METZ – CRETEIL : 1-1 LA METZ QUE UN CLUB ACADÉMIE A BESOIN DE TOI
Sylvain Marchal ?
Salut les copains,
Rigobert a décidé d’attiser la haine contre les juifs. Certes c’est gratuit et ça n’a de lien avec rien, mais c’est hyper marrant.
Metz que une interview : « Moussa Gueye a des attitudes corporelles que je ne comprends pas »
Lui c’est Albert Cartier, et toi t’es qui putain ? Un arabe, un hipster, Jérôme Balavoine ou un déficient mental, il n’y a plus que ces quatre possibilités par les temps qui courent. Malgré tout, Rigobert est content de te proposer cette interview rafraichissante d’un entraineur peu connu et peu content, qui a des principes encore plus carrés que les pieds de Romain Inèz (presque), une bonne paire de couilles bien mouillées, et un plan pour remettre le FC Metz là où il se doit : une division au-dessus de l’AS ANAL. Interview à lire bien droit sur ta chaise.
Bonjour Albert Cartier, alors racontez nous pour commencer votre retour dans votre club de cœur avec les doigts.
Bonjour Monsieur Pirès. Eh bien, comme chacun sait, le FC Metz venait de tomber en National, une première dans son histoire, et le club cherchait un entraineur qui accepte de relever le défi. Personne n’était intéressé. Le club a contacté tous les entraineurs au chômage, tout le monde a refusé. Ils se sont donc tournés vers les membres du club, mais même là ça ne tentait personne. L’entraineur de la 2 des u11 par exemple a décliné la proposition avant de résilier son contrat à l’amiable et de se suicider la semaine suivante. Vraiment personne ne voulait le job.
Même pas vous ?
Si bien sûr, moi j’étais enthousiaste mais mes expériences passées ne parlaient pas en ma faveur…
Et finalement vous êtes choisi.
Oui. Quand Carlo Molinari s’est mis assis rue Serpenoise avec un carton « cherche un entraineur pour équipe professionnelle », les membres du comité directeur ont senti que ça allait trop loin. Ils m’ont donc appelé.
Quelle a été votre réaction ?
J’avais besoin d’extérioriser la joie que je ressentais. J’ai tiré au fusil par la fenêtre de ma salle de bain.
Vous êtes chasseur ?
Non je ne suis pas chasseur, mais je lui mettrais bien une cartouche.
Pas compris.
Bon ferme-là et pose ta question suivante. Merci.
Ça va ça va, pas la peine de…
FERME-LA ET POSE TA PUTAIN DE QUESTION !
(les yeux qui pleurent) Comm…Comment… Pourquoi vous avez recruté Moussa Gueye ?
Bon pardon Monsieur Pirès. J’ai tendance à m’énerver assez vite quand on parle de ma salle de bain. Je vous aime bien, et donc je vais vous donner du croustillant : j’ai demandé à ce qu’on recrute Moussa Gueye parce que j’étais vraiment sûr que le FC Metz était très très nul. Je ne m’attendais pas à autant de talent dans cette équipe.
Donc l’ami Moussa vous a vite fait déchanter.
On peut dire ça. Il ne ressemble à rien de ce que j’avais pu voir avant. Il n’est ni physique, ni technique, n’a aucune vision du jeu, n’est pas bon de la tête, ne sait pas s’il est droitier ou gaucher, ne sait pas lire ni écrire, ne sait pas chanter, n’a pas d’honneur et n’a aucun style. Il est astigmate, noir, maladroit et mal bâti.
Vous n’y allez pas avec le dos de la cuiller…
Non. Et je lui nique sa mère à la cuiller. Je suis pas là pour rigoler moi.
Manifestement.
Donc je disais, avant que vous ne me coupiez la parole que Moussa a des attitudes corporelles que je ne comprends pas. Je l’ai fait suivre par un psychothérapeute spécialisé dans les grands noirs, et même lui a fait choux blanc.
Peut-on s’attendre à ce qu’il parte ?
Oui, mais personne n’en voudra. Il craint beaucoup trop. La dernière fois je l’ai amené à la déchetterie, je lui ai fait croire que je voulais qu’il m’aide à jeter mon sapin de Noël et je l’ai jeté dans la ben « sales ordures ménagères très sales». Le mec qui bosse là-bas s’est réveillé d’un coup et m’a dit qu’il ne prenait pas ça. J’ai dû le ramener chez lui.
Et même Sochaux n’en veut pas ?
Même Sochaux… J’ai pensé faire un lot avec du Inèz et du Angani. On verra, peut-être que Tubize avec qui je suis en bons termes pourra faire un geste.
Et tant qu’on parle départ et qu’on ne parle pas de votre salle de bain, pouvez-vous nous dire ce qu’il en est pour Sakho et Sarr notamment ?
Sakho est très bien dans la mentalité, il dit vouloir rester, on verra ce que ça va donner. Sarr a des petits problèmes de disciplines. Récemment j’ai encore dû le priver de Playstation à cause d’un caprice.
Il se plaignait de ne pas jouer alors qu’il est hyper bon ?
Voilà. Seulement moi sur le terrain, je veux des hommes. Pas des petits Kévin à chaussures fluos et à crête de baltringue.
Vous en avez un gros pourtant de Kévin…
Qui donc ?
Lejeune.
Lejeune s’appelle Stéphane. Tout le monde sait ça.
Oh putain, l’arroseur arrosé. Bon en tout cas merci Albert Cartier de vous être confié. Surtout changez pas.
Et vous restez digne.
Oui mon colonel.
Cadeau, de Noël :
Romain Inèz, nouvelle égérie publicitaire du FC Metz :
Des news et des liens :
- Le jeune Fadil Sido (potentiel de jeux de mots indéniable) a rejoint le FC Metz, sous forme de don, en provenance du feu MUC 72 mes couilles. Rigobert ne peut s’empêcher d’avoir un petit sourire en coin quand il évoque le feu MUC 72 ses couilles.
- Rigobert est sur un vaste projet de onze anal presque historique du FC Metz et il a besoin de toi pour faire sa feuille de match
- Moussa Gueye se fait prêter comme on prêterait une vieille poile à sa voisine du dessous qui pue la pisse, à l’Académia de Coimbra, un club aussi glorieux que Moussa Gueye est nul. Ça peut donc fonctionner.
- Nicolas Fougère quant à lui s’est déclaré prêt à racheter son année de contrat au Stade Anal de Reims pour pouvoir continuer l’aventure avec le FC Metz. C’est beau comme le SIDA et ça se pose directement comme candidat en puissance à l’eau fraiche.
- Une compile Romain Métanire, communsymbole que le monde part en couille.
Metz que un contexte :
Pour son premier match de ligue d’eux en 2014, le FC Metz se déplaçait au Stade Océane, un nom à la virilité trébuchante pour un club au nom râpeux et qui sent les égouts, le Havre Athlétique Club. Privé de 18 de ses titulaires, Metz avançait donc en eaux troubles et se laissait surprendre par deux fois, sur cafouillage, une technique que le HAC maîtrise à la perfection. Mais c’était sans compter sur Génie N’Gplhkkotokoto, qui remit le FC Metz dans le droit chemin, lui permettant d’obtenir le nul (2-2) et de garder ses trente deux points d’avance sur le troupeau de derrière.
Une semaine plus tard, c’est une autre équipe à l’odeur pénible qui débarque à Sinsinf’ : Créteil-Lusitétanos. Constituée exclusivement de Portugais, de gros noirs, de manouches, d’anciens chômeurs gauchers et de Jean-Michel Lesinge, Créteil est une équipe casse-couille, sur qui Metz a déjà trébuché par le passé. Mais Rigobert ne parle pas du passé, parce qu’après on le traite de petite salope qui mériterait de crever, lui, et toute sa famille. Ce qui est un peu radical vous en conviendrez.
Metz que oune match :
-5e : Sylvain Marchal ?
-3e : Sylvain Marchal ?
-1e : Bon ben Sylvain Marchal alors.
2e : Sylvain Marchal ?
5e : Stéphane Lejeune envoie une mi-molle sur coup-franc mais oblige quand même Kerboriou à se salir. S’il n’était pas déjà sali à tout jamais en ayant signé à Créteil-Lusitanos-Thonon-Gaillard.
12e : Metz tente de relancer court et propre. C’est immonde.
16e : Sylvain Marchal ?
26e : Superbe mouvement en triangle isocèle qui se conclut par un ciseau de Nicolas Fauvergue et sa tête de mongol. Mais le gardien avait fait la pierre et préserve son but inviolé. Contrairement à l’anus de Julie Gayet.
29e : Buteur de la tête, Jean-Michel Lesinge se voit refuser son but pour avoir tenté d’apprendre à Monsieur l’arbitre assistant à faire la grimace.
32e : Soit le premier rideau de Créteil c’est la muraille de Chine, soit Romain Inèz a refilé sa maladie (la têtedebite aigüe) au reste de l’effectif.
34e : S’agirait de grandir. S’agirait de grandir.
38e : Quelqu’un a des nouvelles de Bouna Sarr ?
43e : Jean-Michel Lesinge envoie une flottante que Carrasso détourne sur sa barre mitzvah.
Mi-temps. Fleurival reviens !
47e : Débordement combiné de Bussmann et de Sakho qui font la technique du je te tiens tu me tiens par la barbichette. Le défenseur lusitanul n’y voit que du feu, et Sakho peut déposer un caviar sur le casque de Fauvergue qui trainait dans le coin. 1-0.
51e : Double sanction pour le FC Metz et Gaëtan Bussmann : pénalty et carton rouge pour antisémitisme dans la surface de réparation.
52e : Andriatsima, malgache jusqu’au cou, concrétise la tentative de Monsieur Rainville de relancer le match, le championnat, et sa popularité en Île de France. 1-1
56e : Sylvain Marchal ?
65e : Corner messin, Kashi tente la volée, loupe le ballon, pivote, tente à nouveau la volée, tape dans la terre. Le référentiel bondissant poursuit sa course jusque dans les pattes de Sylvain Marchal qui d’une pierre deux coups, bat le record du tir le plus haut du monde détenu par Sergio Ramos et devient le premier messin à envoyer un ballon sur la lune.
73e : Métanire vient de terminer son échauffement et maintenant que plus rien ne le distingue de l’antilope, attaque la mission débordements 2.0.
77e : Lancé à 80km/h minimum, Yéni N’Gyapaphoto se fait découper ambiance scandale danse de vandales devant la surface des Béliers. Monsieur l’arbitre sort à nouveau la carte rouge et ses salutations distinguées au défenseur de Créteil.
78e : Diafra Sakho tente de se faire justice lui-même à son copain, et enroule sur le poteau, toujours vigilant.
82e : La saloperie de Malgache continue son travail de sape d’animal nuisible professionnel et envoie une kartofel monstrueuse, sur la transversale, qui ne lui avait pourtant rien fait.
86e : Le FC Metz s’en remet au Diaf’ pour se montrer dangereux. Ce qui se tient niveau danger, mais qui fait quand même beaucoup pour un seul homme, aussi noir soit-il.
87e : Ah non Marchal aussi se montre dangereux avec ses petites passes latérales de petite pute latérale.
93e : On s’arrête là-dessus. Nouveau nul pour le FC Metz, en pleine crise.
Les notes : Rigobert tente une nouvelle technique nominative dans l’espoir de kène leur mère aux sales recruteurs, qui lisent à coup sûr par milliers les acad du Gobert.
Joie âne car à saut, 4/5 : Même pas capable d’arrêter un péno en lucarne, le frère de l’autre gros sac à vin a néanmoins le bon goût d’arrêter tout le reste, dont cette frappe sur-vitaminée de Jean-Mich-Mich Lesinge.
Rot main mets tanne ire, 2/5 : L’albatros handicapé aura mis 22 jours à rentrer dans son match, mais quand il l’a fait, il a retourné son couloir comme un chef en en foutant partout. C’était spectaculaire, mais c’était trop tard.
Gay taon bus manne, 3/5 : Bien mieux que ces derniers temps, l’homme-bus était peut-être le seul à défendre à son niveau et à ne pas trop faire le pitre à la relance, jusqu’à ce que l’homme en gris décide qu’on ne danse pas la valse dans la surface avec son adversaire. Question de point de vue.
J’ai remis chaud plein, 2/5 : Moins bien dans ses baskets qu’à l’accoutumée (sans doute que l’autre du dessous n’y est pas pour rien non plus), le natif du ventre de sa mère la chienne reviendra plus fort, soyez en sûrs. (Rigobert ne tenait pas à insulter la mère de Jérémy mais c’est juste qu’à un moment donné, je crois que bon.)
S’il vint marre châle, 1/5 : 49 ans. C’est sûr qu’un jour ça allait se voir. Surtout avec cette histoire de pied bot. Alors c’est bien gentil d’être ‘un mec du club’, d’avoir un état d’esprit exemplaire, d’être un joueur intelligent, d’être un cadre de l’équipe, de donner plein de sous aux sales clochards, de manger équilibré, d’être ouvert et sympa, d’avoir un état d’esprit exemplaire, d’aider les vieilles peaux à traverser, de trier ses déchets, de se laver les dents trois fois par jour, de souhaiter la bonne année à sa voisine la myope, de ne dépasser les limitation de vitesse, et d’être courageux face au danger, si c’est pour chier dans la colle sur le terrain alors que le grizzli ronronnait tranquillement sur le banc. Rigobert s’en est bouffé les couilles.
Ah merde cas chie, 2/5 : Un chauve comme un autre.
Quai vin le jeune, 2/5 : Le vieux a tenté de faire une ronde avec lui-même et balle au pied. Forcément ça n’a pas marché, et même s’il a l’excuse du poste qui n’était pas le sien, il s’invite à nouveau avec fracas dans la caste très fermée des Kévin.
Y est ni haine bas coteaux, 2/5 : L’homme invisible mais en noir.
Bout nasse art, 1/5 : Petit mâle chétif et inconsistant, peu téméraire bien qu’impliqué, le roi Bouna a déçu. Ce qui est décevant.
Nie colle as faux vergue, 3/5 : Le joueur le plus Rock’N’Roll de Metz a quand même une vraie tête d’ahuri. Mais d’ahuri heureux, et d’ahuri qui marque. De la tête. La boucle est bouclée.
Dis à fera sac haut, 4/5 : Qu’aurait fait le FC Metz ce soir sans son attaquant vedette ? (Rigobert envoie un geste fort aux gros membres).
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Maillot rot haine dos yeux, non noté : L’enfant soldat du FC Metz mérite de jouer plus. Et de manger plus, assurément.
Max où elle corps né, non noté : Elle commence quand sa carrière ? Parce que gagner la Danone Nation Cup, ça fait bien dans ton salon, mais pas dans ton CV.
Eurosport, 0/5 : Cher Eurosport, merci de ta compréhension.
Rigobert vous rappelle que tu dois cliquer ici parce que de toute façon toutes tes autres perspectives sont moins cool.
Pour ceux qui aime le sexe avec les animaux, le football sous toutes ses formes anales et les blagues sur le zizi, Rigobert est inscrit sur Facebook. Il ne l’est en revanche pas sur twitter parce que les petits oiseaux bleus, tout ça tout ça.
Rigobert Pirès.
34e : on est en 1955, les gars
belle acad’ rigo !
Youpiii
^^