La Louve Académie note Roma-Palermo (1-0)

4

Arrêtez de déconner, Fabio pense qu’il porte un maillot.

Avant-propos :

Le service mise-en-ligne accepte la requête de Fabio Labello et ne fera pas allusion à la déroute subie par la Roma contre la Lazio et pour laquelle Fabio est resté planqué honteusement. Comme Zio, qui doit encore être en train de cuver. Voilà, à vous Fabio.

 

La Louve académie aime sauter des lignes. Mais pas que.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Non, je n’ai rien oublié. La joie, les hurlements, les armes, les larmes, les femmes de petites vertues consolatrices, les réveils sans boussoles, les fientes essuyées au coin de mon âme accoudée au comptoir infesté de règlements de comptes divins, la haine et la colère et Simon Le Félon. Va f’enculo.

Mais voici les restes de Fabio qui renaissent des poubelles de l’enfer où il a échoué après le calvaire de la semaine dernière. Il est de retour comme un flan socialiste prêt à s’adresser à la France des chicots et des rillettes de 9 heures. Car, même le retour à un match mineur dans un championnat mineur, a les vertus d’un strip-tease d’Asie mineure bon marché. Ca pue, c’est glauque, illégal, mais tu trouves quand même le moyen de choper l’étincelle, même maladive, della domenica.

Fra gli angeli del campo dell’olympico, Fabio Labello a revécu : les mirettes de nouveau au poil, le poil pubien aéré comme à un show aéronautique Kazakh en plein mois de janvier et le tarin en mode chipolatas mon amour, je me suis laissé aller à tartiner les murs de ma cellule blanche de mon bien être cosmique. Eh oui, les Siciliens étaient de sortie dans la capitale.

Et quelle ne fut ma surprise quand à la lecture de la composition de l’équipe giallorossa, je ne vis point le 666 du Vatican, la tatie Danièle du Tibre, le Gargamel du Trastevere, le Duce des latrines, le Saint-Glinglin de la gare Termini, le Lamine Sané de Fabio Labello, mon ennemi juré, j’ai nommé le Peteux rota, ligoté sur la panchina. A cet instant précis, je me faisais pythie du Val-de-Marne : l’AS Roma gagnerait ce match.

Au final, Fabio Labello a eu raison, victoire 1-0, avec quand même sacrifice d’une dizaine d’alouettes verbeuses et une séance chez capitaine Némo de chez kiloutou pour location d’un bavoir beige à ouverture latérale pour les ailes.

Le sTeK : 3 (frites) / 5: Eh bien, faut pas désespérer avec les manchots du port d’Amsterdam. Juste attendre l’alignement de la maison close sicilienne avec les pouvoirs de Jayce et les conquérants de la grosse chatoune. Car s’il a bien arrêté ce qui relevait de son champ de tulipe, il a quand même vu passer les offensives des roses pas vernies filer doux loin des filets romains, juste par le bon vouloir du Saint-Esprit, qui, comme tout le monde le sait, est giallorossi.

Cassetti: 1 (casserole) / 5: Je tiens là ma prochaine victime de génocide aux allouettes, paix à leurs âmes de dames. Il est la controverse entre iconoclaste et iconodoule, ou la question de la représentation ou non scandaleuse pour une équipe supposée de haut niveau de l’effrayante désolation à ce poste d’arrière droit. Avec Rosi, les roses auraient été tout aussi frétillantes (ca va, ca va, j’arrête le marché aux fleurs. Pour le reste, je conseille le campo dei fiori pour faire vos courses les matins de semaine).

Burdisso: 3 (banjos rieurs) / 5: Un peu le paradoxe romain. Après analyse, les Romains n’encaissent pas énormément de roquettes (pas la salade, bande de noeuds, quoique vous pouvez en trouver de la bonne au campo dei fiori, de la fraiche qui dégouline de cette rosée brillante sous le soleil automnale de Rome) mais sont très souvent mis en danger. Les offensives des Corses italiens ont quand même failli faire sauter plus d’une fois la banque argentine. Mais celle-ci, communsimbolé, a tenu et a capitalisé comme la société générale sur une plage de Mykonos!

Juan : 3 (manu militari) / 5: Grosse satisfaction des 30 premières minutes du match, cette période où la Roma a offert un de ses visages les plus enthousiasmants depuis le début de la saison. Putain de merde, pourquoi cette combinaison me serre autant? Elle me donne tellement chaud. Et m’empêche de lever les bras en signe de V comme vierge velue. Je disais donc, nom de diou, qu’il doit revenir, le Brésilien. Sa disparition complète de la suite du match, semblable à une fringale de maillot rose (oups, oups, oups, où mon stylo? ) dans les Dolomites, n’est pas présente dans la note mais un peu quand meme.

José Angel: 2 (code pénal) / 5 : Bon, bon, bon, c’est pas tout ça mais faut réviser encore et encore. T’es pas une enflure mon petit. Mais si tu te la pètes à te la jouer latéral-ailier, encore faut-il savoir centrer ! Un pizzaiolo fait des pizzas car il sait lancer la pâte. Un maçon fait des baraques dans le Val-de-Marne car il sait parler le Benfica ou le Sporting. Donc c’est vrai que les offensives viennent souvent de ton côté, mais primo c’est rarement dangereux et secondo, dans ton dos, ca va à toute berzingue tâter de mon cotorep anal.

De Rossi: 4 (je vous salue marie ) /5 : Sur le but, c’est lui qui se jette et chope la balle pour relancer immédiatement sur Lamela qui va marquer joli, joli. A côté de ce mec, Hannibal de l’agence tout risqué, est un vulgaire vendeur de chaussettes méphisto. Un peu plus de déchets, mais à tenir la baraque tous les week end, il faut bien qu’il se repose sur le toit du monde et se souvienne qu’il est l’humain, l’élu, l’homme prothèse, le modèle du clonage du XXXeme siècle, le XV All Black dans une seule cuisse, le père de l’humanité quoi!!

Pizarro 3 (Bailey’s à Karachi s’il vous plait )/ 5: Où est mon stylo? Mais il vous a été confisqué quand vous avez tenté de cellulariser les yeux de l’infirmière Morgane de toi lors de votre visite au musée de l’homme. Ah? J’ai fait ça? Oui, vous parliez d’un obscur fondement d’aigle. C’était incomprehensible. Et j’ai parlé Chilien? Non, il ne me semble pas. Ca y est, il est parti. J’écris que Claudio a fait du bon et du moins bon avec de la purée verte. Pas assez décisif et gâcheur de rutabaga mais il n’en reste pas moins acteur des débuts fracassants, pourvoyeur de technicité et de vitesse de projection vers l’avant.

Gago 2 (pastilles drill contre la faim) / 5: Un peu méchant mais je sens mes forces m’échapper. Il fait froid dans cette cellule. On m’ a éteint le chauffage. Comme quand Gago m’a disparu du radar laissant ses coéquipiers pour des laissés-pour-compte de Serie B. Je n’ai plus beaucoup de purée et j’ai les ailes qui me démeangent. Il apporte quand même la vision d’un autre possible par rapport à mon ennemi intime à bouc rasé.

Lamela 5 (condoms saveur entrecote) /5: Premier match, première occasion, premier bellissimo but. Rien à dire. Tout à vivre.

Borriello 1 (lavomatic à mèches de lama) /5: remplir une grille de sudoku niveau Kasparov avec des radis rouges, c’est comme parler de la prestation du Marco dans un salon de coiffure pour nonnes : particulier. A qui la faute ? Les nonnes ont bien une idée mais Fabio disgresse déjà loin avec des doigts à purée.

Osvaldo 0 (Vis mes crottes CJP sur TF 1) / 5: Toi, mon pote, je t’attendais au tournant. La purge, c’est toi, pauvre plagiat. Ne t’avise pas de recommencer à faire du Totti. Contente toi de planter des pions si t’en es vraiment capable et laisse la légende à ceux qui en ont le talent. Parce que sur ce match, tu m’as plus prouvé tes competences de plagieurs chieurs de peteux-rota qu’autre chose. Allora basta e chiudi il beco.

Radeau de la méduse:

Bojan: Chabal à 6 jours.

Heinze: Swarzeski chez l’esthéticienne.

?????: un bouc sans couilles ni pieds.

Il coach

Louise-Henri: 5 (et la lumière fût)/ 5: Maintenant, envoyer l’immonde fallacieux chez les Laziali impuissants en tant que souberette anale et t’auras tout bon.

La zika

Il baccio di dietro,

Fabio Labello

Fabio ne peut pas le faire, alors le service vous file les images.

 Après-propos : Non, vraiment, cette victoire de la Lazio à la dernière minute, y a pas, on a oublié. Bisous Fabio.

4 thoughts on “La Louve Académie note Roma-Palermo (1-0)

  1. J’ai pas compris la vanne sur Bojan mais j’ai ris 10 minutes.

    Au fait il est toujours rigolo avec sa dégaine de : « attention !! attention !! attention !! j’avance les bras écarté, la langue tiré, attention !! je crochète »

    Mon Dieu l’année dernière avec le Barça c’était beau jeu et poilade à volonté.

    Vraiment le spectacle( football!!!) totale

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.