Deuxième « quand c’est trop, c’est celtico » en 5 jours, avec donc la réception du Celtic Glasgow pour cette 3e journée de poules d’Europa league. Rencontre bien évidemment historique, le Celtic Glasgow ignorant jusqu’à l’existence du Stade Rennais, certains supporters découvrant même par la même occasion qu’il y a encore des « Celtes » sur le continent.  D’autres un peu plus futés étaient au courant grâce au festival interceltique. Mais ils ne savaient pas que ces Celtes-là  jouaient également au football.

Quoi qu’il en soit, il s’agit sans l’ombre d’un doute du nom le plus prestigieux venu en terres bretonnes. Oui plus prestigieux encore que l’Atletico Madrid, que l’Etoile Rouge de Belgrade, ou bien sûr que leurs pathétiques rivaux des Glasgow Rangers, club loyaliste et protestant dont le prestige ne dépasse pas l’Ecosse. A l’inverse, le Celtic, fort de son histoire, son palmarès, ses chants et bien sûr ses joueurs de légende (dont l’inoubliable Henrik Larsson) comptent des fans à travers le monde entier, y compris même au sein de la Breizhou, qui y voit le club le plus respectable du monde ou presque. Et ceci en pesant leurs mots. D’une main certes, de l’autre, il faut bien tenir la bolée de cidre.

Konpozision

 

Konpozision qui fait pas trop kiffer sa race pour parler comme les djeunz. L’absence de M’Vila semblait inévitable entre fatigue physique et peut-être morale également vu l’affaire qui lui est tombé sur la gueule dans la journée (voire le comité de jeudi).

L’inquiétude concerne surtout les couloirs. Anto a pris la décision de faire jouer les deux remplaçants attitrés derrière (et encore attitré pour Jebbour, ce n’est pas l’appelation correcte, sachant qu’il s’agit de son premier match de la saison, soit autant que son cadet Foulquier), et les deux revenants devant : Brahimi déjà entré en jeu contre Lorient, et Boukari qui n’était pas encore réapparu après son entorse de l’épaule contre Udine.

Mais dans l’ensemble, sachant que le Celtic a probablement l’une des équipes les plus faibles de son histoire, on se dit que ça passera presque tranquillou, un peu comme c’est passé contre les Serbes et leur équipe niveau ligue 2, ou contre les Géorgiens et leur niveau CFA2 (et même CFA3 d’après le regretté Jean-Claude Dassier).

Ar Matc’h

Avant le match, on a pu voir des Verts et Blancs envahir toute la ville pacifiquement, voire même franchement « gentlemanement », avec une attitude bon enfant, souriante, fairplay, et surtout avec ce bon goût d’offrir des bières à droite à gauche. Ah c’est sûr, c’est pas de l’invasion normande ça. Ni parisienne d’ailleurs. Ni même serbe, mais bon, les Serbes, personne n’a trop osé les approcher, c’est peut-être pour ça aussi. Il faudrait rééditer l’expérience. Ou pas.

Enfin venons-en au match lui-même. Le Celtic propose un 4-5-1 ou plutôt un 4-1-4-1 qui ne fera rêver personne, sachant que leur vraie star est le Coréen Ki-Yung Sueng, Samaras et Scott Brown étant absents. C’est une équipe très jeune qu’aligne en fait Neil Lennon, qui n’a rien à voir avec John, et qui en plus est roux.

Dès le début du match, on peut constater les principales armes des deux équipes : la maîtrise technique côté rennais, la volonté et l’envie principalement, pour ne pas dire seulement côté irlando-écossais.

La première grosse occasion est pour ces derniers. Stokes efface Mangane comme il aurait effacé Gabriel Loeschbor ou Grégory Bourillon à son apogée parisienne et enchaine sur une frappe quelconque que Costil saisit sans faillir. Autant dire que face à Falcao, Di Natale, ou même Dennis Oliech, ça faisait but. Bon Oliech, peut-être pas. On va attendre Dimanche avant d’affirmer ce genre de chose.

Côté rennais, on reste encore brouillon. Bouk’ ignore l’appel de Féret parti côté droit pour finalement perdre la balle bêtement. Deux minutes plus tard, le premier coup-franc de Féret trouve Mangane excentré aux 6m , qui tente de redresser la balle plutôt que de remiser plein axe. Ça passe donc largement à côté.

Rennes hausse enfin le ton au quart d’heure de jeu. Beau mouvement entre Féret et Boukari qui remet pour Hadji dont la frappe non-cadrée est contrée par la défense du Celtic, qui à défaut d’être sûre semble déterminée au point de ne même pas céder un 6m.

Et c’est le but de l’année pour le Stade Rennais. Costil s’empare du ballon sur un corner écossais et tente de servir Tettey en profondeur. Son dégagement raté parvient à Cha Du Ri resté en dernier défenseur qui tente de remettre tranquillou à son gardien. On insiste sur le ‘tente’, car le Coréen prend en fait son gardien Forster à contre-pied et le ballon va finir tranquillou au fond des filets. Public hilare, et équipe recevante qui l’est à peine moins quand elle s’en va féliciter son gardien, héros de la première mi-temps grâce à cette subtile passe décisive, bien qu’elle aurait aussi pu féliciter celui de l’adversaire, pas moins coupable que son coéquipier.

Billy tient encore la baraque en allant chercher un ballon remis par Cha pour Ki, l’autre Coréen de l’équipe, mais surtout celui qui fait moins tache dans une équipe.

Les Rennais manquent ensuite par deux fois de faire le break juste avant la mi-temps, d’abord par Hadji, qui ne parvient pas à cadrer un bon  centre de Tettey, encore lancé par Féret, puis encore par Hadji, idéalement servi par Cha Du Ri, mais gêné ensuite par le retour de ce dernier et par un de ses deux coéquipiers en défense centrale.

C’est la mi-temps. Donc pause frite pour les supporters. Pause-bière pour les téléspectateurs. Et pas de pause pour Forster, le gardien anglais du Celtic au nom de bière un peu dégueulasse, et qui reste s’échauffer pour avoir l’impression d’avoir fait des arrêts avant que le match ne reprenne.

La deuxième mi-temps confirme ce que l’on avait vu, la maîtrise technique est rouge-et-noire, l’envie est blanche-et-verte, la maîtrise tactique n’est du coup pour personne. Mavinga n’est pas loin de porter l’estocade, sur l’une de ses rares montées, et encore grâce à une très subtile passe de Féret qui passe entre les jambes du défenseur hollandais du Celtic. Moins de 10 minutes plus tard, c’est le Celtic qui n’est pas loin d’égaliser : parti apporter un coup de main à Mavinga, en difficulté face à Cha Du Ri, et ça il faut le faire, Stokes se retrouve étrangement seul au premier poteau, mais Billy l’invincible s’impose de nouveau.

La stratégie écossaise est simple. Constatant que l’arrière gauche rennais est plus gauche qu’arrière, il donne systématiquement de longs ballons au chat qui commence un peu à rire et qui est surtout très motivé à l’idée de rattraper sa boulette, comme un symbole d’un guerrier celto-coréen.  Encore une fois pris par derrière, Mavinga ne peut que laisser son adversaire tenter sa chance, et c’est surtout la reprise de Ki qui suit l’arrêt de Billy qui inquiète le plus Roazh Takouer, en manque d’alcool évident. Ça passe au-dessus. Ou à côté. Ou les deux. Mais ça confirme que Rennes va devoir sans doute marquer un 2e but comme contre Lorient pour prendre les 3 points sous peine de voir leur adversaire revenir à la marque comme des Madrilènes, voire même comme des Nancéens, ce qui n’est pas un compliment, vous l’aurez compris.

Et ce qui devait arriver, arriva. Sur une 99éme recherche de Cha Du Ri côté droit de l’attaque écossaise, Mavinga décide cette fois-ci de faire faute, et sur le coup-franc qui suit, Joe Ledley, dont le clone est vachement bon dans PES 2010, place de la tête le ballon hors de portée des gants de Costil, la force tranquille.  1/1. C’était prévisible, et presque évident tant le scénario se répète depuis le début de saison, voire depuis le mois de mars.

Avec l’entrée en jeu un peu avant l’égalisation de Kembo et de Pitroipa , on espérait pourtant que le but du break serait plus facile à marquer. Mais, le Celtic bien que mené, joue beaucoup plus bas, pour relancer vite en haut, et presser sur le deuxième ballon. Bien compact derrière, le manque d’espace nuit à la cohérence des actions rennaises, qui ne sont pourtant pas loin de reprendre l’avantage sur un centre de Kembo justement, pour. .. Pitroipa, trop court, tel un gros membre du comité.

C’est encore Kembo qu’on retrouve, récupérant la balle, crochetant plein axe pour décocher une frappe moyennement puissante, et en plein sur le gardien, qui semble avoir pris ses repères depuis quelques minutes, bien que chaque passe en retrait entraine une gentille chambre du public rennais.

Le Celtic se procure une dernière occasion dans le match par un coup franc de Mulgrew qui ne passe pas très loin du poteau gauche de Costil.

Les Rennais tentent sans trop forcer de faire la différence. Entré en jeu en lieu et place de Mavinga, KTC tente un centre, menace légère donc, mais mal dégagé par la défense, et repris par une reprise de volée très douce de Féret, et qui n’inquiète donc pas Forster.

à la 80e arrive le plus beau geste du match. Débordement de Pit qui a permuté, centre mal dégagé, inspiration d’Hadji qui tente la bicyclette mode Olivier Aton (Tsubasa pour les puristes Otaku) mais inspiration de Forster qui n’avait pas besoin de hausser son niveau de jeu mode Ed Warner pour la claquer en corner.

Les Rennais manquent de peu une nouvelle fois de reprendre l’avantage, et un avantage qui aurait été probablement définitif vu le temps écoulé. Resté aux avant-postes, Mangane dévie dans la profondeur pour Pitroipa qui tente le contrepied, mais Forster dévie… ben du pied. Sur le dernier corner, Kembo ne lève pas la balle et Mangane ne trouve pas le cadre. C’est fini. 1 partout.

Connu pour rater ses rendez-vous avec l’histoire, l’équipe actuelle, plus royaliste que le roi et donc plus rennaise que le Stade a réussi à rater son rendez-vous avec l’histoire du club en laissant échapper une première victoire en phase de poules. Pour se consoler, on se dira que le jour où elle arrivera, dans 4 ans peut-être, elle sera sans doute plus belle que si elle avait été obtenue sur un csc moisi.

 

Les gars du stade

Costil 5/5 : We could be heroes, just for one day. C’est ce qu’à dû se dire Billy jusqu’à la tête de Ledley. Irréprochable dans ses buts comme depuis le début de saison, il est le grand bonhomme du match grâce à cette passe décisive, finement conclue par Cha Du Ri, qui se prononce Chat Dou Riz, le moine bonze du Celtic. Pour le reste, il aurait dégoûté n’importe quelle équipe en face, sauf des guerriers celtes de la vallée de Dana.

Jebbour 3/5 : Pas très rassurant en première mi-temps d’un point de vue défensif, il a compensé par un apport offensif intéressant. Pas folichon non plus, sa qualité de centres reste à travailler, mais ses course et ses appels nous ont plutôt convaincus pour faire de lui la doublure au poste d’arrière latéral… droit, peut –être mais gauche aussi.

Kana-Biyik 3/5 : Meilleur défenseur de la rencontre, bien qu’on l’ait déjà vu nettement plus impressionnant que jeudi. Dans l’ensemble un match solide, et assez sûr, qui l’aurait été davantage avec un peu plus d’application. Notamment sur ses touches. Parce que les touches à une main, ce n’est pas possible ça Jean-Mamelle. T’es pas au handball, même si t’as carrément le gabarit et la détente nécessaire à être un bon handeux. Il te manque la coiffure, celle qu’a Paul Baysse par exemple.Mais Jean-Mamelle peut aussi rester au foot et apprendre juste à faire une touche.. Belle tentative de lob sur Erminig à la 63e sinon.

Mangane 2/5 : Se fait enrhumer par Stokes en début de match comme un vulgaire Pascal Delhommeau, va presser l’ailier droit et laisse le premier poteau désert comme un simple Abdes Ouaddou, et enfin perd le duel aérien sur l’égalisation comme un modeste Eddy Capron, alors qu’il doit bien mesurer 5 ou 10 cm de plus que l’adversaire. Bonne réaction après. Pour ne pas dire plus simplement réveil, et qui le sauve du 1/5. N’empêche qu’on en attend plus d’un capitaine. Beaucoup plus. N’est pas Peter Hansson qui veut.

Mavinga 1/5 : Avec sa sortie improbable de la 71e minute, il a tout pour faire le parfait bouc-émissaire de cette contre-perf : peu convaincant depuis le début de saison, peu inspiré devant en première mi-temps, assez fébrile, et comme depuis le début de saison, pris fréquemment par derrière en plein public. Exhibitionnisme et attentat à la pudeur, sans doute la principale cible d’Antonetti lorsqu’il parle de jeunes qui ne progressent pas.

Tettey 4/5 : Le gentil nounours norvégien est transcendé par l’ambiance des coupes d’Europe, même si le stade était bien moins vivant que contre l’Atletico, moins rempli, et match moins prenant également. Le milieu de terrain a répondu en revanche présent, conquérant autant dans la récupération du ballon que dans les phases de jeu offensives. A moins que ce ne soit le développement de la concurrence avec les progrès manifestés par Doumbia lors de ses dernières apparitions. Quoi qu’il en soit, et comme dirait l’Equipe, nous, on a aimé.

Pajot 3/5 : Nous, on a aimé aussi comme aurait pu titrer un jour France football. Si Roger Cageot a bientôt 70 ans et que c’est pas un de ces connards de flics qui va le foutre en taule, Vincent Pajot a à peine 21 ans, et c’est pas un de ces connards de milieu offensif qui va le foutre à l’amende. Il a eu la bonne idée d’aller filer un  coup de main quand il a vu que Mavinga prenait l’eau, afin d’éviter que son calvaire contre Caen ne se reproduise. Ça n’a pas été suffisant toutefois.

Boukari 2/5 : Titulaire surprise, comme son arrière, on ne le pensait pas de retour aussi tôt, et ça nous a permis de le revoir parce qu’on l’avait presque oublié le Razak. On a été plutôt séduit et on l’a senti volontaire au point d’aller chercher pas mal de ballons dans les airs, avec de bonnes qualités techniques, et de belles remontées à grandes enjambées. Vu que ça n’était qu’un retour, ça nous a même donné envie de le revoir, ce qui devrait logiquement arriver. Avec un peu plus de rythme, ça devrait redonner quelque chose.

Féret 3/5 : 10 minutes pour mettre le moteur en marche, qui s’éteint 10 minutes avant le coup de sifflet final. Et ça, c’est pas bien. Entre temps, on a pu apprécier sa justesse technique, dans le jeu court et dans le jeu long, et des corners dans l’ensemble très bien tirés, dont un mode petit filou en retrait à ras de terre pour Pajot à l’entrée de la surface. Et ça, c’est bien.  On était donc partagé entre le 2 et le 3, mais le plaisir des yeux, c’est bien, le réalisme sur un match comme ça, c’est mieux. Bref, on était toujours partagé, puis on s’est souvenu qu’il était costarmoricain donc il mérite facile un +1 à vie.

Brahimi 1/5 : Impressionnant sur le premier quart d’heure, où il semblait pouvoir dribbler à lui tout seul toute l’équipe du Celtic avant de rentrer un peu dans le rang et surtout avant que l’on ne se rende compte que c’était complètement stérile de dribbler en reculant, et en dézonant au point d’offrir une solution de moins à notre numéro 10. Au final donc des dribbles, des dribbles, et une frappe 3 m au-dessus comme seule occasion qu’il a provoquée. C’est bien trop peu avant une prochaine blessure.

Hadji 2/5 : On en attend plus, dans les airs et dans la profondeur. Quelques bonnes combines avec Féret et avec Boukari, mais sans plus. Quelques tentatives pas dégueulasses, mais sans plus. A l’exception certes de son retourné qui aurait pu être le but de la soirée. Voire du mois. Et peut-être même plus.


Les entrées en jeu

Pitroipa 4/5 : Rentrée intéressante et convaincante. On pensait qu’il avait besoin de souffler mais sur la demi-heure qu’on a vu, en fait, il semblerait qu’il n’en est pas spécialement besoin. Dieu nous l’a envoyé, donc il est infatigable.

Kembo 3/5 : De l’envie, qui s’est traduite par quelques belles actions, et pas mal d’énervements après chaque raté et au coup de sifflet final. Preuve d’implication pour l’instant, en même temps ça fait 5 ans qu’il est là maintenant, s’il était pas impliqué, ce serait quand même emmerdant.

KTC 3/5 : Une fois entré en jeu, Cha est passé arrière latéral comprenant qu’il ne bénéficierait plus des mêmes espaces et constatant que le point du nul était une bonne opération. Solidité défensive retrouvée donc, et offensivement, on ne peut pas dire qu’on ait perdu au change non plus.  Mais pourquoi alors avoir attendu l’égalisation du Celtic pour le faire entrer ?

 

Les autres apparitions

Forster 2/5 : Le gardien anglais ne gardera sans doute pas un grand souvenir de son passage en Bretagne, entre le but vidéo-gagesque qu’il a encaissé comme le premier Bernard Montiel venu, et les réactions ainsi engendrées chez les supporters rennais qui criaient des olés à chaque ballon qui lui était adressé. Peut pourtant penser qu’il a été déterminant dans la conquête de ce point en réalisant pas mal d’arrêts essentiels en 2e mi-temps.

Cha Du Ri 3/5 : Titularisation surprise au poste de milieu droit alors qu’il est plutôt arrière latéral, le Coréen était déjà pas mal critiqué par les supporters des Greens, et son chef d’œuvre de la soirée risque de consolider cette position de bouc émissaire. A su bien corriger le tir en 2e mi-temps en jouant davantage comme un ailier où il aura profité des largesses de Mavinga. Puis il a remontré ses lacunes en reprenant son poste d’arrière. N’empêche qu’il a gagné le droit de faire le tour du monde via youtube, et ça c’est bien. Sauf pour lui.

La galette-saucisse d’après-match 5/5 : En fait on en a pris deux, parce que ça nous a donné faim cette frustration de voir un nouveau match nul à la con alors qu’une victoire se profilait. Puis on a ensuite noyé notre chagrin dans les pintes d’Heineken au Valy. Alors qu’on aurait pu tranquillement manger deux galettes saucisses parce que cette première victoire nous avait affamé, pour ensuite fêter l’évènement au Valy avec des pintes d’Heineken. La vie est cruelle, mais pas trop quand même.

 

La non-apparition

La première victoire rennaise en phase de poules 1/5 : On a été un peu présomptueux en croyant qu’on l’obtiendrait enfin. Anto a été un peu présomptueux en croyant qu’une CFA sur les ailes suffirait pour l’obtenir.  Les joueurs ont été un peu présomptueux en ne forçant pas davantage quand il le fallait. Et au final, on récupère une peau de con pas très somptueux avec ce joli bilan de 12 matches de poules, 4 nuls, 8 défaites. Prochaine mission, réussir à décrocher notre première non-défaite à l’extérieur en phase de poules. Ce sera au Celtic Parc.

 

Roazh Takouer.

Plus en retard que d’habitude, Roazh Takouer est tout de même venu avec les images.

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