METZ – DIJON (2 -0) : LA METZ QUE UN CLUB ACADÉMIE SE TOUCHE LES SEINS

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Toujours plus haut dans l’antichambre de la Ligue 1

Bonjour Madame, bonjour Monsieur, bonjour les noirs, bonjours les chinois, et même bonjour les handicapés. Non en fait, pas les handicapés. Sinon, bonjour tout le monde. Plus Metz est premier, et plus Rigobert est content d’être heureux.

 

Metz que oune interview :  »Je suis très excité par Gaëtan Bussmann… »

 

Connue de tout messin qui se respecte, cette jolie comptine pour enfant, est sporadiquement reprise de par les travées chantantes de Saint Symphorien :

 

« On vient de la ville de Francis Haulmes,

On vient de la ville de Francis Haulmes,

Et vos petites sœurs,

On leur fait peur,

On les séquestre pendant des heures. »

Mais qui est Francis Haulmes ? Un dangereux tueur en série, un prédateur sexuel comme nous l’ont dépeint les médias ; ou un gentil penseur de l’hédonisme, un artisan de l’amour et un architecte du bonheur comme le pense plutôt Rigobert ? Confessions d’un pas si criminel que ça.

Génie incompris

« Bonjour Francis, comment vous portez-vous ?

Bonjour Rigobert. Je me porte comme ça.

Non, mais je veux dire comment allez-vous, c’est une façon de parler.

Ah d’accord ! Pardon, je ne savais pas.

Et donc ?

Quoi donc ?

Comment allez-vous ?

Aaaaaaaah. Excusez-moi, je n’ai pas parlé depuis longtemps. Vous savez, pas grand monde ne réclame le Francis au parloir ces derniers temps.

Alors allez-vous enfin me dire comment vous allez nom d’une couille de loup ?

Oui oui, bien sûr.

Alors faites.

Foraines. Pardon j’ai pas pu m’empêcher. Je ne fais plus de jeu de mot depuis belle lurette, donc là c’est trop bon.

Véritablement, j’ai comme la sensible impression que vous vous foutez de ma gueule.

Oh ça va, ça va ! Le Francis a le droit de rigoler un peu aussi, poil au zizi.

Ah ça y est. On arrive là où je voulais en venir : votre zbouby.

Quoi mon zbouby ?

Vous êtes considéré comme un dangereux prédateur sexuel. Comment cette période d’abstinence forcée se passe-t-elle ?

Au début c’était compliqué, mais depuis que j’ai la télévision, ça va mieux.

Quoi ? Vous avez la télé ?

Oui avec Bein sport et tout ce qu’il faut. Je regarde ainsi beaucoup le FC Metz.

Et alors ? Comment vous trouvez votre équipe de cœur ?

Je suis notamment très excité par Gaëtan Bussmann.

Mais je vous parle du point de vue footballistique âne !

Ah mais l’un de va pas sans l’autre…

Vous êtes vraiment un gros dégueulasse. Même Moussa Gueye ne m’avait pas autant dégoutté.

N’ayez pas peur Rigobert, vous n’êtes pas mon genre. Pas assez innocent.

Moi qui pensais que vous étiez quelqu’un de bien. Finalement, TF1 avait donc raison.

Ça va, je ne suis pas DSK non plus…

Pas mieux, pas pire.

Ah si, nettement plus intelligent.

Mon cul, vous avez la gueule d’une mouche drosophile et le cerveau de Romain Inèz un jour férié.

Mal élevé va !

Criminel !

Ah parce que c’est un crime maintenant de violer des gens et de les tuer sauvagement ?

Il me semble oui.

Ah bon, au temps pour le Francis. Mais en réalité Rigobert, il faut que je vous avoue que, ce n’était certes pas un pur déplaisir, mais ce que je faisais, je le faisais avant tout pour sauvegarder le beau et le pur dans ce monde brutal.

Plaît-il ?

Je tuais uniquement des gens qui avaient fait souffrir autrui : par exemple, si j’étais encore en liberté, je pourrais assez aisément considérer qu’à chaque relance, Romain Inèz fait souffrir autrui, et dans cette perspective, mettre fin à ces souffrances. Je ne suis pas un criminel mais un putain de justicier !

Et le viol ?

Ah ça c’est le petit plus à l’américaine !

Vous n’êtes donc pas un méchant, c’est formidable !

Oui, mais je suis en prison, pendant que des mecs comme Julien Faubert courent toujours.

Euh, courir c’est un peu fort en chocolat. Disons qu’il trotte de temps en temps tout au plus. En tout cas merci Francis de vous être confié. Et merci pour ce que vous avez fait.

Tout le plaisir était pour moi. »

Metz que oune contexte :

Metz est primo-premier, une première dans la petite histoire du Rigobert. Football-plaisir à Sinsinf’, solidité anale à l’extérieur : Metz régale et n’usurpe en rien sa place de leader de Ligue d’eux. Dernière en date, la victoire messine en terre istréenne, où les Grenats vainquirent des Provençaux pas folichons, bien qu’entreprenants, devant une horde de 9,5 spectateurs sudistes mais atones. Génie N’Gbakoto avait ouvert la marque, et l’icône sexuelle du Francis avait doublé la mise, avant qu’un anonyme en violet atténue quelque peu cette victoire, sans pour autant parvenir à priver les hommes de Cartier des trois points : mistral gagnant et confiance anale donc, avant la réception de Dijon ce samedi.

Dijon, un outsiders annoncé dans la course à la montée, mais pour qui la moutarde n’a pas encore totalement pris, de sorte que les Bourguignons squattent tranquillement un premier tiers de classement, sans jamais réussir à poser leur fessier sur le podium. Revanchards donc, mais nuls à chier, les Dijonnais restent pourtant sur une bonne série de dix matchs sans défaite. Le tout avec Simone de Beauvoire en attaque.

Simone est avant tout une petite coquine

 

Metz que oune match :

-5e : Face à de beaux progrès constatés à l’entrainement, Albert Cartier reprend Thibault Bout d’Gras dans le groupe.

-2e : Romain Inèz propose à Thibault Bourgeois une place à côté de lui sur le banc.

5e : Bon ben c’est sûr, Metz est plus fort et devrait donc gagner. Même avec une Fougère en attaque.

10e : Lancé en profondeur, Sakho rattrape Cédric Varrault, le viole de l’épaule et s’en va marquer avec ses gros sabots. 1-0.

17e : Avec cette détente de 3 centimètres, Nicolas Fougère vient d’exploser le record du monde de saut en hauteur de la catégorie plante verte maladroite.

25e : Combinaison analérienne du FC Metz, formidablement bien terminée par N’Gbakoto d’un lob subtil. 2-0 La joie est intense.

25e : Même Carlo Molinari ne peut réprimer sa joie.

26e : Déjà 2 à 0. L’entraineur dijonais le vit bien.

28e : Cédric Varrault va très mal en revanche après ce deuxième passage éclair de Sakho de par son anus.

29e : Bien que parti à l’inter-milan-saison parce que trop nul, Albert Baning est content.

34e : Sakho fait deux fois le tour de Cédric Varrault par pure provoc.

35e : Son arthrose reprend Rocchi, et contraint le capitaine messin à céder sa place à Andy Shleck, ou un truc dans le genre.

40e : La LSCVD (Ligue de soutient à Cédric Varrault en détresse) assigne Sakho en justice.

41e : En confiance après sa pré-sélection dans la pré-liste de l’équipe de France des tétraplégiques malentendants, Bussmann se prend pour un autre et essaye de prendre de vitesse un humain normal. Échec cuisant.

43e : Ce soir, Guido Milan est chaud ananas.

Mi-temps. Et pendant ce temps-là le RC Strasbourg…

50e : A force de courir comme un zouave, Sakho n’est plus toujours lucide au moment de vérité.

53e : Métanire tente et réussit un passing du revers. Sauf qu’au foot, c’est peu intéressant.

57e : Réponse dans le couloir gauche messin signée Bussmann, qui tente d’accélérer.

64e : L’âme de Francis Gillot prend le contrôle du match, qui tombe dans un état de léthargie avancé.

68e : Recul-frein alternatif de Bussmann, décidément dans un grand soir.

75e : Franchement Kashi pourrait envoyer un poumon à Abidal. De un, parce que cinq poumons pour un seul homme c’est beaucoup, et de deux, parce qu’Abidal collectionne les organes d’autrui.

84e : Fauvergue n’est pas en reste. La plante verte donne tout, mais ne paraît plus vraiment lucide.

89e : Dijon tente une dernière action et même une frappe au but, mais Carrasso repousse par la pensée ce missile sur sa barre.

Fin du match. Qui c’est le lion maintenant ?

Après-match 1 : Metz empoche les trois points et garde donc le costume de leader

Après-match 2 : Les supporters messins ont d’ailleurs encore beaucoup de mal à réaliser.

Après-match 3 : En conférence de presse, à l’évocation du nom de Sakho, Cédric Varrault tente de rester digne.

Les notes :

Johann Carrasso, 4/5 : Son frère sans les bourrelets.

Romain Métacagoule, 2/5 : Tonitruant en début de saison, Métanire paraît faiblard désormais, limite malade. Seulement 48 débordements pour le Usain Bolt locanal.

Gaëtanche Bussmann, 1/5 : Obsolescence programmée ; ce putain de bus magique n’avait une durée de vie que d’un an seulement. Parce que là on dirait Angela Merkel en crampon et avec une gueule de clou. Cocasse pour un joueur qui n’en vaut pas un.

Jérémy Choplin, 4/5 : Véloce comme un chat sauvage, solide comme un roc, agile et appliqué, Choplin n’a pas de défaut. À part d’être dans le même club que Romain Inèz.

Guido Milan, 5/5 : Guido pèse plus lourd que toi sur la balance de la classe gutturale.

Stéphane Kashi, 4/5 : Le chasseur-cueilleur du FC Metz a encore chassé beaucoup dans l’entre-jeu, et a en conséquence beaucoup cueilli, poil au Kashi.

Romain Groggy, non noté : Pas de note pour les traitres.

Stéphane Lejeune, 3/5 : Lejeune s’améliore considérablement ces derniers temps. Il n’est plus que nul à vomir. À ce rythme Kévin va gagner le droit de sortir de la catégorie des têtes de turc. Il a d’ailleurs déjà gagné un autre prénom.

Génie N’Gbfkozofhohfojob, 4/5 : Envie, technique et percussion ; puissance de noir et professionnalisme d’un blanc. +1 pour ce petit lob de l’amour.

Nicolas Fougère, 2/5 : Un bon gros deux bien tassé, comme son visage, car si le natif du ventre de sa mère ne s’est pas procuré une occaz (ce qui fait peu pour un attaquant, même en Ligue d’eux), il a encore tiré son arrière train par ci-par là avec la farouche détermination du mec qui sait qu’il doit compenser à l’envie un sacré manque de talent.

Diafragme Sakho, 4/5 : Putain de coup d’épaule sur Varrault avant de pourlécher le petit-filet dijonais : un but à la Loïc Rémy Thierry Henry. Puis tout le reste : une débauche d’énergie formidable, et de plus en plus de football dans les pattes.

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Chris Phillips, 3/5 : Luxembourgo à tout faire, tout dans la discrétion et la simplicité.

Kwamé N’Sor, non noté : Non nourri également.

Thibault Bourgeois Gentil Homme, non noté : Par contre nourri lui.

Pour ceux qui aime le sexe avec les animaux, le football sous toutes ses formes anales et les blagues sur le zizi, Rigobert est inscrit sur Facebook. Il ne l’est en revanche pas sur twitter parce que les petits oiseaux bleus, tout ça tout ça.

Rigobert Pirès.

1 thought on “METZ – DIJON (2 -0) : LA METZ QUE UN CLUB ACADÉMIE SE TOUCHE LES SEINS

  1. Francis Heaulme ne violait pas, il laissait ça à ses complices; lui-même est atteint du syndrome de Klinefelter, en gros il a un chromosome X en plus. En conséquence, il est stérile (grâce à dieu) et il a une toute petite bite.
    Inutile de me remercier

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