque ne sont pas sélectionnables. Dans cette Time Line, Cristiano Ronaldo est resté à l’état sauvage.

  7. c’est avec plaisir que je constate que vous n’avez pas fait l’erreur grossière mais habituelle d’intégrer la Bretagne à la Francia occidentalis (d’ailleurs ça devrait toujours être le cas!!.
    Cette attention m’incite à réfléchir à un abonnement.

  8. Du gran travail dinvestigation et le meilleur article que j’ai lu durant l’Euro.

    Et Justement je me demandais pour CR7

  9. Que la personne qui a bouffé les Monty Pythons se dénonce immédiatement.

    C’est tout simplement génial, mais assez abscons pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir une maîtrise d’histoire médiévale.

  10. Génial ! la Lotharingie, avec ses joueurs extraordinaires, a mes faveurs.
    Lotharingie donc, Championne du Monde, évidemment sans l’Amérique pas trop découverte encore à l’époque (Amazonie où déjà pullulaient peut-être les Ronaldo, Ronaldinho, etc…)
    très bel article

  11. Oui, bravo vraiment bravo.

    C’est délicieux à lire. CivilisationII et l’entraîneur 97/98 vont voir leur base de donnée mise à jour pour l’occasion.

    Voilà un article qui fait rêver. L’erreur de placement de morel et la sélection de valbubu me font chaud au coeur.

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