Hristo Mario s’est penché et s’est épanché sur sa page vierge comme un écrivain Culé bien connu de nos lecteurs afin de nous offrir un Onze digne du palmarès de son club vénéré. Dans son infini savoir, Hristo est allé plonger dans ses souvenirs les plus affreux, les heures les plus sombres et les vignettes panini les plus dégueux et insensées ayant habités sa mémoire et le Camp Nou. Ainsi, premier parmi les premiers, Hristo Mario est fier de vous proposer le Onze Anal historique du F.C. Barcelone.

Voici donc le onze anal composé de spécimens en tous genres : joueurs formés au club endossant le rôle d’espoir jusqu’à 28 ans, erreurs de casting et joueurs de légendes n’ayant malheureusement pas brillé en Catalogne.

Titulaire : HESP (1997-2000) : comment définir ses capacités sans faire peur aux enfants ?  Il y avait une chose que j’appréciais chez lui, c’était ses maillots multicolores. Voilà. Ensuite pour tout ce qui touche à ce que je détestais chez lui il y avait sa médiocrité sur la ligne de but, ses relances foireuses, ses sorties aériennes Bernardlamiennes et ses sorties dans les pieds des attaquants qui finissaient toujours par un but ou par un carton rouge et un penalty. Une vraie passoire ce type, et sans le métal entre les trous.

Remplaçant : DUTRUEL (2000-2002) : 2 saisons au club, 15 titularisations dans les 15 premières rencontres et la belle histoire de l’homme à la coiffure de Claude François s’est arrêtée nette. Une blessure ? Une suspension ? Une envie de partir dans un plus grand club ? Que nenni. C’est juste qu’il était mauvais comme un cochon. Les Français et le Barça, toute une histoire…

Auraient pu figurer sur la feuille de match mais :

RUSTU (2003-2004) vu sa gueule, autant ne pas trop l’accabler.

BAIA (1996-1999) il fit 2 bonnes premières saisons.

Titulaire : CHRISTANVAL (2001-2003) : croyez-moi si vous voulez mais j’étais fan de ce joueur… à Monaco. Je trouvais son association avec Martin Djetou parfaite et rien ne passait. Sinon à Barcelone ? Bah rien. Van Gaal n’en voulait pas lors de son retour au club et quand il jouait il était mauvais comme la peste. Pour une fois, la future carrière du joueur n’a pas donné tort au tortionnaire batave.

Remplaçant : COUTO (1996-1998) : avant d’arriver à Barcelone, Couto était un leader de la grande équipe de Parme. Ayant fait ses preuves en selecçao, à Porto et Parme, Robson l’entraineur de l’époque s’est certainement dit « Ouah putain je le tiens mon défenseur solide comme un peuplier ». Grave erreur, une idée de Mourinho je pense.

Aurait pu figurer sur la feuille de match mais :

F. DE BOER (1999-2003) la nandrolone a fait effet et il est devenu bon.

Titulaire : DEHU (1999-2000) : une année sûrement magique pour le joueur où il pouvait se la raconter à base de « ouais le Barça je connais, j’y suis titulaire en défense centrale ». Expérience moins magique pour le club. Des relances aussi laides que son nez, une solidité défensive que  même Jean-Jacques Pierre aurait pu décrier. Un lensouè comme on n’en fait plus, et on ne le regrettera pas.

Remplaçant : CHYGRYNSKYI (2009-2010) : recruté à l’été 2009 au Shaktar pour 25M€ et revendu au même club l’été 2010 pour 15M€, ça situe la qualité du personnage. La boutique de Barcelone a quand même réussi à vendre 3 maillots de lui. Bravo aux 2 vendeurs, Miguel et Pilar, d’avoir exécuté avec brio cette superbe entourloupe.

Aurait pu figurer sur la feuille de match mais :

BLANC (1996-1997) il est président et a l’immunité anale.

Titulaire : REIZIGER (1997-2004) : sa tête était un mélange entre un poisson du néolithique et un batracien d’Océanie du sud. Pour faire court, il n’avait pas la gueule de l’emploi. Et histoire d’en rajouter une couche, il n’avait pas le talent d’un footballeur. Membre de la légendaire équipe de l’Ajax de 1995, il est arrivé dans les bagages d’un Van Gaal sûr de son fait quant aux qualités du latéral. Et comme souvent, Louis s’est trompé.

Remplaçant : BOGARDE (1998-2000) : lui aussi fait partie de la colonie oranje importée tout droit du pays des putes et du gouda. Et comme la majorité de ses compatriotes, il ne dérogera pas à la règle qu’un défenseur hollandais au Barça, c’est moche

Titulaire : OLEGUER (2002-2008) : plus Catalan que lui, cela n’existe pas. Le genre de joueur à, par conviction, refuser une sélection en équipe d’Espagne pour se concentrer sur son club et la sélection catalane. C’est tout à son honneur. Faute de talent, le Barça l’a éjecté à base de coups de pieds au cul, l’Ajax l’a accueilli les bras ouverts.

Remplaçant : GABRI (2001-2006) : lui aussi pur canterano, si un adage devait le définir ce serait surement : « mieux vaut être bon à un poste, que mauvais à tous ».  Aussi polyvalent que médiocre, il n’a jamais percé dans l’équipe. Dommage, non je déconne. Barça, coup de pieds au cul, Ajax, bras ouverts.

Titulaire : PETIT (2000-2001) : pilier du milieu de terrain des Gunners à la fin des années 90, champion du Monde et d’Europe en titre, il avait tout pour réussir à Barcelone. Mais réussir au poste de milieu défensif au Barça n’est pas à la portée du premier clampin arrivé, surtout quand ce dernier passe son temps à arracher les genoux des adversaires et ne réussit pas une passe. Come-back à Chelsea en Premier League l’année suivante, un club tout en finesse qui lui va à ravir.

Remplaçant : EDMILSON (2004-2008) : comment un joueur comme lui a-t-il pu faire le doublé Ligue des Champions-Liga en étant titulaire pendant toute l’année, c’est un mystère. La seule qualité que l’on pouvait lui trouver c’est sa capacité à effectuer de bonnes transversales et ouvertures. Sauf que sous le maillot azulgrana, il les a toutes loupées ce con.

Titulaire : MENDIETA (2002-2003) : prêté pendant une saison par la Lazio, il ne fallait pas attendre quoi que ce soit d’un joueur en proie au doute dans un club en proie au doute. Et ce qui devait arriver arriva. Le plus gros salaire du club ne changera rien à la décadence des années Gaspart. Il aurait pu devenir une légende dans son pays, il n’en a rien été. Son seul fait est une frappe monumentale au Nou Camp… mais face à Barcelone pour les priver du titre. Un beau gâchis.

Remplaçant : R. DE BOER (1999-2000) : la deuxième place en partant de la gauche sur le banc de touche du Camp Nou est la sienne. On y voit encore quelques hiéroglyphes néerlandais dont il fut l’auteur. Sa raie des fesses est, depuis, moulée dans le tissu du fauteuil.

Aurait pu figurer sur la feuille de match mais :

LITMANEN (1999-2001) il est Finlandais c’est déjà dur.

Titulaire : GOIKOETXEA (1990-1994) : pièce importante de la Dream Team de Cruijff, il aurait pu faire partie de mon onze mondial. Mais le lascar ne le mérite pas. Le bougre, après 4 ans passés au club, a dû penser que l’herbe était plus verbe sur les bords de l’Atlantique que sur les rives méditerranéennes. Grand bien lui en fasse, chacun fait ce qu’il a envie. Le seul souci, c’est qu’à chaque rencontre entre son ancien et son nouveau club, l’animal n’a rien trouvé de mieux que de créer des bagarres générales ou d’aller titiller les chevilles adverses à base de crampons taille 22. Une coutume basque peut-être.

Remplaçant : HAGI (1994-1996) : 2 saisons au club, aucun trophée. Merci l’artiste. Un numéro 10, un vrai, à l’image d’un Zidane ou d’un Riquelme. Le soucis c’est qu’il avait oublié son numéro 10 à Brescia pour le retrouver ensuite à Galatasaray. Triste passage pour un joueur de son envergure.

Aurait pu figurer sur la feuille de match mais :

RIQUELME (2002-2003) il n’a pas vraiment eu sa chance.

Titulaire : FIGO (1995-2000) : capitaine d’un Barça en plein renouveau à la fin des années 90, il avait tout pour réussir une grande carrière sous le maillot du Barça. Malheureusement, et sous la pression de l’ignoble Joan Gaspart, élu président du club quelques jours plus tôt, le bougre a préféré passer chez l’ennemi pour la bagatelle de 60M€. Traitre. Cela lui vaudra 2 ans plus tard, lors d’un déplacement du Barça à Bernabeu, la plus belle bronca des supporters catalans ainsi qu’en offrande, une magnifique tête de porc cuite.  Depuis il a rejoint Francisco Franco dans le cercle très restreint des personnes les plus détestées en Catalogne. Une belle ordure au final.

Remplaçant : QUARESMA (2003-2004) : le joueur PES par définition. Certains forumeurs initiés l’ont qualifiés de « nouveau Maradona » ou encore « tuva voir il seras meyer ke creuillf ».  Je ne sais même plus où il joue et je n’en ai rien à foutre. Un joyaux taillé dans de la fiente pure.

Auraient pu figurer sur la feuille de match mais :

EZQUERRO (2005-2008) il apportait les bouteilles d’eau comme personne.

LUIS GARCIA (2003-2004) je suis trop fanatique de ce joueur pour le mettre dans l’équipe.

WITSCHGE (1991-1993).

Titulaire : MARADONA (1982-1984) : plus d’un sera surpris de voir Diego dans le onze anal et pourtant. Hormis une coupe du Roi et 38 buts en 58 apparitions, le passage du Pibe de Oro laissera un goût amer au fond de la bouche des supporters catalans. Une période à base de putes, drogues, alcools, bagarres sur et en dehors du terrain, blessures à répétitions et hépatite. Maradona a toujours eu deux visages, dommage qu’on ait eu droit au pire du côté de Barcelone malgré son titre de joueur de la Liga en 1983.

Remplaçant : SIMAO (1999-2001) : un cul gros comme le sien, ça ne s’oublie pas, et pourtant presque personne ne se souvient de lui. Annoncé comme le nouveau Figo à son arrivée, les Culés ont vite compris que le club avait recruté une copie de Maniche en moins rapide.

Auraient pu figurer sur la feuille de match mais :

GEOVANNI (2001-2003) ne vaut même pas la peine qu’on en parle.

GIOVANNI (1996-1999) voir ci-dessus.

Titulaire : IBRAHIMOVIC (2009-2010) : 60M€. Le transfert le plus onéreux de l’histoire du club et revendu pour seulement 25M€. Une perte de… faites le calcul. Joueur à l’égo surdimensionné  auquel l’équipe doit adapter son jeu. Sauf que Barcelone n’est pas un club comme les autres et, même pour un joueur aussi cher, ne dérogera pas aux traditions ancestrales pour un boulard comme celui-là. Malgré une saison à 22 buts, il n’a jamais voulu s’intégrer. Comme dirait Brassens, quand on est con, on est con.

Remplaçant : LINEKER (1986-1989) : malgré un triplé inscrit lors d’un clasico, Gary Lineker marquera bien plus l’histoire du football pour ses buts en Coupe du monde 86, ses problèmes intestinaux en Coupe du monde 90 ou par sa phrase « le football est un sport où 22 joueurs courent après un ballon mais où à la fin ce sont toujours les Allemands qui gagnent » que par son passage éclair du côté de la Costa Brava malgré ses 54 buts en 100 apparitions.

Auraient pu figurer sur la feuille de match mais :

SAVIOLA (2001-2004 puis 2006-2007) il faisait de belles passes à Kluivert.

GUDJOHNSEN (2006-2009)  un albinos dans un onze espagnol ça fait mauvais genre.

DUGARRY (1997-1997) Van Gaal a eu la bonne idée de le faire jouer milieu défensif.

Entraineur : VAN GAAL (1997-2000 puis 2002-2003) : deux titres de champion d’Espagne en 1997 et 1998 puis Louis a pété un câble. Son tableau de chasse est impressionnant : Bogarde, les frères De Boer, Reiziger, Simao, Litmanen, Dehu, Hesp, Dugarry. Buuuuuurrrrp, j’ai vomi. Des recrutements foireux et une saison 1999-2000 blanche comme un cachet d’aspirine. Et le bougre ne s’est pas arrêté là, il est revenu à la charge en 2002-2003 pour, à mon avis, la pire saison du club et une magnifique 6ème place à la clé. Je ne remets pas en cause ses qualités que l’on connait tous mais Van Gaal et Barcelone, c’est un peu comme l’huile et le vinaigre, ça ne se mélange pas.

Adjoints : REXACH (1991-1991 puis 2001-2002) / ANTIC (2003-2004) Que serait un entraineur anal sans ses 2 adjoints intestinaux ? Une merde peut-être. Les 2 élus sont les colmateurs de trous les plus célèbres de ce début de siècle. Ils sont arriver, truelles en main et sac de plâtre sur l’épaule, pleins de bonnes volontés, mais n’est pas Guus Hiddink qui veut, surtout quand on ne sait pas couler le béton.

25 thoughts on “Le Onze Anal Hristorique du F.C. Barcelone

  1. De Boer: « On y voit encore quelques hiéroglyphes néerlandais dont il fut l’auteur. Sa raie des fesses est, depuis, moulée dans le tissu du fauteuil. »
    Splendide!

    Rien à redire (même si Maradona je persiste, n’a pas été si anal que ca, c’est pas de sa faute s’il se fait cisailler dans ses matchs et doit passer sur le billard plusieurs fois).

    Sinon un Thierry Henry ne ferait pas mauvaise figure dans ce 11…surtout pour sa dernière saison, sa mentalité de con, son mondial…bref bien anal comme recrue. (sa bonne saison 2008-09 pour moi est la conséquence de la spirale positive du groupe)

  2. oui d’accord pour henry, star anale incontestable, car à la différence des autre L1 il avait les qualités, il lui manquait juste l’humilité.

  3. Benji

    Ouais mais Maradona n’a pas gagné grand chose. Et puis la coke, personne ne lui as foutue de force dans le pif. Non franchement il faisait n’importe quoi et ce n’est pas parce qu’il s’appelle Maradona qu’on a un passe droit pour le onze mondial de Hristo.

    Hamada et Benji

    Henry dans le onze anal? C’est une blague?
    D’abord son mondial je m’en fous, il portait un autre maillot. Le type est présent l’année des six titres, il gagne une Liga en plus, il marque face au Real, à Séville, à Valence, à Villarreal, à l’Atletico et niveau mentalité, on est loin du Thierry Henry époque Gunners. C’était une star à Londres et il s’est fondu dans le collectif à Barcelone, ce que beaucoup de joueurs de son niveau n’ont pas réussi à faire

  4. @Hristo:
    mouai pfff je sais pas. Franchement Henry autant je l’idolatrais à Arsenal, autant au Barca il me faisait honte. Ses dribles (toujours les mêmes) sur la gauches me donnaient envie de vomir. Oui il a marqué à des moments cruciaux tu as raison, mais c’était la plupart du temps des matchs où le Barca gagnait 5 ou 6 à 0. Il a fait quelques grands matchs (je me souviens de son triplé contre Valence ou de ses 2 buts pour revenir au score con Madrid) mais en a fait beaucoup plus de vraiment mauvais (en C1 surtout).
    Quand tu vois que sa « grande » saison (24 buts je crois) il termine que 3ème buteur c’est que ca confirme ce que je disais: un joueur n’est pas noté sur ses stats, il est noté sur ses stats comparées à celles des autres joueurs.
    Mais bon, c’est facile de critiquer, je trouve tes 11 mondiaux excellents et j’étais loin d’en savoir autant sur les grands joueurs du Barca.

  5. oui pareil que Benji, respect pour la culture, je comprends que t’aimes bien henry mais il faisait rien que de remettre la balle en retrait, au moins il la perdait pas, il avait compris qu’il était une imposture, enfin Bojan lui a chipé sa place quelques mois, c’est pour dire…
    Dans cette équipe, même moi j’aurais pu prendre la place du titi, en retrait, en retrait, etc.. la seule variation est de savoir si on la donne à papa Xavi ou à tonton Iniesta.
    En tout cas le Henry il fait parler de lui mais un gars moins fort, moins connu, moins titré, venant du même club (saisons 97-98 jusqu’au titre de 2001), moins grand et moins prétentieux a gagné lui aussi la champion’s après grande disette (et non pas dans une équipe de feu) et a beaucoup plus contribué aux titres du club à mon goût, je parle de ludovic ti parigot Giuly.

    Et lui on l’oublie tous, alors qu’il rentrerait facilement dans ton one anal (pas pour le sportif, pour le physique, ro ro ro je suis drôle)

  6. On parle de la carrière à Barcelone, et de choisir les 11 mecs les plus scandaleux. Moi ce que je vois c’est un joueur qui a fait de son mieux avec ses moyens, et a même bien contribué dans l’une des plus grandes saisons de l’histoire du club. Je déteste Henry, je déteste Arsenal, mais moi ce qu’il a fait à Barcelone je respecte malgré tout.

  7. Benji

    Non sa première année où il est excellent il est meilleur buteur du club avec 19 buts. Et il doit distribuer entre 10 et 15 passes décisives.
    Sur 3 ans, on va dire que c’est du 50/50, la première moitié très bonne et la deuxième moitié quelque peu décevante.
    Et pour reprendre l’argument d’Hamada sur les joueurs qui déclinent avec l’âge, il ne faut pas oublier qu’il est arrivé à 30 ans à Barcelone après 12 saisons au plus haut niveau sans jamais se blesser gravement.
    Mais mon objectivité me joue peut-être des tours, qu’est-ce que j’aime ce joueur.

  8. je savais pas qu’il avait été meilleur buteur du club.
    Bon, ok.

    N’empêche je l’aime pas, il a pris la place de son « pote » Trézéguet et c’est une cause de la disette post 2000 (avec les départs du Président et de la Dèsche). Oui je sais que l’on s’éloigne du sujet. Sinon défense un peu lente mais si on met cette équipe sur le terrain en défendant un peu bas, mmmh ça a de la gueule.

  9. Dehu au Barca…de se remémorer cela fait un choc…
    Sinon énorme l’accueuil de Figo qui au passage ne se démonte pas et prouve qu’il en a

  10. En gros transferts qui n’avaient pas donné grand chose, Overmars est concerné ou alors ma mémoire me joue des tours ?

  11. Je n’ai jamais beaucoup aimé Thierry Henry, mais dire qu’il a été décevant au Barça c’est aussi ne pas se souvenir qu’il n’a pratiquement joué qu’ailier gauche.

    Je vois peu d’ailiers gauches en Europe avec 49 pions et 26 passes en 121 matchs.

  12. J’aurais bien vu le père Busquets dans ta sélection de gardiens.. c’était quand meme le maillon faible dans une équipe qui n’en avait pas beaucoup.

  13. Les culés sont vraiment des idéologues. C’est le seul onze anal où tu peux voir des vrais joueurs de foot juste parce qu’ils ont pas été « Unicef Corporated »…

    Pourquoi parler de foot, amis barcelonais fanatiques, puisque manifestement ça ne vous intéresse pas ?

    PS : sans réellement changer mon propos mais en le précisant : le con, c’est précisément pas Ibra et sa bonne saison, c’est le reste des demeurés et leur gourou (nul) Pep.

  14. flash

    Il y en a eu des pipes dans les buts barcelonais, dur de faire un choix. Il y avait Bonano aussi.

    DT

    Ton inculture footballistique me fascine.
    Ne serais-tu pas en fait Brieuc Simon ou Sébastien Deny?

  15. Vu les propos que j’ai tenus je ne vois pas en quoi ma culture (ou du moins, pour toi, mon inculture) footballistique vient faire ici.

    Réfère toi à mon intervention kantienne dans ton onze hristorique pour voir en quoi ton parallogisme est un scandale pour la pensée.

  16. hahahaha Bonano, rien qu’en lisant son nom j’ai ri. Je sais pas le père Busquets il m’a marqué, j’étais petit et je me souviens avoir des suées avant chacune de ces interventions..

  17. une grande énigme pour moi ca restera le joueur de Valence Gerard : magnifique sous le maillot blanc, transparent au Barça… qui l’avait lâchement refourgué à Monaco en prêt si je ne m’abuse…

  18. Excellent onze anal, même si je trouve que la longueur de la pénétration n’est pas toujours comparable, comme un symbole de Nicolas et Barack.

    Qu’est-ce qui passe moins bien dans l’intimité des dirigeants barcelonais ? Maradona, son titre de meilleur joueur, ses 38 buts en 58 matchs, et sa coke? Respect. Ou bien Dehu ? D.U quoi !

    Hristo 6/5 (+1 pour avoir orthographié GOIKOETXEA quand je suis incapable de prononcer Hristo correctement. Risto? Hirsto? Solskjaer?)

  19. Et ultime bafouille de trop:

    Bernard Lama, ouais, lui, ouais, son point fort, justement, si, ba c’était pas, si ba attend j’y arrive, c’était pas les sorties aériennes ? Sur coup de pied de, si si, de coin notamment?

    Tu comprendrais mieux la question si tu ne me coupait pas la parole tout le temps !

    Je croyais.

  20. Bon onze anal dans l’ensemble, même si la présence de plusieurs joueurs et le critère d’admission peut être discuté et est discutable (Maradona, Edmilson et Figo dans une moindre mesure) mais peu importe.

    Par contre là où le bât blesse c’est la confusion entre deux joueurs homonymes complétement différents. Ion Andoni Goikoetxea est celui qui jouait à Barcelone, or Hristo toi tu nous parles de Andoni Goikoetxea Olaskoaga, un joueur basque qui n’a jamais porté nos couleurs. D’ailleurs ça ne t’a pas fait tilté que « notre » Goikoetxea ait joué de 90 à 94 alors que la vidéo que tu montres date de 1983 et de son fameux tacle assassin sur Maradona ?

    C’est totalement incompréhensible.

  21. >Kurdt
    On va dire que j’aurais dû wikipédié. L’autre était nul aussi donc ça passe comme dans du beurre.

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