La Lionceaux Académie note Sochaux – Valenciennes (1-1)

Et par le pouvoir d’un mot, je recommence ma vie, je suis né pour te connaître, pour te nommer… Corchia…

Ceux qui étaient là :

Celui qui faisait le résumé :

– Résumé du match (Aragorn/5) : Une semaine après avoir perdu comme des amateurs, nos J&B recevaient le VAFC pour un match ô combien important ! Bazda mis un 4-4-2 en étoile. Maintenant que nous sommes au plus bas, notre bosniaque régional sort les cojones. La première période ne fut…pas terrible comme une toute première fois. Après 6 minutes de jeu, Teddy fit un bel arrêt sur un coup franc de VA. 10 minutes plus tard encore un coup franc pour VA, Peybernes dégage le ballon. Aux 21ème et 36ème minutes, deux actions pour le FCSM qui ne donnèrent rien. En fin de première période plus grand-chose. Les spectateurs de Bonal venus nombreux pour l’occasion ont montré une belle image du club en soutenant ces bons à rien de joueurs et en demandant la démission d’Alexandre Latombe. La deuxième période fut plus intéressante, avec des buts, du jeu. Malheureusement ce sont les Valenciennois qui ouvrèrent le score à la 68ème minute par le biais de Pujol, sur une erreur Peybernes, ce qui devient une habitude avec notre défenseur. Pourtant nos joueurs se sont procurés le plus grand nombre d’occasions mais comme d’habitude ils ont été incapables de la mettre au fond. Mais il était dit que ce match allait être une première. A la 76ème minute, sur une combinaison Boudebouz-Corchia, ce dernier marqua le but égalisateur, mais surtout marqua le 2080ème but du FCSM à Bonal. C’était le destin, comme un symbole du meilleur sochalien depuis le début de saison, qui caressa le ballon pour le mettre au fond du petit filet gauche du gardien valenciennois. Les dernières minutes furent sochaliennes, nos J&B poussèrent, le public les aidant, mais au final rien. Valenciennois et Sochaliens se quittèrent sur ce score de parité qui n’arrange pas nos affaires puisque nos concurrents pour le maintien eurent des fortunes plus heureuses. Mais comme le disait Aragorn, il y a toujours de l’espoir !

Celui qui a nous a sauvé et les autres :

– Teddy Richert 3/5 : Son retour a fait du bien, il s’impose bien mieux dans sa surface que Pierrick Cros et sait motiver ses troupes, il ne manque plus que Bréchet devant lui… Car encore une fois, il fut affublé de Peybernes, celui-là même qui était au marquage du buteur de VA tout en étant 2 mètres derrière lui…Richert n’est donc pas responsable et la voiture de Peybernes va avoir droit à une deuxième couche…

– Sébastien Corchia Zanetti/5 : Corchia oh mia cara, ti prego salvami tu, tu che sei l’unica, mio Amore, non lasciarmi da solo in questa notte gelida, per favore. (Corchia mon cher, je t’en prie toi sauve-moi, toi qui est le seul, mon Amour, ne me laisse pas tout seul dans cette nuit glacial s’il te plaît). Depuis la toute première Académie nous nous félicitions du transfert de Corchia au vu de ses prestations et cette semaine fut l’illustration parfaite du talent de ce joueur, de notre sauveur. Une belle prestation en équipe de France espoir, l’intérêt d’un club comme la Juventus de Turin et hier soir… Une défense parfaite, il a couvert son côté droit ne laissant aucun espace à ses adversaires directs, très engagé sans pour autant commettre de fautes, il a su par ses montées apporter le danger et cerise sur le gâteau par une percée dans la défense adverse égaliser et marquer son premier but avec Sochaux. Il apparait de plus en plus évident malheureusement qu’il ne restera qu’une saison au club, son potentiel et ses prestations lui promettant un avenir plus radieux que ce que le club propose, nous sommes en tout cas ravis d’avoir pu voir un tel joueur à Bonal, et il suffisait d’être hier soir au stade pour entendre les encouragements (avant même le but) pour ce joueur et l’ovation qu’il a eu quand il a marqué où par la suite toutes ses prises de balle était synonyme d’applaudissements.

– Damien Perquis 3/5 : Une prestation correcte sans fausse note pour un des seuls Polonais qui ne soit ni pape, ni syndicaliste révolutionnaire. Malheureusement l’événement marquant de ce match est la très probable fracture du coude de Perquis qui va certainement l’empêcher de jouer jusqu’à la fin de la saison, un coup dur avec l’absence de Bréchet, le fondement défensif du FCSM va trembler… Remplacé sur blessure à la 58^ème par Poujol.

– Mathieu Peybernes 2/5 (5/5 au Challenge « Celui qui n’avait plus de voiture ») : Un sauvetage et des tentatives de passes qui feraient presque croire que cet individu est presque doué pour jouer au foot, une illusion presque parfaite si ce n’est le retour à la réalité avec un marquage encore plus élastique que le string de Magalie Vaé devant une étale de charcuterie bavaroises. En effet, c’était lui qui était au marquage du buteur de VA et de fait cela ne fait que rallonger la longue liste de conneries de ce joueur qui ferait mieux de fermer sa gueule et de s’entrainer.

– David Sauget 3/5 : Une belle prestation de Sauget, plus pour son côté offensif que défensif d’ailleurs. Une bonne activité sur son côté avec plusieurs courses et des centres d’une plutôt bonne qualité. De plus, on a vu durant ce match un certain nombre de gestes techniques réussis de sa part ce qui nous a agréablement surpris. Malheureusement il y a toujours des boulevards encore plus grands que l’écartement des jambes d’une jeune prostituée thaïlandaise dans son dos.

– Yaya Banana 2/5 : Il doit se sentir comme François Hollande dans le lit de Maïté, à l’étroit et vraiment pas à sa place. Il ne sait pas s’imposer en tant que milieu de terrain défensif, un poste qui on le rappelle n’est pas le sien. Taclant trop peu, n’effectuant pas un bon pressing, il confirme son incapacité pour ce poste en orientant mal le jeu, toujours vers l’arrière comme un symbole de sodomite. On a Dubaï en prêt qui est justement milieu défensif, pourquoi ne pas l’utiliser ?

– Vincent Nogueira 2/5 : Une vision du jeu calamiteuse, un impact physique inexistant au vu de sa carrure de mannequin anorexique sortant des toilettes après avoir gobé une cacahuète, le rôle déterminant qui lui a été confié était donc trop grand pour lui. Il a perdu trop de ballons par des passes approximatives, il a besoin d’un vrai milieu défensif pour l’épauler et se libérer. Néanmoins, nous n’avons plus le temps d’attendre et il va falloir se surpasser sur tous les matchs désormais.

– Cédric Bakambu 0/5 (5/5 au Challenge « Celui qui glissait ») : Il est nul en attaquant de pointe, nul en milieu de terrain. Certes il a du potentiel entrevu il y a maintenant trop longtemps mais il n’y a aucune évolution, aucune confirmation de sa part, il ne s’impose pas à cause de son physique mais ne sait pas non plus en jouer pour se faufiler dans la défense et prendre la profondeur. Il n’a pas sa place en tant que titulaire, mais peut-être a-t-il les compétences pour nettoyer la voiture de Peybernes ? Remplacé à la 68^ème par Maïga.

– Sébastien Roudet 3/5 : Une bonne première période, des appels de balle (mais rarement servit dans le bon timing) et des courses intéressantes, il se permet même une belle défense sur une action, une prestation donc bonne mais sans plus. La seule interrogation concerne son remplacement car si un joueur à notre avis devait sortir, c’était bien Bakambu et non lui.Remplace à la mi-temps par Boudebouz.

– Edouard Butin 4/5 : Toujours autant de bonne volonté mais en plus cette fois ci cela s’est vu dans plusieurs mouvements et centres intéressants, beaucoup d’activité et un grand sens du collectif, parfois même trop altruiste, il gagnerait à plus tenter sa chance devant le but mais sans rien changer à sa mentalité à laquelle on ne peut rien reprocher.

– Sloan Privat -5/5 : Privat, quelle harmonie, quelle élégance l’esthète de base pourrait-il bien découvrir dans les trottinements patauds de cet handicapé velu qui pousse une balle comme on pousse un étron, en ahanant des râles vulgaires de bœufs éteints. Ceci est un hommage, mais comme je suis fainéant, je vous laisse trouver seul comme un Privat au physique de déménageur qui se fait déménager au moindre contact.

Ceux qui sont venus en retard :

– Ryad Boudebouz 4/5 : Très bon impact, son entrée a fait beaucoup de bien, il conserve bien mieux le ballon que Bakambu et a su apporter plus de danger par ses courses et ses dribbles en étant pour une fois moins individualiste dans son jeu, d’ailleurs son entente avec Corchia s’est concrétisée avec cette passe décisive.

– Loïc Poujol NN : Trop tendre, pas assez  technique, il a encore plus mangé le gazon qu’une lesbienne nymphomane sous LSD se baladant nue dans un champ de luzernes.

– Modibo Maïga NN : Je marche seul, sans témoin, sans personne, que mes pas qui résonnent, je marche seul, acteur et voyeur…

Celui qui venait de Bosnie et son ami l’arbitre :

– Mehmet Bazdarevic 2/5 : Un seul point positif, faire rentrer Boudebouz à la mi-temps a permis de créer un impact avec un joueur dynamique et frais, c’est vraiment une bonne idée qui a payé puisque ce dernier est l’auteur de la passe décisive pour Corchia. Mais cela ne sauve pas le reste, et quel reste… Continuer de titulariser Peybernes alors que tout le monde s’accorde à dire qu’il n’a pas le niveau, voir en Bakambu un milieu droit lui qui glisse encore plus qu’une homosexuel refoulé dans les douches à l’armée, faire rentrer Maïga qui ne fait que marcher et Poujol qui n’a pas le niveau… De plus, pourquoi avoir King Osanga et Charlie Davies dans l’effectif pour ne jamais les faire jouer quand on voit Privat et Bakambu ?

Bazdarevic démission ? Non, cela ne servirait à rien maintenant à part déstabiliser le club qui est déjà mal en point, mais il est certain qu’il devra être limogé à la fin de la saison, peu importe que l’on soit relégué ou non.

– L’arbitrage (Saroumane/5) : Dans l’ensemble le corps arbitral fut médiocre. Si monsieur Wilfried Bien s’en tira avec les honneurs, si on enlève les quelque cartons qu’il aurait dû distribuer aux Valenciennois, il gomma les grossières erreurs de ses adjoints. Ces derniers eurent comme le Mage Blanc du Seigneur des Anneaux, mais à l’instar de ce dernier, des problèmes de visions. D’après nos spécialistes du CDOVAR, soit le Comité de Défense contre l’Oeil de Verre d’Alain Roche, les juges de touche furent atteints d’un mal récurrent dont nous ne dirons rien, secret médical oblige.

Les images d’un but qu’on attendait depuis lontemps…

Jean-Claude Persil & Bernard Lionsot.